Chap.

 1     I|        raison de le raconter ? N’est-il pas de ces choses qu’il
 2     I|        la prendre pour modèle, n’est-il pas vrai, et de la transporter
 3     I|          mon cher Vidal.~ ~ ~– N’est-il pas mort ?~ ~ ~– Oui, il
 4    II|          intelligence. Peut-être est-il un peu trop content de lui-même,
 5   III|      paru nous apercevoir.~ ~ ~– Est-il en ce moment à Ragz ?~ ~ ~–
 6    IV|          revenir à notre Danube, est-il assez animé en ce moment !…
 7    VI|         pied.~ ~ ~– À pied… Mais est-il nécessaire d’aller si loin ?
 8   VII|          écria-t-il. Comment s’y est-il pris, je l’ignore. Il ne
 9   VII|      rêver un père et une mère n’est-il pas celui de leurs enfants ? »~ ~ ~
10  VIII|        de la Prusse méridionale, est-il venu s’établir en ce pays
11  VIII|        compatriotes ? Pourquoi s’est-il renfermé avec un vieux serviteur
12    IX|     avant de sortir.~ ~ ~– Aussi est-il possible qu’il rentre, répétai-je,
13    XI|         pas reparu à Ragz.~ ~ ~– Est-il encore à Spremberg ?~ ~ ~–
14  XIII|      même qu’elle est invisible, est-il donc impossible de la saisir ?
15    XV| Spremberg, interrogeait Hermann, est-il donc absolument nécessaire ?~ ~ ~–
16   XVI|   chambre, comment l’expliquer ? Est-il possible qu’elle ait quitté
17   XVI|       brève :~ ~ ~« Quelle heure est-il ?~ ~ ~– Neuf heures et quart »,
18   XVI|      lèvres :~ ~ ~« Quelle heure est-il, Armgard ?~ ~ ~– Dix heures
19  XVII| paraissez surpris de me voir. Qu’est-il donc arrivé ?… Pourquoi