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Chap.
1 1| sellés dans les écuries, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, Monseigneur.~ ~ ~– 2 2| reprit Guitaut.~ ~ ~– Qu’est-ce que cela, une Fronde ? demanda 3 2| tu entends le français, n’est-ce pas, mon bon et brave Guitaut, 4 2| connais.~ ~ ~– Quel homme est-ce, alors ?~ ~ ~– Eh mais, 5 2| de faire autrement.~ ~ ~– Est-ce sérieusement que Monseigneur 6 3| Ceci demande explication, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Je l’avoue.~ ~ ~– 7 3| attendant la partie.~ ~ ~– Est-ce que vous croyez qu’on pourrait 8 3| Artagnan inclina la tête.~ ~ ~– Est-ce que Rochefort serait devenu 9 3| qu’aussi, dit Mazarin, qu’est-ce qui prouve le dévouement ?~ ~ ~– 10 4| tachée de sang.~ ~ ~– Qu’est-ce que cela ? demanda Mazarin.~ ~ ~– 11 4| demanda Mazarin.~ ~ ~– Qu’est-ce que cela, monsieur ? dit 12 5| hé ! pensa le Gascon, est-ce un piège ? Tenons-nous ferme.~ ~ ~ ~ 13 8| patient jusqu’au bout, n’est-ce point Aramis que je cherchais, 14 8| officier, dit l’enfant, est-ce qu’il y a encore d’autres 15 9| messieurs, dit d’Artagnan, est-ce qu’on est enragé, par hasard, 16 10| vous soupez avec moi, n’est-ce pas ? demanda Aramis.~ ~ ~– 17 10| vous attendait pas.~ ~ ~– Est-ce que je suis menacé de l’ 18 10| théobromes en question ? N’est-ce pas comme cela que vous 19 10| chose de secret à me dire. N’est-ce pas, d’Artagnan ?~ ~ ~ ~ 20 11| goûts les plus difficiles. Est-ce que vous tirez toujours 21 13| Porthos ; il est agréable, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Il est charmant.~ ~ ~– 22 13| souffrant, par hasard ?… Est-ce que cette santé…~ ~ ~– Excellente, 23 13| monde.~ ~ ~– Mais alors qu’est-ce donc qui vous fait soupirer ?~ ~ ~– 24 13| seulement…~ ~ ~– Baron ? n’est-ce pas ? dit d’Artagnan achevant 25 13| vous avez de l’argent, n’est-ce pas ? Quarante mille livres 26 14| C’est vigoureux, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Normand croisé 27 14| Oh ! mon Dieu ! qu’est-ce que j’entends ? dit Mousqueton 28 15| dit Planchet.~ ~ ~– N’est-ce pas ? reprit d’Artagnan.~ ~ ~– 29 15| seigneur retiré du service, n’est-ce pas ?~ ~ ~– C’est cela même.~ ~ ~– 30 16| ne serez point fâché, n’est-ce pas, mon ami, d’éclaircir 31 16| Je suis encore jeune, n’est-ce pas, malgré mes quarante-neuf 32 16| où elle manque de tout, n’est-ce pas ? Pendant les grands 33 16| nom vous paraît bizarre, n’est-ce pas, Raoul ? dit Athos en 34 17| De qui se cache-t-il ?… est-ce de moi ou de son père ?… 35 17| cher ami, reprit Athos, qu’est-ce donc que ces propositions ?~ ~ ~– 36 17| demander ce qu’il avait.~ ~ ~– Est-ce que notre petite voisine 37 17| Athos.~ ~ ~– Sans doute, n’est-ce point pour accourir à moi 38 18| Eh ! qu’y a-t-il ? Est-ce que M. de Beaufort s’est 39 19| connu, reprit le prince, est-ce M. le secrétaire du roi 40 19| signe de négation.~ ~ ~– Est-ce, continua le prince, M. 41 19| canne.~ ~ ~– Eh bien ! qu’est-ce que cela ? dit M. de Beaufort 42 20| poche.