Chap.

 1    II|   particulières.~ ~ ~– Et quel charmant homme, monsieur le curé !
 2    IV|        curé joyeusement. C’est charmant de marcher par ce joli soleil.~ ~ ~ ~
 3    VI|     mais j’ai quelque chose de charmant à vous montrer.~ ~ ~ ~Il
 4   VII|       parce qu’il m’avait paru charmant, par conséquent ma vue avait
 5   VII|       et que c’est tout à fait charmant.~ ~ ~– C’est là un sujet
 6  VIII|        monsieur le curé, c’est charmant ! Et si on a peur de l’incendie,
 7  VIII|               Que ce doit être charmant, le monde, monsieur le curé !
 8    IX|   embrasse la main… Ah ! c’est charmant !~ ~ ~– On s’embrasse la
 9     X|     lui.~ ~ ~– Et puis, il est charmant, répliquai-je avec onction.~ ~ ~ ~
10     X|       un jeune homme qu’il est charmant, ma nièce.~ ~ ~– Mais puisque
11    XI|      en faisaient un compagnon charmant, égayaient notre vie et
12  XIII|        livrer à ce passe-temps charmant. Peut-être ne resterais-je
13  XIII|       de trouver un homme plus charmant que Paul de Conprat.~ ~ ~ ~
14  XIII| choquerait chez les autres est charmant chez elle.~ ~ ~– On dit
15   XIV|       comme celui-là. C’est un charmant cavalier, j’ai les meilleurs
16   XIV|     avis ! Et son pays !… quel charmant pays ! Toutes les maladies
17    XV|   tranquille, et ce sourire si charmant qui transfigurait sa physionomie
18   XVI|       la tête, souvenir encore charmant pour moi, malgré l’amertume
19  XVII|      manière, je le trouverais charmant, plus séduisant que jamais.
20   XIX|      le voyais apparaître gai, charmant et les yeux pleins de cette
21   XIX| répondait-il avec son bon, son charmant sourire.~ ~ ~ ~Le jour de