IntraText Index | Mots: Alphabétique - Fréquence - Inversions - Longueur - Statistiques | Aide | Bibliothèque IntraText | Recherche |
Alphabétique [« »] manuscrit 4 maraîchères 1 marbre 2 marc 217 march 1 marchais 1 marchait 3 | Fréquence [« »] 230 pour 226 myra 226 sa 217 marc 216 sur 212 storitz 211 c | Jules et Michel Verne Le secret de Wilhelm Storitz Concordances marc |
Chap.
1 I| toi de tout cœur,~ ~ ~« Marc VIDAL. »~ ~ ~Ainsi se terminait 2 I| prologue.~ ~ ~ ~Mon frère Marc, alors âgé de vingt-huit 3 I| dû faire l’éducation de Marc. Comme il montrait d’étonnantes 4 I| mérités.~ ~ ~ ~Mais voici que Marc était à la veille de se 5 I| Haralan, et de sa fille Myra. Marc n’avait pu fréquenter cette 6 I| accorder qu’il le méritait, car Marc était – il l’est encore, 7 I| les lettres enflammées de Marc, et je brûlais du désir 8 I| aurait été présenté par Marc…~ ~ ~ ~Tout cela, mon frère 9 I| phrases enthousiastes de Marc. Et cependant, puisque mon 10 I| yeux éblouis, affirmait Marc, qui, je le pense, n’avait 11 I| les papiers réclamés par Marc, je me préparai donc au 12 I| J’écrivis donc à Marc, en réponse à sa dernière 13 I| répliquai-je, en vous affirmant que Marc la trouve telle, et qu’il 14 I| préoccuper. Du reste, si Marc se fût connu un rival, il 15 I| Roderich sera devenue Mme Marc Vidal. »~ ~ ~Là-dessus, 16 II| il ne causât des ennuis à Marc, qu’il ne créât des difficultés 17 II| ce Storitz, et, puisque Marc ne m’a jamais dit un mot 18 II| affectueuse sympathie, que Marc voudrait bien lui transmettre.~ ~ ~ ~ 19 II| et je ne doutais pas que Marc en fit partie.~ ~ ~ ~Or, 20 II| mots inattendus :~ ~ ~« Si Marc Vidal épouse Myra Roderich, 21 III| III~ ~ ~ ~Marc m’attendait, comme je l’ 22 III| bonheur.~ ~ ~– Mon cher Marc, disais-je de mon côté, 23 III| tenait un peu en arrière de Marc. C’était un capitaine. Il 24 III| Haralan Roderich », prononça Marc.~ ~ ~ ~Je pris la main que 25 III| France. D’autre part, puisque Marc et moi nous avions une parfaite 26 III| Le capitaine Haralan et Marc y montèrent avec moi, et, 27 III| du dîner.~ ~ ~« Mon cher Marc, lui dis-je, nous voici 28 III| Ton meilleur ami, Marc.~ ~ ~– Aussi, Henri, tu 29 III| que j’accepte, mon cher Marc, sachant d’avance que tu 30 III| excuses.~ ~ ~– C’est convenu, Marc, répondis-je, et puisque 31 III| année de séparation. »~ ~ ~Marc me raconta alors son voyage 32 III| somme. Un portrait signé de Marc Vidal ne peut être que très 33 III| bourgeois de Presbourg : « Marc Vidal fait plus ressemblant 34 III| Vienne !~ ~ ~– Prends garde, Marc, prends garde ! Voilà qui 35 III| Comme tu dis, reprit Marc sur le même ton. Bref, ici 36 III| la plus honorée, répondit Marc. Le docteur Roderich est 37 III| excellente femme ! s’écria Marc. Adorée de tous les siens, 38 III| en France, n’est-ce pas, Marc !~ ~ ~– Plaisante !… Plaisante !