Chap.

 1     19|       apparaître une armée de Parisiens tout bardés de fer et hérissés
 2     19|      à quatre chevaux par les Parisiens, ce qui est bien plus désagréable
 3     29|   déjà de cet attachement des Parisiens pour sa personne ; il n’
 4     29|            Oui, messieurs les Parisiens, dit le prince de Conti
 5     30|   vivants dans la mémoire des Parisiens, et surtout de ceux qui
 6     47|      Le dimanche suivant, les Parisiens s’éveillèrent donc dans
 7     47|  Notre-Dame, manœuvre que les Parisiens avaient vue avec tranquillité,
 8     55|    donc à mes bons et fidèles Parisiens, reprit Anne d’Autriche
 9     56|       c’est un otage pour les Parisiens, répondit le cardinal.~ ~ ~–
10     56|      bataille. Décidément les Parisiens sont bien sots.~ ~ ~– Ne
11     56|          Quel réveil pour les Parisiens ! dit Anne d’Autriche radieuse.~ ~ ~–
12     57|       coadjuteur montrait aux Parisiens émerveillés et joyeux.~ ~ ~ ~
13     80|       un grand événement. Les Parisiens, en se réveillant le matin
14     80|       inespéré était venu aux Parisiens.~ ~ ~ ~Après une discussion
15     83|      fait faire hier soir aux Parisiens.~ ~ ~ ~Athos et Aramis se
16     83|  impatiemment attendu par les Parisiens. M. de Beaufort s’apprêtait
17     84|    soirée même du jour où les Parisiens avaient été battus à Charenton.~ ~ ~ ~
18     84|     déchiré par les factions. Parisiens et frondeurs, ils s’attendaient
19     84|      encombré, de la part des Parisiens, d’avocats, de présidents,
20     85|       La cour chansonnait les Parisiens, qui chansonnaient la cour,
21     85|      entrer la députation des Parisiens, qui venait pour régler
22     86|     demande le peuple. Si les Parisiens ont quelques torts, et qui
23     89|       le tirant des mains des Parisiens ; allons, ne vous désolez
24     94|   avec Votre Éminence, et les Parisiens sont gens à nous défendre…~ ~ ~–
25     96| hésita.~ ~ ~– Et dire que les Parisiens, reprit d’Artagnan, offraient
26     96|     le traité proposé par les Parisiens. »~ ~ ~Anne était prise,
27     97|       au désir qu’avaient les Parisiens de revoir leur roi et leur
28     97|    mon lit, cette nuit où les Parisiens ont voulu me voir dormir.~ ~ ~–