Chap.

  1     I|             toi de tout cœur,~ ~ ~« Marc VIDAL. »~ ~ ~Ainsi se terminait
  2     I|           prologue.~ ~ ~ ~Mon frère Marc, alors âgé de vingt-huit
  3     I|              faire l’éducation de Marc. Comme il montrait d’étonnantes
  4     I|       mérités.~ ~ ~ ~Mais voici que Marc était à la veille de se
  5     I|       Haralan, et de sa fille Myra. Marc n’avait pu fréquenter cette
  6     I|     accorder qu’il le méritait, car Marc était – il l’est encore,
  7     I|           les lettres enflammées de Marc, et je brûlais du désir
  8     I|             aurait été présenté par Marc…~ ~ ~ ~Tout cela, mon frère
  9     I|            phrases enthousiastes de Marc. Et cependant, puisque mon
 10     I|             yeux éblouis, affirmait Marc, qui, je le pense, n’avait
 11     I|            les papiers réclamés par Marc, je me préparai donc au
 12     I|                    J’écrivis donc à Marc, en réponse à sa dernière
 13     I| répliquai-je, en vous affirmant que Marc la trouve telle, et qu’il
 14     I|            préoccuper. Du reste, si Marc se fût connu un rival, il
 15     I|           Roderich sera devenue Mme Marc Vidal. »~ ~ ~Là-dessus,
 16    II|           il ne causât des ennuis à Marc, qu’il ne créât des difficultés
 17    II|             ce Storitz, et, puisque Marc ne m’a jamais dit un mot
 18    II|          affectueuse sympathie, que Marc voudrait bien lui transmettre.~ ~ ~ ~
 19    II|            et je ne doutais pas que Marc en fit partie.~ ~ ~ ~Or,
 20    II|          mots inattendus :~ ~ ~« Si Marc Vidal épouse Myra Roderich,
 21   III|                           III~ ~ ~ ~Marc m’attendait, comme je l’
 22   III|             bonheur.~ ~ ~– Mon cher Marc, disais-je de mon côté,
 23   III|         tenait un peu en arrière de Marc. C’était un capitaine. Il
 24   III|        Haralan Roderich », prononça Marc.~ ~ ~ ~Je pris la main que
 25   III|       France. D’autre part, puisque Marc et moi nous avions une parfaite
 26   III|             Le capitaine Haralan et Marc y montèrent avec moi, et,
 27   III|            du dîner.~ ~ ~« Mon cher Marc, lui dis-je, nous voici
 28   III|                   Ton meilleur ami, Marc.~ ~ ~– Aussi, Henri, tu
 29   III|             que j’accepte, mon cher Marc, sachant d’avance que tu
 30   III|       excuses.~ ~ ~– C’est convenu, Marc, répondis-je, et puisque
 31   III|          année de séparation. »~ ~ ~Marc me raconta alors son voyage
 32   III|         somme. Un portrait signé de Marc Vidal ne peut être que très
 33   III|          bourgeois de Presbourg : « Marc Vidal fait plus ressemblant
 34   III|        Vienne !~ ~ ~– Prends garde, Marc, prends garde ! Voilà qui
 35   III|                Comme tu dis, reprit Marc sur le même ton. Bref, ici
 36   III|           la plus honorée, répondit Marc. Le docteur Roderich est
 37   III|          excellente femme ! s’écria Marc. Adorée de tous les siens,
 38   III|            en France, n’est-ce pas, Marc !~ ~ ~– Plaisante !… Plaisante !…
 39   III|          pour conclure, de même que Marc Vidal n’a pu voir Mlle Myra
 40   III|           Myra Roderich n’a pu voir Marc Vidal sans être touchée
 41   III|          ont point pris ombrage. Et Marc n’a pas tardé à s’en ouvrir
 42   III|           parlé à leur fille. Puis, Marc Vidal a fait officiellement
 43   III|             cher Henri, interrompit Marc, c’est, à mon avis, le commencement.~ ~ ~–
