Chap.

 1     I|      élevée.~ ~ ~ ~Près d’elle, j’avais l’air d’un puceron, d’une
 2     I|          tête aussi haut que si j’avais voulu examiner la cime d’
 3     I|        régiment de maris.~ ~ ~ ~J’avais deux ans, quand mes parents
 4     I|   déplaisait, car, même enfant, j’avais un goût inné pour l’ordre.~ ~ ~ ~
 5     I|          profondément désolé si j’avais perdu tout à coup mes habitudes
 6     I|        mes idées.~ ~ ~ ~Mais je n’avais garde, car lorsque je le
 7     I|           elle était brutale et j’avais peur des coups. Enfin, ma
 8     I|           fait les héros.~ ~ ~ ~J’avais remarqué qu’il n’aimait
 9     I|       intelligence fantaisiste, j’avais décidé que ces derniers
10     I|       souciais bien de la vie ! J’avais un curé pour exercer ma
11     I|     suffisait.~ ~ ~ ~Lorsque je l’avais bien taquiné, ennuyé, harcelé,
12     I|          vive manifestation, et j’avais des remords, jusqu’au moment
13    II|        quand j’étais enfant, et j’avais tellement peur des coups
14    II|          fort contente. D’abord j’avais seize ans ; ensuite, la
15   III|         irai avec lui.~ ~ ~ ~Je n’avais certes aucune notion sur
16   III|        âgée de six ans quand je l’avais vu pour la première et dernière
17    IV|          encore son origine, je n’avais pas tardé à découvrir qu’
18    IV|          pouvais rien répondre. J’avais assez de bon sens pour comprendre
19    IV|           air furieux, comme si j’avais appartenu à l’espèce en
20    IV|         de m’agacer énormément. J’avais conscience qu’un monde d’
21    IV|      pensant à part moi que, si j’avais été son mari, je l’aurais
22    IV|           en débarrasser.~ ~ ~ ~J’avais touché la corde sensible,
23     V|       Perth.~ ~ ~ ~De ma vie je n’avais lu un roman, et je tombai
24     V|          ne savais pas pourquoi j’avais pleuré. Était-ce de plaisir,
25     V|          pensais à Rébecca, que j’avais laissée en tête à tête avec
26     V|         trouvais très jolie, et j’avais beaucoup plus de confiance
27     V|           bibliothèque, mais je n’avais garde d’oublier la clef
28     V|          de son couteau. Ce que j’avais dit rendait mutiles les
29     V|        une meule de foin.~ ~ ~ ~J’avais le cœur un peu gros en songeant
30     V|         un peu honteuse, car je l’avais abominablement attrapé.~ ~ ~–
31     V|  attendrit d’autant plus que je n’avais pas la conscience très nette,
32    VI|           de monumental. Ce que j’avais sous les yeux était une
33    VI|        est plus élevé que je ne l’avais supposé, mais il paraît
34    VI|       frottant les mains.~ ~ ~ ~J’avais bien quelque doute sur ce
35    VI|     derrière cet horizon que je n’avais jamais dépassé, et qui me
36    VI|          voiture légère, que je n’avais pas entendue approcher,
37    VI|           par cette apparition, j’avais poussé un des battants de
38    VI|      ayant jamais rien comparé, j’avais la plus grande confiance
39    VI|      presque effacé.~ ~ ~ ~Mais j’avais beau passé en revue dans
40    VI|         étonnement.~ ~ ~– Je vous avais bien prévenus, nous dit-il
41    VI|       nous dit-il en riant, que j’avais une faim de cannibale, ce
42   VII|         sentiments.~ ~ ~ ~Quand j’avais bien pirouetté, je me jetais
43   VII|         ou légères.~ ~ ~ ~Quand j’avais permis à mon imagination
44   VII|  allégresse en songeant que, si j’avais suivi mon idée, j’aurais
45   VII|           l’aventure mémorable, j’avais perdu mes espérances, ma
46  VIII|          man cœur. Cependant si j’avais connu le mot d’un homme
47  VIII|      bouchée nous étouffait, et j’avais toutes les peines du monde
48  VIII|     allais produire sur lui, et j’avais conscience que la robe noire
