Chap.

  1     I|        extrémités serait enviée par plus d’une belle dame.~ ~ ~ ~
  2     I|             des caractères beaucoup plus rigides que le mien.~ ~ ~ ~
  3     I|             tante était la femme la plus désagréable que j’aie jamais
  4     I|         vivions dans l’isolement le plus complet. Ma tante allait
  5     I|       quelquefois à C…, la ville la plus voisine du Buisson. Je désirais
  6     I|           et c’était là le point le plus grave, la faculté du raisonnement
  7     I|             froissaient souvent ses plus chères opinions.~ ~ ~ ~C’
  8     I|            fureur ; fureur d’autant plus grande qu’elle n’osait rien
  9     I|  impertinence, il avait pour moi la plus grande affection. Je n’étais
 10     I|        était devenue promptement la plus douce chose de sa vie, la
 11     I|          car, quoiqu’ils fussent le plus courts possible, ils étaient
 12     I|            et les choses n’allaient plus si bien. C’était l’heure
 13     I|   découverte, tout en me le rendant plus cher, car j’étais moi-même
 14     I|          désir de la mort pour voir plus tôt le souverain des mondes
 15     I|           sincèrement que ce fût le plus tard possible.~ ~ ~ ~J’avoue
 16     I|       exaltait, les aimait d’autant plus, sans doute, que, le cas
 17     I|          que Porsenna n’en était ni plus ni moins vivant, et que
 18     I|          jour, que la raison est la plus belle faculté de l’homme.~ ~ ~–
 19     I|             cérémonieux en était la plus vive manifestation, et j’
 20    II|           antipathie était d’autant plus singulière que François
 21    II|             Le jour dont j’ai parlé plus haut, je devais réciter
 22    II|             qui reposaient beaucoup plus sur une impression que sur
 23    II|          mort de mon oncle, pour ne plus jamais y entrer ; elle sentait
 24    II|           et donnait sur le coin le plus sauvage du jardin ; puis
 25    II|         question les pronostics les plus désastreux. Petite effrontée !
 26    II|       disait Suzon, la petite n’est plus une enfant. Si vous la brutalisez,
 27    II|           verrons… Je ne la battrai plus, mais…~ ~ ~ ~Elles s’éloignaient,
 28    II|             grogna Suzon ; il n’y a plus d’enfant, ma parole ! Allez
 29    II|           résolution immuable de ne plus me laisser battre, de ne
 30    II|            me laisser battre, de ne plus avoir peur de ma tante et
 31    II|            Je sentis que je n’étais plus la même personne et m’endormis
 32   III|         Holopherne était infiniment plus agréable que ma tante, et
 33   III|          fâcher, Reine.~ ~ ~– C’est plus qu’une révolte, répliquai-je
 34   III|             ce point. J’ai beaucoup plus d’esprit qu’elle…~ ~ ~ ~
 35   III|      reprends : ayant donc beaucoup plus d’esprit que ma tante, il
 36    IV|           fidèle ! confident de mes plus secrètes pensées !~ ~ ~ ~
 37    IV|            toute leur vie pour leur plus grande gloire et le bonheur
 38    IV|            avec un plaisir d’autant plus vif qu’elle n’y comprend
 39    IV|      personnel, pour ne pas dire un plus gros mot, tient la plus
 40    IV|             plus gros mot, tient la plus grande place dans la plupart
 41    IV|            terreurs je ne cherchais plus à modérer ma loquacité devant
 42    IV|         antiques dont il ne pouvait plus craindre l’esprit entreprenant, –
 43    IV|                  Et, m’adressant la plus belle de ses révérences,
 44    IV|        sottises ?… Allons ! je n’ai plus de ressource que dans Suzon ;
 45    IV|          adoucissement pour arriver plus vite à mon sujet, j’ai envie
 46    IV|          son balai, prit son air le plus rébarbatif, et me répondit
 47     V|         Perrine s’occupant beaucoup plus de sa vache que de mes inspirations.~ ~ ~ ~
 48     V|              et me demanda, avec le plus grand intérêt, comment cet
 49     V|        mérite.~ ~ ~ ~Le curé ne dit plus rien ; il me fit un petit