 44   III|   commencement.~ ~ ~– Tu as raison, Marc, et j’en suis à ne plus
 45   III|            Mon cher Henri, répondit Marc, tu voudras bien dire au
 46   III|              Sois rassuré, mon cher Marc, je dirai tout ce qu’il
 47   III|       parfait.~ ~ ~– Mais, mon cher Marc, quels sont tes projets ?
 48   III|             encore décidé, répondit Marc, et nous avons le temps
 49   III|            à l’heure du dîner. Puis Marc et moi, fumant notre cigare,
 50   III|            capitaine Haralan que de Marc.~ ~ ~ ~Il va de soi que
 51   III|            un jour. Et pourtant, si Marc n’avait pas de rival, du
 52   III|            à Wilhelm Storitz.~ ~ ~ ~Marc répondit d’abord par un
 53   III|           la ville.~ ~ ~– Bon ! fit Marc, laissons cet homme où il
 54   III|  répliquai-je, puisqu’elle sera Mme Marc Vidal ! »~ ~ ~Notre promenade
 55   III|             Pressé de questions par Marc, je dus lui donner des renseignements
 56   III|             époux.~ ~ ~ ~J’informai Marc que j’avais apporté tous
 57   III|           aimantée vers la Polaire. Marc ne se lassait pas de me
 58   III|              À six heures et demie, Marc et moi nous étions dans
 59   III|          ces paroles qui menaçaient Marc et Myra Roderich !~ ~ ~ ~
 60    IV|             entretien de la veille, Marc n’en avait pas oublié un
 61    IV|       après-midi, nous fûmes reçus, Marc et moi, dans la vaste galerie
 62    IV|      hongroise et hollandaise, dont Marc appréciait la grande valeur.~ ~ ~ ~
 63    IV|       taille encore élégante.~ ~ ~ ~Marc m’en avait fait un portrait
 64    IV|            de l’arrivée du frère de Marc Vidal dans sa maison, à
 65    IV|             j’ai lieu de croire que Marc, en me voyant faire, connut
 66    IV|       Roderich était bien telle que Marc me l’avait dépeinte, telle
 67    IV|             disait des portraits de Marc qu’ils étaient plus ressemblants
 68    IV|         regard attendri sa fille et Marc déjà unis dans son cœur.
 69    IV|            a pas une des lettres de Marc qui ne me parle de cette
 70    IV|          Myra en se retournant vers Marc, tandis que je montre la
 71    IV|          endroit du chœur, répondit Marc en regardant sa fiancée
 72    IV|             ma chambre où me suivit Marc :~ ~ ~« Avais-je exagéré,
 73    IV|           ne m’étonne pas, mon cher Marc ! Je te renierais pour mon
 74     V|          Haralan. Pendant ce temps, Marc s’occupait de diverses démarches
 75     V|             une vingtaine de jours, Marc et Myra viendront comparaître
 76     V|             réussis point à réagirMarc m’y aidera peut-être.~ ~ ~–
 77    VI|           cru devoir ne rien dire à Marc de la rencontre que le capitaine
 78    VI|            au jour où le mariage de Marc et de Myra serait un fait
 79    VI|            seul.~ ~ ~– Va, mon cher Marc, lui répondis-je, et ne
 80    VI|          Une soirée de fiançailles, Marc ?~ ~ ~– Si tu veux, mais
 81    VI|       fiancée sera ma femme. ! » ~ ~Marc se retira après m’avoir
 82    VI|           agissait-il du mariage de Marc ?~ ~ ~ ~Dès que nous fûmes
 83    VI|            hôtel, et, probablement, Marc devait les rejoindre au
 84    VI|           pensais-je, et assurément Marc n’en savait rien quand je
 85    VI|             S’agit-il du mariage de Marc et de Mlle Myra ?~ ~ ~–
 86    VI|              ce n’est pas parce que Marc était déjà agréé que Wilhelm
 87    VI|          déplorable que le rival de Marc fût revenu à Ragz et surtout
