Tome,  Chap.

  1      I,      1|                Si je vous eusse aimé, Sire, il me faudrait donc mourir
  2      I,      1|         gentilshommes ce soir ?~ ~ ~– Sire, dit madame de Sauve, regardant
  3      I,      1|             Ah ! si vous faites cela, Sire, s’écria à son tour la dame
  4      I,      1|             après leur défaite.~ ~ ~– Sire, je retiens votre promesse
  5      I,      2|             maison de Lorraine.~ ~ ~– Sire ! Sire ! s’écria Marguerite.~ ~ ~–
  6      I,      2|             de Lorraine.~ ~ ~– Sire ! Sire ! s’écria Marguerite.~ ~ ~–
  7      I,      2|                   Silence ! silence ! Sire ! par pitié pour vous, murmura-t-elle.~ ~ ~–
  8      I,      2|          politique qu’en amour…~ ~ ~– Sire…, murmura Marguerite confuse.~ ~ ~–
  9      I,      2|            heure, madame ?~ ~ ~– Oui, Sire, oui, murmura Marguerite.~ ~ ~–
 10      I,      3|              jeune marié !~ ~ ~– Oui, Sire, répondit le roi de Béarn,
 11      I,      3|              fronça le sourcil.~ ~ ~– Sire, répliqua le Béarnais, on
 12      I,      3|              espère ?~ ~ ~– J’ignore, Sire, si mes gentilshommes vaudront
 13      I,      3|              Vous les appelez ?~ ~ ~– Sire, leurs noms m’échappent,
 14      I,      3|        Provençal ?~ ~ ~– Précisément, Sire ; comme vous voyez, je recrute
 15      I,      3|              est mon père.~ ~ ~– Oh ! Sire, dit l’amiral, la reine
 16      I,      3|            qui me conseillera ?~ ~ ~– Sire, dit Coligny, il faut vaincre
 17      I,      3|           grande noise.~ ~ ~– Bravo ! Sire, bravo ! dit Coligny ; je
 18      I,      3|             jamais eu d’empire.~ ~ ~– Sire, dit Coligny, je savais
 19      I,      3|          matin.~ ~ ~– À quelle heure, Sire ?~ ~ ~– À dix heures ; et
 20      I,      3|               à Ronsard.~ ~ ~– Adieu, Sire.~ ~ ~– Adieu, mon père.~ ~ ~–
 21      I,      3|        Louviers-Maurevel ?~ ~ ~– Oui, Sire.~ ~ ~– Commandant des pétardiers ?~ ~ ~–
 22      I,      3|               pétardiers ?~ ~ ~– Oui, Sire.~ ~ ~– J’ai voulu vous voir.
 23      I,      3|        Maurevel tomba à genoux.~ ~ ~– Sire, balbutia-t-il, croyez bien…~ ~ ~–
 24      I,      3|               Saint-Phale…~ ~ ~– Oh ! Sire !~ ~ ~– Un brave gentilhomme
 25      I,      3|            gentilhomme picard ?~ ~ ~– Sire, Sire, s’écria Maurevel,
 26      I,      3|      gentilhomme picard ?~ ~ ~– Sire, Sire, s’écria Maurevel, ne m’
 27      I,      3|            que les catholiques.~ ~ ~– Sire, dit Maurevel complètement
 28      I,      3|            pas une obole.~ ~ ~– Mais, Sire, demanda l’assassin, n’y
 29      I,      3|           Dieu merci ! …~ ~– Eh bien, Sire ! si vous étiez à ma place ?…
 30      I,      3|               pas.~ ~ « Figurez-vous, Sire, me disait-il, que tous
 31      I,      3|         tomber ces mots :~ ~ ~– Mais, Sire, je n’ai pas le pouvoir
 32      I,      3|            pistolet ?…~ ~– Pardonnez, Sire, reprit le brigand à peu
 33      I,      3|              essayer une ?~ ~ ~– Oh ! Sire ! avec la plus grande joie,
 34      I,      3|               Maintenant, cet ennemi, Sire, quel est-il ? demanda l’
 35      I,      3|              de maroquin rouge.~ ~ ~– Sire, il suffit.~ ~ ~– Vous avez
 36      I,      3|             qui court si bien ?~ ~ ~– Sire, j’ai un barbe des plus
