Acte

 1      I|     pour la première fois. Ses trois camarades lui donnent des
 2      I|  remplacer Tito. Nous restions trois, le marquis trouvait que
 3      I|       sommes regardés tous les trois dans les yeux : qui diable
 4      I|      êtes-vous devenu tous les trois aussi savants ?~ ~ ~ ~LANDOLF. –
 5      I|         elle montre di Nolli), trois ou quatre ans après l’accident ?~ ~ ~ ~
 6      I|     Belassi qui mourut deux ou trois mois plus tard…~ ~ ~ ~BELCREDI. –
 7      I|       se précipita sur deux ou trois des invités. Ce fut un moment
 8      I|        pas de lui, ce sont mes trois camarades ! Vous parliez
 9      I|       bien de ça : ce sont eux trois les véritables fous ! Moi
10      I|         DI NOLLI, montrant les trois jeunes gens. – Ils seront
11      I| peut-être mieux que vous soyez trois.~ ~ ~ ~ARIALD. – Alors,
12      I|    moine !~ ~ ~ ~ORDULF et ses trois compagnons le conjurant
13      I|      laissant remettre par ses trois vassaux le sayon sur les
14     II|        retour ? Il y a plus de trois heures et demie…~ ~ ~ ~LE
15     II|        docteur… Il y a plus de trois heures et demie qu’elle
16     II|      allez m’appeler un de vos trois camarades !~ ~ ~ ~BERTHOLD. –
17     II|        lui, et le montrant aux trois autres, qui restent éperdus
18     II|        Comme cela ! Et touchez trois fois la terre du front !
19     II|      geste d’avertissement des trois autres, et se tournant aussitôt
20     II|     toi, ni à toi, (il indique trois d’entre eux) ni à cent mille