… 39 III| pour conclure, de même que Marc Vidal n’a pu voir Mlle Myra 40 III| Myra Roderich n’a pu voir Marc Vidal sans être touchée 41 III| ont point pris ombrage. Et Marc n’a pas tardé à s’en ouvrir 42 III| parlé à leur fille. Puis, Marc Vidal a fait officiellement 43 III| cher Henri, interrompit Marc, c’est, à mon avis, le commencement.~ ~ ~– 44 III| commencement.~ ~ ~– Tu as raison, Marc, et j’en suis à ne plus 45 III| Mon cher Henri, répondit Marc, tu voudras bien dire au 46 III| Sois rassuré, mon cher Marc, je dirai tout ce qu’il 47 III| parfait.~ ~ ~– Mais, mon cher Marc, quels sont tes projets ? 48 III| encore décidé, répondit Marc, et nous avons le temps 49 III| à l’heure du dîner. Puis Marc et moi, fumant notre cigare, 50 III| capitaine Haralan que de Marc.~ ~ ~ ~Il va de soi que 51 III| un jour. Et pourtant, si Marc n’avait pas de rival, du 52 III| à Wilhelm Storitz.~ ~ ~ ~Marc répondit d’abord par un 53 III| la ville.~ ~ ~– Bon ! fit Marc, laissons cet homme où il 54 III| répliquai-je, puisqu’elle sera Mme Marc Vidal ! »~ ~ ~Notre promenade 55 III| Pressé de questions par Marc, je dus lui donner des renseignements 56 III| époux.~ ~ ~ ~J’informai Marc que j’avais apporté tous 57 III| aimantée vers la Polaire. Marc ne se lassait pas de me 58 III| À six heures et demie, Marc et moi nous étions dans 59 III| ces paroles qui menaçaient Marc et Myra Roderich !~ ~ ~ ~ 60 IV| entretien de la veille, Marc n’en avait pas oublié un 61 IV| après-midi, nous fûmes reçus, Marc et moi, dans la vaste galerie 62 IV| hongroise et hollandaise, dont Marc appréciait la grande valeur.~ ~ ~ ~ 63 IV| taille encore élégante.~ ~ ~ ~Marc m’en avait fait un portrait 64 IV| de l’arrivée du frère de Marc Vidal dans sa maison, à 65 IV| j’ai lieu de croire que Marc, en me voyant faire, connut 66 IV| Roderich était bien telle que Marc me l’avait dépeinte, telle 67 IV| disait des portraits de Marc qu’ils étaient plus ressemblants 68 IV| regard attendri sa fille et Marc déjà unis dans son cœur. 69 IV| a pas une des lettres de Marc qui ne me parle de cette 70 IV| Myra en se retournant vers Marc, tandis que je montre la 71 IV| endroit du chœur, répondit Marc en regardant sa fiancée 72 IV| ma chambre où me suivit Marc :~ ~ ~« Avais-je exagéré, 73 IV| ne m’étonne pas, mon cher Marc ! Je te renierais pour mon 74 V| Haralan. Pendant ce temps, Marc s’occupait de diverses démarches 75 V| une vingtaine de jours, Marc et Myra viendront comparaître 76 V| réussis point à réagir… Marc m’y aidera peut-être.~ ~ ~– 77 VI| cru devoir ne rien dire à Marc de la rencontre que le capitaine 78 VI| au jour où le mariage de Marc et de Myra serait un fait 79 VI| seul.~ ~ ~– Va, mon cher Marc, lui répondis-je, et ne 80 VI| Une soirée de fiançailles, Marc ?~ ~ ~– Si tu veux, mais 81 VI| fiancée sera ma femme. ! » ~ ~Marc se retira après m’avoir 82 VI| agissait-il du mariage de Marc ?~ ~ ~ ~Dès que nous fûmes 83 VI| hôtel, et, probablement, Marc devait les rejoindre au 84 VI| pensais-je, et assurément Marc n’en savait rien quand je 85 VI| S’agit-il du mariage de Marc et de Mlle Myra ?