Chap.

 1      7|  emporté ma lettre. Autrefois j’eusse été la chercher, quoique
 2      7| possible, nous disent-ils, je l’eusse fait moi-même. Et les grands
 3      7|       pour lui ; car si je vous eusse reconnu parmi l’escorte,
 4     30|       préféré de beaucoup que j’eusse écrasé tout à fait son conseiller.~ ~ ~–
 5     38|      Oui, ma foi, de Béthune… j’eusse coupé le cou à cette scélérate,
 6     39|        de l’accompagner si je n’eusse fait ce sacrifice. Maintenant
 7     42|      sans cette lettre, je ne l’eusse apprise que demain, après-demain
 8     46|        de mon mousquet ; je lui eusse mis la balle en pleine poitrine.~ ~ ~–
 9     47|       aurais su qui il était, j’eusse eu regret de l’avoir tué.~ ~ ~–
10     52|        oublié cet homme, dont j’eusse  faire un maréchal de
11     69|  pareilles choses que je ne les eusse pas crues.~ ~ ~– Maintenant,
12     73|       avait réussi ?~ ~ ~– Je l’eusse désiré.~ ~ ~– Je pensais
13     74|        dit Aramis.~ ~ ~– Je n’y eusse point songé, dit Porthos,
14     79|      foi, non, reprit Aramis, j’eusse mieux aimé Blaisois : il
15     84|          dit Aramis.~ ~ ~– Si j’eusse été l’ami de Jonas comme
16     84|       Artagnan, dit Athos, je l’eusse suivi jusque dans le ventre
17     87|           Vraiment, comte, si j’eusse jamais cru avoir quelque
18     87|      royale, c’est à vous que j’eusse pensé. Un frondeur, vous,
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