Partie

 1     1|          Il était près de huit heures lorsque Michel Berthier-Lautrec
 2     1|   jours après, le 12, à quatre heures du soir, il embarquait sur
 3     1|       deuxième étape de quatre heures, à travers un pays moins
 4     1|     Narinda. »~ ~Quarante-huit heures après, nos deux voyageurs
 5     1|       jour n’est pas divisé en heures, mais simplement en six
 6     1|   anéantissement.~ ~Vers trois heures du matin, elle sortit brusquement
 7     1|       vous verrez ! »~ ~À cinq heures du matin, elle pria Michel
 8     1|       jusqu’au matin.~ ~À huit heures, dans une suprême poussée
 9     1|    Fût-il arrivé quarante-huit heures plus tôt, le docteur Hugon
10     1|    venait s’asseoir de longues heures, rêvant au passé, tout au
11     1|        c’était alors, dans ces heures de détente et d’intimité,
12     1|    dangers.~ ~En moins de deux heures tout fut réglé, les vingt
13     2|        façon de penser.~ ~Deux heures après, plus furieux que
14     2|      la glace qui, pendant les heures chaudes de l’après-midi,
15     2|  Tamatave ; soit quarante-huit heures de perdues pour aller confier
16     2|       en moins de vingt-quatre heures autant d’hommes et autant
17     2|  allaient être châtiés ; à six heures et demie, annoncés par une
18     2|       du baraquement entre dix heures du matin et trois heures
19     2|       heures du matin et trois heures de l’après-midi, temps réservé
20     2|  combat n’avait duré que trois heures. De notre côté pas de tués,
21     2|  original et curieux.~ ~À neuf heures, le lendemain matin, le
22     2|        insuffisant à certaines heures pour empêcher l’humidité
23     2|    moments sont de sept à neuf heures le matin, et le soir de
24     2|    matin, et le soir de quatre heures et demie à six.~ ~Personnellement
25     2|       en moins de vingt-quatre heures.~ ~Marguerite fut atterrée
26     2|   minute pendant ses dernières heures, écoutant le cœur serré
27     2|        Le 14 septembre, à cinq heures et demie du matin, le premier
28     2|     eux-mêmes consacraient six heures par semaine au maniement
29     2| Tananarive. Or, hier 30, à six heures du soir, nos couleurs nationales
30     2|     ordinaire. Commencée à six heures, l’affaire ne s’est terminée
31     2|     loin maintenant. En quatre heures nous pourrions y être. Seulement
32     2|    vive force. »~ ~Il est cinq heures du matin. Les deux brigades
33     2|       qui arrive. Il est trois heures. Le bombardement commence.
34     2|        heure, c’est-à-dire à 3 heures 45, aucun parlementaire
35     2|      est l’inconnu.~ ~Il est 3 heures 40. Cinq minutes encore,
36     2|         Suberbie.~ ~Il est six heures ; nous sommes harassés de
37     2|   trouve déjà sur pied. À sept heures du matin, nous nous portons
38     2|       entrée solennelle à huit heures. Les troupes, entrées la
39     2|       Résidence générale. Huit heures ! le général Duchesne, précédé
40     2|     assiste M. Ranchot. À cinq heures, tout est convenu et le
41     2|     Quelle heure est-il ? Deux heures. Bon ! je sais où je vais
42     2|      le plus désintéressé. Aux heures critiques du débarquement
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