~ ~ ~– Holà, hé ! qu’est-ce que cela ? s’écria le duc, 43 20| remonta mécontent.~ ~ ~– Qu’est-ce, mon prince ? demanda-t-il.~ ~ ~– 44 20| chut donc ! Eh bien… mais, est-ce que je puis entendre des 45 20| campagne.~ ~ ~– Eh bien ! qu’est-ce que cela me fait à moi ?~ ~ ~– 46 22| retournant vers Athos, n’est-ce pas pour ménager ma timidité 47 22| duchesse de Chevreuse, et n’est-ce pas plutôt la reine ?~ ~ ~– 48 23| avait demandé Scarron, n’est-ce donc point un homme de naissance ?~ ~ ~– 49 23| pauvre homme.~ ~ ~– Mais qu’est-ce donc que M. Scarron, qui 50 23| Paris ? demanda Raoul ; est-ce quelque ministre disgracié ?~ ~ ~– 51 23| quatrain contre lui.~ ~ ~– Est-ce que les gentilshommes font 52 23| était cette jeune dame, n’est-ce pas ? C’est la belle Indienne.~ ~ ~– 53 25| pas mal imaginé.~ ~ ~– N’est-ce pas ? reprit le prince ; 54 26| dans ce chétif hôtel, n’est-ce pas ? demanda d’Artagnan 55 26| érigée en baronnie.~ ~ ~– N’est-ce que cela ? dit Mazarin, 56 26| Porthos sans bourse délier ; n’est-ce que cela ? la chose pourra 57 26| inquiétudes. Eh bien ! qu’est-ce que cela ? dit Mazarin.~ ~ ~ ~ 58 26| ne nous sommes battus, n’est-ce pas, Porthos ?~ ~ ~– Bataille ! 59 27| nous sommes bien montés, n’est-ce pas, Porthos ?~ ~ ~ ~Porthos 60 28| sortir d’un fossé.~ ~ ~– Qu’est-ce que cela ? demanda d’Artagnan.~ ~ ~– 61 29| cela, soyez tranquille. N’est-ce pas, monsieur de Blancmesnil ?~ ~ ~ ~ 62 29| Dieu, dit Mme Broussel, qu’est-ce encore que ce nouveau tumulte ?~ ~ ~– 63 29| Comment allez-vous, et qu’est-ce que cet assassinat dont 64 30| dit-il à Porthos.~ ~ ~– Qu’est-ce que je vois ?~ ~ ~– Qu’il 65 31| vous aimerai toujours. Qu’est-ce que le cardinal de Mazarin 66 31| homme comme Richelieu ? Qu’est-ce que tel ou tel prince pour 67 32| vous ai fait grand’peur, n’est-ce pas ? mais c’est votre faute : 68 33| nôtre, et même supérieure, est-ce que nous ne chargerions 69 34| permettrez point cela, n’est-ce pas ? ce serait trop terrible !~ ~ ~– 70 34| Vous êtes de mon avis, n’est-ce pas, vicomte ? et je vous 71 34| route ; vous nous excusez, n’est-ce pas, monsieur ? Mais on 72 34| a-t-il ? demanda celui-ci. Est-ce que par hasard tu te trouverais 73 34| leva tout debout.~ ~ ~– Qu’est-ce que cela, dit-il, et d’où 74 35| De grands cheveux, n’est-ce pas ? qui tombaient jusque 75 35| dites qu’elle l’a séduit, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Si 76 35| bien dit Anne de Bueil, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, oui, c’ 77 36| a fui par cette fenêtre. Est-ce donc lui qui vous a frappé ?~ ~ ~– 78 36| avait mérité son sort. N’est-ce donc plus votre avis ?~ ~ ~– 79 36| expliquer.~ ~ ~– Allons, qu’est-ce que cette plaisanterie ?~ ~ ~– 80 36| avez rencontré un moine, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~ ~Les 81 38| un peu médire du Mazarin. Est-ce permis ?~ ~ ~– Toujours, 82 38| cela ? dit le prince ; n’est-ce pas la même chose ? En vérité, 83 38| et dans l’avenir…~ ~ ~– Est-ce que vous craignez pour votre 84 38| le bourreau de Béthune… Est-ce de Béthune ?