Chap.

  1     I|       premier venu…, et surtout à ma tante. Du moins, telle était ma
  2     I|        rigides que le mien.~ ~ ~ ~Ma tante était la femme la plus désagréable
  3     I|           cette mort prématurée à ma tante, qui me paraissait de force
  4     I|            fort bon revenu.~ ~ ~ ~Ma tante consentit à m’élever. Elle
  5     I|              leur guise, sans que ma tante et moi nous eussions l’idée
  6     I|        isolement le plus complet. Ma tante allait quelquefois à C…,
  7     I|   quelquefois au démon tentateur. Ma tante avait pris la funeste habitude
  8     I|              ne pas faire enrager ma tante et tourmenter mon curé.~ ~ ~ ~
  9     I|        prenions nos leçons.~ ~ ~ ~Ma tante, plantée dans un fauteuil
 10     I|             merci, il connaissait ma tante de longue date.~ ~ ~ ~Nous
 11     I|           tenir assez éloignés de ma tante, qui trônait près de la
 12     I|              éclat de rire. Alors ma tante s’écriait :~ ~ ~– Sotte !
 13     I|          derniers ressemblaient à ma tante…, ou que ma tante leur ressemblait,
 14     I| ressemblaient à ma tante…, ou que ma tante leur ressemblait, comme
 15    II|                              II~ ~Ma tante me brutalisait quand j’étais
 16    II|            ma manière d’être avec ma tante.~ ~ ~ ~En ce temps-là, le
 17    II|          possession d’un curé, d’une tante, de poules et de lapins
 18    II|           juge les femmes d’après ma tante, je crois que j’aurais une
 19    II|       miaulement désespéré.~ ~ ~ ~Ma tante, qui dormait, se réveilla
 20    II|                Qu’y a-t-il ? cria ma tante en transperçant son chignon
 21    II|              Que dit-elle ? rugit ma tante, qui, m’écoutant attentivement
 22    II|         encore quitté la cour que ma tante s’élançait sur moi, et me
 23    II|         doigts secs et maigres de ma tante avaient laissé des marques
 24    II|            reconnaître la voix de ma tante qui causait avec Suzon.
 25    II|         Suzon avait été l’amie de ma tante avant de devenir sa cuisinière.
 26    II|              si elle pardonnait à ma tante personnellement son élévation
 27    II|        entendu ce que tu disais à ma tante tout à l’heure !~ ~ ~– Eh
 28    II|             ne plus avoir peur de ma tante et d’employer tout mon esprit
 29    II|             la nuit, je rêvai que ma tante, transformée en dragon,
 30   III|             à la maison ? demanda ma tante.~ ~ ~– Non, madame, mais
 31   III|              le potager ! exclama ma tante, qui se leva en me lançant
 32   III|            Ah ! péronnelle ! cria ma tante.~ ~ ~ ~Elle se précipita
 33   III|              aussi abominable que ma tante ?~ ~ ~– Eh bien, eh bien,
 34   III|           sabre et je décapiterai ma tante, comme Judith avec Holopherne.~ ~ ~–
 35   III|      infiniment plus agréable que ma tante, et que je me serais parfaitement
 36   III|        rassurer, je ne tuerai pas ma tante, j’ai un autre moyen pour
 37   III|        trouvée. Vous savez que si ma tante ne m’aime pas, en revanche
 38   III|           rappelez-vous que si votre tante a des défauts, vous devez
 39   III|              je déteste, j’exècre ma tante ; mes sentiments ne varieront
 40   III|        beaucoup plus d’esprit que ma tante, il me sera facile de la
 41   III|              verrons !… J’entends ma tante, elle est furieuse, car
 42   III|            sur les épaules.~ ~ ~ ~Ma tante entra comme un ouragan,
 43   III|             grand ébahissement de ma tante, qui s’était placée devant
 44   III|        exclamations furibondes de ma tante.~ ~ ~ ~Le soir, pendant
 45   III|          Misérable pécore ! hurla ma tante en s’élançant sur moi.~ ~ ~–
 46   III|            Pavol.~ ~ ~– Ah !… dit ma tante, qui resta pétrifiée, le
 47   III|            vous croira pas ! cria ma tante.~ ~ ~– Oh ! que si !… Vos
