Chap.

  1     I|             lettre que je reçus de mon frère, le 4 avril 1757.~ ~ ~ ~
  2     I|                leur destin !~ ~ ~ ~Mon frère disait vrai. Je ne regrette
  3     I| extraordinaires, dont la lettre de mon frère constitue en quelque sorte
  4     I|           sorte le prologue.~ ~ ~ ~Mon frère Marc, alors âgé de vingt-huit
  5     I|               et c’était moi, le grand frère, qui avais  faire l’éducation
  6     I|               du désir de la voir. Mon frère désirait encore plus vivement
  7     I|             Marc…~ ~ ~ ~Tout cela, mon frère me le contait dans ses fréquentes
  8     I|              Et cependant, puisque mon frère était peintre, il lui eût
  9     I|                n’aurais pas laissé mon frère se marier sans être présent
 10     I|              la nouvelle patrie de mon frère, le reste du temps serait
 11     I|             les hautes classes, et mon frère n’avait jamais été gêné,
 12     I|               J’assurais toutefois mon frère que je ne m’attarderais
 13     I|             mille compliments pour mon frère, qu’il connaissait de réputation
 14     I|               laquelle va entrer votre frère, est une des plus honorables
 15     I|               qui s’est lié avec votre frère pendant son séjour dans
 16     I|              mariage que fait là votre frère, car, paraît-il, Mlle Myra
 17     I|                et mes souhaits à votre frère, dont le bonheur aura ce
 18     I|            fis-je, étonné.~ ~ ~– Votre frère ne vous a jamais écrit que
 19     I|              il est possible que votre frère n’en ait rien su.~ ~ ~–
 20    II|              encre, et j’écrivis à mon frère pour lui annoncer que je
 21    II|              Quelle joie de revoir mon frère dont j’étais séparé depuis
 22   III|               crois bien ! s’écria mon frère, et ce n’est point sa faute,
 23   III|                je restai seul avec mon frère, dans une chambre assez
 24   III|            oublier que tu es mon grand frère.~ ~ ~– Ton meilleur ami,
 25   III|            nature. » Aussi, ajouta mon frère en plaisantant, il ne me
 26   III|             pas moins charmante que le frère, tes visites se sont multipliées
 27   III|           morales…~ ~ ~– Comme tu dis, frère !~ ~ ~– Les qualités morales,
 28   III|                dans les paroles de mon frère n’indiquait que son roman
 29   III|           connaître cet incident à mon frère, je crus devoir lui toucher
 30   III|                me trompe, répondit mon frère.~ ~ ~– Les deux faits n’
 31    IV|               heureuse de l’arrivée du frère de Marc Vidal dans sa maison,
 32    IV|                que vous n’êtes pas mon frère », expliqua plaisamment
 33    IV|             main, il m’avait traité en frère, lui aussi, et nous étions
 34    IV|              prairies en fleurs !… Mon frère n’oubliera pas de vous y
 35    IV|                Maison de Ville à votre frère, que regardez-vous donc ?~ ~ ~–
 36    IV|               Je te renierais pour mon frère, s’il en était autrement ! »~ ~ ~
 37     V|               j’avais dit un mot à mon frère. De son côté, il resta muet
 38    VI|            avait paru nous suivre, mon frère et moi, tandis que nous
 39    VI|          environs de Ragz, lorsque mon frère entra dans ma chambre.~ ~ ~«
 40    VI|           femme, ni ma fille, ni votre frère ne sont au courant. J’ai
 41    VI|                que la demande de votre frère eût été faite et accueillie,
 42    VI|     antérieurement à la demande de mon frère.~ ~ ~– À peu près trois
 43    VI|             que les fiançailles de mon frère et de Mlle Myra ne sauraient
 44    VI|                ni à sa fille, ni à mon frère. Mieux valait leur épargner
 45    VI|              Roderich, sa fille et mon frère fussent rentrés à l’hôtel.
 46   VII|         Magyare. Dès qu’il aperçut mon frère, il s’arrêta d’un mouvement
 47   VII|              individu ? me demanda mon frère.~ ~ ~– Oui, Marc.~ ~ ~–
 48   VII|             prévenances, ainsi que mon frère. D’ailleurs les félicitations
 49   VII|               ceux qui venaient de mon frère témoignaient d’un goût exquis.
 50   VII|                ma chère fille et votre frère. Ils sont si heureux !…~ ~–
 51  VIII|                à l’hôtel Roderich. Mon frère et moi, nous étions rentrés
 52  VIII|              quel état se trouvait mon frère ! Sa figure, rayonnante
 53  VIII|         quelques jours auparavant. Mon frère connut la réponse si catégorique
 54     X|                Et mon père ?… Et votre frère ?… Ne vont-ils pas s’informer
 55     X|               tardait d’avoir revu mon frère, de l’avoir mis au courant,
