Chap.

  1      1|        Condé, c’est-à-dire des deux hommes qui passaient pour les plus
  2      1|           menaces, plusieurs de ses hommes avaient été blessés de coups
  3      1|       Combien Monseigneur veut-il d’hommes ?~ ~ ~– Vous avez dit qu’
  4      1|             avez dit qu’avec quatre hommes, vous vous chargeriez de
  5      2|      souvent besoin encore d’autres hommes que d’hommes braves. Nous
  6      2|        encore d’autres hommes que d’hommes braves. Nous avons besoin
  7      2|      ceux-là ne pèsent pas tous les hommes dans la même balance, et
  8      2|             monotone :~ ~ ~– Quatre hommes d’escorte, un carrosse,
  9      3|     regardaient, vous et vos quatre hommes, avec des yeux flamboyants ?~ ~ ~–
 10      3|             à la reine, lui, et les hommes dévoués sont rares.~ ~ ~–
 11      3| réfléchissant ; mais où trouver des hommes d’action ?~ ~ ~ ~Rochefort
 12      3|    admirable, si je connaissais des hommes pareils.~ ~ ~– Eh ! Monseigneur,
 13      3|          heure.~ ~ ~– Et ces quatre hommes étaient unis, dites-vous ?~ ~ ~–
 14      3|                 Comme si ces quatre hommes eussent fait qu’un, comme
 15      3|          bien, Monseigneur ! quatre hommes résolurent de la sauver.
 16      3|            de la sauver. Ces quatre hommes, ce n’étaient pas des princes,
 17      3|          ducs, ce n’étaient pas des hommes puissants, ce n’étaient
 18      3|           ce n’étaient même pas des hommes riches ; c’étaient quatre
 19      3|     Artagnan était un de ces quatre hommes, dites-vous ?~ ~ ~– C’est
 20      3|          son carrosse et ses quatre hommes d’escorte ; mais il chercha
 21      4|        votre souvenir le nom de ces hommes fidèles et dévoués qui ont
 22      4|     toujours été ingrate envers ces hommes qui m’ont sauvée, moi, et
 23      5|         lourde ; car avec ces trois hommes et moi, Votre Éminence remuera
 24      6|             de vivre avec ces trois hommes, il fût devenu un homme
 25      8|           la préoccupation des deux hommes d’Église pour se glisser
 26      9|         écurie suivi de deux autres hommes.~ ~ ~– Ah ! ah ! fit d’Artagnan,
 27      9|            bien ?~ ~ ~– L’un de ces hommes disait :~ ~ – Il doit bien
 28      9|         Artagnan.~ ~ ~– Ce sont nos hommes qui sont en campagne, dit-il,
 29      9|             chacune d’une dizaine d’hommes, débouchèrent par chacune
 30     11|          lieu de tenir tête à vingt hommes ?~ ~ ~– Parfaitement, dit
 31     11|         même à la tête de ses vingt hommes, si j’avais pu dégainer
 32     11|                   En ce moment deux hommes apparurent, au grand étonnement
 33     11|      harmonieuse : l’un de ces deux hommes était une femme déguisée
 34     13|             faire tuer trente mille hommes. J’en ai tué deux ; cela
 35     14|             événements changent les hommes.~ ~ ~– Rien de plus vrai,
 36     14|              et celui-là vaut vingt hommes. Je pars pour Blois, le
 37     15|            avons déjà dit, ces deux hommes, pour combattre les ennuis
 38     15|              Il arriva que ces deux hommes en se retrouvant s’agencèrent
 39     15|           plus généreux de tous les hommes.~ ~ ~– Oh ! M. Athos était
 40     16|             au hasard une société d’hommes encore si bien liés les
 41     16|         première fois et contre des hommes éprouvés.~ ~ ~– Et M. d’
 42     18|           Dieu, croyez-vous que les hommes puissent échapper à leur
 43     18|         aimé des femmes, craint des hommes, pour retrancher de sa vie
 44     19|             M. de Chavigny mit huit hommes dans la chambre même du
 45     19|             de théâtre, avec quatre hommes devant lui et quatre derrière,
 46     19|          mois, voyant toujours huit hommes s’asseyant quand il s’asseyait,
 47     20|          intermédiaire. Comme tout, hommes et choses, vous est ou ami
 48     22|           Beaufort et Grimaud, deux hommes à cheval, suivis à quelques
