Chap.

 1      1|       Mazarin était seul et se sentait faible.~ ~ ~– Étranger !
 2      6|      carrière dans laquelle il sentait qu’il ne pouvait devenir
 3      6|       l’hôtesse, qui, au fond, sentait son cœur pencher pour l’
 4     13|      dit Porthos, et puis cela sentait son maréchal des logis d’
 5     19|      peu pour lui, et La Ramée sentait que sa joyeuse humeur, qu’
 6     24|     fit silencieusement. Raoul sentait bien que le moment de la
 7     24|   Adieu, murmura le comte, qui sentait son cœur se fondre, adieu,
 8     25|       l’avons dit, La Ramée se sentait au fond du cœur un certain
 9     29|     jambes et déclara qu’il se sentait assez fort pour monter seul.
10     31|     silence dans lequel chacun sentait l’embarras qu’il y avait
11     32|        Grimaud.~ ~ ~ ~Raoul se sentait las en effet ; mais il désirait
12     33| Chevreuse, pour laquelle il se sentait une réelle et profonde sympathie ;
13     37|      naturel de timidité qu’il sentait, malgré lui, s’emparer de
14     41|    suite et sans parure, qu’il sentait lui-même qu’il avait bien
15     47|     broyé, le visage sanglant, sentait que non seulement ses forces,
16     50| étrange, inouïe, inconnue ; on sentait qu’il se passait dans toutes
17     50|      tuait pas encore, mais on sentait que ce n’était pas l’envie
18     52|   défendant Broussel le peuple sentait instinctivement qu’il se
19     54|       bras que le mousquetaire sentait trembler sur le sien.~ ~ ~ ~
20     55|   tendait avec une gravité qui sentait déjà l’étiquette.~ ~ ~–
21     55|        de force et de courage, sentait au plus haut degré ces deux
22     61|         ne répondait pas et se sentait mal à l’aise ; car lorsqu’
23     70|      encore son travail, qu’on sentait incessamment se rapprocher.
24     85|       de sorte que le ministre sentait qu’autour de lui tous les
25     85|       et sous l’intérêt. Il se sentait mal à l’aise, ne sachant