 56     X|              du boulevard Tékéli ! Mon frère ne parvenait pas à se maîtriser.
 57     X|          écoutez les conseils de votre frère, et laissons s’éteindre
 58     X|              bientôt oublié. »~ ~ ~Mon frère, la tête entre ses mains,
 59     X|                 en s’élançant vers mon frère.~ ~ ~– Oui, répondit Marc,
 60     X|              temps que me laissait mon frère à différentes promenades
 61    XI|              un instant ! »~ ~ ~Pauvre frère ! Il me faisait mal à voir,
 62    XI|              influence pour calmer mon frère, je ne savais plus quel
 63    XI|              va devenir celle de votre frère, a été outragée, et je ne
 64    XI|          docteur Roderich, c’était mon frère, c’était le capitaine Haralan,
 65    XI|            remise de ses émotions. Mon frère oubliait tout auprès de
 66    XI|                un des témoins de votre frère…~ ~ ~– Vous avez raison
 67    XI|       mademoiselle Myra. Témoin de mon frère !… Je ne m’en souvenais
 68    XI|                  Bonsoir !… Bonsoir au frère de Marc, qui va devenir
 69    XI|                juge étaient, comme mon frère et moi, en habit de cour,
 70    XI|               Je le jure, répondit mon frère, à qui on avait fait la
 71   XII|                lui avait rapportée mon frère. Elle n’en avait pas voulu
 72   XII|             dans ses yeux :~ ~ ~« Ah ! frère, s’écria-t-elle, que je
 73   XII|                      Oui, répondit mon frère.~ ~ ~– Myra Roderich, consentez-vous
 74   XII|            alliances que lui donna mon frère et les bénit. Puis il se
 75   XII|              comprendre, ce furent mon frère et Myra qui tombèrent sur
 76  XIII|               la famille Roderich, mon frère et moi compris, était réunie
 77  XIII|           courbe homicide ; je vis mon frère chanceler, et le capitaine
 78  XIII|                moi, nous étendîmes mon frère sur un divan, et le docteur
 79   XIV|           heures après l’attentat, mon frère, dont la blessure toute
 80   XIV|               bout de trois jours, mon frère ne quitta plus la chambre
 81   XIV|           longue conversation avec mon frère. Il m’avait paru plus accablé
 82   XIV|                Marc :~ ~ ~« Mon pauvre frère, je te vois prêt à perdre
 83   XIV|                  Voilà où en était mon frère ! N’avais-je pas lieu de
 84   XIV|             Myra Roderich. Quant à mon frère, il me parut un peu plus
 85    XV|               malheureuse famille. Mon frère ne quittait pas l’hôtel.
 86    XV|              Roderich.~ ~ ~ ~Comme mon frère, il se demandait si un secret
 87    XV|         accompagnerez sans doute votre frère ?~ ~ ~– Puis-je faire autrement,
 88    XV|              jardin. Le docteur et mon frère montèrent auprès de Myra
 89   XVI|              achevé, le docteur et mon frère étaient remontés afin de
 90   XVI|                      Le docteur et mon frère, qui répétait d’une voix
 91   XVI|               près de Marc. Mon pauvre frère pleurait à chaudes larmes,
 92   XVI|           Quelle nuit, moi près de mon frère, le docteur près de Mme
 93   XVI|           compris le but du malheureux frère de Myra.~ ~ ~ ~Dix heures,
 94  XVII|               fille.~ ~ ~ ~Quant à mon frère, lui non plus ne savait
 95  XVII|              savais comment calmer mon frère, lorsque notre conversation
 96  XVII|              hôtel Roderich.~ ~ ~ ~Mon frère nous avait rejoints à la
 97  XVII|             Moi, je restai près de mon frère. Ce que furent ces douloureuses
 98  XVII|                les deux officiers, mon frère et moi. Comme le domestique
 99  XVII|            a-t-il donc ?… Pourquoi mon frère, mon mari ont-ils cet air
100  XVII|              ne pouvaient la voir. Mon frère la fit asseoir près de lui…~ ~ ~ ~
101 XVIII|                matinée du 24 juin, mon frère vint me trouver. Il me parut
102 XVIII|             monde. »~ ~ ~J’attirai mon frère dans mes bras, et lui dis :~ ~ ~«
103 XVIII|                        Oui, répond mon frère.~ ~ ~– Myra Roderich, consentez-vous
104   XIX|                Il va sans dire que mon frère et Myra avaient abandonné
105   XIX|         envolât vers Ragz, près de mon frère et de sa femme, ensemble,
106   XIX|               J’écrivis aussitôt à mon frère dans ce sens. Mais, au moment
107   XIX|            mienne. Dans sa lettre, mon frère m’annonçait, en effet, une
108   XIX|            affection que j’ai pour mon frère étant connue du lecteur,
109   XIX|                yeux.~ ~ ~ ~Depuis, mon frère et Myra n’ont pas plus d’
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