Chap.

 1     Pre|      des procureurs du roi. Une femme, c’est quelquefois une conscience.~ ~ ~ ~
 2     Pre|       on a mené au supplice une femme. (Une femme !) Cette fois
 3     Pre|        supplice une femme. (Une femme !) Cette fois encore, le
 4     Pre|         attelés aux pieds de la femme, et à travers les hurlements
 5     Pre|         son père, le bien de sa femme, la chose de ses enfants ?~ ~ ~ ~
 6     Com|      qui rend malade.~ ~ ~ ~UNE FEMME, bas. – Il faudra que je
 7     Com|     abominable homme.~ ~ ~ ~UNE FEMME. – Quelqu’un qui le connaît
 8     Com|        connaît ?~ ~ ~ ~LA JEUNE FEMME. – Oui, et qui dit que c’
 9      IX|         une mère, je laisse une femme, je laisse un enfant.~ ~ ~ ~
10      IX|     elle ne dira rien.~ ~ ~ ~Ma femme ne m’inquiète pas non plus ;
11     XII|        celui qui a assassiné sa femme ; Jean Martin, celui qui
12     XVI| rencontre et qu’il dépêche à sa femme, cet épouvantable message :
13     XVI|       suis enfourraillé ; cette femme qui court à Versailles avec
14     XVI|      voix d’enfant à la voix de femme ! tous ces mots difformes
15  XXVIII|         voiture, il y avait une femme qui disait à un enfant :~ ~ ~–
16    XLII|         plus lesquels.~ ~ ~ ~Ma femme était couchée dans la chambre
17    XLII|   chambre à coucher, à côté. Ma femme dormait avec son enfant.~ ~ ~ ~
18  XLVIII|          Il va bien ! a dit une femme à côté des gendarmes.~ ~ ~ ~