 48   III|         majestueusement, laissant ma tante s’épancher dans le sein
 49    IV|       modérer ma loquacité devant ma tante. Il ne se passait pas un
 50    IV|         expérience personnelle de ma tante, et, lorsqu’elle m’affirmait
 51    IV|   dénégations aux affirmations de ma tante.~ ~ ~ ~Le dîner du dimanche
 52    IV|           fait beau temps, disait ma tante, dont la phrase, s’il pleuvait,
 53    IV|              pas chaud, reprenait ma tante. C’est étonnant ! De mon
 54    IV|      demandais-je vivement.~ ~ ~ ~Ma tante qui prévoyait quelque impertinence,
 55    IV|              mon temps, affirmait ma tante, les jeunes filles ne parlaient
 56    IV|              dans votre jeunesse, ma tante ?~ ~ ~– Quand on m’interrogeait,
 57    IV|              ressemblaient-elles, ma tante ?~ ~ ~– Certainement, ma
 58    IV|           les sentiments amers de ma tante, refoulés par tous les efforts
 59    IV|              d’un chien », disait ma tante dans le langage harmonieux
 60    IV|             à manger ! continuait ma tante qui avait sur le cœur la
 61    IV|            Palsambleu ! s’écriait ma tante, qui avait remplacé certains
 62    IV|             le jugement porté par ma tante sur l’humanité fût absolument
 63    IV|          service, mamselle.~ ~ ~– Ma tante dit que tous les hommes
 64    IV|           mais c’est l’opinion de ma tante et je veux avoir la vôtre ?~ ~ ~–
 65     V|             lundi, jour de foire, ma tante, le curé et Suzon devaient
 66     V|      devaient aller ensemble à C… Ma tante avait décidé, comme toujours,
 67     V|           dans le pays maringote. Ma tante apparaissait en grande tenue,
 68     V|           pas de sottises, disait ma tante, et n’allez pas dans le
 69     V|         arbre ou une échelle, dit ma tante.~ ~ ~– Dans une échelle,
 70     V|            bien la peine ! reprit ma tante. Mangez votre soupe, monsieur
 71     V|                Laissez donc ! dit ma tante ; elle est mécontente parce
 72     V|            pour manifester devant ma tante un chagrin causé par elle,
 73     V|             qu’à l’ordinaire, dit ma tante.~ ~ ~ ~Le curé me regarda
 74     V|        subitement très triste. Si ma tante ne me battait plus, elle
 75     V|         opinion que dans celle de ma tante. Mais, en faisant connaissance
 76     V|            découvris l’origine de ma tante. C’était une arme contre
 77     V|           trouver chez lui, quand ma tante me dit sans préambule :~ ~ ~–
 78     V|            Il est à remarquer que ma tante ne me tutoyait jamais. Du
 79     V|             bonne farce ! s’écria ma tante. Jolie, vous ! un petit
 80     V|               répliquai-je.~ ~ ~ ~Ma tante croyait fermement avoir
 81     V|            vous ressemblait-elle, ma tante ?~ ~ ~– Beaucoup, nous étions
 82     V|             un ton pénétré.~ ~ ~ ~Ma tante lança une imprécation que
 83     V|             milieu de ma phrase : ma tante venait de casser une assiette
 84     V|                  Je ne crois pas, ma tante.~ ~ ~– Un serpent !~ ~ ~–
 85     V|             dans mon sein, répéta ma tante, qui était trop en colère
 86     V|            qui que ce soit.~ ~ ~ ~Ma tante, toujours déconcertée quand
 87     V|           songeant aux paroles de ma tante. Il est certain qu’il était
 88     V|             soit amusant d’avoir une tante comme la mienne ! Elle ne
 89     V|             curé. Pensez donc que ma tante me répète sur tous les tons
 90     V|             partager les idées de ma tante sur ce point, et se demandait
 91    VI|             ayant pas de vicaire. Ma tante entrait la première dans
 92    VI|             étaient également, et ma tante, qui seule eût pu lui venir
 93    VI|             vie représentées par une tante et l’ennui des sermons.~ ~ ~ ~
