Chap.

 1      7|           autour du château de mon père, qui est une jolie habitation,
 2      7|            cause de la mort de mon père, la lettre m’y suivit ;
 3     16|          aime comme si j’étais son père.~ ~ ~– Bien reconnaissant
 4     17|            est-ce de moi ou de son père ?… car je suis sûr que le
 5     17|           sûr que le comte est son pèreParbleu ! quant à cela
 6     17|        Henri IV avait donnée à mon père, et que je pensai devenir
 7     19|         roi, en même temps que bon père et bon époux. Or maître
 8     20|       faire avec la curiosité d’un père qui pense qu’il va peut-être
 9     20|      château, et qu’on appelait le père Marteau …~ ~ ~– Eh bien ?~ ~ ~–
10     20|          pratique au successeur du père Marteau, Monseigneur ?~ ~ ~–
11     21|         les pâtés du successeur du père Marteau~ ~Une demi-heure
12     21|    Bourgogne chez le successeur du père Marteau, cela me distrairait.~ ~ ~–
13     21|          afin que le successeur du père Marteau se surpasse, et
14     21|          Fait par le successeur du père Marteau ?~ ~ ~– Il est commandé.~ ~ ~–
15     22|            était vous, c’était son père !~ ~ ~– Chut ! ne parlez
16     22|            qu’il ne connaît ni son père ni sa mère, interrompit
17     23|           disgrâce,~ ~Du duc ou du père Vincent.~ ~ ~ ~À cette dernière
18     24|           a dans certains cœurs de père un peu de cet amour prévenant
19     24|          Elle a été portée par mon père, un loyal gentilhomme. Je
20     25|    excellent. Or, le successeur du père Marteau lui avait promis
21     25|            visite au successeur du père Marteau. Celui-ci s’était
22     25|            du fonds de boutique du père Marteau…~ ~ ~– Eh bien ?
23     29|        écriait-on, Broussel, notre père ! celui qui défend nos droits
24     29|          Broussel ! M. Broussel le père du peuple ! Vive M. Broussel ! »
25     29|   précipitant dans la chambre. Mon père blessé ?~ ~ ~– Vous voyez
26     29|           qui vous ont touché, mon père !~ ~ ~– Jacques, dit le
27     29|            Quel beau triomphe, mon père ! dit le jeune homme, qui,
28     29|          tous ces gens-là chez son père, prenait au sérieux cette
29     30|            conseiller Broussel, le père du peuple ?~ ~ ~– Ah ! vraiment ?
30     32|         continua le cavalier ; mon père est le maréchal de Grammont.
31     32|           de ne pouvoir nommer son père comme avait fait le comte
32     33|            fait la guerre avec mon père ; c’est donc six combattants
33     34|        ordinaire.~ ~ ~– Alors, mon père, dit Raoul laissant retomber
34     34|            de La Fère…~ ~ ~– Votre père ? demanda de Guiche.~ ~ ~–
35     35|          Vous êtes bien jeune, mon père ?~ ~ ~– Les gens qui portent
36     35|     parlez-moi plus doucement, mon père, dit le blessé, j’ai besoin
37     35|           jugerons.~ ~ ~– Oh ! mon père ! continua le bourreau sans
38     35|         vous avez obéi ?~ ~ ~– Mon père, cette femme était un monstre :
39     35|    bourreau, je vous l’ai dit, mon père, cette femme, sous cette
40     35|        mort de mon frère. Oh ! mon père ! mon père ! ne me regardez
41     35|         frère. Oh ! mon père ! mon père ! ne me regardez donc pas
42     35|          mourir. L’absolution, mon père ! l’absolution !~ ~ ~– Dis
43     37|         présenté au prince par son père. D’ailleurs, il connaissait
44     37|           de Henri de Bourbon, son père, on appelait, par abréviation
45     37|           que vous n’avez vu votre père, restez près de lui. Monsieur,
46     37|           le comte de Guiche à son père et retint pour lui Bragelonne ;
47     39|           nouvelles à moi ni à son père. J’ai engagé mes derniers
48     39|             des nouvelles de votre père, sans doute ! Entendez-vous,
49     42|          il écrivait au nom de son père.~ ~ ~– Oui, monsieur.~ ~ ~ ~
50     42|          serviteur à l’égal de son père, pour vous dire que nous
51     42|            chose de la part de son père.~ ~ ~ ~De Winter demeura
52     42|     gentilhomme.~ ~ ~– Dites à mon père que, roi ou fugitif, vainqueur
53     44|            ne connaît pas même son père.~ ~ ~– Fort bien ; vous
54     44|       cette cause ? Sa mère et son père étaient catholiques, je
55     45|         Dieu de ne pas devenir son père, quoique je fusse fier d’
56     47|        jeunes filles tenaient leur père embrassé.~ ~ ~– Allons,
57     47|         soutien, le libérateur, le père du pauvre peuple ! Ah bien
58     48|             si vous le voulez, mon père, dans trois jours, sera
59     52|         Vive Broussel ! Vive notre père ! » retentissaient de toutes
60     52|       contribué à faire sortir son père de prison ; son nom avait
61     52|                   Croyez-vous, mon père, que si maintenant je demandais
62     57|    au-devant de M. de Vendôme, son père, qui va arriver à son tour.~ ~ ~–
63     58|           doit agir un époux et un père. Je suis venu au nom de
64     60|         héros, mon protecteur, mon père, et je vous dis : Maître,
65     61|            moins avec le cœur d’un père. Il m’eût été plus facile,
66     65|           donc à Paris ?~ ~ ~– Mon père, qui est commerçant, m’avait
67     65|           envoyé son fils chez mon père ; c’est l’habitude entre
68     65|     descends des prophètes par mon père, et des sibylles par ma
69     68|          il en ferait autant à son père.~ ~ ~ ~Le roi ne s’était
70     69| conserverez un mari à sa femme, un père à ses enfants. Chevalier,
71     71|        vont couper la tête à votre père, ne l’oubliez jamais. Peut-être
72     71|      petite main dans celle de son père, et dit :~ ~ ~– Sire, je
73     71|            dit-il, appelle-moi ton père.~ ~ ~– Mon père, reprit
74     71|    appelle-moi ton père.~ ~ ~– Mon père, reprit l’enfant, je vous
75     71|           enfants des bras de leur père et les remit à ceux qui
76     75|            j’étais destiné par mon père à servir dans la marine,
77     82|            hôtel, le successeur du père Marteau, qui confectionne
78     82|             qui est à monsieur mon père et qui m’a été promise à
79     83|          Herblay et la voix de son père, et laissa tomber son épée.
80     83|          de joie en retrouvant son père. Ils galopaient l’un à côté
81     94|           il se jeta au cou de son père.~ ~ ~– Voyez, monsieur le
82     96|       conservant, bien entendu, au père le gouvernement de la Normandie.~ ~ ~–
83     96|       tenait le duc de Vendôme son père, et une indemnité pour ses
84     98|            héritier. » Dites donc, père Bazin, l’héritier de M.
85     98|            grands services à votre père. Ménagez-le donc pour l’
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