 50     V|            être affreuse.~ ~ ~– Pas plus qu’à l’ordinaire, dit ma
 51     V|             d’aller me coucher sans plus tarder ; ce que je fis avec
 52     V|          attendrissement ; d’autant plus humiliée que je ne savais
 53     V|           Si ma tante ne me battait plus, elle se dédommageait en
 54     V|          jolie, et j’avais beaucoup plus de confiance dans mon opinion
 55     V|         dans ses cheveux, lesquels, plus ébouriffés que jamais, produisaient
 56     V|        secret et que je ne pourrais plus continuer mes chères lectures.~ ~ ~ ~
 57     V|         vous ! un petit avorton pas plus haut que la cheminée !~ ~ ~–
 58     V|           taille était certainement plus exiguë que la mienne.~ ~ ~ ~
 59     V|        douceur m’attendrit d’autant plus que je n’avais pas la conscience
 60     V|             mienne ! Elle ne me bat plus, c’est vrai, mais elle me
 61     V|    intervalle, avec la pensée de la plus belle fille de France.~ ~ ~–
 62     V|       seulement le curé ne songeait plus à me gronder, mais qu’il
 63     V|            arriva quelques semaines plus tard au Buisson. Un de ces
 64    VI|          lieu sanctifié pour monter plus tôt au ciel ; l’autel était
 65    VI|            de donner, elle avait la plus mince considération pour
 66    VI|           elle pourrait être un peu plus élevée, mais il ne faut
 67    VI|     Michel-Ange qu’il n’eût pas été plus heureux.~ ~ ~ ~Il ne songeait
 68    VI|           prix qu’on me demande est plus élevé que je ne l’avais
 69    VI|             il se promit bien de ne plus jamais aborder devant moi
 70    VI|           dès cet instant, j’eus la plus favorable opinion de son
 71    VI|            rien comparé, j’avais la plus grande confiance en moi-même,
 72    VI|           annihile les facultés les plus brillantes et rend stupide
 73    VI|             rend stupide l’homme le plus supérieur.~ ~ ~ ~Néanmoins,
 74    VI|            pour dérider l’esprit le plus morose. Il était grand,
 75    VI|            M. de Conprat, le visage plus épanoui que jamais. C’est
 76    VI|             charmés le spectacle le plus réjouissant.~ ~ ~– Bravo !
 77    VI|          gens malheureux le sont le plus souvent par leur faute,
 78    VI|             physionomie qui n’était plus du tout gracieuse, la carcasse
 79    VI|       peut-être ne vous plairais-je plus si vous me connaissiez mieux.
 80    VI|             je ne me connais pas le plus petit vice.~ ~ ~– Aimer
 81    VI|   ravissante ! Jamais je n’ai vu de plus beaux yeux et une plus jolie
 82    VI|           de plus beaux yeux et une plus jolie bouche !~ ~ ~– Quel
 83   VII|             éveillée, m’a laissé le plus doux souvenir. C’est même
 84   VII|            à une bouche qui m’avait plus, à des yeux qui m’avaient
 85   VII|             et que l’amour était la plus charmante chose du monde.
 86   VII|            transporta de la joie la plus vive. D’abord, parce que
 87   VII| inexpérience complète, n’allait pas plus loin et suffisait simplement
 88   VII|      devinez quelle est la chose la plus ravissante sur la terre ?~ ~ ~–
 89   VII|             et ils ne pouvaient pas plus ne pas aimer que moi je…~ ~ ~–
 90   VII|             bien l’amour ; c’est la plus charmante chose du monde !
 91   VII|               Je vous promets de ne plus parler de l’amour, monsieur
 92   VII|             Et Reine de Lavalle non plus. J’irai vous donner une
 93   VII|            se termina la dispute la plus grave que j’aie jamais eue
 94   VII|               La petite ne voudrait plus revenir ici.~ ~ ~– C’est
 95   VII|    considération dont on s’occupera plus tard. Ensuite, elle est
 96   VII|       reprit ma tante de sa voix la plus sèche, mêlez-vous de ce
 97   VII|             que, si je n’ai pas agi plus tôt, c’est que j’étais aveuglé
 98   VII|      devenir si nous ne nous voyons plus ?~ ~ ~– Vous avez entendu
 99   VII|   dangereusement malade. Cinq jours plus tard, la mort frappait à