 49     22|     faubourg Saint-Marcel. Ces deux hommes, c’étaient le comte de La
 50     22|          admirablement les habits d’hommes. Le prince leur procura,
 51     23|          lassitude.~ ~ ~ ~Les trois hommes se saluèrent après avoir
 52     25|             au contraire des autres hommes qui prennent avec ardeur
 53     25|        tombé.~ ~ ~ ~Aussitôt un des hommes qui attendaient se laissa
 54     26|       Mazarin en regardant ces deux hommes avec étonnement. Mais le
 55     26|        cheval ! »~ ~ ~Une dizaine d’hommes se trouvèrent réunis.~ ~ ~ ~
 56     28|          chevaux et non un combat d’hommes que nous faisons là. À l’
 57     28|           contre moi les deux seuls hommes capables de renverser quatre
 58     28|        capables de renverser quatre hommes, de lutter corps à corps
 59     28|            se rendre qu’à cinquante hommes.~ ~ ~– Le prince ! dirent
 60     28|         enveloppés par une troupe d’hommes à cheval.~ ~ ~– Au bruit
 61     28|            cru que vous étiez vingt hommes, et je suis revenu avec
 62     28|             Porthos.~ ~ ~ ~Quelques hommes firent un mouvement.~ ~ ~–
 63     28| Écartez-vous, messieurs, dit-il aux hommes de son escorte. Messieurs
 64     28|           ces propositions-là à des hommes comme ces messieurs. S’ils
 65     29|            les yeux ce tourbillon d’hommes, cet orage au pied de fer
 66     29|          conseiller, porté par huit hommes, apparut tout pâle et regardant
 67     29|           qu’on eût réuni trois des hommes les plus savants de la faculté
 68     30|  douloureuse que de revoir ces deux hommes qui ont fait échouer notre
 69     30|             Athos ! dit Aramis, les hommes sont ainsi faits, et n’ont
 70     30|       rendez le plus malheureux des hommes. Vous désenchantez un cœur
 71     31|        était levé aussi. Les quatre hommes se retrouvaient donc debout
 72     31|         Vous êtes le plus grand des hommes, dit d’Artagnan, et, quant
 73     31|          secouant la tête comme des hommes pris au dépourvu.~ ~ ~ ~
 74     32|        rivière. Une petite troupe d’hommes à cheval se tenait sur le
 75     33|              quant à moi, j’ai deux hommes sûrs, qui ont fait la guerre
 76     34|              XXXIV. Le moine~ ~Deux hommes étaient étendus : l’un immobile ;
 77     34|             par M. d’Arminges. Deux hommes portaient le moribond, le
 78     35|           qui se trouvait parmi ces hommes ; elle venait d’empoisonner
 79     35|       continuez : quels étaient ces hommes ?~ ~ ~– L’un était étranger,
 80     36|       Arminges, qui, comme tous les hommes de cette époque et surtout
 81     36|          sera mort ; la vie de cinq hommes sera pour moi en doute tant
 82     37|        personne.~ ~ ~– De combien d’hommes se compose-t-elle ?~ ~ ~–
 83     37|                   De dix-huit mille hommes et de trente-six pièces
 84     37|            tout ce que nous avons d’hommes disponibles, nous atteindrons
 85     37|          peine le chiffre de 13.000 hommes.~ ~ ~– Monsieur le maréchal,
 86     37|      retirant vers Vitry ; quelques hommes restaient seuls.~ ~ ~ ~À
 87     38|               Comment, nous, quatre hommes, qui avons sans sourciller
 88     39|            alliance avec de pareils hommes.~ ~ ~– Eh ! qu’est-il lui-même ?
 89     40|             l’expérience, que peu d’hommes parvenaient à lui cacher
 90     41|            regardent avant tout les hommes.~ ~ ~– Madame, dit Mazarin,
 91     41|       envoyez-lui quelque secours d’hommes et d’argent ; car, moi,
 92     42|             vous ai parlé de quatre hommes.~ ~ ~– Que voulez-vous faire
 93     42|       voulez-vous faire avec quatre hommes ?~ ~ ~– Quatre hommes dévoués,
 94     42|        quatre hommes ?~ ~ ~– Quatre hommes dévoués, quatre hommes résolus
 95     42|       Quatre hommes dévoués, quatre hommes résolus à mourir peuvent
 96     42|          temps.~ ~ ~– Et ces quatre hommes, où sont-ils ?~ ~ ~– Ah !