~ ~ ~– 86 VI| ce n’est pas parce que Marc était déjà agréé que Wilhelm 87 VI| déplorable que le rival de Marc fût revenu à Ragz et surtout 88 VI| insensées. Myra n’épouserait pas Marc. Il surgirait de tels obstacles 89 VI| ailleurs, je connaissais assez Marc pour craindre qu’il ne voulût 90 VI| est lui qui s’en prend à Marc ?… Si c’est lui qui nous 91 VI| Serait-ce en obligeant Marc, par une insulte publique, 92 VI| dans le cabinet du docteur. Marc n’eut aucun soupçon, et 93 VI| compagnie de ces dames et de Marc, que je visitai l’île Svendor 94 VI| tout à cette promenade. Marc s’en aperçut, et je dus 95 VI| affiche de mariage au nom de Marc Vidal et de Myra Roderich 96 VII| pas, pas plus à elles qu’à Marc. Après le mariage, nous 97 VII| une juste mesure, ni que Marc eût voulu y apporter son 98 VII| J’ajouterai que, lorsque Marc et moi nous sortîmes pour 99 VII| quel regard ils jetaient à Marc, qui affectait de ne point 100 VII| demanda mon frère.~ ~ ~– Oui, Marc.~ ~ ~– C’est ce Wilhelm 101 VII| avait quitté Ragz ? dit Marc.~ ~ ~– Il paraît que non, 102 VII| Je n’oserais affirmer que Marc eût goûté le charme de cette 103 VII| première ?… Mais elle est à Marc de droit et de tradition !… 104 VII| tradition !… Oubliez-vous donc Marc, et voulez-vous que je me 105 VII| rapprochant toujours…~ ~ ~ ~Marc, ayant Myra à son bras, 106 VII| Alors, mon cher Henri, dit Marc, nous n’allons pas te faire 107 VII| te faire attendre ! »~ ~ ~Marc se trompait. Je devais attendre 108 VIII| scène que j’ai racontée. Marc et Myra en avaient paru 109 VIII| repos.~ ~ ~ ~À huit heures, Marc ouvrit la porte de ma chambre. 110 VIII| aussitôt :~ ~ ~« Henri, me dit Marc, j’ai donné l’ordre de ne 111 VIII| Haralan et pour moi. Quant à Marc, qui ne savait rien encore 112 VIII| Un ennemi ?… s’écria Marc. Un ennemi de votre famille 113 VIII| Haralan. Celui qui avant vous, Marc, avait demandé la main de 114 VIII| Wilhelm Storitz. »~ ~ ~Marc fut alors mis au courant 115 VIII| de tout cela !… s’écria Marc. C’est aujourd’hui seulement, 116 VIII| Laissez-nous ce soin, Marc, dit le capitaine Haralan. 117 VIII| a insultée ! » répondit Marc, qui ne se contenait plus.~ ~ ~ ~ 118 VIII| et j’insistai pour que Marc et le capitaine Haralan 119 VIII| menaces il a proférées contre Marc et sa fiancée. Faisons connaître 120 VIII| le capitaine Haralan et Marc se fussent rendus à la maison 121 VIII| point, il fut décidé que Marc retournerait à l’hôtel Roderich, 122 VIII| Mlle Myra Roderich et de M. Marc Vidal ?~ ~ ~– Je le crois, 123 X| docteur nous attendait avec Marc. Leur impatience était extrême, 124 X| miennes.~ ~ ~« Mon cher Marc, dit le docteur, écoutez 125 X| la couronne fut acceptée. Marc l’aurait, par hasard, retrouvée 126 X| Roderich et sa fille, lorsque Marc, après s’être absenté un 127 X| frère.~ ~ ~– Oui, répondit Marc, là… dans le jardin… je 128 X| Merci, merci, mon cher Marc », dit Myra, tandis qu’une 129 X| serait célébré le mariage de Marc et de Myra Roderich.