 94    VI|         perpétuellement auprès de ma tante.~ ~ ~ ~Vers quatre heures,
 95    VI|              dans la porte.~ ~ ~ ~Ma tante, Suzon, surgirent ensemble
 96    VI|        surprise en remarquant que ma tante avait une expression vraiment
 97    VI|           attendit un instant que ma tante fît la présentation. Mais
 98    VI|              du dîner approchant, ma tante invita Paul de Conprat à
 99    VI|            est qu’Héraclite ? dit ma tante.~ ~ ~– Un imbécile, madame,
100    VI|           fit les gros yeux, mais ma tante, aux prises avec le dindon,
101    VI|            il arriva un moment où ma tante, le curé et mois nous restâmes,
102    VI|             votre table ! s’écria ma tante, qui avait la spécialité
103    VI|           Pas possible ! marmotta ma tante stupéfaite.~ ~ ~– Vous semblez
104    VI|             tout était dévoré, et ma tante regardait, avec une physionomie
105    VI|          vous a permis…, commença ma tante.~ ~ ~– Oui, oui, dis-je
106    VI|            cette bonne idée, mais ma tante ne partageait pas mon avis.
107    VI|            détail, cela.~ ~ ~– Et ma tante comment la trouvez-vous ?
108    VI|          découvrir le bon côté de ma tante.~ ~ ~– Ayez un peu de philosophie
109    VI|             que vous ne soyez pas ma tante, comme nous nous aimerions !~ ~ ~–
110    VI|           déteste les gens laids, ma tante, par exemple. Mais assimiler
111    VI|           hommes, quoi qu’en dise ma tante !~ ~ ~– Madame votre tante
112    VI|           tante !~ ~ ~– Madame votre tante n’aime pas les hommes ?
113    VI|             ton mystérieux.~ ~ ~ ~Ma tante, abasourdie par mon audace,
114    VI|    affectueux au curé et remercia ma tante ; puis, arrivé à moi il
115    VI|            les deux joues, malgré ma tante, malgré le curé qui nous
116   VII|           assis à notre fenêtre ; ma tante, souffrante depuis quelque
117   VII|         ressemblaient peut-être à ma tante. D’ailleurs, je viens de
118   VII|             curé se brouilla avec ma tante, qui le mit à la porte.~ ~ ~ ~
119   VII|                Ça m’est égal, dit ma tante, qui était bien incapable
120   VII|          Monsieur le curé, reprit ma tante de sa voix la plus sèche,
121   VII|           est trop fort ! s’écria ma tante, furieuse ; ne suis-je pas
122   VII|          Pavol, et, le lendemain, ma tante, qui luttait depuis quelques
123  VIII|    immédiatement après la mort de ma tante, qui, pas une fois pendant
124  VIII|         venir m’y chercher.~ ~ ~ ~Ma tante fut enterrée sans faste
125  VIII|           satisfaire aux mânes de ma tante.~ ~ ~ ~Mon oncle avait fixé
126  VIII|          pris l’ancienne place de ma tante, écrasée d’un côté par une
127  VIII|            quelques questions sur ma tante, sur ma vie au Buisson,
128  VIII|       sapajous. Je veux savoir si ma tante avait raison ; elle prétendait
129  VIII|              sacripants.~ ~ ~– Votre tante n’avait donc pas le sens
130  VIII|           pas bien flatteuse pour ma tante de Pavol. Quand j’eus ruminé
131  VIII|            Suzon, un diminutif de ma tante pour le mauvais goût et
132    IX|           ressemblait tellement à ma tante que, séance tenante, j’ai
133     X|      affreuse vieille maison ! Et ma tante, mon curé, Suzon, le jardin
134   XII|          campagne, avec une affreuse tante qui est morte, Dieu merci !~ ~ ~–
135 XVIII|             société d’un curé, d’une tante grincheuse et d’une cuisinière
136 XVIII|              Le Maltour.~ ~ ~– Votre tante était horrible, mademoiselle,
137   XIX|             regardant en dessous, ma tante qui était horrible ?~ ~ ~–
Best viewed with any browser at 800x600 or 768x1024 on Tablet PC
IntraText® (VA2) - Some rights reserved by EuloTech SRL - 1996-2010. Content in this page is licensed under a Creative Commons License