 97     42|           songé à eux.~ ~ ~– Et ces hommes étaient vos amis ?~ ~ ~–
 98     42|       demeuré le sien.~ ~ ~– Et ces hommes sont en France, milord ?~ ~ ~–
 99     42|            c’est cela, Madame ; ces hommes, ce sont ceux qui la sauvèrent,
100     42|           que pourront faire quatre hommes, ou plutôt trois hommes ?
101     42|             hommes, ou plutôt trois hommes ? car, je vous le dis, il
102     42|      compter la mienne ; or, quatre hommes dévoués autour du roi pour
103     43|        silence glacé entre ces deux hommes.~ ~ ~– Monsieur, dit de
104     43|           succombé sous les coups d’hommes qu’elle avait désespérés
105     43|            une mère, c’est que cinq hommes, ligués contre une femme,
106     45|    profondément, si la vie de trois hommes peut racheter la vôtre.~ ~ ~–
107     46|             dans cette barque trois hommes qui étaient braves, certes,
108     46|           sommes-nous donc plus des hommes ?~ ~ ~– Si fait, dit Aramis ;
109     46|      bâtiment.~ ~ ~ ~En un instant, hommes, valets et bagages furent
110     47|           de la rue, accourait, des hommes, puis des groupes, puis
111     47|          perdez pas une minute. Dix hommes pour monsieur de Comminges !~ ~ ~ ~
112     47|            de Comminges !~ ~ ~ ~Dix hommes se séparèrent de la troupe,
113     47|    redoublèrent ; plus de dix mille hommes se pressaient sur le quai,
114     47|            Et il fit avec ses vingt hommes une charge sur tout ce peuple,
115     47|            quai, arrivaient les dix hommes d’escorte que d’Artagnan
116     47|            pouvoir porter dix mille hommes.~ ~ ~– Qu’ordonnez-vous,
117     48|                 Quelques-uns de ces hommes meurent en laissant parfois
118     48|            me répondre de cinquante hommes bien résolus, de bonnes
119     49|        justement de cela. Combien d’hommes croyez-vous pouvoir rassembler
120     49|            rassembler vos cinquante hommes et tenez-vous prêt.~ ~ ~–
121     49|             avez demandé cinq cents hommes, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui,
122     49|      sortirez d’ici vous verrez mes hommes à l’œuvre. Prenez seulement
123     50|                 Gondy regardait ces hommes de l’obscurité, ces travailleurs
124     50|            pour donner entrée à des hommes qui semblaient craindre
125     50|           ce qu’ils portaient ; ces hommes, c’étaient les boutiquiers
126     50|           immobiles, tandis que des hommes isolés passaient d’un groupe
127     50|           certain endroit, tous ces hommes semblaient s’anéantir l’
128     50|             une ville assiégée. Des hommes armés se tenaient sur les
129     50|             avait plus de dix mille hommes armés, dont les plus avancés
130     50|       cinquante, de deux cents, des hommes hâves, livides, déguenillés,
131     50|         ordonna de prendre autant d’hommes qu’il lui plairait et d’
132     50|              il prit cent cinquante hommes et voulut sortir par le
133     50|         fenêtres. Il y laissa trois hommes.~ ~ ~ ~Il battit en retraite
134     50|      gardées, non seulement par des hommes armés, mais encore par des
135     50|         mettre pied à terre à vingt hommes pour forcer et ouvrir cette
136     50|          les assaillants. Les vingt hommes marchèrent droit à l’obstacle ;
137     50|       véritable ouragan de fer. Les hommes tombaient autour de lui
138     50|           peau et celle de tous mes hommes.~ ~ ~ ~Il se faisait un
139     51|           et Guitaut ; derrière les hommes, les femmes.~ ~ ~ ~Devant
140     51|         maréchal, j’ai laissé trois hommes au Pont-Neuf, quatre aux
141     51|             presse.~ ~ ~– Combien d’hommes à peu près avez-vous au
