Chap.

  1      1|    silence :~ ~ ~– C’est vous qui êtes monsieur d’Artagnan ? dit-il.~ ~ ~–
  2      2|          soixante-quatre ans vous êtes toujours le même, alerte
  3      2|        oublier.~ ~ ~– Mais vous n’êtes pas un courtisan, vous,
  4      2|    courtisan, vous, Guitaut, vous êtes un brave soldat, un de ces
  5      2|       chose, tête de fer que vous êtes.~ ~ ~– Il y en a un dont
  6      3|       tirer d’affaire.~ ~ ~– Vous êtes probablement plus près d’
  7      3|       monsieur de Rochefort. Vous êtes donc en prison ?~ ~ ~ ~Rochefort
  8      3|        aura, sachant combien vous êtes un homme supérieur et par
  9      3|       cela peut s’arranger ; vous êtes homme à comprendre certaines
 10      3|      Dites tout de suite que vous êtes du parti de M. de Beaufort,
 11      3|           la Bastille.~ ~ ~– Vous êtes intelligent.~ ~ ~– J’y retourne,
 12      4|      avoir la petite vérole, vous êtes souffrant encore, et je
 13      4|                 Oh ! Madame, vous êtes la reine, ce me semble !~ ~ ~–
 14      4|    royaume !~ ~ ~– Cependant vous êtes assez forte pour éloigner
 15      5|        dit Mazarin, car vous vous êtes fatigué à mon service.~ ~ ~ ~
 16      5|           tout étonné.~ ~ ~– Vous êtes discret, tant mieux. Je
 17      6|    revient, vous le tuerez ; vous êtes si brave et si adroit !~ ~ ~–
 18      6|      faite d’Artagnan ; pah ! qui êtes fous, t’apord, pour me broboser
 19      6|           avancé, entêté que vous êtes ! Heureusement que vous
 20      6|           quant à vous, vous vous êtes conduite comme une cabaretière.
 21      7|         je ne me trompe pas, vous êtes monsieur d’Artagnan !~ ~ ~–
 22      7|         dit Madeleine.~ ~ ~– Vous êtes une femme précieuse, ma
 23      8|         doute !~ ~ ~– Alors, vous êtes content ?~ ~ ~– Oui. Comment
 24      9|    laisser de doute, puisque vous êtes en cavalier et non en officier
 25      9|        une fine lame ?~ ~ ~– Vous êtes monsieur d’Artagnan ?~ ~ ~–
 26     10|          veniez-vous lorsque vous êtes tombé en croupe derrière
 27     10|        éclata de rire.~ ~ ~– Vous êtes toujours joyeux compagnon,
 28     10|         mon cher Aramis, car vous êtes toujours le même ; vous
 29     10|          indiscrétion.~ ~ ~– Vous êtes donc devenu riche ?~ ~ ~–
 30     11|           qu’aujourdhui que vous êtes abbé, vous me paraissez
 31     11|        Oui, oui, je sais que vous êtes brave et aventureux autant
 32     12|           ton maître ?~ ~ ~– Vous êtes sur ses domaines.~ ~ ~–
 33     13|       volontés.~ ~ ~– Ainsi, vous êtes riche et libre ? dit d’Artagnan.~ ~ ~–
 34     13|           de rente, enfin, vous n’êtes pas heureux ?~ ~ ~– Mon
 35     13|          Ah ! je comprends : vous êtes entouré de croquants que
 36     13|          Mais enfin, dit-il, vous êtes par vous-même, et votre
 37     13|           dans vos garennes, vous êtes un homme heureux, mon cher
 38     13|           je comprends, vous vous êtes gâté, cher ami ; vous avez
 39     13|             C’est-à-dire que vous êtes pour nous. Tant mieux, Porthos,
 40     13|           dit Porthos. Alors vous êtes donc dévoué, dans ce moment-ci ?…~ ~–
 41     13|          haut, tant mieux si vous êtes gêné !~ ~ ~– Comment, tant
 42     15|      Athos avec sollicitude, vous êtes pâle et vous paraissez agité.~ ~ ~–
 43     16|        Athos, c’est que vous ne l’êtes plus du tout.~ ~ ~– Ah !
