Chap.

 1     I|     de notre père et de notre mère, et c’était moi, le grand
 2   III|  français, comme son père, sa mère, sa sœur, qui avaient voyagé
 3   III|      sans doute, d’en être la mère.~ ~ ~– Elle ! l’excellente
 4    IV|      toute la tendresse d’une mère sage et prévoyante.~ ~ ~ ~
 5    IV|       nature !~ ~ ~ ~Comme sa mère, Myra Roderich portait le
 6    IV|       un peu haut.~ ~ ~– Oh ! mère, cent soixante marches seulement !…~ ~–
 7    IV|    Haralan. Mais reste, chère mère, nous te retrouverons dans
 8     V|       nous arriverons chez ma mère, juste pour l’heure du déjeuner. »~ ~ ~
 9     V|     de bienfaisance.~ ~ ~– Ma mère et ma sœur ne font que ce
10     V|      tête solide – mais votre mère… votre sœur…~ ~ ~– Oui,
11    VI|       à ton affection pour ta mère, pour moi, pour ta sœur,
12   VII|     la police. Songez à votre mère, à votre sœur.~ ~ ~– Ne
13   VII| puissent rêver un père et une mère n’est-il pas celui de leurs
14  VIII|       était restée près de sa mère, dangereusement impressionnée
15  VIII|      s’efforce de rassurer sa mère, plus frappée qu’elle. J’
16     X|   inutile d’en parler à votre mère et à votre sœur. À quoi
17    XI|     devant elle, ni devant sa mère.~ ~ ~ ~J’étais son confident.
18    XI|  séparer de son père et de sa mère serait pour elle un trop
19    XI|       pour Myra, son père, sa mère et un ami de la famille,
20    XI|      En qualité de père et de mère, M. et Mme Roderich vinrent
21   XII| entrant dans le salon avec sa mère, elle vint vers moi et me
22  XIII|      suis là… près de toi… ta mère… »~ ~ ~La jeune fille ne
23   XIV|   Elle ne reconnaissait ni sa mère, ni Marc, qui fut bientôt
24   XVI|     traversé la chambre de sa mère, descendu l’escalier, sans
25  XVII|       Où est maman ?~ ~ ~– Ta mère se porte bien, mon enfant,
26 XVIII|  montât dans la chambre de sa mère. Mieux valait que Mme Roderich
27 XVIII|       Mme Roderich, la pauvre mère agenouillée, implorant du