49  VIII|         en lisant la lettre que j’avais apportée, jetait de temps
50  VIII|     silencieuse très longtemps, j’avais un grand nombre de questions
51  VIII|          depuis, ma foi ! je vous avais presque oubliée. Je le regrette
52    IX|    chambre, le prestige dont je l’avais parée disparut entièrement.~ ~ ~ ~
53    IX|       olympiens sur lesquels je l’avais placée, et, sous ce beau
54    IX|           mon arrivée au Pavol, j’avais beaucoup réfléchi à mon
55     X|         très vif. Dans la nuit, j’avais rêvé à Paul de Conprat,
56     X|        une robe telle que je n’en avais jamais eu ajoutait encore
57     X|        ces yeux francs auxquels j’avais tant rêvé dans mon affreuse
58     X|           à la conversation, et j’avais recouvré une partie de ma
59     X|      circulâmes dans les bois ; j’avais retrouvé ma gaieté et je
60     X|           fenêtre, ainsi que j’en avais pris l’habitude, mes rêves
61     X|          point passées comme je l’avais désiré. Qu’avais-je espéré ?
62    XI|        mon oncle prétendait que j’avais assez embelli pour qu’il
63    XI|          après le déjeuner dont j’avais parlé, j’avais décidément
64    XI|    déjeuner dont j’avais parlé, j’avais décidément découvert que,
65    XI|          facile de découvrir si j’avais eu plus d’expérience.~ ~ ~ ~
66    XI|         pu m’entendre avec lui. J’avais une antipathie invétérée
67    XI|          n’aimais pas le piano, j’avais toujours envie de crier
68   XII|    ouvrant des yeux étonnés, je n’avais pas l’intention de vous
69  XIII|       lequel, sans m’en douter, j’avais bon nombre de parents et
70  XIII|       types de Walter Scott que j’avais beaucoup admirés. Je me
71  XIII|   respectables douairières dont j’avais fait la conquête.~ ~ ~–
72  XIII|           impressions alors que j’avais pour habitude de les jeter
73  XIII|    pardons, mon oncle, je ne vous avais pas vu.~ ~ ~– Seriez-vous
74   XIV|             je récoltais ce que j’avais semé, car, dès mon entrée
75   XIV|           entrée dans le monde, j’avais eu soin de raconter à tout
76   XIV|   bibliothèque chercher ce dont j’avais besoin pour exécuter l’idée
77   XIV|          déjeunaient avec nous. J’avais le cœur serré en regardant
78    XV|                            XV~ ~J’avais tenu ma promesse au curé
79    XV|           de les réveiller, car j’avais des choses cent fois plus
80    XV|          rien du tout.~ ~ ~– Je n’avais pas pensé à cette manière
81   XVI|          replète et réjouie que j’avais guettée tant de fois par
82   XVI|          de semaines auparavant j’avais quitté l’antique masure,
83   XVI|       votre départ du Buisson ; j’avais oublié les longues journées
84   XVI|         peu rêveur, et moi, qui n’avais jamais songé en le voyant
85  XVII|        une ardeur nerveuse, car j’avais une passion pour les travaux
86  XVII|          part François 1er , je n’avais jamais vu d’homme aussi
87 XVIII|           m’avaient fatiguée et j’avais soif de solitude. Laissant
88 XVIII|          éloigné du château que j’avais choisi pour théâtre de mes
89 XVIII|         déceptions, de même que j’avais déchargé mes amertumes sur
90 XVIII|      difficile à dire que je ne l’avais supposé. Ma fierté faisait
91 XVIII| conviction très désagréable que j’avais amplement suivi l’exemple
92   XIX|           et que depuis je ne lui avais pas revue pour moi !~ ~ ~ ~
93   XIX|          Paul à mon oreille, si j’avais connu votre secret plus
94   XIX|         de timidité comme je n’en avais jamais eu, je détournais
95   XIX|          la prison où le curé les avais mis, couraient de tous côtés.~ ~ ~ ~
96   XIX|          que, sans m’en douter, j’avais jeté à tous les vents.~ ~ ~ ~
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