142     51|      Palais-Royal ?~ ~ ~– Six cents hommes.~ ~ ~– Mettez cent hommes
143     51|           hommes.~ ~ ~– Mettez cent hommes autour du roi, et avec le
144     51|            de trois ou quatre mille hommes peut-être.~ ~ ~– Pas un
145     52|                   Cinq ou six mille hommes.~ ~ ~– Avons-nous du courage ?~ ~ ~–
146     52|           insulter à votre aise les hommes, sûre que vous êtes de l’
147     53|             conseillers si sages, d’hommes si grands enfin par leur
148     54|     Artagnan sourit.~ ~ ~ ~Ces deux hommes se touchaient par un point,
149     54|              se retournant vers ses hommes :~ ~ ~– Laissez passer,
150     54|         autre chose : c’étaient les hommes du mendiant de Saint-Eustache.~ ~ ~–
151     54|      entendit des cris comme ceux d’hommes qui sont renversés. Puis
152     55|      accourut ; il avait deux cents hommes à peu près dans les cours
153     55|            se renfermer, lui et ses hommes, dans le corps de garde
154     55|          veux pas qu’un seul de ces hommes me touche.~ ~ ~– Sire, je
155     55|            d’une grande multitude d’hommes ; la reine souleva elle-même
156     55|             En voyant la reine, ces hommes s’arrêtèrent dans l’attitude
157     55|  silencieusement, comme si tous ces hommes eussent été les courtisans
158     55|         Majesté !~ ~ ~ ~Et tous ces hommes, qui étaient entrés furieux,
159     55|            la tête d’une douzaine d’hommes et tenant une lanterne à
160     57|       est-ce que les Turcs pour des hommes comme le comte de La Fère
161     57|             plus long que celui des hommes, et le brick ne put lever
162     58|           armée. Il est minuit. Des hommes qu’on peut reconnaître à
163     58|       sommeil, s’était endormi. Les hommes s’avancèrent, et Athos,
164     58|            Sire, ce ne sont que des hommes, et les hommes sont devenus
165     58|         sont que des hommes, et les hommes sont devenus bien faibles
166     58|         régiment, nous sommes trois hommes dévoués, nous suffirons.
167     58|          les deux noms qui font les hommes en mépris et en exécration
168     58|            en exécration aux autres hommes : ou vous êtes des lâches,
169     59|             avez du moins ici trois hommes qui ne vous trahiront pas,
170     59|             se met à la tête de ses hommes ; nous nous mettons, nous,
171     59|            avec admiration ces deux hommes, dont l’unique préoccupation
172     59|            être éveillé enfin ; les hommes étaient sortis de leurs
173     59|          sur le chemin, vous et vos hommes vous vous faites tuer jusqu’
174     59|            cas est prévu, et si les hommes de de Winter font leur devoir,
175     59|             la voix, tandis que ses hommes, quittant leurs rangs, s’
176     59|       plaine.~ ~ ~ ~Une quinzaine d’hommes à peine étaient groupés
177     59|       entier tomba sur les quelques hommes qui avaient tenu, et les
178     60|                    Vous suivrez ces hommes, lui dit-il, vous ne les
179     60|          excepté de trois ou quatre hommes ; il n’y avait donc pas
180     60|            pas encore le mépris des hommes jusque-là.~ ~ ~– Ai-je été
181     61|          sergent et d’une dizaine d’hommes. Il se frotta les yeux,
182     61|          sergent et les huit ou dix hommes qui l’accompagnent.~ ~ ~ ~
183     61|          sergent et les huit ou dix hommes s’établirent dans le petit
184     61|       Porthos. Qu’y a-t-il là ? dix hommes tout au plus.~ ~ ~– Ce ne
185     62|       levant vivement ainsi que ses hommes, qui portèrent vivement
186     62|         chapeau.~ ~ ~– Bien. Quatre hommes pour les prendre et les
187     62|          mon logement.~ ~ ~ ~Quatre hommes s’apprêtèrent.~ ~ ~– Plaît-il ?