… Oui, ma foi, 85 38| augustin.~ ~ ~– Quel homme est-ce ?~ ~ ~– De ma taille, à 86 40| fortune ; vous êtes pauvre, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~Puis il ajouta 87 40| cardinal, vous avez entendu, n’est-ce pas ? Je vous fixe Boulogne 88 41| hospitalité à son gendre, n’est-ce pas, monsieur ? Vous devriez 89 41| lequel vous êtes en guerre, n’est-ce pas ? Vous chargerez Broussel 90 42| Fère ! s’écria-t-elle ; n’est-ce point ce nom que vous m’ 91 43| de répondre.~ ~ ~– Oui, n’est-ce pas ? continua le jeune 92 44| Calme et brillant, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Calme comme 93 44| vous feriez ainsi, Raoul, n’est-ce pas ?~ ~ ~– J’en doute, 94 44| monsieur, j’en ai dix, aussi n’est-ce point au camp que je désirerais 95 44| devez un remerciement, n’est-ce pas, Raoul ?~ ~ ~– Mais 96 45| allons-nous ? dit Aramis ; est-ce qu’on se bat par là, sacrebleu ? 97 45| remettre deux choses.~ ~ ~– Est-ce choses qui puissent se remettre ?~ ~ ~– 98 47| oublierez pas le garçon, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~Raoul mit la 99 47| bien content de vous, n’est-ce pas ? dit-il en le regardant 100 48| qui vient de sortir, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, Monseigneur, 101 48| malheur qui vous arrive.~ ~ ~– Est-ce vrai et parlez-vous sérieusement ? 102 48| Douze heures, monsieur. Est-ce trop ?~ ~ ~– Il est midi ; 103 48| goupillon à la main.~ ~ ~– Est-ce par privilège, dit Gondy, 104 49| demandé cinq cents hommes, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, eh bien ?~ ~ ~– 105 50| Oh ! oh ! dit-il, qu’est-ce que cela ? le maréchal de 106 50| vous, monsieur du Vallon, est-ce votre avis ? Que feriez-vous ?~ ~ ~– 107 50| puis compter sur vous, n’est-ce pas, messieurs ? dit-il.~ ~ ~– 108 51| mettra bon ordre.~ ~ ~– Est-ce pour me dire cela, Madame, 109 51| devint très pâle.~ ~ ~– Qu’est-ce encore ? dit-il.~ ~ ~ ~En 110 52| Contre qui crie-t-on ? Est-ce contre vous ou contre moi ? 111 52| moi ? Qui veut-on pendre ? Est-ce vous ou moi ? Eh bien, je 112 53| contre moi ? Il médite ; est-ce de m’envoyer à la Bastille ? 113 54| sortir de Paris d’abord, n’est-ce pas, mon cher monsou d’Artagnan ?~ ~ ~– 114 54| faut que je te l’achète, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~Et tout en poussant 115 54| que vous deux ?~ ~ ~– N’est-ce donc pas assez ? un des 116 54| confiance.~ ~ ~– Et Bernouin, est-ce que je ne l’emmène pas ?~ ~ ~– 117 55| qui s’approchait.~ ~ ~– Qu’est-ce que cela ? dit la reine.~ ~ ~– 118 55| serviteurs de la reine, n’est-ce pas ? c’est mon tour de 119 55| pardonne, dit Planchet, mais est-ce bien le roi qui est couché 120 56| cents pistoles ; mais qu’est-ce qui fait quatre cents pistoles ?~ ~ ~– 121 56| vaut un louis.~ ~ ~– Qu’est-ce qui vaut un louis ?~ ~ ~– 122 56| bien envie de dormir, qui est-ce qui ne paierait pas deux 123 56| Artagnan. Que me veut-il ? Est-ce pour me faire capitaine ? 