 88    VI|    insensées. Myra n’épouserait pas Marc. Il surgirait de tels obstacles
 89    VI|      ailleurs, je connaissais assez Marc pour craindre qu’il ne voulût
 90    VI|            est lui qui s’en prend à Marc ?… Si c’est lui qui nous
 91    VI|              Serait-ce en obligeant Marc, par une insulte publique,
 92    VI|         dans le cabinet du docteur. Marc n’eut aucun soupçon, et
 93    VI|        compagnie de ces dames et de Marc, que je visitai l’île Svendor
 94    VI|             tout à cette promenade. Marc s’en aperçut, et je dus
 95    VI|        affiche de mariage au nom de Marc Vidal et de Myra Roderich
 96   VII|          pas, pas plus à elles qu’à Marc. Après le mariage, nous
 97   VII|            une juste mesure, ni que Marc eût voulu y apporter son
 98   VII|            J’ajouterai que, lorsque Marc et moi nous sortîmes pour
 99   VII|          quel regard ils jetaient à Marc, qui affectait de ne point
100   VII|       demanda mon frère.~ ~ ~– Oui, Marc.~ ~ ~– C’est ce Wilhelm
101   VII|             avait quitté Ragz ? dit Marc.~ ~ ~– Il paraît que non,
102   VII|           Je n’oserais affirmer que Marc eût goûté le charme de cette
103   VII|         première ?… Mais elle est à Marc de droit et de tradition !…
104   VII|      tradition !… Oubliez-vous donc Marc, et voulez-vous que je me
105   VII|         rapprochant toujours…~ ~ ~ ~Marc, ayant Myra à son bras,
106   VII|          Alors, mon cher Henri, dit Marc, nous n’allons pas te faire
107   VII|           te faire attendre ! »~ ~ ~Marc se trompait. Je devais attendre
108  VIII|            scène que j’ai racontée. Marc et Myra en avaient paru
109  VIII|         repos.~ ~ ~ ~À huit heures, Marc ouvrit la porte de ma chambre.
110  VIII|      aussitôt :~ ~ ~« Henri, me dit Marc, j’ai donné l’ordre de ne
111  VIII|        Haralan et pour moi. Quant à Marc, qui ne savait rien encore
112  VIII|                Un ennemi ?… s’écria Marc. Un ennemi de votre famille
113  VIII|      Haralan. Celui qui avant vous, Marc, avait demandé la main de
114  VIII|              Wilhelm Storitz. »~ ~ ~Marc fut alors mis au courant
115  VIII|             de tout cela !… s’écria Marc. C’est aujourdhui seulement,
116  VIII|               Laissez-nous ce soin, Marc, dit le capitaine Haralan.
117  VIII|             a insultée ! » répondit Marc, qui ne se contenait plus.~ ~ ~ ~
118  VIII|              et j’insistai pour que Marc et le capitaine Haralan
119  VIII|       menaces il a proférées contre Marc et sa fiancée. Faisons connaître
120  VIII|             le capitaine Haralan et Marc se fussent rendus à la maison
121  VIII|            point, il fut décidé que Marc retournerait à l’hôtel Roderich,
122  VIII|         Mlle Myra Roderich et de M. Marc Vidal ?~ ~ ~– Je le crois,
123     X|         docteur nous attendait avec Marc. Leur impatience était extrême,
124     X|             miennes.~ ~ ~« Mon cher Marc, dit le docteur, écoutez
125     X|           la couronne fut acceptée. Marc l’aurait, par hasard, retrouvée
126     X|       Roderich et sa fille, lorsque Marc, après s’être absenté un
127     X|          frère.~ ~ ~– Oui, répondit Marc, là… dans le jardin… je
128     X|              Merci, merci, mon cher Marc », dit Myra, tandis qu’une
129     X|        serait célébré le mariage de Marc et de Myra Roderich.~ ~ ~ ~
130     X|        communiquer cette nouvelle à Marc et au capitaine Haralan.~ ~ ~ ~