188     62|            que j’ordonnais à quatre hommes de prendre les prisonniers
189     62|          faisant signe à ses quatre hommes de le suivre.~ ~ ~– Mais,
190     62|             laissez-moi emmener ces hommes.~ ~ ~– Non, dit d’Artagnan ;
191     62|         vous tuer, vous et vos huit hommes. Pour Dieu ! monsieur Mordaunt,
192     62|            renversant deux ou trois hommes.~ ~ ~– Stop ! stop ! crièrent
193     64|         regarda avec étonnement ces hommes qui paraissaient le plaindre,
194     64|            au milieu d’un million d’hommes, il n’est pas difficile
195     65|          employez-vous ?~ ~ ~– Huit hommes demeurent constamment dans
196     65|         gardé. Mais, outre ces huit hommes, vous placez sans doute
197     65|        voulez-vous que fassent deux hommes sans armes contre huit hommes
198     65|       hommes sans armes contre huit hommes armés ?~ ~ ~– Comment, deux
199     65|         armés ?~ ~ ~– Comment, deux hommes ?~ ~ ~– Oui, le roi et son
200     65|                    Ce sont donc des hommes de condition, que vous y
201     65|         quitter un seul instant des hommes que nos laquais savent des
202     65|          gardiens permanents de nos hommes, et quand je dors, M. du
203     65|       reprit l’Anglais, sont-ce des hommes dangereux que vos hommes ?~ ~ ~–
204     65|            hommes dangereux que vos hommes ?~ ~ ~– Sous quel rapport ?~ ~ ~–
205     65|      Artagnan.~ ~ ~– Oui, j’ai huit hommes.~ ~ ~– Eh bien ?~ ~ ~– Quatre
206     65|        chose vous inquiète dans nos hommes, qui, comme vous le savez,
207     65|            Chez moi.~ ~ ~ ~Les deux hommes échangèrent un salut, et
208     65|         côté ; voilà d’abord quatre hommes morts ; la partie devient
209     66|             puissante chez tous les hommes, les soldats, dont la consigne
210     68|            ce mur vivant ; quelques hommes du peuple, robustes et hargneux,
211     68|           fit grande rumeur ; trois hommes voulurent s’élancer sur
212     68|             cinquante, soixante-dix hommes, dit Porthos en comptant
213     68|            près de l’eau, ces trois hommes s’aperçurent qu’ils étaient
214     68|           ils dépassèrent les trois hommes. Mais se retournant tout
215     68|            Artagnan.~ ~ ~ ~Les deux hommes, muets et les cheveux hérissés,
216     69|      stupéfait, anéanti, devant ces hommes qui, étrangers, sans aucun
217     69|            pas encore ; mais quatre hommes déterminés peuvent faire
218     69|             Vous êtes en vérité des hommes merveilleux ! dit le roi,
219     69|            religion.~ ~ ~– Tous les hommes sont frères, dit le puritain.
220     69|            d’un patron et de quatre hommes, qui, moyennant cinquante
221     69|         leurs antipathies comme les hommes ; il paraît que celui-là
222     70|            plancher il aperçut deux hommes qui descellaient à l’aide
223     70|           est-ce que je connais ces hommes ?~ ~ ~– Sire, dit Parry
224     70|            et réguliers. Les quatre hommes restèrent immobiles ; tous
225     70|           donc de ce qui arrive aux hommes, et non à Dieu. Ce sont
226     70|             non à Dieu. Ce sont les hommes qui me font mourir, ce sont
227     70|            font mourir, ce sont les hommes qui te font pleurer.~ ~ ~–
228     70|             avez raison ; c’est aux hommes qu’il faut que je m’en prenne,
229     71|         dirai : Oui, j’ai parlé aux hommes, j’ai parlé à Dieu, je te
230     72|             à l’approche des quatre hommes il se leva.~ ~ ~– Allons,
231     72|       Comment cela ?~ ~ ~– D’autres hommes ne pouvaient-ils pas être
232     73|                 Peu importe. Quatre hommes déguisés en ouvriers devaient
233     73|       Honneur connaît-il les quatre hommes qui avaient entrepris de
234     73|             felouque étaient quatre hommes à moi, et cinq tonneaux
235     73|          nation. En mer, les quatre hommes descendaient dans la chaloupe,
236     73|       Grimaud avait aperçu les deux hommes et avait successivement
237     75|           dévorés par la foudre des hommes à défaut de celle de Dieu.