124 56| nous pourrons compter, n’est-ce pas, M. Porthos sur sa baronnie 125 57| me parle de son retour, n’est-ce pas, Porthos ?~ ~ ~ ~Tout 126 57| la lisais encore tantôt. Est-ce que je l’aurai perdue ! 127 57| dit d’Artagnan. Bah ! qu’est-ce que les Turcs pour des hommes 128 57| singulière commission !~ ~ ~– Qu’est-ce que ce M. Olivier Cromwell ? 129 57| répondit d’Artagnan.~ ~ ~– Est-ce que le Mazarin voudrait 130 57| dit Porthos, sans souper ? Est-ce que M. Cromwell ne peut 131 58| préoccupé de la même idée, n’est-ce pas une tradition en France, 132 58| Sire, dit Athos, peut-être est-ce ainsi que doit agir un roi, 133 58| nous sommes sauvés.~ ~ ~– Est-ce votre avis, de Winter ? 134 58| Oui, sire.~ ~ ~– Est-ce le vôtre, monsieur d’Herblay ?~ ~ ~– 135 58| Toi, tu me seras fidèle, n’est-ce pas, Arthus ?~ ~ ~ ~Et comme 136 58| celle du camp.~ ~ ~– Qu’est-ce que cette ligne ? dit Athos, 137 58| de distinguer encore. Qu’est-ce que cette ligne ? je ne 138 58| Allons, dit Aramis.~ ~ ~– Est-ce que le roi serait blessé ? 139 59| ne vous y trompez pas. N’est-ce pas, milord de Winter, que 140 59| vous n’êtes pas le roi ? n’est-ce pas que vous êtes mon oncle ?~ ~ ~ ~ 141 62| Demandez-lui donc l’ordre écrit. Qu’est-ce que cela vous coûte, mon 142 62| selle, et nous piquons ; est-ce cela ?~ ~ ~– À merveille !~ ~ ~– 143 62| vous fuyez avec nous, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Je le crois 144 63| reste à tenir notre parole. Est-ce votre avis, d’Herblay ?~ ~ ~– 145 64| serviteurs de Sa Majesté.~ ~ ~– Est-ce vrai ce que vous me dites 146 64| prendre du côté opposé. Est-ce votre avis, Athos ?~ ~ ~ ~ 147 64| des frères. D’ailleurs, n’est-ce pas le fils d’un boucher ? 148 64| fils d’un boucher ? Oui, n’est-ce pas ? Eh bien ! Porthos 149 65| point une plaisanterie, n’est-ce pas ? elle me ferait trop 150 65| certainement, tous quatre ; est-ce que nous quittons nos prisonniers !~ ~ ~– 151 65| sommes à vingt lieues d’ici ! est-ce tramé cela, Athos ?~ ~ ~ ~ 152 65| compris, nous tuerons tout, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~Athos frissonna 153 67| parlement du tout.~ ~ ~– Qu’est-ce que le colonel Pride ? demanda 154 68| le regarde, l’insolent ! Est-ce qu’il haïrait Sa Majesté 155 68| regarderez point, sire, n’est-ce pas ? Il y a que, sur une 156 70| veux-tu que je sache cela ? est-ce que je connais ces hommes ?~ ~ ~– 157 70| d’en donner un à Parry. Est-ce tout ?~ ~ ~– Oui, allez ; 158 72| précipitation de la course, est-ce bien vous qui calomniez 159 72| Hum ! dit Porthos, est-ce que le bourreau ne serait 160 72| gros et court.~ ~ ~– Qui est-ce ? demandèrent ensemble et 161 72| Oui.~ ~ ~– Et qui est-ce ? dit Porthos.~ ~ ~– Lui ! 162 73| imbéciles de puritains.~ ~ ~– N’est-ce pas ainsi que Votre Honneur 163 74| homme qu’on va assassiner, n’est-ce pas ? répondit Mordaunt 164 74| appris à sourire ainsi, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~Mordaunt ne 165 75| du capitaine Roggers, n’est-ce pas ? vous êtes ici par 166 75| à vous. Tout est prêt, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– La 167 75| au-dessus de la muraille.