Chap.

 1     I|            moi, le grand frère, qui avais dû faire l’éducation de
 2     I| dispositions pour la peinture, je l’avais poussé vers cette carrière,
 3     I|     appelait en Hongrie.~ ~ ~ ~Je n’avais point à m’inquiéter de la
 4    II|         considérer ce personnage, j’avais lieu de penser que c’était
 5   III|             m’attendait, comme je l’avais pensé, au débarcadère et
 6   III|        futur beau-frère. »~ ~ ~Je n’avais pas remarqué un officier
 7   III|                Oui, Henri, car je l’avais déjà plusieurs fois rencontré
 8   III|        autant plus volontiers que j’avais déjà rencontré Myra dans
 9   III|    Naturellement, les paroles que j’avais cru entendre au moment où
10   III|           persistais à croire que j’avais été dupe d’une illusion.
11   III|          toucher un mot de ce que j’avais appris relativement à Wilhelm
12   III|    hongroise à la rive serbienne… J’avais un but en la prolongeant
13   III|         monde artiste avec lequel j’avais de fréquents rapports. Nous
14   III|               J’informai Marc que j’avais apporté tous les papiers
15   III|      Obsession ?… Les paroles que j’avais cru entendre à bord de la
16    IV|            datât de la veille. Je n’avais donc plus à connaître aucun
17    IV|          que je serais à Ragz, si j’avais pris la poste après Vienne.
18     V|           ce Wilhelm Storitz dont j’avais dit un mot à mon frère.
19     V|             Mais, de mon côté, je l’avais reconnu, et, lorsqu’il se
20    VI|             quai Batthyani.~ ~ ~ ~J’avais cru devoir ne rien dire
21    VI|        Monsieur Roderich, dis-je, j’avais eu connaissance de cette
22    VI|           dans quelles conditions j’avais rencontré Wilhelm Storitz
23   VII|          écoulé. Pour mon compte, j’avais éprouvé un plaisir des plus
24   VII|             de même. Vraiment, si j’avais pu le craindre, si quelques
25   VII|           moi, je me demandais si j’avais bien toute ma raison et
26  VIII|                     J’estimai que j’avais plutôt à jouer le rôle d’
27    IX|             maison Storitz.~ ~ ~ ~J’avais pensé que ce belvédère servait
28     X|     capitaine Haralan convint que j’avais raison, et il fut convenu
29    XI|     capitaine Haralan sentait que j’avais raison. Toutefois, il ne
30    XI|           ces paroles menaçantes. J’avais reconnu sa voix dans le
31   XII|            il m’avait devancé. Je n’avais pas fini de m’habiller lorsqu’
32  XIII|    sérieusement une hypothèse que j’avais, au premier abord, repoussée
33  XIII|           étaient chers.~ ~ ~ ~Je n’avais pas encore fait, je le confesse,
34   XIV|        vérité, attendu que, si je l’avais su, j’aurais pu en faire
35   XIV|           Le 12, dans la matinée, j’avais quitté l’hôtel pour aller
36   XIV|              c’est lui ! »~ ~ ~Je n’avais pas eu le temps de me retourner
37    XV|            en ville. Ainsi que je l’avais supposé, un certain nombre
38    XV|          prolongea plus que je n’en avais l’intention. Les horloges
39    XV|                Ainsi donc, ce que j’avais prévu se réalisait. Storitz
40   XVI|        demeurait inexplicable. Je n’avais pas, en effet, quitté la
41 XVIII|      Stepark avait commis, et que j’avais, moi, laissé commettre,
42   XIX|           les événements auxquels j’avais été mêlé, pour que mes préoccupations
43   XIX|          facultés de logicien, je n’avais jamais songé à rapprocher