Chap.

  1      1|           ombre du grand homme. La France affaiblie, l’autorité du
  2      1|            pour les plus braves de France ; le lendemain, le premier
  3      2|           aient été représentés en France.~ ~ ~ ~L’aspect de la ville
  4      2|            Mazarin, ne fût venu en France que vers 1634 ou 1635, c’
  5      4|      dormante. Il y a cependant en France un proverbe sur l’eau qui
  6      5|          Éminence remuera toute la France et même toute l’Europe,
  7      6|         beau matin le chemin de la France, une fois en France la route
  8      6|          de la France, une fois en France la route de Paris, et une
  9      7|            Paris et trois mille en France. Et puis peut-être en se
 10      8|        court, dit Rochefort, et la France est grande.~ ~ ~– N’importe,
 11     10|          il lui a fallu quitter la France. C’était un si rude jouteur
 12     11|           sans nom, qui ne fera en France qu’un chemin de partisan.
 13     15|            dans notre beau pays de France.~ ~ ~– Dix minutes de chemin,
 14     19|          est assez, pour un roi de France, de changer de draps tous
 15     19|           de toutes les prisons de France.~ ~ ~ ~Le chien fit trois
 16     22|            plus gracieuse femme de France.~ ~ ~ ~Cette réponse rassura
 17     22|            et la plus gracieuse de France un an avant qu’il vînt au
 18     22|            en 1623, la couronne de France d’un héritier.~ ~ ~ ~Au
 19     22|      Michon, lorsqu’elle revint en France, en 1643, fit redemander
 20     24|          grand homme qui tenait la France dans ses mains, et qui,
 21     25|          qu’il y a en ce moment en France un homme plus heureux que
 22     26|          rejoindrait-on encore. La France est grande, et la plus proche
 23     35|            il paraît : une fois en France, et l’autre en Angleterre.~ ~ ~–
 24     37|            l’armée française de la France. Ce canon qu’on entendait,
 25     37|      devait le lendemain sauver la France pour la seconde fois d’une
 26     38|           Angleterre, qu’il est en France, qu’il vient à Paris, s’
 27     39|     essayer de gagner les côtes de France. Mais pourra-t-on, voudra-t-on
 28     39|          Voudrait-il donc jouer en France le rôle que Cromwell joue
 29     39|            et celle de ma fille en France lui pèsent déjà : à plus
 30     39|         intérêts de la couronne de France, si ébranlée en ce moment,
 31     39|       viens chercher des alliés en France.~ ~ ~– Des alliés ! dit
 32     40|           trop voisins pour que la France ne s’occupe pas de notre
 33     40|            occupons de celle de la France. Les Anglais sont presque
 34     40|            va essayer de passer en France pour recruter des soldats
 35     40|            et de l’argent. Déjà la France a reçu la reine Henriette,
 36     40|      Madame Henriette est fille de France et l’hospitalité de la France
 37     40|      France et l’hospitalité de la France lui était due. Quant au
 38     40|    recevant et en le secourant, la France improuverait les actes du
 39     40|           tenir sur les vues de la France : les intérêts de ce royaume
 40     40|           expulsion de son roi, la France a besoin de cette tranquillité
 41     40|            intérieur du royaume de France et abandonner aux siennes
 42     40|           Charles du territoire de France, et à ne secourir ni par
 43     40|           pense que toute ville de France vous est indifférente ;
 44     41|            il désire se retirer en France et y vivre comme un simple
 45     41|            la plus soyeuse, que la France, tout agitée et toute bouillante
 46     41|         tout malheur ! – venait en France, je lui offrirais ma maison,
 47     41|        cependant que le bien de la France.~ ~ ~– Oui, Monseigneur,
 48     41|            absents : s’il passe en France, sa cause est perdue.~ ~ ~–
 49     41|            secours ? S’il vient en France, lui donnerez-vous l’hospitalité ?~ ~ ~–
 50     42|      refuse de recevoir le roi, la France refuse l’hospitalité à un
 51     42|                 Je n’ai pas dit la France, milord, j’ai dit le cardinal,
 52     42|              Et ces hommes sont en France, milord ?~ ~ ~– Je le crois.~ ~ ~–
 53     42|          une fois sur les côtes de France, votre royal époux y trouverait
 54     43|            mère !~ ~ ~– Revenue en France, elle a empoisonné dans
 55     44|          pour amis, un maréchal de France pour parrain, un prince
 56     44|        vous, milord, sont rares en France.~ ~ ~– Hélas ! dit de Winter,
 57     44|   voyageant seul sur les routes de France.~ ~ ~– En moine, dites-vous ?~ ~ ~–
 58     45|            de voir qu’à la cour de France on traite ainsi la fille
 59     45| hospitalité lui serait accordée en France.~ ~ ~– Eh bien ? demanda
 60     46|     est-à-dire que la moitié de la France le chasse, et qu’à force
 61     47|           soutenir l’honneur de la France et sur l’espérance hasardeuse
 62     48|             que les malheurs de la France viennent du Mazarin, son
 63     48|       assez haut pour que toute la France l’entendît, que c’est le
 64     51| heureusement nous n’avons point en France d’Olivier Cromwell, répondit
 65     52|          mal.~ ~ ~– Nous sommes en France et je suis Espagnole.~ ~ ~–
 66     52|             faire un maréchal de France. Ma belle-mère a prodigué
 67     52|           a fait Vitry maréchal de France pour un assassinat, et moi,
 68     55|           un carrosse aux armes de France il n’y fallait pas songer,
 69     56|            certainement l’homme de France que j’aime et estime le
 70     57|             S’il nous reconduit en France…~ ~ ~– Eh bien ?~ ~ ~– Eh
 71     58|        est-ce pas une tradition en France, que, la veille du jour
 72     59|    rallions-nous à l’ancien cri de France : Montjoie et Saint-Denis !
