Chap.

  1      1|       avait vendu douze brevets de maître des requêtes, et, comme
  2      3|           voici, Monseigneur : Tel maître…~ ~ ~– Je le connais : tel
  3      7|          Il doit savoir où est son maître.~ ~ ~– Sans aucun doute.~ ~ ~ ~
  4      8|         jamais celui de mon pauvre maître, et qu’il n’a pas tenu à
  5      8|          je ne doute pas que votre maître ne soit en train de faire
  6      8|           ignorezdemeure votre maître, n’en parlons plus, quittons-nous
  7      9|        avait toujours eue pour son maître, et que quinze ans de séparation
  8      9|            Nous nous retrouverons, maître d’Artagnan, continua le
  9     10|           Par qui ?~ ~ ~– Mais par maître Bazin, qui vous a pris pour
 10     11|                  Avec un excellent maître d’armes que nous avons ici.~ ~ ~–
 11     11|        avez pour le moment d’autre maître que Dieu, dit en riant le
 12     11|   rendormir.~ ~ ~– Allons, allons, maître dormeur, vite l’échelle.~ ~ ~–
 13     12|    Seulement il supplia son ancien maître de partir le soir, l’obscurité
 14     12|          coursier sur celui de son maître.~ ~ ~ ~Au bout de dix minutes,
 15     12|          joie pour mon seigneur et maître du Vallon de Bracieux de
 16     12|  Mousqueton ! Il est donc ici, ton maître ?~ ~ ~– Vous êtes sur ses
 17     12|         car je ne veux pas que mon maître apprenne la nouvelle de
 18     14|       intendant vint consulter son maître sur le menu du lendemain
 19     15|       avait peu à peu dépouillé le maître, et Planchet avait quitté
 20     15|          qu’il appelait encore son maître au rang de confident. D’
 21     15|     partageait les craintes de son maître.~ ~ ~– Et puis, reprit d’
 22     15|            et plus ivrogne que son maîtretiens, Planchet, tout cela
 23     15|   impression, interdit de voir son maître si agité, regardait alternativement
 24     15|     annoncer à M. le comte que mon maître, un gentilhomme de ses amis,
 25     15|      ouvrant la grille. Mais votre maître, où est-il ?~ ~ ~– Derrière
 26     15|         lèvres, s’avançait vers le maître du logis.~ ~ ~– Mais je
 27     16|         vous êtes cependant un bon maître, surtout sous le rapport
 28     17|           en le reconnaissant leur maître en diplomatie, Aramis et
 29     17|          ses pensions. C’est là le maître que vous me proposez, d’
 30     17|            donc que ce soit là mon maître et que je veuille vous l’
 31     17|            un cuistre ! un mauvais maître ! Eh, parbleu ! je suis
 32     18|        paraît que c’est son ancien maître qui l’a dressé à cela.~ ~ ~–
 33     19|          le quadrupède changeât de maître. M. de Beaufort restait
 34     19|            au premier ordre de son maître, se plaça sur cette ligne,
 35     19|           était point de même pour maître La Ramée, et quoiqu’il estimât
 36     19|          bon père et bon époux. Or maître La Ramée adorait sa femme
 37     20|            fort que jamais, et par maître Jacques-Chrysostome La Ramée,
 38     20|       sorti de prison que je serai maître de Paris.~ ~ ~– Chut ! chut
 39     21|          autre que Noirmont, votre maître d’hôtel ; n’ouvrez le pâté
 40     21|             il paraît que celui de maître La Ramée est la gourmandise.
 41     21|            n’avait point été assez maître de lui ; mais en ce moment,
 42     22|           éclater de rire, puis le maître ou plutôt la maîtresse répondit :~ ~ –
 43     24|            craint, tant haï de son maître, est descendu dans la tombe,
 44     25|      ministre, au subordonné et au maître.~ ~ ~ ~Puis M. de Beaufort,
 45     25|                  Et pourquoi cela, maître La Ramée ? demanda le duc.~ ~ ~–
 46     25|     supposez, par exemple, que mon maître d’hôtel, Noirmont, ait traité
 47     26|          qui, après avoir perdu un maître, en avait trouvé deux.~ ~ ~ ~
 48     27|            venait de rejoindre son maître à pied ; monsieur, Phébus
 49     28|           exécutait l’ordre de son maître.~ ~ ~– Sus ! sus ! dit d’
 50     28|          Artagnan ; tu quittes ton maître ?~ ~ ~– Oui, dit Grimaud,
 51     29|        pour aller au-devant de son maître en criant : « Ô mon Dieu !
