Tome,  Chap.

 1      I,      5| souveraine pour la guérison des blessures.~ ~ ~– Est-ce que vous savez
 2      I,     10|        la poitrine ; les autres blessures ne valent point la peine
 3      I,     12|       servie, et à laquelle ses blessures ne l’empêchaient pas de
 4      I,     13|       des paroles ; car, ou vos blessures se rouvriront et vous mourrez
 5      I,     13|         hôte comme on panse des blessures, et de soigner l’âme comme
 6      I,     14|     presque mourant de mes deux blessures, il m’a semblé voir l’ombre
 7      I,     14|       qu’il ne sentait plus ses blessures.~ ~ ~ ~Quant à Marguerite,
 8      I,     15|         des appareils. Les deux blessures, au reste, étaient refermées,
 9      I,     16|      main encore tremblante des blessures que vous m’avez faites en
10      I,     16|       arraché par les anciennes blessures. Cependant, les yeux fixes
11      I,     17|        Pour cacher la cause des blessures, Marguerite avait fait porter
12      I,     17|       moins de gravité de leurs blessures. La Mole, le moins grièvement
13      I,     17|             Quoi qu’il en soit, blessures vieilles et nouvelles, profondes
14     II,     14|        au risque de rouvrir ses blessures, prit au galop la rue Saint-Antoine,
15     II,     35|     jaillir le sang de ses deux blessures, et faisant un effort pour
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