~ ~ ~– Est-ce vous, capitaine ? demanda 168 75| montré à Mordaunt.~ ~ ~– Est-ce tout ? demanda Athos.~ ~ ~– 169 75| rhinocéros comme vous. Ohé ! qu’est-ce que cela ?~ ~ ~– L’Éclair, 170 76| repartie, mais la bière, est-ce là sa vraie boisson ?~ ~ ~– 171 77| Aramis, diable !~ ~ ~– Qu’est-ce que c’est que cela, Groslow ? 172 79| sans trop de répugnance, n’est-ce pas, surtout après deux 173 79| main à d’Artagnan.~ ~ ~– Est-ce que le renard a du génie, 174 79| nuit, voilà tout. Eh bien, est-ce dit ?~ ~ ~– C’est dit.~ ~ ~– 175 79| Eh mais, dit d’Artagnan, est-ce que vous croyez, Athos, 176 81| Aramis de son ton goguenard ; est-ce donc le voisinage de Mazarin 177 81| trouver demain à Charenton, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Ah ! dit Aramis, 178 81| permettrez une chose, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Laquelle ?~ ~ ~– 179 82| C’est votre avis, n’est-ce pas, monsieur le comte de 180 82| Aramis ; mais dites-moi, n’est-ce pas MM. de Flamarens et 181 82| votre part de mon souper, n’est-ce pas ? Boisjoli, préviens 182 82| Vous connaissez Noirmont, n’est-ce pas, messieurs ? c’est mon 183 82| regardez donc, Athos ! est-ce que ce fat de coadjuteur 184 82| coadjuteur pour ce soir, n’est-ce pas, Athos ?~ ~ ~– Comme 185 82| chercher place Royale, n’est-ce pas ? Allons donc en avant, 186 83| officiers de l’armée royale. N’est-ce pas M. de Châtillon lui-même 187 83| même le désir de le voir. Est-ce possible ?~ ~ ~– Très possible, 188 85| le comte de La Fère. N’est-ce pas comme cela que vous 189 85| vais revoir mes amis ; n’est-ce pas, Madame ? c’est bien 190 85| vous êtes de la Fronde, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Madame, je sers 191 86| en savez quelque chose, n’est-ce pas, Madame ? Je veux donc 192 87| murs et des toits.~ ~ ~– Qu’est-ce que ce bâtiment ? dit-il.~ ~ ~– 193 88| étudier Rueil.~ ~ ~– Qu’est-ce que ça fait ? dit Porthos, 194 89| espère, mon impatience, n’est-ce pas, monsieur de Comminges ? 195 89| Porthos, qu’y a-t-il donc ? est-ce que vous devenez fou, mon 196 90| toujours le bras assez bon, n’est-ce pas, Porthos ?~ ~ ~ ~Porthos 197 91| pour deux.~ ~ ~– Eh bien ! est-ce qu’il n’a pas son camarade ?~ ~ ~– 198 91| pas fâché de comprendre, n’est-ce pas Porthos ?~ ~ ~– Mais 199 92| demander votre liberté, n’est-ce pas ? Je vous la donne.~ ~ ~– 200 93| Grimaud ! que fais-tu là ? Est-ce le ciel qui t’envoie ?~ ~ ~– 201 95| sais tout cela ; aussi n’est-ce ni à M. de Beaufort, ni 202 95| Majesté. Voyons, Madame, est-ce que Votre Majesté n’aura 203 96| est pas un homme.~ ~ ~– Qu’est-ce donc ?~ ~ ~– M. le comte 204 97| un enfant !~ ~ ~– Aussi est-ce une enfant qu’il aime !~ ~ ~ ~ 205 98| potence l’italien ! » N’est-ce pas cela que vous m’aviez 206 98| trouvé, vous me le direz, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Pardieu ! fit 207 Con| Ah vraiment ! qui est-ce ?~ ~ ~– C’est cette canaille