Chap.

  1      1|      toujours depuis qu’il est mort, a été plus bas que moi ;
  2      3|       qui voulait dire qu’à la mort du cardinal M. du Tremblay
  3      3| Bassompierre, car, le cardinal mort, contre toute attente, les
  4      3|       cinq ans, je vous ai cru mort.~ ~ ~– Ma foi, dit Rochefort,
  5      3| différence, je crois, entre un mort et un enterré ; or je suis
  6      3|      contre la reine, que, lui mort, vous deviez comprendre,
  7      3|       seigneurs ?~ ~ ~– Il est mort, monsieur, et c’est une
  8      6|      et les bijoux. On le crut mort ; sa femme surtout, qui
  9      6|        pas !~ ~ ~– Mais il est mort, j’en suis sûre.~ ~ ~– C’
 10      6|     pas se relever, on le crut mort, et tous ceux qui avaient
 11      6|       division qui désirent la mort du général en chef, jusqu’
 12      6|        soldats qui désirent la mort des caporaux, tout le monde
 13      6|        tout le monde désire la mort de quelqu’un.~ ~ ~ ~Mais
 14      6|            Votre mari est donc mort enfin ?~ ~ ~– Que vous imborde ?
 15      7|       mois à peu près avant la mort du feu cardinal, j’ai reçu
 16      7|   étais en Béarn à cause de la mort de mon père, la lettre m’
 17     10|  retour de Bruxelles, après la mort du roi ?~ ~ ~– Oui, certes,
 18     10|       arrangé.~ ~ ~– En est-il mort ?~ ~ ~– Je n’en sais rien.
 19     11|        nourrit ; je puis, à la mort de ce pauvre M. de Tréville,
 20     15|    Athos. Mon Dieu ! serait-il mort, et cette propriété appartiendrait-elle
 21     16|        de Bassompierre qui est mort aussi depuis. Monsieur daigne
 22     17|   reculer, sans vivre. Je suis mort en un mot ! Eh bien ! lorsqu’
 23     19|    pendant quelque temps, à la mort du roi Louis XIII, le favori,
 24     19|        que je vous dois rendre mort au vif.~ ~ ~ ~Et il saluait
 25     21|      prince, ne fût-ce qu’à la mort de Mazarin : j’ai quinze
 26     24|       tout le monde regarda la mort du cardinal comme une délivrance,
 27     25|       tu pousses un cri, tu es mort ! »~ ~ ~Nous l’avons dit,
 28     26|        et devint pâle comme la mort en entendant les paroles
 29     26|       mais si vous le ramenez, mort ou vif, vous demanderez
 30     27|                Bon ! un cheval mort ! dit d’Artagnan en ramenant
 31     27|    cheval ! dit Porthos.~ ~ ~– Mort ?~ ~ ~– Non, expirant.~ ~ ~–
 32     28|       avais juré de le ramener mort ou vif ! Ah ! je suis déshonoré.~ ~ ~–
 33     28|   votre honneur a besoin de ma mort.~ ~ ~– Oh ! malheur à moi !
 34     29|        secours ! aux armes ! à mort !~ ~ ~ ~En un moment la
 35     30|  parole et me l’eussiez ramené mort ou vif.~ ~ ~– Eh bien !
 36     30|        n’était pas entièrement mort à l’amitié ! Tenez, Aramis,
 37     32|        en répétant : « Je suis mort, nous sommes perdus ! »~ ~ ~
 38     32|  cherchais : sans vous j’étais mort, trois fois mort.~ ~ ~–
 39     32|       j’étais mort, trois fois mort.~ ~ ~– Mais on ressuscite,
 40     32|    entre nous à la vie et à la mort.~ ~ ~– Monsieur, dit Raoul
 41     33|   fouillent un homme blessé ou mort.~ ~ ~– C’est quelque lâche
 42     33|       lui dit-il, ou vous êtes mort !~ ~ ~ ~Le mousquet tomba
 43     33|      paroles du comte, j’étais mort, trois fois mort.~ ~ ~–
 44     33|       j’étais mort, trois fois mort.~ ~ ~– Mon ennemi en prenant
 45     34|       son sangcelui-là était mort.~ ~ ~ ~L’autre, adossé à
 46     34|       gens allèrent d’abord au mort et se regardèrent avec étonnement.~ ~ ~–
 47     35|       avait été la cause de la mort de mon frère. Oh ! mon père !