~ ~ ~ ~ 130 X| communiquer cette nouvelle à Marc et au capitaine Haralan.~ ~ ~ ~ 131 XI| s’ils se réaliseraient. Marc et elle iraient-ils s’installer 132 XI| il passait près de Myra, Marc oubliait, ou plutôt il s’ 133 XI| Henri ?~ ~ ~– Rien, mon cher Marc », répondais-je non moins 134 XI| Je t’avertirais, Marc.~ ~ ~– Je t’en voudrais 135 XI| Et pourtant, dit Marc dont le visage s’assombrit, 136 XI| toi-même. Donc, mon cher Marc, borne-toi à compter les 137 XI| Ah ! mon ami !… s’écria Marc tristement.~ ~ ~– Tu n’es 138 XI| Tu n’es pas raisonnable, Marc. Myra l’est plus que toi.~ ~ ~– 139 XI| est insensé, mon pauvre Marc ! Tiens ! crois-moi, retourne 140 XI| tout ce que je disais à Marc et au capitaine Haralan, 141 XI| le promets… Et pourvu que Marc n’en ait pas plus que moi…~ ~ ~– 142 XI| Bonsoir !… Bonsoir au frère de Marc, qui va devenir le mien.~ ~ ~– 143 XI| bonsoir ! »~ ~ ~Le lendemain, Marc eut quelques courses à faire 144 XI| juge Neuman, l’autre pour Marc, le capitaine Haralan, un 145 XI| Armgard et moi, ceux de Marc.~ ~ ~ ~Ainsi que le capitaine 146 XI| bras de M. Neuman, puis Marc, le capitaine Haralan, le 147 XI| mariage de leur fille avec Marc Vidal.~ ~ ~ ~Ce fut ensuite 148 XI| questions d’usage :~ ~ ~« Marc Vidal, promettez-vous de 149 XI| promettez-vous de prendre Marc Vidal pour époux ?~ ~ ~– 150 XI| baillons licence de mariage à Marc Vidal et à Myra Roderich. 151 XI| Roderich serait la femme de Marc Vidal, ou elle ne le serait 152 XII| si pressé que je fusse, Marc l’était plus encore, et 153 XII| Mais toi-même, mon cher Marc, tâche de ne pas te faire 154 XII| Neuman ; le second par Marc et les trois autres témoins. 155 XII| revenant de la cathédrale, Marc et Myra Vidal, à jamais 156 XII| dois constater que mon cher Marc en eut aussi sa part. Les 157 XII| avançâmes, à la suite de Marc, entre les rangs des spectateurs 158 XII| pénétra dans l’église.~ ~ ~ ~Marc et Myra se dirigèrent vers 159 XII| dans une attitude fervente. Marc se tenait debout près d’ 160 XII| hymne de l’offrande.~ ~ ~ ~Marc et Myra quittèrent leurs 161 XII| arrêta devant eux.~ ~ ~« Marc Vidal, interrogea sa voix 162 XII| consentez-vous à prendre Marc Vidal pour époux ?~ ~ ~– 163 XII| évanouie entre les bras de Marc terrifié.~ ~ ~ ~ 164 XIII| instant à l’autre !…~ ~ ~Marc lui tenait les mains. Il 165 XIII| agitèrent entre les mains de Marc, ses yeux se rouvrirent 166 XIII| manquait l’intelligence !…~ ~ ~Marc ne le comprit que trop. 167 XIII| je l’avoue. Le départ de Marc et de Myra ne l’eût pas 168 XIII| levâmes tous épouvantés. Marc et le capitaine Haralan, 169 XIII| Roderich ne sera la femme de Marc Vidal !… jamais ! »~ ~ ~ 170 XIII| serait-il toujours ainsi ?~ ~ ~ ~Marc fut pansé, puis transporté 171 XIV| domestique à la garde de Marc et de Myra – il me fallait 172 XIV| reconnaissait ni sa mère, ni Marc, qui fut bientôt capable 173 XIV| de manifester sa volonté. Marc se penchait, il lui parlait, 174 XIV| après avoir vu le docteur ou Marc veillant au chevet de Myra. 175 XIV| notre entretien, je dis à Marc :~ ~ ~« Mon pauvre frère, 176 XIV| désespère pas, me répondit Marc, d’une voix étouffée par 177 XIV| Non, m’écriai-je, non, Marc, il n’est pas impossible 178 XIV| comment ?