Tome,  Chap.

 1      I,      1|     lire dans les cœurs qui n’appartient malheureusement qu’à Dieu,
 2      I,     14|      la main d’une mère qu’il appartient de la guérir. Ceux qui,
 3      I,     20| exemplaires au monde : un qui appartient à la bibliothèque de Venise,
 4     II,      1|   comme en réalité ce trône m’appartient par héritage, ils me l’offraient.~ ~ ~–
 5     II,      7|    frère d’Alençon, auquel il appartient.~ ~ ~ ~C’était un congé
 6     II,      7|      qui est dans ma pensée n’appartient qu’à moi, madame, dit le
 7     II,     10|    ordinaires le présent seul appartient ; tandis qu’à nous appartiennent
 8     II,     16|    semble cependant qu’elle m’appartient un peu.~ ~ ~– Les huguenots,
 9     II,     22|    vous ne me dites pas à qui appartient ce livre.~ ~ ~ ~Le Florentin
10     II,     22|         En ce cas, ce livre m’appartient, dit-il.~ ~ ~– À vous !
11     II,     32| régent, l’honneur du pas vous appartient.~ ~ ~ ~Catherine, devinée
12     II,     34|   fils, et après moi le trône appartient à mon frère le duc d’Anjou,