 44     16|       fortune, ce me semble. Vous êtes admirablement logé ; cette
 45     16|         peut-être ? Ah ! que vous êtes changé, mon cher Athos !~ ~ ~–
 46     16|           Artagnan.~ ~ ~– Et vous êtes heureux ? dit-il à son ami.~ ~ ~ ~
 47     16|          tout entière.~ ~ ~– Vous êtes terrible, Athos, et l’on
 48     16|        endommagé.~ ~ ~– Et vous n’êtes pas resté plus tard près
 49     16|       Peste, mon cher Athos, vous êtes cependant un bon maître,
 50     17|                  Ah diable ! vous êtes pressant !~ ~ ~– Et surtout
 51     17|          parle pas pour vous, qui êtes la perle des gens braves
 52     17|          Grand merci !~ ~ ~– Vous êtes plus vif qu’autrefois, Dieu
 53     17|       vous, et il paraît que vous êtes heureux dans votre médiocrité
 54     19|          main, attendu que vous m’êtes confié tout particulièrement,
 55     20|           écria le prince, vous m’êtes insupportable : je vous
 56     20|       Ramée, dit le duc, que vous êtes un homme charmant et que
 57     20|         vérité, Monseigneur, vous êtes son cauchemar.~ ~ ~ ~Le
 58     20|        vous voyez bien que vous n’êtes pas raisonnable.~ ~ ~– La
 59     21|        mon cher, dit le duc, vous êtes charmant ; si je pouvais
 60     22|       savoir à qui je parle. Vous êtes homme de cour, c’est incontestable,
 61     22|           dites-moi vite qui vous êtes et allez-vous-en, répondit
 62     22|         est cela, monsieur ! vous êtes bien instruit.~ ~ ~– Un
 63     22|         partîmes.~ ~ ~– Et vous n’êtes jamais repassé par ce village ?
 64     22|         ses lèvres ; merci ! Vous êtes un noble cœur.~ ~ ~– Je
 65     22|   monsieur, dit la duchesse, vous êtes un vrai gentilhomme ! mais
 66     23|                  On voit que vous êtes honnête homme, monsieur,
 67     23|      Donnez-vous pour ce que vous êtes, pour un franc provincial ;
 68     23|       cher abbé, lui dit-il, vous êtes en retard, et il faut que
 69     23|          de son âme.~ ~ ~– Vous n’êtes pas nommée Lionne pour rien,
 70     23|        que, dans l’humeur où vous êtes,~ ~Vous feriez, si dans
 71     24|           Oh ! monsieur, que vous êtes bon ! dit Raoul.~ ~ ~ ~Athos
 72     24|            et vous irez, car vous êtes recommandé à un jeune général
 73     24|       importante, Raoul : si vous êtes blessé dans une charge,
 74     24|          Athos sourit.~ ~ ~– Vous êtes une noble nature, dit-il,
 75     25|           là.~ ~ ~– Alors, vous m’êtes attaché ? demanda le prince.~ ~ ~–
 76     25|          ta charge.~ ~ ~– Et vous êtes bien décidé à quitter le
 77     26|     Planchet, vous seul en vérité êtes fait pour l’existence active.