238     75|             mer était mauvaise, vos hommes ne seraient pas fâchés de
239     75|          dit d’Artagnan ; combien d’hommes avez-vous à bord, patron ?~ ~ ~–
240     76|       arrivée en Angleterre par les hommes extraordinaires auxquels
241     76|             La porte s’ouvrit. Deux hommes enveloppés dans leurs manteaux
242     76|        monde ronfle.~ ~ ~ ~Les deux hommes s’acheminèrent vers la porte
243     76|          porte se rouvrir, les deux hommes en manteau sortirent, refermèrent
244     76|          Aramis dormaient comme des hommes qui n’ont pas dormi depuis
245     76|        avoir donné passage aux deux hommes à manteau que nous avons
246     76|       Grimaud était caché, les deux hommes s’arrêtèrent.~ ~ ~– Avez-vous
247     76|             vous allez prévenir vos hommes de se tenir prêts, sans
248     76|            minuit vous réunirez vos hommes, vous descendrez sans bruit
249     76|             mieux charger un de nos hommes de mettre le feu à l’artifice.~ ~ ~–
250     77|          felouque montée par quatre hommes.~ ~ ~– Oui, mais M. Groslow
251     77|             fut presque un cri. Ces hommes invincibles étaient soumis
252     78|       Mordaunt, avait rassemblé ses hommes ; tandis que celui-ci, après
253     78|             et Groslow et ses trois hommes étaient anéantis.~ ~ ~ ~
254     78|      sentiment irrésistible, soyons hommes, soyons chrétiens !~ ~ ~ ~
255     79|      veillerai.~ ~ ~ ~Pour d’autres hommes que pour nos hardis aventuriers
256     79|            Seulement j’aperçois des hommes en robe noire, et dans notre
257     79|            dans notre situation les hommes en robe noire m’épouvantent,
258     79|            y a de plus sûr pour des hommes dans notre situation, c’
259     79|           avec le doute on mène les hommes très loin. Or, je veux faire
260     79|            on n’arrêterait pas sept hommes comme on en arrête trois ;
261     79|          uns des autres. Ces quatre hommes, réunis par l’étreinte fraternelle,
262     80|              se retournant vers ses hommes :~ ~ ~– Laissez passer ces
263     80|           attention qu’un des trois hommes qui sont sortis tout à l’
264     81|           sont au-dessus des autres hommes, ont reçu du ciel un cœur
265     82|                Mais que ce sont nos hommes.~ ~ ~– Vous ne vous êtes
266     82|             heure, mais puisque des hommes comme vous me disent que
267     82|        place Royale avec deux cents hommes formant l’arrière-garde
268     82|           adroitement manœuvrer ses hommes sur la place Royale, et
269     83|             Avec sept ou huit cents hommes il était allé heurter trois
270     83|            allé heurter trois mille hommes, lesquels, à leur tour,
271     83|        conduite, que Clanleu et ses hommes se trouvèrent presque entourés.
272     83|        voyant s’entrégorger tant d’hommes que sacrifiaient d’un côté
273     83|            M. de Comminges, les dix hommes que vous demandez. Ce sont
274     84|           de danger pour de pareils hommes. D’ailleurs ils sentaient
275     84|           on se remit en route. Les hommes eux-mêmes étaient écrasés
276     84|             laissé arrêter par huit hommes.~ ~ ~– Sans doute, monsieur,
277     84|        doute, monsieur, et les huit hommes n’en seraient pas venus
278     85|          qui, vis-à-vis de certains hommes, devenait de l’impertinence,
279     85|             étaient perdus quelques hommes d’épée. Une escorte imposante
280     86|         voit bien que vous êtes des hommes d’épée. Il y a le chapitre
281     87|              ajouta-t-il ; quarante hommes sûrs, des soldats éprouvés,
282     87|             nous mettions ces trois hommes ensemble, monsou de Comminges,
283     87|            pareils excès envers des hommes comme vous ; ce serait une
284     87|             responsabilité ces deux hommes indomptables.~ ~ ~– Indomptables !
285     88|             d’un sergent et de deux hommes qui portaient le souper
286     89|          que j’entends appeler deux hommes chaque soir, et que je les
287     89|          cardinal sort.~ ~ ~– Beaux hommes, ma foi ! dit d’Artagnan.~ ~ ~–
288     92|            un trou béant.~ ~ ~ ~Dix hommes eussent eu de la peine à
289     92|          les degrés.~ ~ ~ ~Les deux hommes se regardèrent avec une
290     94|        Aramis. J’ai obtenu soixante hommes de M. le coadjuteur ; vingt
291     94|          embusqué avec mes soixante hommes, j’ai cerné le château,
292     95|            votre position, loin des hommes et des choses ; car autrement
293     95|             d’Autriche, ce sont des hommes de fer.~ ~ ~– Hélas ! Madame,
294     95|             traitera plus comme des hommes vulgaires. Elle verra en
295     96|                    J’ai méconnu ces hommes, dit Anne d’Autriche en
296     96|           chercher à l’instant deux hommes qu’il avait l’habitude de
297     96|            d’esprit.~ ~ ~ ~Ces deux hommes étaient, l’un le comte de
298     97|       frémissement courut parmi les hommes.~ ~ ~ ~À la barrière des
299     97|             même que ne le sont les hommes du peuple en pareil cas.
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