Chap.

 1      5|         répète, il y va de votre fortune.~ ~ ~– Ma foi, Monseigneur !
 2      5|         ai grand besoin de faire fortune. Votre Éminence m’a oublié
 3      9|       soit hasard, soit mauvaise fortune, soit empêchement naturel
 4     11|          sa considération, de sa fortune et de sa vie ? Il faudrait
 5     11|        suivez votre carrière, la fortune vous sourit, ne la laissez
 6     12|         changements que la bonne fortune avait apportés chez l’ancien
 7     13|       retrouvant Porthos, que la fortune ne fait pas le bonheur~ ~
 8     13|      avons pas su profiter de la fortune ; c’était le cas pourtant ;
 9     14|        une route où sa vie et sa fortune allaient être compromises,
10     16|         un changement dans votre fortune, ce me semble. Vous êtes
11     16|                 Il aura suivi sa fortune, qui est mauvaise en ce
12     17|       une explication. Ce peu de fortune d’Athos si habilement déguisé
13     17| avez-vous donc décidé à chercher fortune ? Mais cette fortune, il
14     17|    chercher fortune ? Mais cette fortune, il l’a.~ ~ ~– Sans doute,
15     19|    arsenic, et le mot avait fait fortune. Il ordonna donc que le
16     20|       encore que je ferais votre fortune.~ ~ ~– Avec quoi ? Vous
17     22|     reste est à lui ; quant à sa fortune et à son titre…~ ~ ~– De
18     40|           dit Mazarin, défaut de fortune ; vous êtes pauvre, n’est-ce
19     40|         devais avoir un jour une fortune de six millions ; mais on
20     42|     ressources de notre ancienne fortune ; mais nos biens sont confisqués,
21     43|      vous m’avez dépouillé de ma fortune. Je ne m’étonne plus maintenant
22     53|          les illustrations de la fortune et de la naissance. Jadis
23     53|         et je me charge de votre fortune. Voyons, feriez-vous pour
24     55|       courtisan voit poindre une fortune nouvelle.~ ~ ~– Vous avez
25     55|           Chut ! il est en bonne fortune avec madame de Guéménée.~ ~ ~ ~
26     62|           je suis un officier de fortune, pas autre chose ; je n’
27     62|         enfin, je me disais : Ma fortune est faite. Je dis deux,
28     68|    dépouillé de son nom et de sa fortune.~ ~ ~– C’est juste, dit
29     69|       malheur, la carrière et la fortune. Il me parlera de Dieu et
30     83|      procès d’où dépend toute ma fortune, et, tel que vous me voyez,
31     87|    Italien qui est venu chercher fortune en France, n’oserait se
32     92|   demander d’où nous vient notre fortune, pas même le cardinal ?~ ~ ~–
33     95|         avec moi à édifier notre fortune, jusqu’au moment où nous
34     95|          un pauvre officier sans fortune, sans abri, sans avenir,
35     96|  conséquent rien à désirer comme fortune ; mais je crois me rappeler
36     98|       Bon, dit Friquet, voilà ma fortune faite.~ ~ ~– À propos, dit
37    Con|    campagnard. Raoul n’a d’autre fortune que ma fortune, pauvre enfant !
38    Con|         a d’autre fortune que ma fortune, pauvre enfant ! et il faut