 37      I,      3|             de derrière.~ ~ ~– Merci, Sire. Maintenant priez Dieu pour
 38      I,      3|         éviter la corde.~ ~ ~– Adieu, Sire.~ ~ ~– Adieu. Ah ! à propos,
 39      I,      6|             catholiques.~ ~ ~– Alors, Sire, dit Catherine, vos sujets
 40      I,      6|          accident ?~ ~ ~– C’est bien, Sire, dit Catherine piquée, n’
 41      I,      6|            quelqu’un venait me dire : Sire, vous serez débarrassé de
 42      I,      6|              dis pas !~ ~ ~– Et bien, Sire.~ ~ ~– Tavannes, interrompit
 43      I,      6|               un lévrier.~ ~ ~– Mais, Sire, reprit le duc de Guise,
 44      I,      6|              disait à Votre Majesté : Sire, Votre Majesté sera délivrée
 45      I,      6|          ferait-on ce miracle ?~ ~ ~– Sire, nous sommes aujourdhui
 46      I,      6|               d’un ton lugubre.~ ~ ~– Sire, un mot, un seul, poursuivit
 47      I,      6|                      Non, pas encore, Sire ; mais, si vous voulez,
 48      I,      6|          Dehors, je ne dis pas.~ ~ ~– Sire, s’écria le duc, ils sortent
 49      I,      7|             hasard, entendu parler du sire de Maurevel ?~ ~ ~– Le meurtrier
 50      I,      7|              doute.~ ~ ~– Eh bien, le sire de Maurevel, c’est moi.~ ~ ~–
 51      I,      7|           écoute.~ ~ ~– Chut ! fit le sire de Maurevel en portant son
 52      I,      7|               de son audience avec le sire de Maurevel et maître La
 53      I,      9|        confusion.~ ~ ~– Vous appelez, sire de Mouy ? cria le vieillard ;
 54      I,     10|                      Mais sans doute, Sire, répondit le roi de Navarre,
 55      I,     10|            compliment de Henri.~ ~ ~– Sire, je ne comprends pas, dit
 56      I,     10|             une marée terrible.~ ~ ~– Sire, dit Henri, rappelez-vous
 57      I,     10|               IX.~ ~ ~– J’ai compris, Sire.~ ~ ~– Eh bien ?~ ~ ~– Eh
 58      I,     10|              Eh bien ?~ ~ ~– Eh bien, Sire, je ne vois pas pourquoi
 59      I,     10|              on égorge là-bas ?~ ~ ~– Sire, dit Henri en dégageant
 60      I,     10|                   Eh bien, moi aussi, Sire, répondit Henri. Charles
 61      I,     10|           Navarre en joue.~ ~ ~– Oh ! Sire ! s’écria Henri, me tuerez-vous,
 62      I,     10|              faire catholique !~ ~ ~– Sire, répondit Marguerite avec
 63      I,     10|               lui était si naturelle, Sire, croyez-moi, pour vous-même
 64      I,     11|             rougit extrêmement.~ ~ ~– Sire, dit-elle à voix basse,
 65      I,     13|                et je suis venu.~ ~ ~– Sire, répondit Marguerite, vous
 66      I,     13|                   Oh ! rassurez-vous, Sire ! dit la reine en souriant ;
 67      I,     13|               pas toute votre pensée, Sire ! dit Marguerite.~ ~ ~–
 68      I,     13|            votre femme, n’est-ce pas, Sire ?~ ~ ~– Ma foi, oui… et
 69      I,     13|            écria Marguerite ; allons, Sire, allons, cachez cette dague :
 70      I,     14|              de la jeune femme.~ ~ ~– Sire, dit-elle en se reculant
 71      I,     14|              oublier…~ ~ ~– Plus bas, Sire, plus bas, répliqua la reine
 72      I,     14|             encore tout à fait libre, Sire, je vous prierai de parler
 73      I,     14|             cabinet…~ ~ ~– Entrons-y, Sire, dit Marguerite, car je
