Chap.

 1    II|                 Est-il possible, me dis-je émerveillée, qu’il y ait
 2    II|            que ce François 1er ! me dis-je. Mais pourquoi l’auteur
 3    II|             Ceci, c’est mon secret, dis-je avec un petit sourire mystérieux.~ ~ ~ ~
 4    II| abominations ?~ ~ ~– Abominations ! dis-je scandalisée. Quoi ! monsieur
 5    II|          aux yeux.~ ~ ~– En vérité, dis-je d’une voix tremblante, j’
 6    II|         vous mettez-vous en colère, dis-je, si vous ne savez pas ce
 7    II|                Vile petite esclave, dis-je en montrant le poing à mon
 8    II|          Perrette.~ ~ ~– Suzon, lui dis-je en me plaçant devant elle
 9   III|                   Monsieur le curé, dis-je aussitôt, croyez-vous que,
10   III|          péchés.~ ~ ~– Mes péchés ! dis-je en m’arrêtant et en haussant
11   III|         Mais je parle sérieusement, dis-je en m’arrêtant un instant
12   III|             vous êtes peu logique ! dis-je. Vous trouvez superbe l’
13   III|    maintenant ?~ ~ ~– Je suis sûre, dis-je en poursuivant mon idée,
14   III|           vous laisse avec le curé, dis-je en adressant un signe d’
15   III|                    N’approchez pas, dis-je en reculant ; si vous me
16    IV|        chose très, très importante, dis-je en appuyant sur l’adverbe
17    IV|           que non.~ ~ ~– Buse ! lui dis-je, indignée de contempler
18    IV|             opinion sur les hommes, dis-je brusquement.~ ~ ~– Sur les
19    IV|           beaux et reluisants ! lui dis-je d’un air gracieux.~ ~ ~–
20    IV|            jolie dans ta jeunesse ! dis-je, en pensant à part moi que,
21     V|         arrivé.~ ~ ~– Un accident ? dis-je d’un air étonné.~ ~ ~– Votre
22     V|            rien, mon cher bon curé, dis-je en essuyant mes larmes et
23     V|            ma chaise.~ ~ ~– Voilà ! dis-je en lui passant la salière.~ ~ ~–
24     V|            dû être bien malheureux, dis-je d’un ton pénétré.~ ~ ~ ~
25    VI|       humeur de Suzon.~ ~ ~– Suzon, dis-je en entrant dans la cuisine,
26    VI|          réjouissant.~ ~ ~– Bravo ! dis-je. Mais le lait égoutté, Suzon,
27    VI|             comme un autre, Suzon ! dis-je indignée. Tu ne l’as donc
28    VI|           ma tante.~ ~ ~– Oui, oui, dis-je en l’interrompant vivement,
29    VI|                   À propos d’oncle, dis-je, vous connaissez beaucoup
30    VI|                   Je vous pardonne, dis-je avec vivacité. Ainsi, vous
31   VII|                   Monsieur le curé, dis-je, devinez quelle est la chose
32   VII|     contenance.~ ~ ~– Mon bon curé, dis-je d’un ton insinuant, si vous
33   VII|                   Monsieur le curé, dis-je d’un ton relativement humble,
34  VIII|                    Jamais, jamais ! dis-je avec élan.~ ~ ~– Vous n’
35  VIII|       quittant.~ ~ ~– Grand merci ! dis-je moitié riant, moitié pleurant.
36  VIII|           silence.~ ~ ~– Mon oncle, dis-je, si vous vouliez ne plus
37  VIII|                   Ah ! tant mieux ! dis-je en me frottant les mains.
38  VIII|         Dieu, que vous êtes belle ! dis-je en la regardant avec stupéfaction.~ ~ ~ ~
39    IX|          héroïnes de Walter Scott ! dis-je en la regardant avec admiration.~ ~ ~–
40    IX|             Me voilà très éveillée, dis-je en me redressant subitement.~ ~ ~–
41    IX|          nièce ?~ ~ ~– Le mariage ! dis-je avec enthousiasme ; mais
42    IX|             enfin, c’est mon idée ! dis-je en adressant un sourire
43     X|            Regarde quel petit pied, dis-je en tendant la jambe.~ ~ ~–
44     X|            Donnez-moi donc la main, dis-je ; vous savez bien que nous
45     X|             revenu au Buisson ? lui dis-je.~ ~ ~– Je n’ai pas été libre
46     X|                  C’est bien niais ! dis-je d’un ton bref.~ ~ ~ ~Mais
47     X|           Tu m’apprendras à danser, dis-je en sautant déjà sur ma chaise.~ ~ ~–
48     X|           belle, n’est-ce pas ? lui dis-je dans l’innocence de mon
49     X|            Quelle affreuse maxime ! dis-je avec horreur. Jamais je
50   XII|         cela, je suis de ton avis ! dis-je en l’interrompant vivement,
51   XII|                    Mais, mon oncle, dis-je en ouvrant des yeux étonnés,
52   XII|           dignité.~ ~ ~– La dignité dis-je étonnée : pourquoi faire ?~ ~ ~–
53   XIV|                 Je te jure que non, dis-je en échappant à son étreinte,
54   XIV|                    Nous verrons, me dis-je, si Le Maltour résiste à
55   XIV|             d’avis depuis hier, lui dis-je brusquement, j’aime beaucoup
56   XIV|        Pendja-Baschi, les Alamane ? dis-je tout d’un trait, confondant
57   XIV|           Jamais allé en Tartarie ! dis-je avec mépris. Connaissez-vous
58   XIV|         vers la Tartarie. Et vous ? dis-je à M. Le Maltour.~ ~ ~– Ce
59    XV|       conviens, ma personne morale, dis-je, n’est plus qu’un squelette,
60    XV|         croire une chose pareille ! dis-je en bondissant d’indignation.
61   XVI|             bon état.~ ~ ~– Allons, dis-je en me levant, je vois que
62   XVI|   rappelez-vous, monsieur le curé ? dis-je en montrant le cerisier
63   XVI|            êtes un saint, mon curé, dis-je en lui prenant la main.~ ~ ~–
64  XVII|         mais n’importe ! – un jour, dis-je, M. de Kerveloch est arrivé
65 XVIII|         cervelle !~ ~ ~– Très bien, dis-je d’un ton sec, j’irai à votre
66 XVIII|                 Je pensais à Junon, dis-je en réussissant à parler
67 XVIII|           de se brûler la cervelle, dis-je en pleurant.~ ~ ~– Le croyez-vous
68 XVIII|        homme est un vilain animal ! dis-je avec conviction.~ ~ ~ ~Mais
69 XVIII|                 C’est fort bien, me dis-je en reprenant à pas lents
70 XVIII|                  Que je vous aime ! dis-je les larmes aux yeux en lui
71   XIX|            l’amour attire l’amour ? dis-je innocemment.~ ~ ~– Rien
72   XIX|            poète dans votre voyage, dis-je en souriant.~ ~ ~– Non,
73   XIX|            loyauté ?~ ~ ~– Oh ! si, dis-je en croisant mes mains sur
74   XIX|             peu discret, mon oncle, dis-je en rougissant.~ ~ ~– C’est