 73     59|       Aramis, pour l’honneur de la France.~ ~ ~ ~Et les deux Anglais
 74     60|       Ai-je été bon ambassadeur en France ?~ ~ ~– Oui, et vous avez
 75     61|           va quitter sa maison, la France, son pupille, un jeune homme
 76     62|        lequel représente le roi de France. Il en résulte que, dans
 77     63|           un bâtiment et passer en France. Quant à moi, j’y mettrai
 78     63|            devez même retourner en France, mais la nôtre ne l’est
 79     63|          est venu nous chercher en France, il nous a conduits à Madame
 80     63|           est pauvre et mesquin en France en ce moment. Nous avons
 81     63|           un ministre qui régit la France comme il ferait d’une vaste
 82     63|    terminée noblement ; revenez en France avec nous.~ ~ ~– Ami, dit
 83     63|           reverrons tous quatre la France.~ ~ ~– Soit, dit d’Artagnan ;
 84     63|            le pied sur la terre de France, si d’ici là nous ne sommes
 85     64|           lui avons été envoyés de France par mons Mazarini : il nous
 86     65|           sommes venus avec lui de France.~ ~ ~– Il paraît même que
 87     65|          presque tous les soirs en France.~ ~ ~– Et depuis que vous
 88     65|            sterling en arrivant en France. Nous ne voulons donc pas
 89     67|           à faire est de gagner la France. Que dites-vous de la proposition,
 90     67|           faudra qu’en revenant en France je donne ce moyen à M. de
 91     68|     parodient les mousquetaires de France. Pendant ce temps-là, d’
 92     70|           Mordioux ! que j’aime la France en ce moment, et qu’il est
 93     71|            aînés qui sont, l’un en France, l’autre je ne sais où ;
 94     74|            pendant votre voyage en France.~ ~ ~ ~Mordaunt ne répondit
 95     74|          là, s’il plaît à Dieu, en France, où, du moins, je connais
 96     75|         sur tout autre point de la France que vous m’indiquerez.~ ~ ~–
 97     75|          avait proposé de venir en France, mais il avait opiniâtrement
 98     79|           par conséquent là est la France. Laissons-nous aller au
 99     79|          seulement le chemin de la France, mais encore le visage de
100     80|       absence, il s’était passé en France tant de petites choses qu’
101     80|        cour le jour même, et de la France sous huit jours, et, après
102     82|         nous consoler c’est que la France n’a rien à se reprocher
103     82|            moins qu’un maréchal de France, et des colonels comme le
104     82|           dire qu’il y a encore en France de plus grands voleurs que
105     82|      laisserons aux affaires de la France et aux siennes. Il ne s’
106     82|          avaient pris à la cour de France les événements terribles
107     82|          gaillard sera maréchal de France.~ ~ ~– Demandons-lui quelques
108     83|    véritablement une honte pour la France, dit le coadjuteur en resserrant
109     83|          qui voudrait gouverner la France comme une métairie. Aussi
110     83|       comme une métairie. Aussi la France ne peut-elle espérer de
111     85|          premiers gentilshommes de France étaient près de M. de Conti,
112     85|            le pied sur la terre de France, et l’on ne sait ce qu’ils
113     86|     soutenu le sceptre des rois de France. Les souvenirs de M. de
114     86|         pas presque roi, et roi de France même ? Jetée sur le pied
115     87|           venu chercher fortune en France, n’oserait se porter à de
116     87|            et toute la noblesse de France lui demanderait compte de
117     94|            trop à demander pour la France. Je me récuse donc et passe
118     94|         ministre, que je quitte la France, que je m’exile ?~ ~ ~–
119     94|          que Monseigneur quitte la France, je veux qu’il demeure premier
120     94|   Monseigneur, dit d’Artagnan ; la France a besoin de vous.~ ~ ~–
121     94|         que nous demandons pour la France et pour nous.~ ~ ~– Occupez-vous
122     94|           messieurs, et laissez la France s’arranger avec moi comme
123    Con|        devenir ?~ ~ ~– Maréchal de France, pardieu !~ ~ ~– Ah ! ah !
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