Partie

 1     2|        qui auraient le moins de malades qui seraient les mieux notés ;
 2     2|   terrifiaient. L’affluence des malades fournis par les corps d’
 3     2|        se dévouer à ces pauvres malades, s’employer à les soigner,
 4     2|          à eux seuls, loger dix malades, chacun dans sa chambre. –
 5     2|    Pensez donc à ces convois de malades qui arrivent tous les jours
 6     2|   Confiez-nous donc ceux de vos malades en voie de guérison qu’un
 7     2|  partant pour l’intérieur et de malades ou de convalescents redescendant
 8     2|        que là-bas de malheureux malades voyaient leur état s’aggraver
 9     2|      art de faire oublier à ses malades qu’ils étaient des malades ;
10     2|      malades qu’ils étaient des malades ; s’ingéniant à écarter
11     2|      gai surtout pour ses chers malades.~ ~La première fois que
12     2|    mettre des fleurs auprès des malades, que rien n’était plus mauvais
13     2|       eux l’avaient jamais été, malades et convalescents se rétablissaient
14     2|         heureuse pour ses chers malades qu’elle allait pouvoir gâter
15     2| ménagements dont la plupart des malades avaient encore besoin.~ ~
16     2|     Quant aux dons destinés aux malades, ils sont adressés aux médecins-chefs
17     2|       frais. L’encombrement des malades et des indisponibles ne
18     2|        à ce lamentable stock de malades. Ce corps du Génie méritera
19     2|       Encadrant ce groupe, huit malades en tenue de service, l’arme
20     2|        suivi de tous les autres malades, et c’était un spectacle
21     2|         le docteur Hugon et les malades défilèrent en jetant l’eau
22     2|      pleine, du haut en bas, de malades et de convalescents ; mais,
23     2| ambulance de Maevasamba, où nos malades et nos blessés ont trouvé
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