 48     35|             Si elle a causé sa mort… vous avez dit qu’elle avait
 49     35|     dit qu’elle avait causé sa mort ?~ ~ ~– Oui, répéta le bourreau.~ ~ ~–
 50     36|         prévenez ses amis ; ma mort, croyez-le bien, ne sera
 51     36|        à l’auberge, et qui est mort entre mes bras.~ ~ ~– Entre
 52     36|   connaissais.~ ~ ~– Et il est mort ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~ ~Les deux
 53     36|      quittez que quand il sera mort ; la vie de cinq hommes
 54     37|       de Condé, que, depuis la mort de Henri de Bourbon, son
 55     38|     sait ce qu’il est devenu ? Mort le serpent, morte la couvée ?
 56     38|        lui.~ ~ ~– L’enfant est mort, ou le diable m’emporte !
 57     42|          Non, monsieur, il est mort, et c’est de lui que mon
 58     43|        trente ans joue avec la mort :~ ~ ~– Voulez-vous m’assassiner,
 59     44|     yeux, étonné de n’être pas mort, ou tout au moins blessé ;
 60     44|      il a assisté à son lit de mort un homme qui le connaissait.~ ~ ~–
 61     45|     affirmant qu’il cherche la mort comme une chose désirable.
 62     45|       M. le comte, fût-ce à la mort, je le suis sans demander
 63     46|        ai bien cru que j’étais mort.~ ~ ~ ~On continua le chemin.
 64     47|      Le premier qui avance est mort ! cria Raoul qui, se voyant
 65     47|  faisaient leur effet.~ ~ ~– À mort l’officier ! à mort ! hurla
 66     47|          À mort l’officier ! à mort ! hurla la foule.~ ~ ~ ~
 67     47|         j’ai ordre de l’amener mort ou vif, je l’amènerai mort,
 68     47|     mort ou vif, je l’amènerai mort, voilà tout.~ ~ ~ ~Un cri
 69     47|  palais, dit-il au cocher plus mort que vif.~ ~ ~ ~Celui-ci
 70     47|      sanglants. Les cris : « À mort ! à mort les gardes ! à
 71     47|        Les cris : « À mort ! à mort les gardes ! à la Seine
 72     47|      la main, c’était un homme mort, et, ma foi, quand j’aurais
 73     47|       qu’il court un danger de mort.~ ~ ~– Ah bien oui ; lui,
 74     47|       lui, courir un danger de mort ! soyez tranquille : non,
 75     48|        d’une personne morte de mort violente ; hier encore j’
 76     51|        ce bon monsou Broussel, mort ou vif, et tout serait fini.~ ~ ~–
 77     51|             Si vous le rendiez mort, tout serait fini, comme
 78     51|      entendez.~ ~ ~– Ai-je dit mort ou vif ? reprit Mazarin :
 79     51|    reine.~ ~ ~– Voilà un homme mort, s’il y a encore quelque
 80     52|   toutes parts et portaient la mort aux oreilles de Mazarin ;
 81     55|       dit d’Artagnan, et tu es mort !~ ~ ~ ~Le cocher vit à
 82     57|     sont-ils donc en danger de mort ?~ ~ ~ ~D’Artagnan continua :~ ~ ~«
 83     58|        l’un évanoui et l’autre mort.~ ~ ~ ~Athos avait assommé
 84     59|    Mais si j’accepte, c’est la mort, c’est tout au moins la
 85     59|     assuré que de Winter était mort, lâcha le cadavre, et tirant
 86     61|        de son ignominie, de sa mort.~ ~ ~– Oh ! oh ! dit Porthos,
 87     61|         mourons donc comme est mort de Winter ; quant à moi,
 88     61|          Qui a intérêt à votre mort ? D’ailleurs, vous êtes
 89     63|       ce ne soit à la peine de mort ; ils en ont trop fait contre
 90     64|     bien ! dit Athos, s’il est mort, il n’y a pas longtemps
 91     64|     regrette et se reproche ma mort.~ ~ ~– Soyez tranquille,
 92     64|        vrai, mais il n’est pas mort.~ ~ ~ ~Et en disant ces
 93     64|        le roi, la pâleur de la mort au front, pour lui indiquer
 94     65|      Athos était pâle comme la mort et tremblait de tous ses