… Comment ?… reprit Marc en s’animant. Non, Henri, 179 XIV| hôtel. »~ ~ ~L’exaltation de Marc ne me permettait plus de 180 XIV| parlant d’une voix saccadée, Marc avançait, reculait, comme 181 XV| proférées contre elle et contre Marc ? Il eût été désirable qu’ 182 XV| tandis que Mme Roderich et Marc veillaient au chevet de 183 XV| dans un autre milieu.~ ~ ~ ~Marc l’approuva de son côté. 184 XV| Roderich avec leur fille. Marc et moi, nous monterions 185 XVI| plus tôt, Mme Roderich et Marc étaient encore dans la chambre 186 XVI| nourriture de la main de Marc, qui était ensuite descendu 187 XVI| Myra ! » s’écrie Marc, en se précipitant vers 188 XVI| demandai-je, que veux-tu dire, Marc ? »~ ~ ~Le docteur eut à 189 XVI| Je revins près de Marc. Mon pauvre frère pleurait 190 XVI| les suivre. Je proposai à Marc de nous accompagner. Me 191 XVII| tendresse et d’amour…~ ~ ~ ~Marc n’entendait rien. Il ne 192 XVII| notre chère Myra !…~ ~« Marc, disait-elle, et vous monsieur 193 XVII| voyait pas elle-même.~ ~ ~ ~Marc s’était levé, les bras ouverts 194 XVII| reste ! »~ ~ ~En ce moment, Marc, qui avait trouvé la main 195 XVII| produisait sa présence, et Marc, d’une voix tremblante, 196 XVII| quitte plus !…~ ~– Mon cher Marc… Cet air bouleversé… Tous… 197 XVII| donc un malheur ici ?… » ~ ~Marc sentit qu’elle se levait. 198 XVIII| sa poitrine, tandis que Marc, agenouillé près du fauteuil 199 XVIII| peine ?… Et vous, mon cher Marc, voici mes deux mains… Prenez-les !… 200 XVIII| vie de famille. Elle et Marc passaient de longues heures 201 XVIII| Je te comprends, Marc, et je n’imagine pas ce 202 XVIII| serait monstrueux, répondit Marc. Si le prêtre ne voit pas 203 XVIII| difficulté.~ ~ ~– Non, mon cher Marc, non, et je me charge de 204 XVIII| est là, cependant.~ ~ ~ ~Marc est debout, tourné vers 205 XVIII| maîtrise. À l’offrande, on voit Marc conduire Myra jusqu’à la 206 XVIII| Myra. Puis, s’adressant à Marc :~ ~ ~« Marc Vidal, consentez-vous 207 XVIII| adressant à Marc :~ ~ ~« Marc Vidal, consentez-vous à 208 XVIII| consentez-vous à prendre Marc Vidal ici présent pour époux ?~ ~ ~– 209 XVIII| entendue de tous.~ ~ ~– Marc Vidal et Myra Roderich, 210 XVIII| fabrique, à la signature de Marc Vidal vient se joindre un 211 XIX| France. Je prévoyais même que Marc ne ferait plus à Paris que 212 XIX| Le temps arrange tout, et Marc s’accoutumerait à cette 213 XIX| portrait d’elle fait par Marc ? Myra aimait à s’asseoir 214 XIX| substance maudite qui privait Marc du bonheur de la voir.~ ~ ~ ~ 215 XIX| sortit vivante du tombeau. Marc, ébloui, affolé, enivré, 216 XIX| l’univers, infinies ! – Marc poursuit sa carrière glorieuse 217 XIX| oncle et du grand-père. Marc et Myra sont heureux.~ ~ ~ ~