100  VIII|             conduire quelques jours plus tard à C…, espérant être
101  VIII|         laquelle, comme je l’appris plus tard, il énumérait mes qualités,
102  VIII|            Vous n’oublierez pas non plus mes conseils. Méfiez-vous
103  VIII|            bout de chemin pour être plus longtemps ensemble.~ ~ ~–
104  VIII|           par une malle qui n’avait plus de serrure, de l’autre par
105  VIII|             paquets, de la forme la plus bizarre, confectionnés par
106  VIII|         était non seulement dans la plus violente agitation, mais
107  VIII|            aurait cru, quinze jours plus tôt, que mes rêves se réaliseraient
108  VIII|        pieds, il me dit :~ ~ ~– Pas plus haute qu’une elfe, mais
109  VIII|           vache que je n’aurais pas plus de chagrin en vous quittant.~ ~ ~–
110  VIII|      lesquelles, je le crains bien, plus d’un mécréant au parler
111  VIII|          visage, ce qui frappait le plus chez lui, c’était sa bouche.
112  VIII|          mieux dire, on ne trouvait plus rien de vulgaire en lui,
113  VIII|      produisaient un effet d’autant plus singulier qu’elles étaient
114  VIII|        physique. Mais, s’il n’avait plus la vivacité de repartie
115  VIII|             je le regardais avec le plus grand intérêt. Lui, de son
116  VIII|           prit un journal et ne dit plus un mot jusqu’à notre arrivée
117  VIII|          dis-je, si vous vouliez ne plus lire, nous pourrions causer
118  VIII|           de mœurs que je commence, plus intéressante que celle concernant
119  VIII|         très agréable et m’a battue plus d’une fois. Demandez au
120  VIII|          développée, elle eût porté plus de dix-huit ans si sa bouche,
121  VIII|        menaçait de trop s’accentuer plus tard, n’avait eu des mouvements
122  VIII|              Seulement, ayez un peu plus de respect pour la mémoire
123  VIII|           curé, ce soir-là, n’était plus dans mes souvenirs qu’un
124    IX|        Figurez-vous que le ciel est plus beau ici qu’au Buisson,
125    IX|        Buisson, que les arbres sont plus grands, que les fleurs sont
126    IX|         grands, que les fleurs sont plus fraîches, que tout est plaisant,
127    IX|             quelques centimètres de plus à ma hauteur, je vous demande
128    IX|             mon cher curé, beaucoup plus grand que vous ne vouliez
129    IX|           seulement je ne possédais plus un sou, mais j’étais fortement
130    IX|            le curé, que je n’aurais plus qu’une chose à faire : ou
131    IX|         chose est en ordre dans ses plus petits détails et vraiment
132    IX|         idée qu’elle avait beaucoup plus d’expérience que moi, tout
133    IX|                  Aussi belle que la plus belle des héroïnes de Walter
134    IX|     question ! Je crois bien, et le plus tôt possible. J’adore les
135    IX|            hommes, je les aime bien plus que les femmes, excepté
136    IX|         fille qui ne m’intimiderait plus jamais.~ ~ ~– Personne ne
137    IX|        enthousiasme ; mais c’est la plus belle des institutions qui
138    IX|            nous protestâmes avec la plus grande énergie.~ ~ ~– Quelle
139    IX|            Je désire que ce soit le plus tôt possible.~ ~ ~– Reine !
140     X|          mon oncle.~ ~ ~– Raison de plus pour ne pas le dire.~ ~ ~–
141    XI|        nouveau, que ma bouche était plus fraîche et que mon teint
142    XI|                  J’appris ce projet plus tard, en même temps que
143    XI|             découvrir si j’avais eu plus d’expérience.~ ~ ~ ~En général,
144    XI|      drolatiques qu’il possédait au plus haut degré en faisaient
145    XI|               disais-je. L’arbre le plus laid est encore mieux que
146    XI|          Junon n’est pas mille fois plus belle en réalité que sur
147    XI|           discussion sur un terrain plus élevé que celui des intérêts
148    XI|        répondait lentement, avec la plus grande tranquillité :~ ~ ~–
