Chap.

 1      3|       forces vous manqueraient. Croyez-moi donc : ce qu’il vous faut
 2      3|         monsieur de Rochefort ? Croyez-moi, j’en trouverai qui vous
 3      5|       diamants de la couronne ; croyez-moi, ne marchandons pas, on
 4     16|    cœurs honnêtes, d’Artagnan ; croyez-moi, il n’y a que les méchants
 5     25|   Richelieu ! Ah ! Monseigneur, croyez-moi, c’est un grand bonheur
 6     26|     rien, mais prenez toujours, croyez-moi.~ ~ ~– Ma rapière, Mouston,
 7     26|         ne soyez pas intimidé ; croyez-moi, l’œil de l’aigle est fermé,
 8     30|      dangereux ennemis, Athos ; croyez-moi, défions-nous, et surtout
 9     34|        Monsieur, dit le blessé, croyez-moi, il n’y a pas de temps à
10     41|   assurément bon.~ ~ ~– Madame, croyez-moi, le roi doit se défendre
11     42|        mourir peuvent beaucoup, croyez-moi, Madame, et ceux dont je
12     45| Beaufort ? Ah ! ma foi, Aramis, croyez-moi, il n’y a point de regret
13     45|      est pas le nôtre, Aramis ; croyez-moi donc, ne mettons personne
14     45|      face de M. de Retz. Ainsi, croyez-moi, laissons les choses comme
15     47|        tempête sera plus douce, croyez-moi. Puis, ajouta d’Artagnan,
16     48|     jours Paris est à nous, et, croyez-moi, monsieur le coadjuteur,
17     54|      est ce qu’il y a de mieux, croyez-moi, Monseigneur.~ ~ ~– Venez,
18     55|       réponds de tout, Madame ; croyez-moi, je connais le peuple c’
19     61|       Il m’eût été plus facile, croyez-moi, de vous remercier de m’
20     63|        mes conseils ; eh bien ! croyez-moi, Athos, votre mission est
21     79|        du temps pour tout ; et, croyez-moi, cher ami, ne perdons pas
22     80|         défiez-vous avant tout, croyez-moi, de ceux qui sont parfaitement
23     82|   sommes à Paris, il vous faut, croyez-moi, perdre cette habitude de
24     84|      que l’on cherchait ?~ ~ ~– Croyez-moi, Athos, dit Aramis, ne songeons
25     84|      libre d’user, Athos ; mais croyez-moi, n’en usez qu’à l’extrémité ;
26     97|        temps du roi Louis XIII. Croyez-moi, nous avons passé l’âge