Chap.

 1      1|        Italien qui parle mal le français, mais bien plutôt ceux-là
 2      1|  étranger, si seulement j’étais Français, si seulement j’étais gentilhomme !~ ~ ~ ~
 3      2|      contraire ! Je connais vos Français comme si je les avais faits
 4      2|         Oui, mais tu entends le français, n’est-ce pas, mon bon et
 5      6|         partout et toujours les Français, fussent-ils blessés ; il
 6      6|      vois que vous comprenez le français. Alors, venez faire un tour
 7      7|        il ne dise pas un mot de français, comme je n’ai rien à vous
 8     29|      voilà qui est parlé en bon Français.~ ~ ~– Oui, messieurs les
 9     35|       Les quatre autres étaient Français et portaient le costume
10     37|   instant, dit le prisonnier en français : je suis prêt à parler,
11     37|        me fier à toi, tu es bon Français ?~ ~ ~– Je suis un vieux
12     38|   Rochelois, des Espagnols, des Français même, qui n’avaient jamais
13     41|        que je m’explique mal en français.~ ~ ~– Parlez italien, monsieur ;
14     42|         cardinal n’est pas même français.~ ~ ~– Mais la reine, l’
15     44|    attendu qu’il ne parlait pas français.~ ~ ~ ~De Winter et Raoul
16     51|       que j’entends bien mal le français, que vous parlez et écrivez
17     51|   entièrement lorsqu’il parlait français, fut prononcée avec un visage
18     53|         me proclamera le Brutus français. Ce serait drôle.~ ~ ~ ~
19     54|            Je crierai.~ ~ ~– En français, en bon français, Monseigneur,
20     54|             En français, en bon français, Monseigneur, prenez garde
21     54|   italien. Prenez garde que les Français ne prennent sur vous leur
22     58|         dit-il dans le plus pur français qui ait jamais été parlé
23     59|     pour faire honneur aux deux Français qui l’accompagnaient, et
24     59|       Pas de quartier ! cria en français, et répondant à la voix
25     59|       avaient tenu, et les deux Français furent entourés, pressés,
26     59|     sanglants, mais ce sont des Français, ce me semble ?~ ~ ~– Je
27     59|     sais ma foi rien. Êtes-vous Français, monsieur ? demanda-t-il
28     60|        Mordaunt, dit-il. Et les Français, comment se sont-ils conduits ?~ ~ ~–
29     60|      oui, murmura Cromwell, les Français se battent bien ; et, en
30     61|       Porthos, puisque je parle français et qu’ils sont anglais !~ ~ ~ ~
31     61|      qui est Écossais ? Je suis Français, moi, toutes ces choses
32     62|        nous disons, nous autres Français ; je suis un officier de
33     62|        en prenant ce matin deux Français qui me paraissent de grande
34     62|     existaient entre les quatre Français, toutes ses inquiétudes
35     62|     soldats qui ne purent, tout Français qu’il était, s’empêcher
36     62|         il ne comprenait pas le français.~ ~ ~ ~Alors d’Artagnan
37     64|       que monsieur ne parle pas français, pour lui faire mon compliment.~ ~ ~–
38     64|         l’officier en assez bon français, car j’ai habité trois ans
39     64|        savait pas où l’officier français en voulait venir et ces
40     65|         laquelle vous parlez le français. Vous avez habité Paris
41     65|         compagnons, vous autres Français.~ ~ ~– Ne jouez-vous donc
42     65|          quand on rencontre des Français, et des Français comme vous,
43     65|  rencontre des Français, et des Français comme vous, dit Groslow.~ ~ ~–
44     65|      Groslow, dit-il en mauvais français, fait prévenir monsieur
45     66|       regarda triomphalement le Français comme pour mendier un éloge
46     66|   plaies et bosses, vous autres Français.~ ~ ~ ~En effet, Charles
47     66|         êtes trahis. Ces quatre Français se sont sauvés de Newcastle
48     67|    comme l’anglais n’est que du français mal prononcé, voici ce que
49     68|  étaient levés les trois autres Français, pâles et menaçants. Ses
50     68|        aussi reconnu les quatre Français ; il mit une main sur son
51     68|         Que ne sont-ils là, les Français ! murmura Charles avec orgueil
52     68|         glissées le gentilhomme français. Mais quand le lâche insulteur
53     68|       regardant insolemment les Français, échangèrent quelques lazzi
54     69|        ces braves gentilshommes français qui déjà lui paraissaient
55     69|       envoyées par ces généreux Français, et les baisa ; puis, songeant
56     70|     fait passer pour un ouvrier français et posait les clous avec
57     71|     Comte de La Fère, dit-il en français, êtes-vous là et puis-je
58     73|              Ce sont ces quatre Français dont deux ont été envoyés
59     73|         avait donné deux de ces Français alors qu’ils n’étaient coupables
60     75|     Artagnan ? demanda Athos en français.~ ~ ~– Que dit-il, d’abord ?
61     76|      est la vraie nourriture du Français ; encore le Français n’en
62     76|         du Français ; encore le Français n’en a-t-il pas toujours,
63     76| appartient, puisque nous sommes Français. Ne connaissez-vous pas
64     76|     vous connaissez le proverbe français : On n’est bien servi que
65     76|  facilité Mordaunt avait dit en français. Enfin il palpait et repalpait
66     79|     matin, par un bon vent, nos Français mettaient le pied sur le
67     83|        il corrige ses fautes de français avec la pointe de son épée.~ ~ ~–
68     86|         pu réussir à plaire aux Français. Hélas ! on ne m’a point
69     87|       le dernier ; c’est un nom français, au moins. Et puis, je suis
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