 78     26|          pauvre monsieur Mouston, êtes déplacé dans ce chétif hôtel,
 79     26|          je suis.~ ~ ~– Mais vous êtes tout mouillé de sueur et
 80     27|            Mon cher Porthos, vous êtes vraiment d’une intelligence
 81     27|        dit d’Artagnan.~ ~ ~– Vous êtes bien heureux si vous y voyez
 82     28|        Pas un pas de plus ou vous êtes morts !~ ~ ~– Bah ! répondit
 83     28|       Artagnan, ou c’est vous qui êtes morts !~ ~ ~ ~Deux coups
 84     28|       Artagnan et du Vallon, vous êtes libres.~ ~ ~ ~L’ordre fut
 85     28|          trois autres.~ ~ ~– Vous êtes donc de mon avis ? demanda
 86     28|        vous pensez à tout et vous êtes vraiment un gentilhomme.~ ~ ~–
 87     29|          tranquillise, quand vous êtes broyé, écrasé, moulu !~ ~ ~–
 88     29|         rien.~ ~ ~– Rien, et vous êtes couvert de boue ! Rien,
 89     31|         En vérité, monsieur, vous êtes étrange, dit Aramis ; vous
 90     31|        étrange, dit Aramis ; vous êtes venu me trouver pour me
 91     31|           dit Porthos.~ ~ ~– Vous êtes le plus grand des hommes,
 92     32|   galamment du monde lorsque vous êtes arrivé là tout juste pour
 93     32|       honneur de me dire qui vous êtes ?~ ~ ~– Je suis le vicomte
 94     33| Rendez-vous ! lui dit-il, ou vous êtes mort !~ ~ ~ ~Le mousquet
 95     34|          son cœur, alors, si vous êtes prêtre, vous allez trouver,
 96     34|           pareil confesseur. Vous êtes de mon avis, n’est-ce pas,
 97     35|      surprise et dit :~ ~ ~– Vous êtes bien jeune, mon père ?~ ~ ~–
 98     35|         pas prêtre !~ ~ ~– Vous n’êtes pas prêtre ! s’écria le
 99     36|       bien, dit le bourreau, vous êtes un des quatre laquais.~ ~ ~–
100     37|    demander de quelle nation vous êtes, dit le jeune homme dans
101     37|      adressant à Raoul, si vous n’êtes pas trop fatigué, suivez-moi.~ ~ ~–
102     37|            monsieur, dit-il, vous êtes bon au conseil, nous venons
103     37|         nous verrons comment vous êtes à l’action.~ ~ ~– Et moi,
104     37|      remettre la lettre dont vous êtes porteur ?~ ~ ~ ~Raoul tendit
105     38|           que nous rirons si vous êtes drôle, dit Athos.~ ~ ~–
106     38|           Mon cher Chavigny, vous êtes blâmable de prêter secours
107     38|          Milady était là, où vous êtes (Athos pâlit) ; moi j’étais
108     40|  regardait à la fois :~ ~ ~– Vous êtes bien jeune, monsieur Mordaunt,
109     40|          défaut de fortune ; vous êtes pauvre, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~
110     40|           l’a prise.~ ~ ~– Vous n’êtes donc pas un homme du peuple ?
111     41|                  Avec lequel vous êtes en guerre, n’est-ce pas ?
112     43|          pour mon neveu, car vous êtes bien le fils de votre mère.~ ~ ~–
113     44|           et rajeuni. Ah ! vous n’êtes pas mazarin, vous ! à la
114     44|         Je vous demande si vous n’êtes point marié.~ ~ ~– Ah !
115     44|                  Fort bien ; vous êtes toujours le même, Athos,
116     44|         du cœur, monsieur, vous n’êtes point fâché ?~ ~ ~– Pas
117     44|           Ah ! monsieur, que vous êtes bon ! s’écria le jeune homme
118     45|               Ah ! monsieur, vous êtes en effet un noble cœur !
119     45|         ni l’un ni l’autre : vous êtes à la reine d’Angleterre
120     45|           et pour moi.~ ~ ~– Vous êtes un homme admirable, mon
121     45|          heureux de voir que vous êtes de mon avis. Là, maintenant,
122     46|       Paris, ou du moins que vous êtes étrangers à Boulogne.~ ~ ~–
123     46|       penser. Non, certes, vous n’êtes pas visionnaire, mon cher
124     47|          frapper.~ ~ ~– Ah ! vous êtes son fils, dit-il ; c’est
125     47|          allais mourir quand vous êtes arrivé.~ ~ ~– Attendez,
126     47|           avec Raoul :~ ~ ~– Vous êtes bien content de vous, n’
127     47|            jeune homme, vous vous êtes mêlé de choses qui ne vous
128     47|         Artagnan, dit Raoul, vous êtes si brave gentilhomme et
129     48|         ce serait trop beau. Vous êtes ambitieux, c’est tout simple :
130     48|          c’est tout simple : vous êtes homme de génie et vous sentez
131     49|     bonnes maisons.~ ~ ~– Et vous êtes disposé à servir la cause
132     49|           lui-même.~ ~ ~– Et vous êtes de votre état ?…~ ~– Confiseur,
133     49|         qui nous vole.~ ~ ~– Vous êtes un garçon intelligent, mon
134     49|       tendant la main.~ ~ ~– Vous êtes donc enfin décidé, Monseigneur ?