131    XI|             s’ils se réaliseraient. Marc et elle iraient-ils s’installer
132    XI|            il passait près de Myra, Marc oubliait, ou plutôt il s’
133    XI|        Henri ?~ ~ ~– Rien, mon cher Marc », répondais-je non moins
134    XI|                    Je t’avertirais, Marc.~ ~ ~– Je t’en voudrais
135    XI|                    Et pourtant, dit Marc dont le visage s’assombrit,
136    XI|            toi-même. Donc, mon cher Marc, borne-toi à compter les
137    XI|             Ah ! mon ami !… s’écria Marc tristement.~ ~ ~– Tu n’es
138    XI|            Tu n’es pas raisonnable, Marc. Myra l’est plus que toi.~ ~ ~–
139    XI|             est insensé, mon pauvre Marc ! Tiens ! crois-moi, retourne
140    XI|             tout ce que je disais à Marc et au capitaine Haralan,
141    XI|           le promets… Et pourvu que Marc n’en ait pas plus que moi…~ ~ ~–
142    XI|      Bonsoir !… Bonsoir au frère de Marc, qui va devenir le mien.~ ~ ~–
143    XI|       bonsoir ! »~ ~ ~Le lendemain, Marc eut quelques courses à faire
144    XI|           juge Neuman, l’autre pour Marc, le capitaine Haralan, un
145    XI|             Armgard et moi, ceux de Marc.~ ~ ~ ~Ainsi que le capitaine
146    XI|             bras de M. Neuman, puis Marc, le capitaine Haralan, le
147    XI|          mariage de leur fille avec Marc Vidal.~ ~ ~ ~Ce fut ensuite
148    XI|           questions d’usage :~ ~ ~« Marc Vidal, promettez-vous de
149    XI|           promettez-vous de prendre Marc Vidal pour époux ?~ ~ ~–
150    XI|       baillons licence de mariage à Marc Vidal et à Myra Roderich.
151    XI|         Roderich serait la femme de Marc Vidal, ou elle ne le serait
152   XII|             si pressé que je fusse, Marc l’était plus encore, et
153   XII|             Mais toi-même, mon cher Marc, tâche de ne pas te faire
154   XII|              Neuman ; le second par Marc et les trois autres témoins.
155   XII|          revenant de la cathédrale, Marc et Myra Vidal, à jamais
156   XII|         dois constater que mon cher Marc en eut aussi sa part. Les
157   XII|            avançâmes, à la suite de Marc, entre les rangs des spectateurs
158   XII|        pénétra dans l’église.~ ~ ~ ~Marc et Myra se dirigèrent vers
159   XII|         dans une attitude fervente. Marc se tenait debout près d’
160   XII|          hymne de l’offrande.~ ~ ~ ~Marc et Myra quittèrent leurs
161   XII|            arrêta devant eux.~ ~ ~« Marc Vidal, interrogea sa voix
162   XII|            consentez-vous à prendre Marc Vidal pour époux ?~ ~ ~–
163   XII|          évanouie entre les bras de Marc terrifié.~ ~ ~ ~
164  XIII|            instant à l’autre !…~ ~ ~Marc lui tenait les mains. Il
165  XIII|        agitèrent entre les mains de Marc, ses yeux se rouvrirent
166  XIII|      manquait l’intelligence !…~ ~ ~Marc ne le comprit que trop.
167  XIII|            je l’avoue. Le départ de Marc et de Myra ne l’eût pas
168  XIII|            levâmes tous épouvantés. Marc et le capitaine Haralan,
169  XIII|        Roderich ne sera la femme de Marc Vidal !… jamais ! »~ ~ ~
170  XIII|    serait-il toujours ainsi ?~ ~ ~ ~Marc fut pansé, puis transporté
171   XIV|            domestique à la garde de Marc et de Myra – il me fallait
172   XIV|        reconnaissait ni sa mère, ni Marc, qui fut bientôt capable
173   XIV|           de manifester sa volonté. Marc se penchait, il lui parlait,
174   XIV|        après avoir vu le docteur ou Marc veillant au chevet de Myra.
