Chap.

 1   III|            Rien du tout. Quand vous êtes parti, elle m’a appelée
 2   III|        sourire. Alors, puisque vous êtes une sainte, prenez vos ennuis
 3   III|            se place.~ ~ ~– Que vous êtes peu logique ! dis-je. Vous
 4   III|         aime de tout mon cœur, vous êtes même la seule personne que
 5   III|            vous savez bien que vous êtes de mon avis.~ ~ ~– Quelle
 6    IV|           beau lecteur, que si vous êtes de bonne foi, ce qui n’est
 7    IV|        grande confiance.~ ~ ~– Vous êtes comme François 1er , vous
 8     V|         écria le curé désolé ; vous êtes tombée sur la tête ?~ ~ ~ ~
 9     V|          préambule :~ ~ ~– Que vous êtes laide ce matin, Reine !~ ~ ~ ~
10     V|  méchancetés envers moi.~ ~ ~– Vous êtes un serpent ! cria-t-elle
11     V|           Est-ce pour cela que vous êtes si triste, mon bon petit
12     V|             grande faute. Vous vous êtes introduite dans la bibliothèque
13    VI|      quelquefois du bon.~ ~ ~– Vous êtes plein de bienveillance,
14    VI|            Jolie, ma cousine ! vous êtes ravissante ! Jamais je n’
15   VII|           mon mari, tandis que vous êtes vieux et qu’un curé ça ne
16   VII|          comprendre, parce que vous êtes trop jeune.~ ~ ~ ~Le curé
17   VII|           relativement humble, vous êtes fâché ?~ ~ ~– Un peu, petite
18  VIII|              Dieu merci ! vous n’en êtes point encore à dire avec
19  VIII| pourriez-vous me dire pourquoi vous êtes si pâle ?~ ~ ~– Parce que
20  VIII|       demande, mon oncle, si vous n’êtes pas un peu mécréant ou sacripant ?~ ~ ~–
21  VIII|        sujets.~ ~ ~– Dieu, que vous êtes belle ! dis-je en la regardant
22    IX|             est parfait, car vous n’êtes pas ici et vous me manquez,
23    IX|            Alors, mon oncle, vous n’êtes pas conséquent avec vous-même
24    IX|         promet ! Ensuite, vous vous êtes empressée de rêver et de
25     X|      reproche mon égoïsme, car vous êtes heureuse, mais, comme le
26    XI|            je vous admire ! Vous en êtes presque arrivé à la parfaite
27   XII|             mes conseils, vous vous êtes conduite cette nuit d’une
28   XII|         Vous avez de l’esprit, vous êtes coquette, malheureusement
29   XII|           vue, vous avez dit : Vous êtes diablement jolie !~ ~ ~–
30   XIV|         vous marier, ma nièce, vous êtes libre, je ne suis pas un
31   XIV|         Comment ? est-ce que vous n’êtes jamais allé en Tartarie ?~ ~ ~–
32    XV|          soyez convaincu que vous n’êtes qu’un optimiste en prétendant
33   XVI|        délicieux.~ ~ ~– Mais vous n’êtes pas venue seule, Reine ?~ ~ ~–
34   XVI|            Pensez donc, Reine, vous êtes si jeune ! Cette épreuve
35   XVI|             Reine. Dieu merci, vous êtes en bon état.~ ~ ~– Allons,
36   XVI|        aisément cette épreuve. Vous êtes si jeune !~ ~ ~ ~Si jeune !…
37   XVI|         Maintenant ! vous ne vous y êtes pas toujours plu ?~ ~ ~–
38   XVI|            moindre fiel.~ ~ ~– Vous êtes un saint, mon curé, dis-je
39  XVII|            m’aimerait-il ? Vous qui êtes un homme de sens, monsieur
40   XIX|          oncle avait raison, vous n’êtes pas le pic de l’Aiguille-Verte.~ ~ ~–
41   XIX|             Mon oncle sait que vous êtes ici, Paul ?~ ~ ~– Oui, j’
42   XIX|         laid et inculte.~ ~ ~– Vous êtes devenu poète dans votre
43   XIX|             prédiction ?~ ~ ~– Vous êtes peu discret, mon oncle,
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