Chap.

 1   III|     tous deux en bonne santé, n’est-ce pas ?… Si je ne me trompe,
 2   III|       dernier.~ ~ ~– Le sien, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Le sien, et
 3   III|        trouve plus en France, n’est-ce pas, Marc !~ ~ ~– Plaisante !…
 4   III| après-demain ou même ce soir, n’est-ce pas ?… Sois rassuré, mon
 5   III|        tienne eût été agréée, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Quatre ou cinq
 6   III|   chance.~ ~ ~– Pourquoi cela ? Est-ce que sa réputation ?…~ ~–
 7    VI|        refus catégorique.~ ~ ~– Est-ce la personne ou la situation
 8   VII|       approché de moi.~ ~ ~« Qu’est-ce donc ? lui demandai-je.~ ~ ~–
 9  VIII|         Parlez, mon cher Vidal. Est-ce votre ventriloque qui a
10  VIII|     serons à la maison Storitz. Est-ce convenu ?~ ~ ~– C’est convenu »,
11     X|      répondre en effet ?…~ ~« N’est-ce pas ce misérable, continua-t-il,
12    XI|      vous nous accompagnerez, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Certes !… À
13   XIV|       Frappons !… Tuons !… Mais est-ce possible ?… Ce monstre,