135     49|          il est temps.~ ~ ~– Vous êtes donc sûr de votre affaire ?~ ~ ~–
136     49|           prends pour ce que vous êtes, c’est-à-dire pour M. le
137     50|       intentions duquel vous vous êtes trompés, et qui s’engage,
138     51|          puissance sur eux et qui êtes notre ami, dit ironiquement
139     51|    flattez et caressez, ou vous n’êtes qu’une femme vulgaire.~ ~ ~ ~
140     51|   Laissez-moi ! dit-elle ; vous n’êtes pas un homme !~ ~ ~ ~Et
141     51|                  C’est vous qui n’êtes pas une femme, murmura Mazarin.~ ~ ~ ~
142     51|          autres.~ ~ ~– Ainsi vous êtes ici depuis…~ ~ ~– Depuis
143     51|         monsieur d’Artagnan, vous êtes l’homme que je cherchais,
144     52|           cette hydre.~ ~ ~– Vous êtes un grand politique, ma reine,
145     52|              Anne, dit-il, vous n’êtes qu’une femme, et, comme
146     52|         les hommes, sûre que vous êtes de l’impunité : vous m’accusez
147     53|       vous seul. Je sais que vous êtes à M. le cardinal, mais soyez
148     54|            Sur ma vie.~ ~ ~– Vous êtes un héros, mon cher ! dit
149     54|           votre délivrance ; vous êtes sauvé, vous êtes libre !~ ~ ~ ~
150     54|             vous êtes sauvé, vous êtes libre !~ ~ ~ ~Mazarin ne
151     55|           Oui, Madame.~ ~ ~– Vous êtes prêt ?~ ~ ~– Je le suis.~ ~ ~–
152     55|          vous voyez bien que vous êtes toujours roi.~ ~ ~ ~La reine
153     56|       coude.~ ~ ~– C’est vous qui êtes monsieur d’Artagnan ? dit-il.~ ~ ~–
154     57|           au bout du compte, vous êtes les plus forts, continua
155     57|    comment vous faites, mais vous êtes plein d’idées. Allons embrasser
156     58|          tente m’annonce que vous êtes porteurs de quelque nouvelle
157     58|        patrie, ni malheur, vous m’êtes envoyé par Henriette ; quelle
158     58|           autres hommes : ou vous êtes des lâches, ou vous êtes
159     58|          êtes des lâches, ou vous êtes des traîtres !~ ~ ~ ~Les
160     58|          Roi Charles Stuart, vous êtes notre prisonnier.~ ~ ~ ~
161     59|        sire, répondit Athos, vous êtes seulement trahi.~ ~ ~ ~Le
162     59|        moment de montrer que vous êtes roi et gentilhomme. Debout,
163     59|        loyal, il dit :~ ~ ~– Vous êtes brave fidèle et loyal, je
164     59|      milord de Winter, que vous n’êtes pas le roi ? n’est-ce pas
165     59|             n’est-ce pas que vous êtes mon oncle ?~ ~ ~ ~Et en
166     60|           de Charles Stuart. Vous êtes le maître de l’Angleterre
167     60|        Mordaunt, lui dit-il, vous êtes un terrible serviteur.~ ~ ~–
168     60|    Cromwell s’inclina.~ ~ ~– Vous êtes fort parmi les forts, Mordaunt,
169     60|          avez servi et que vous n’êtes pas encore récompensé.~ ~ ~–
170     61|           de quel crime vous vous êtes rendu coupable aujourdhui ?
