Chap.

 1    IV|     mon ignorance.~ ~ ~ ~Un matin que je méditais sur cette
 2     V|   fermier, à huit heures du matin, amenait dans la cour une
 3     V|      Que vous êtes laide ce matin, Reine !~ ~ ~ ~Je sautai
 4    VI|    était l’unique office du matin, le curé n’ayant pas de
 5    VI| tant bien que mal.~ ~ ~ ~Un matin, je le vis arriver hors
 6  VIII|  séparation.~ ~ ~ ~Le mardi matin, il me fit préparer un excellent
 7    IX|  que nous eûmes le dimanche matin dans ma chambre, le prestige
 8     X|                X~ ~Le lundi matin je me levai avec le sentiment
 9   XIV|  mes allures fantasques. Le matin, j’étais gaie au point de
10    XV|  humanisée avec moi. Chaque matin, elle venait s’asseoir sur
11   XVI| bien déterminé, j’entrai un matin dans le cabinet de mon oncle
12   XVI|  partez-vous ?~ ~ ~– Demain matin, de bonne heure, mon oncle,
13   XVI|    partis donc le lendemain matin, sans vouloir accepter la
14  XVII|    plus charmants.~ ~ ~ ~Ce matin, j’ai regardé les bois sans
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