 74      I,     14|            soutint à merveille.~ ~ ~– Sire, dit Marguerite, j’en suis
 75      I,     14|             sous sa protection.~ ~ ~– Sire, reprit alors le jeune homme,
 76      I,     14|             du Languedoc ?~ ~ ~– Oui, Sire, et recommandation de la
 77      I,     14|            avez-vous pas fait ?~ ~ ~– Sire, je me suis rendu au Louvre
 78      I,     14|         chevaux autour de nous.~ ~ ~– Sire, ce qui est fait est fait,
 79      I,     14|            aujourdhui.~ ~ ~– Hélas ! Sire, répliqua La Mole, je souhaite
 80      I,     14|              ferez-vous ?~ ~ ~– Mais, Sire, dit Marguerite, ne pourrions-nous
 81      I,     14|                C’est difficile.~ ~ ~– Sire, M. de La Mole ne peut-il
 82      I,     14|                 demanda le roi.~ ~ ~– Sire, dit La Mole, poursuivi
 83      I,     14|           nuit. Dieu m’a conduit ici, Sire. Je m’y vois sous la double
 84      I,     14|               qu’à accomplir mon vœu, Sire. Je suis prêt à me faire
 85      I,     14|              de ce mauvais pas.~ ~ ~– Sire, dit-elle, nous oublions
 86      I,     14|           dans cette faiblesse.~ ~ ~– Sire, dit-elle, il convient à
 87      I,     14|                 car, je vous le jure, Sire, je ne suis pas celle de
 88      I,     15|              son mari :~ ~ ~– Allons, Sire, dit-elle, ce n’est pas
 89      I,     16|            restes de l’amiral :~ ~ ~– Sire, dit-il, Votre Majesté ne
 90      I,     16|               joie féroce.~ ~ ~– Oui, Sire.~ ~ ~– Eh bien, je ne suis
 91      I,     16|           toujours bon.~ ~ ~– Ma foi, Sire, dit Tavannes, puisque Votre
 92      I,     21|              heures sonnèrent :~ ~ ~– Sire, dit Charlotte, voici l’
 93      I,     21|             Mais la reine Marguerite, Sire, ne la ferez-vous pas attendre
 94      I,     21|         Jupiter Olympien ?~ ~ ~– Oui, Sire, répondit madame de Sauve
 95      I,     21|               c’est un envoi de René, Sire, c’est le fameux opiat qu’
 96      I,     21|              le roi.~ ~ ~– Moi, rien, Sire, dit le parfumeur, j’attends
 97      I,     21|            une chose.~ ~ ~– Laquelle, Sire ?~ ~ ~– Pensiez-vous me
 98      I,     21|               Henri.~ ~ ~– Peut-être, Sire ! répondit René. Charlotte
 99      I,     22|                                 XXII~ Sire, vous serez roi~ ~ ~ ~–
100      I,     22|                vous serez roi~ ~ ~ ~– Sire, dit René à Henri, je viens
101      I,     22|         souriant.~ ~ ~– Eh bien, oui, Sire… de parfums ! répondit René
102      I,     22|                       Un de mes amis, Sire, arrive de Florence ; cet
103      I,     22|            geste ironique.~ ~ ~– Oui, Sire, Votre Majesté, selon les
104      I,     22|              effort de ce rire.~ ~ ~– Sire, dit froidement René, l’
105      I,     22|                       Mieux que cela, Sire.~ ~ ~– Allons, dit Henri,
106      I,     22|               serai conquérant.~ ~ ~– Sire, vous serez roi.~ ~ ~– Eh !
107      I,     22|            suis-je point déjà ?~ ~ ~– Sire, mon ami sait ce qu’il promet ;
108      I,     22|        prophétie sera réalisée.~ ~ ~– Sire, dit madame de Sauve, n’
109      I,     22|             ce que j’ai promis.~ ~ ~– Sire, reprit René, je continue.~ ~ ~–
110      I,     22|             je donne le double.~ ~ ~– Sire, mon ami revient donc de