171     61|       sont frères, parce que vous êtes gentilhomme, parce que les
172     61|           comme gentilhomme, vous êtes coupable, je vous le dis.~ ~ ~ ~
173     61|           et par le courage, vous êtes aussi coupable que d’Artagnan.~ ~ ~ ~
174     61|      moment, vous et Aramis, vous êtes libres comme l’air.~ ~ ~–
175     61|       répondit Athos, mais vous n’êtes plus maîtres de nous : cette
176     61|           mort ? D’ailleurs, vous êtes nos prisonniers.~ ~ ~– Fou,
177     61|        car, je vous le jure, vous êtes ici aussi en sûreté que
178     63|           notre sauveur, vous qui êtes le vrai héros parmi nous !~ ~ ~–
179     63|      cette Angleterre.~ ~ ~– Vous êtes bien décidé à la quitter,
180     63|     lui-même, jamais vous ne vous êtes mal trouvé de mes conseils ;
181     63|   souriant, j’oubliais que vous n’êtes plus Athos. Mais, n’importe,
182     63|         poules noires.~ ~ ~– Vous êtes bien heureux, dit Athos
183     64|        porter secours.~ ~ ~– Vous êtes avec des amis, dit Athos
184     64|          Athos sourit.~ ~ ~– Vous êtes le meilleur compagnon que
185     64|          n’oubliez point que vous êtes nos prisonniers.~ ~ ~ ~Puis
186     64|         Artagnan, dit Athos, vous êtes à la fois homme de parole
187     64|         ma parole d’honneur, vous êtes fou.~ ~ ~– Avez-vous donc
188     65|          sûr, au degré où vous en êtes. Que faisiez-vous donc à
189     65|          soupir, c’est vrai, vous êtes joyeux compagnons, vous
190     65|        donc pas aussi, quand vous êtes de garde ?~ ~ ~– Jamais,
191     65|                Et depuis que vous êtes en Angleterre ?~ ~ ~– Je
192     65|            Aramis, parce que vous êtes chevalier de Malte, et que
193     65|       trop grand mal !~ ~ ~– Vous êtes étrange, Athos, dit d’Artagnan,
194     65|        Charles Ier . Vous vous en êtes rapporté à moi de trouver
195     66|      entourer cette chambre, vous êtes trahis. Ces quatre Français
196     68|       malgré votre silence ; vous êtes accusé de trahison, d’abus
197     69|          mal à propos.~ ~ ~– Vous êtes en vérité des hommes merveilleux !
198     69|          John Bull lui-même, vous êtes maître Tom Low, et nous
199     70|        Aramis avec rapidité, vous êtes sauvé ! Le bourreau de Londres
200     71|          ne sais où ; mais vous n’êtes pas le roi, mon fils, et
201     72|           à faire ici.~ ~ ~– Vous êtes bien pressé, monsieur le
202     72|          Aramis, pendant que vous êtes revenu, il aura fui, et
203     73|         dans la chaloupe, et vous êtes déjà trop habile politique,
204     73|        humilie devant vous ; vous êtes un profond penseur, et,
205     73|   monsieur ; les détours que vous êtes obligé de faire en passant
206     74|         ces choses-là, quand vous êtes en compagnie de gentilshommes
207     74|         vicieux et corrompu, vous êtes excessivement jeune, ce
208     75|       vous attendez, comme vous n’êtes pas celui qu’ils espèrent
209     75|      Roggers, n’est-ce pas ? vous êtes ici par l’ordre du général
210     75|           je vous reconnais, vous êtes le capitaine Mordaunt.~ ~ ~ ~
211     75|           cher, dit Porthos, vous êtes comme les corbeaux, vous !