 52     29|         pour demander son congé au maître de la taverne, congé qui
 53     29|         pas.~ ~ ~– Oh ! mon pauvre maître ! mon cher maître, s’écriait-elle.~ ~ ~–
 54     29|           pauvre maître ! mon cher maître, s’écriait-elle.~ ~ ~– Oui,
 55     29|         Dieu, mon Dieu, mon pauvre maître !~ ~ ~– Chut donc ! disait
 56     29|     fenêtre et montrez-vous, notre maître.~ ~ ~– Je m’en garderai
 57     29|      Gervaise remontée près de son maître, que l’on heurta fortement
 58     29|          stupéfaite, regardait son maître avec admiration. Le conseiller
 59     30|            avez failli écraser son maître ?~ ~ ~– Et qui le lui dira ?~ ~ ~–
 60     32|            de rien, et votre jeune maître n’a pas d’appétit.~ ~ ~–
 61     32|          cette belle action de son maître ne satisfît pas entièrement.
 62     34|            dit l’hôte, votre jeune maître était ici il n’y a qu’un
 63     34|            de rencontrer son jeune maître avant la fin du jour, parut
 64     36|          vingt ans, une nuit ; mon maître vous avait pris à Béthune
 65     36|           qui sont les autres, mon maître est perdu alors.~ ~ ~– Hâtez-vous,
 66     36|            générosité digne de son maître et remonta à cheval.~ ~ ~ ~
 67     38|          fait le bourreau ? Il est maître de son bras, et cependant
 68     39|       lettre du roi notre époux et maître.~ ~ ~ ~De Winter salua de
 69     40|          pour vous, vous servez un maître tout-puissant. Il doit vous
 70     40|          revint à la hâte vers son maître pour introduire près de
 71     41|          de Gygès, qui rendait son maître invisible lorsqu’il faisait
 72     43|         plaça côte à côte avec son maître.~ ~ ~– Avez-vous remarqué
 73     43|         attendant qu’un cri de son maître pour monter près de lui.~ ~ ~ ~
 74     46|           face de l’auberge où son maître et lui avaient fait autrefois
 75     47|            passait des choses dont maître Broussel devait être averti,
 76     47|           attends pour entrer chez maître Broussel, monsieur l’officier !
 77     47|          le laquais, et apprit que maître Broussel était chez lui,
 78     47|     tranquille quand on arrête mon maître, le soutien, le libérateur,
 79     47|         cria-t-elle, on arrête mon maître ! on arrête le conseiller
 80     47|        secours ! au secours ! pour maître Broussel, qu’on arrête parce
 81     47|      instant envie de courir après maître Friquet, mais il ne voulut
 82     50|         des femmes et des enfants. Maître Friquet, possesseur d’un
 83     51|           C’est vrai, dit-elle, le maître hypocrite ! voyez !~ ~ ~–
 84     54|            était prêt à suivre son maître et M. d’Artagnan au bout
 85     55|         vînt d’un autre que de son maître. Le suisse allait fermer
 86     55|           ne reconnaissant pas son maître, faisait un pas en arrière,
 87     55|    impatience des nouvelles de son maître.~ ~ ~– Eh bien ! monsieur ?