175   XIV|           notre entretien, je dis à Marc :~ ~ ~« Mon pauvre frère,
176   XIV|          désespère pas, me répondit Marc, d’une voix étouffée par
177   XIV|              Non, m’écriai-je, non, Marc, il n’est pas impossible
178   XIV|        comment ?… Comment ?… reprit Marc en s’animant. Non, Henri,
179   XIV|        hôtel. »~ ~ ~L’exaltation de Marc ne me permettait plus de
180   XIV|        parlant d’une voix saccadée, Marc avançait, reculait, comme
181    XV|     proférées contre elle et contre Marc ? Il eût été désirable qu’
182    XV|          tandis que Mme Roderich et Marc veillaient au chevet de
183    XV|         dans un autre milieu.~ ~ ~ ~Marc l’approuva de son côté.
184    XV|           Roderich avec leur fille. Marc et moi, nous monterions
185   XVI|           plus tôt, Mme Roderich et Marc étaient encore dans la chambre
186   XVI|            nourriture de la main de Marc, qui était ensuite descendu
187   XVI|                    Myra ! » s’écrie Marc, en se précipitant vers
188   XVI|      demandai-je, que veux-tu dire, Marc ? »~ ~ ~Le docteur eut à
189   XVI|                   Je revins près de Marc. Mon pauvre frère pleurait
190   XVI|           les suivre. Je proposai à Marc de nous accompagner. Me
191  XVII|         tendresse et d’amour…~ ~ ~ ~Marc n’entendait rien. Il ne
192  XVII|             notre chère Myra !…~ ~« Marc, disait-elle, et vous monsieur
193  XVII|         voyait pas elle-même.~ ~ ~ ~Marc s’était levé, les bras ouverts
194  XVII|         reste ! »~ ~ ~En ce moment, Marc, qui avait trouvé la main
195  XVII|          produisait sa présence, et Marc, d’une voix tremblante,
196  XVII|         quitte plus !…~ ~– Mon cher Marc… Cet air bouleversé… Tous…
197  XVII|         donc un malheur ici ?… » ~ ~Marc sentit qu’elle se levait.
198 XVIII|             sa poitrine, tandis que Marc, agenouillé près du fauteuil
199 XVIII|          peine ?… Et vous, mon cher Marc, voici mes deux mains… Prenez-les !…
200 XVIII|             vie de famille. Elle et Marc passaient de longues heures
201 XVIII|                    Je te comprends, Marc, et je n’imagine pas ce
202 XVIII|         serait monstrueux, répondit Marc. Si le prêtre ne voit pas
203 XVIII|     difficulté.~ ~ ~– Non, mon cher Marc, non, et je me charge de
204 XVIII|            est là, cependant.~ ~ ~ ~Marc est debout, tourné vers
205 XVIII|     maîtrise. À l’offrande, on voit Marc conduire Myra jusqu’à la
206 XVIII|           Myra. Puis, s’adressant à Marc :~ ~ ~« Marc Vidal, consentez-vous
207 XVIII|            adressant à Marc :~ ~ ~« Marc Vidal, consentez-vous à
208 XVIII|            consentez-vous à prendre Marc Vidal ici présent pour époux ?~ ~ ~–
209 XVIII|             entendue de tous.~ ~ ~– Marc Vidal et Myra Roderich,
210 XVIII|         fabrique, à la signature de Marc Vidal vient se joindre un
211   XIX|       France. Je prévoyais même que Marc ne ferait plus à Paris que
212   XIX|           Le temps arrange tout, et Marc s’accoutumerait à cette
213   XIX|            portrait d’elle fait par Marc ? Myra aimait à s’asseoir
214   XIX|       substance maudite qui privait Marc du bonheur de la voir.~ ~ ~ ~
215   XIX|          sortit vivante du tombeau. Marc, ébloui, affolé, enivré,
216   XIX|             l’univers, infinies ! – Marc poursuit sa carrière glorieuse
217   XIX|             oncle et du grand-père. Marc et Myra sont heureux.~ ~ ~ ~
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