 95     67|           Oh ! dit Porthos, la mort n’est rien, et ce n’est
 96     67|       rien, et ce n’est pas la mort qui doit nous inquiéter,
 97     68|        on m’impose un genre de mort, et désire fort mourir à
 98     68|    ceux à la recherche et à la mort desquels il avait voué sa
 99     68|      au milieu d’un silence de mort, Charles, calme, hautain
100     68|     est digne d’être défendu ; mort, d’être pleuré.~ ~ ~ ~Mais
101     69|      condamna Charles Stuart à mort, comme il était facile de
102     69|         le monarque condamné à mort regardait tristement le
103     69|       parlera de Dieu et de la mort comme il en a parlé à d’
104     69|     ces frissons glacés que la mort nous jette comme son premier
105     69|       je viens l’exhorter à la mort.~ ~ ~– Assez, dit Parry,
106     70|    replacée sur sa tête, vous, mort ou vivant sur cette plaque,
107     71|        le devenir que par leur mort. Jurez-moi donc de ne pas
108     71|     deux heures. Un silence de mort régnait dans la chambre
109     71|     Charles, las d’attendre la mort, s’était tout à coup décidé
110     71|    aurait fait l’instrument de mort remué sur le billot se fit
111     71|      reprendrez quand je serai mort.~ ~ ~– Oui, sire, dit une
112     72|      maintenant que le roi est mort ?~ ~ ~– Ainsi, monsieur
113     72| balbutia Grimaud pâle comme un mort et saisissant de ses mains
114     73|     Votre Honneur regardait la mort de Charles Ier comme un
115     75|   instant j’avais pensé que la mort du roi…~ ~ ~– La mort du
116     75|       la mort du roi…~ ~ ~– La mort du roi n’a fait que hâter
117     76|       qu’un prince anglais est mort un jour parce qu’on l’avait
118     77|      car Mousqueton se croyait mort.~ ~ ~ ~Mais Porthos n’était
119     78|       le premier ce silence de mort, pour cette fois je crois
120     78|   barque, car l’approche de la mort semblait lui donner une
121     78|      continua Athos, voyez, la mort se peint sur son visage ;
122     78|       Dieu merci ! il est bien mort. Tenez !~ ~ ~ ~Et d’Artagnan,
123     81|   maître, avait été condamné à mort malgré le vœu de la majorité
124     81|     anneau nuptial qu’avant sa mort Charles avait remis à Aramis ;
125     82|       apprendre ?~ ~ ~– Il est mort, Monseigneur, dit Aramis.~ ~ ~–
126     82|       fit le duc étonné.~ ~ ~– Mort sur un échafaud, condamné
127     82|          de sorte que comme la mort de son oncle lui a donné
128     82|       qui m’a été promise à sa mort, eh bien ! je ne serais
129     83|        annonça tout haut cette mort, qui redoubla le courage
130     83|    déchargé vous êtes un homme mort.~ ~ ~– Dieu merci, dit Châtillon,
131     83|        cuirasse.~ ~ ~– Je suis mort ! murmura le duc.~ ~ ~ ~
132     84|      ne sont pas morts, car la mort de d’Artagnan serait bruyante.
133     95|        vous le lâchez, je suis mort.~ ~ ~– Il ne me fallait
134     95| délivré, M. le cardinal serait mort, et Son Éminence est si
135     96|     leur livrerait le cardinal mort ou vivant ; vivant pour
136     96|         vivant pour le pendre, mort pour le traîner à la voirie !~ ~ ~–
137     97|        quelques jours avant sa mort.~ ~ ~ ~Le comte disait vrai ;
138     97|           À bas le Mazarin ! À mort le cardinal ! » retentirent
139     98|       Artagnan. Votre chef est mort, et vous n’avez plus rien
140     98|   criais : « À bas Mazarin ! à mort le cardinal ! à la potence
141     98|      blessé n’était pas encore mort.~ ~ ~ ~On lui ouvrit la
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