149    XI|           prétendait que rien n’est plus fourbe et plus canaille
150    XI|           rien n’est plus fourbe et plus canaille qu’un paysan. Aussi,
151    XI|            moins nous n’entendrions plus parler politique. Deux choses
152   XII|       cotillon provoqua chez moi le plus vif enthousiasme, et quand
153   XII|             de prendre une attitude plus respectueuse.~ ~ ~– Mais,
154   XII|             est de l’hypocrisie, ni plus ni moins.~ ~ ~– Au nom du
155   XII|      simples individus seraient-ils plus dignes que des ministres
156   XII|          pas m’écouter, vous n’irez plus dans le monde.~ ~ ~– Oh !
157   XII|             âge, la feraient passer plus tard pour…, hum !~ ~ ~–
158  XIII|            dire par là que je n’aie plus commis de sottises, oh !
159  XIII|       paroles étaient jugés avec la plus grande indulgence. Milieu
160  XIII|           ignorent les plaisirs les plus fins, les plus délicats.
161  XIII|         plaisirs les plus fins, les plus délicats. À mes yeux, ils
162  XIII|        cornichon…, de melon tout au plus.~ ~ ~ ~Pendant que je me
163  XIII|            idée de trouver un homme plus charmant que Paul de Conprat.~ ~ ~ ~
164  XIII|           étant blasés dès l’âge le plus tendre, et trouvant extrêmement
165  XIII|                Blanche de Pavol est plus belle, cependant.~ ~ ~–
166  XIII|         Néanmoins, comme rien n’est plus versatile qu’un esprit de
167  XIII|      pendant lesquels l’individu le plus placide ressent un désir
168  XIII|         lancer mes projectiles avec plus de force.~ ~ ~– Est-ce une
169  XIII|           mais je l’écoutai avec la plus grande impassibilité, un
170   XIV|           mes ennuis. Je ne pouvais plus entendre parler de mariage
171   XIV|          fois !~ ~ ~– Ne m’en parle plus, je t’en prie, cela me fatigue,
172   XIV|         réunissant les qualités les plus rares, les plus extraordinaires,
173   XIV|        qualités les plus rares, les plus extraordinaires, les plus
174   XIV|           plus extraordinaires, les plus complètes, se mit tout à
175   XIV|            j’entendais me marier le plus tôt possible.~ ~ ~ ~Mon
176   XIV|       compté ses cheveux, il n’en a plus que quatorze à vingt-six
177   XIV|        Ensuite, c’est la nullité la plus parfaite. Une fois marié,
178   XIV|         dans les bois en proie à la plus violente agitation.~ ~ ~–
179   XIV|        Regrettez-vous qu’il n’y ait plus de soirées, mademoiselle ?~ ~ ~–
180   XIV|            avec lequel, de l’air le plus impertinent du monde, je
181   XIV|           la Tartarie, qui m’offrit plus de ressources. Jusqu’à minuit,
182   XIV|              mademoiselle, c’est la plus intelligente des distractions.~ ~ ~–
183   XIV|           de Nasr-Oullah pour faire plus d’effet, pensant que l’ombre
184   XIV|             offrant l’expression du plus complet effarement, et Blanche
185   XIV|           vers, car, à mes yeux, la plus charmante position dans
186   XIV|           il s’en alla et ne revint plus.~ ~ ~ ~Mon oncle se fâcha,
187    XV|            loin, mais bonne tout au plus à mettre dans un cerisier
188    XV|              j’entends, car je suis plus jolie que jamais, – une
189    XV|         petite vieille qui ne croit plus à rien, qui n’espère rien,
190    XV|      personne morale, dis-je, n’est plus qu’un squelette, un arbre
191    XV|              J’en tremble ! N’avoir plus la moindre illusion à seize
192    XV|        geignant à chaque pas.~ ~ ~– Plus que six cents à monter pour
193    XV|          avais des choses cent fois plus intéressantes à observer
194    XV|            n’avoir pas vu son amour plus tôt ! Il s’extasiait sur
195    XV|            n’est rien, n’en parlons plus.~ ~ ~ ~Blanche passe la
196    XV|           soutient que je l’aimerai plus tard ; que, du reste, l’
197   XVI|           du jour où elle ne le vit plus, sembla presque décidée
198   XVI|             dire que la vie n’étant plus supportable loin de l’homme
