Chap.

 1      II|       par l’étroite et haute fenêtre de ma cellule, je vis au
 2      II|           En face de moi une fenêtre était toute grande ouverte.
 3     XII|     le vieillard ouvrait une fenêtre ; Castaing, ce médecin qui
 4    XIII|     démeublée, qui avait une fenêtre grillée, mais une véritable
 5    XIII|  grillée, mais une véritable fenêtre à hauteur d’appui, et à
 6    XIII| cadenas et verrous.~ ~ ~ ~La fenêtre donnait sur une cour carrée
 7    XIII|   yeux se tournèrent vers la fenêtre que j’occupais. – Le condamné !
 8    XIII|         J’étais demeuré à la fenêtre, immobile, perclus, paralysé.
 9    XIII|  paraître déjà au bord de ma fenêtre, je poussai un second cri
10     XIV|   mon lit était à côté de la fenêtre, je me levai sur mon séant
11     XIV|     ce que c’était.~ ~ ~ ~La fenêtre donnait sur la grande cour
12     XVI|     m’étais assis près d’une fenêtre, au soleil – il avait reparu –
13     XVI|    entendis s’élever sous ma fenêtre une voix, non celle d’un
14     XXV|    beaucoup de barreaux à la fenêtre et beaucoup de verrous à
15  XLVIII|      là, et au-dessous de la fenêtre l’horrible peuple qui aboie,
16  XLVIII|      jeune homme, près de la fenêtre, qui écrivait, avec un crayon,