212     77|           l’ouverture.~ ~ ~– Vous êtes donc décidé, ami ? dit Athos.~ ~ ~–
213     77|           Allons, Athos, vous qui êtes l’homme parfait, dites à
214     78|      situation dans laquelle vous êtes est un lit de roses en comparaison
215     78|       ivres de joie.~ ~ ~– Vous n’êtes pas blessé, au moins ? demanda
216     79|        profond soupir.~ ~ ~– Vous êtes ingrat, d’Artagnan, dit
217     80|        sergent d’un air fin, vous êtes des mazarins qui voudriez
218     80|         Dans la situation où vous êtes, défiez-vous avant tout,
219     81|   Monsieur, lui dit-il, vous vous êtes permis tout à l’heure, ce
220     81|           faire, et que vous ne l’êtes pas, messieurs.~ ~ ~– Alors,
221     82|        hommes.~ ~ ~– Vous ne vous êtes pas trompé, j’ai parfaitement
222     82|          grimace de douleur, vous êtes bien heureux, vous ; vous
223     82|            souffrant comme vous l’êtes, à la tête des armées, et
224     82|          il faut bien, et vous en êtes un exemple, vous si braves
225     82|          besogne au Mazarin. Vous êtes toujours des nôtres, je
226     82|           de Mazarin ?~ ~ ~– Vous êtes la sagesse incarnée, Athos,
227     82|         me quittant que vous vous êtes présenté chez elle, comment,
228     82|          comprenez, Athos, vous n’êtes aucunement forcé de me suivre.~ ~ ~–
229     82|         ce cas, mon cher, si vous êtes décidé à m’accompagner,
230     83|        pistolet est déchargé vous êtes un homme mort.~ ~ ~– Dieu
231     83|            Raoul, dit Athos, vous êtes le prisonnier du chevalier
232     83|                 Vous, dit-il, qui êtes croyant, lisez et voyez,
233     84|                  Je vois que vous êtes des amis de ces messieurs.~ ~ ~–
234     84|         Eh bien, mon ami, si vous êtes décidé à faire cette folie,
235     84|        dire par quelqu’un si vous êtes arrêté, alors je me retournerai
236     85|    monsieur. Mais, à propos, vous êtes de la Fronde, n’est-ce pas ?~ ~ ~–
237     86|             On voit bien que vous êtes des hommes d’épée. Il y
238     87|       depuis que je sais qui vous êtes et quels services vous avez
239     87|           vos amis.~ ~ ~– Et vous êtes sûr, monsieur de Comminges,
240     87|           a-t-il pris, à vous qui êtes une fleur de noblesse, d’
241     87|       quelque petite robine. Vous êtes un frondeur !~ ~ ~– Ma foi,
242     89|          voir de la place où vous êtes.~ ~ ~ ~Il rôde aux environs
243     89|        vérité, on dirait que vous êtes des anthropophages ! M.
244     90|   Artagnan, et véritablement vous êtes doué, Porthos.~ ~ ~– J’ai
245     91|        vous arrivera rien si vous êtes bien gentils ; mais si vous
246     91|         mais si vous bougez, vous êtes morts.~ ~ ~ ~Les soldats
247     91|        car, sur ma parole, vous n’êtes pas au bout, dit le Gascon
248     92|        est, dit Porthos, que vous êtes un grand moraliste.~ ~ ~–
249     92|         a-t-il longtemps que vous êtes dans l’orangerie, messieurs ?
250     92| Monseigneur, dit d’Artagnan, vous êtes bien bon ; mais notre liberté,
251     93|       prenant au piège, vous vous êtes pris avec moi. Comment sortirez-vous
252     93|        ministre !~ ~ ~– Vous ne l’êtes plus, Monseigneur, vous
253     93|           plus, Monseigneur, vous êtes prisonnier.~ ~ ~– Alors,
254     93|         Faites attention que vous êtes enfermés, pris.~ ~ ~– Vous
255     93|      Partez avec cette clef. Vous êtes alertes, vous êtes vigoureux,
256     93|           Vous êtes alertes, vous êtes vigoureux, vous êtes armés.
257     93|         vous êtes vigoureux, vous êtes armés. À cent pas, en tournant
258     93|           gémissement.~ ~ ~– Vous êtes libre par moi, monsieur,
259     93|          là son poste.~ ~ ~– Vous êtes donc nombreux ?~ ~ ~– Nous
260     94|           de ses amis.~ ~ ~– Vous êtes donc libres, frères ! libres
261     94|   délivrer sans escarmouche. Vous êtes libres ce soir, libres sans
262     94|         comme un prince, que vous êtes.~ ~ ~– Prince déchu, dit
263     95|        trouver Aramis.~ ~ ~– Vous êtes, vous, mon cher chevalier
264     95|            de Mazarin.~ ~ ~– Vous êtes dans l’erreur, monsieur,
265     96|                 Je crois que vous êtes une grande et puissante
266     97|             Comte, dit-elle, vous êtes, j’en ai bien peur, gagné
267     97|   habitation que Bragelonne. Vous êtes homme de goût ; vous devez
268     97|   souviens.~ ~ ~– En vérité, vous êtes charmant, comte, et j’aimerais
269     97|          Marie Michon.~ ~ ~– Vous êtes adorable, madame.~ ~ ~–
270     97|           tout vigoureux que vous êtes, vous ne pourriez pas tout
271    Con|         croirai toujours que vous êtes là près de moi, m’accompagnant
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