199   XVI|            l’homme que j’aimais, le plus simple était de m’en aller
200   XVI|          oncle. »~ ~ ~Je ne croyais plus comme autrefois qu’on pût
201   XVI|            cheveux blancs n’étaient plus ébouriffés comme jadis,
202   XVI|             que rien au monde n’est plus inconvenant que de pleurer
203   XVI|             peines, lui ne songeait plus à déjeuner et me contemplait
204   XVI|            à vous dire ! Ce ne sont plus les petits péchés d’autrefois
205   XVI|             ai écrit que je n’étais plus qu’un squelette, et c’est
206   XVI|          fâcheuses. Il abandonna au plus vite le sujet hérissé de
207   XVI|             à la portière pour voir plus longtemps mon vieux curé,
208  XVII|             le trouverais charmant, plus séduisant que jamais. Ô
209  XVII|               et, quelques secondes plus tard, on introduisait près
210  XVII|          question.~ ~ ~ ~Je ne suis plus désespérée, je n’ai plus
211  XVII|            plus désespérée, je n’ai plus envie de mourir, mon curé.
212  XVII|      exister, et que la mort est la plus stupide invention du Créateur.~ ~ ~ ~
213  XVII|        jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus courir, et je danse dans
214  XVII|           aime aujourdhui dix fois plus qu’à l’ordinaire. Votre
215  XVII|         excellente figure me paraît plus riante que jamais, votre
216  XVII|             jamais, votre affection plus touchante, plus aimable,
217  XVII|           affection plus touchante, plus aimable, vos beaux cheveux
218  XVII|            vos beaux cheveux blancs plus charmants.~ ~ ~ ~Ce matin,
219  XVII|             touchant les choses les plus laides de sa baguette magique,
220  XVII|      peut-être même l’ai-je lue pas plus tard qu’hier, mais j’étais
221  XVII|             le monde n’en irait pas plus mal, et le moral des gens
222  XVII|            et le moral des gens non plus.~ ~ ~ ~
223 XVIII|    mélancolie, car il pensait à une plus belle qu’il avait rêvé de
224 XVIII|             que son cœur ne s’égare plus.~ ~ ~– Vous pensez donc,
225 XVIII|         Décidément c’était beaucoup plus difficile à dire que je
226   XIX|           respiraient le bonheur le plus complet, n’étaient pas faites
227   XIX|           Répondez donc d’une façon plus catégorique, mon curé. À
228   XIX|             que j’en ai déjà trouvé plus de cinq cents ? »~ ~ ~Je
229   XIX|        pleine de gaieté me causa la plus violente secousse que j’
230   XIX|       banale, mais par un sentiment plus profond, quand je le vis
231   XIX|          affectueuse, particulière, plus ravissante cent fois que
232   XIX|            tant fait songer… ce fut plus fort que mon énergie, et
233   XIX|            effarouché, ravi, revint plus tard dans mes souvenirs.~ ~ ~–
234   XIX|            avais connu votre secret plus tôt, je ne serais pas resté
235   XIX|       innocemment.~ ~ ~– Rien n’est plus vrai, chère petite fiancée :~ ~ ~ ~
236   XIX|        croire : je ne sache pas non plus que les limaçons aient jamais
237   XIX|            vous n’en paraissiez que plus charmante.~ ~ ~– Et le couvert
238   XIX|          comme une fleur qui semble plus jolie, plus délicate, parce
239   XIX|        fleur qui semble plus jolie, plus délicate, parce que le terrain
240   XIX|            certain, vous ne l’aimez plus du tout, du tout ?~ ~ ~–
241   XIX|            image de Blanche ne vint plus jamais me troubler. Je l’
242   XIX|         Nous passions nos jours les plus agréables au presbytère,
243   XIX|          que l’amour n’était pas la plus charmante chose du monde ?~ ~ ~–
244   XIX|             céleste ne m’avait paru plus splendide. Depuis lors,
245   XIX|            tourmentée ? Mon rêve le plus cher s’accomplissait, un
246   XIX|       ouvrait devant moi, et pas la plus légère inquiétude me venait
247   XIX|           ses lèvres. Il était bien plus ému que moi, et son regard
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