 88     55|    derrière son rideau, décidément maître Planchet n’est point un
 89     57|            la voix de l’ami de son maître, se leva précipitamment,
 90     57|          activité le cheval de son maître et monta sur le sien sans
 91     57|        Artagnan, et à notre retour maître Mazarini les signera.~ ~ ~–
 92     57|             il reconnut son ancien maître.~ ~ ~– Bonjour, monsieur
 93     57|          celui qui regarderait mon maître de travers en ce moment,
 94     57|          Artagnan comme son second maître et lui obéissait même plus
 95     57|          dit d’Artagnan, apprenez, maître Olivain, que des gens tels
 96     57|          des poltrons. Volez votre maître, mangez ses confitures et
 97     57|          bien fait, dit-il, si ton maître avait tort, et voici un
 98     58|           cherchaient.~ ~ ~– Votre maître dort-il, Tony ? dit en anglais
 99     59|     accourut, et reconnaissant son maître, s’arrêta près de lui en
100     60|       Charles Stuart. Vous êtes le maître de l’Angleterre maintenant.~ ~ ~–
101     60|          demande à vous faire, mon maître.~ ~ ~– À moi ?~ ~ ~ ~Mordaunt
102     60|         mon père, et je vous dis : Maître, êtes-vous content de moi ?~ ~ ~ ~
103     61|         veut le respecter comme un maître, on ne l’achète pas comme
104     63| devriez-vous pas prétendre avec un maître intelligent, œil infaillible,
105     63|           si vivement guéri, votre maître de sa foulure.~ ~ ~– Hélas !
106     63|          demander l’hospitalité au maître d’une petite maison que
107     63|         allons demander à dîner au maître de cette maison. Messieurs,
108     63|             eh ! dit Aramis, si le maître est puritain ?…~ ~– Tant
109     64|         inclina sur la main de son maître et la baisa avec respect.~ ~ ~–
110     65|          grâce à la supériorité du maître, il était arrivé à une certaine
111     66|         eût été de l’étain ; moins maître de lui, Aramis fouillait
112     66|     Artagnan, c’est de bon augure. Maître Groslow, ajouta-t-il, prenez
113     67|        contraindrait.~ ~ ~– Merci, maître Perez, dit Athos ; maintenant
114     69|           n’avait point quitté son maître, et depuis sa condamnation
115     69|           écrit à l’instant même à maître Tom Low, garçon charpentier
116     69|           Bull lui-même, vous êtes maître Tom Low, et nous sommes,
117     69|      exécuteur faisait foi près du maître charpentier que c’était
118     70|        penchant vers le lit de son maître, sire, c’est le comte de
119     72|            fort rancuniers. Gare à maître Groslow ! il pourra bien
120     72|         tremblantes la main de son maître.~ ~ ~– Qui, lui ? demanda
121     73|            veut bien me donner mon maître.~ ~ ~– Parce qu’on eût dit
122     73|            été appliqué de main de maître.~ ~ ~ ~Mordaunt se rappela
123     73|            Grimaud, avec son digne maître, il doit y avoir, caché
124     76|             vous avez nourri votre maître et vous-même en prenant
125     76|            Comme un chien suit son maître au bout d’une laisse de
126     77|           n’abandonnerez pas votre maître.~ ~ ~– Ah ! monsieur, dit
127     77|           son fidèle compagnon. Le maître suivit de si près son valet,
128     79|            dépecé et mangé par ton maître ?~ ~ ~– Oui, monsieur, quoique
129     79|           patron de la part de son maître, et à neuf heures du matin,
130     80|         brossé les chapeaux de son maître ?~ ~ ~ ~
131     81|          Charles Ier , mon auguste maître, avait été condamné à mort
132     82|         pas, messieurs ? c’est mon maître d’hôtel, le successeur du
133     82|           pour nous votre illustre maître d’hôtel, dont nous connaissons
134     82|            C’est bien, c’est bien, maître Bazin, dit Aramis ; trêve
135     83|       entendu parler de son ancien maître.~ ~ ~– Ce pauvre Planchet !
136     87|           porte du château par son maître, avait entendu la nouvelle
137     87|   vingt-deux ans qu’il servait son maître, avait vu celui-ci se tirer
138     88|              il est impossible que maître Aramis, ce fin limier, et
139     95|          ne voyant pas revenir son maître et entendant sonner minuit,
140     95|          vit notre ambassadeur fut maître Bernouin en personne, qui,
141     95|     attendait des nouvelles de son maître disparu.~ ~ ~ ~À la vue
142     95|          qui soit agréable à votre maître, prévenez Sa Majesté que
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