111      I,     22|          empoisonnements ?~ ~ ~– Oui, Sire.~ ~ ~– Comment me confiez-vous
112      I,     22|             a-t-il d’étonnant à cela, Sire ? Rappelez-vous le vieux
113      I,     22|              je ne le suis pas.~ ~ ~– Sire, quand mon ami me confia
114      I,     22|         traits ni dans sa voix.~ ~ ~– Sire, Votre Majesté comprendra
115      I,     22|              opiat.~ ~ ~– Mais enfin, Sire, si vous étiez le frère
116      I,     22|               nom du Ciel ! répondez, Sire : Sire, si vous étiez à
117      I,     22|               Ciel ! répondez, Sire : Sire, si vous étiez à leur place,
118      I,     23|              murmura-t-il.~ ~ ~– Oui, Sire, de Mouy.~ ~ ~– Que venez-vous
119      I,     23|           gueule du loup ?~ ~ ~– Non, Sire. Aussi voilà huit jours
120      I,     23|              là ? demanda-t-il.~ ~ ~– Sire, répondit une voix que Henri
121      I,     23|              vous réfléchiriez.~ ~ ~– Sire, répondit de Mouy, il y
122      I,     23|                     Ne craignez rien, Sire, nous sommes seuls et je
123      I,     23|           dans ce cruel danger.~ ~ ~– Sire, reprit de Mouy, avouons
124      I,     23|           fait librement.~ ~ ~– Mais, Sire, dit le jeune homme le cœur
125      I,     23|             oui, vous nous trahissez, Sire, car plusieurs d’entre nous
126      I,     23|            pour vous donner un trône, Sire, entendez-vous bien ? Non
127      I,     23|              obligations.~ ~ ~– Mais, Sire, reprit de Mouy, à quoi
128      I,     23|             lèvres.~ ~ ~– Ainsi donc, Sire, dit-il en laissant retomber
129      I,     25|         dit-il.~ ~ ~– Moi, mais, oui, Sire, je rêvais.~ ~ ~– Et vous
130      I,     25|            fortune.~ ~ ~– C’est vrai, Sire.~ ~ ~– Je crois avoir compris
131      I,     25|             active alliée.~ ~ ~– Oui, Sire, et je ne demande qu’une
132      I,     25|             les miens du moins.~ ~ ~– Sire, parlez bas, dit Marguerite
133      I,     25|             demanda Henri.~ ~ ~– Non, Sire, c’est M. de Mouy.~ ~ ~–
134      I,     25|                    C’est votre faute, Sire. Pourquoi avez-vous refusé
135      I,     25|             ou des fous !~ ~ ~– Mais, Sire, Votre Majesté ne pouvait-elle
136      I,     25|             demanda Henri.~ ~ ~– Oh ! Sire, ceci n’est point mon secret.~ ~ ~–
137      I,     25|           entendu.~ ~ ~– Il écoutait, Sire, et il a entendu.~ ~ ~–
138      I,     25|             une couronne.~ ~ ~– Mais, Sire, reprit encore de Mouy,
139      I,     25|             propositions.~ ~ ~– Mais, Sire, s’écria de Mouy au désespoir,
140      I,     25|              t’aura suffi.~ ~ ~– Oh ! Sire ! c’est le désespoir de
141      I,     25|          attend, de Mouy ?~ ~ ~– Oui, Sire.~ ~ ~– Où cela ?~ ~ ~– Dans
142      I,     25|                     Vous avez raison, Sire, répondit le jeune homme ;
143      I,     25|               sur Dieu.~ ~ ~– Un mot, Sire : comment vous reverrai-je ?~ ~ ~–
144      I,     27|                Elle était adressée au sire de Louviers de Maurevel,
145      I,     28|                     Vous avez raison, Sire ! dit Marguerite mise à
146      I,     29|              Il n’y a pas de réponse, Sire ?~ ~ ~– Aucune, que de me
147      I,     29|             tu comprends ?~ ~ ~– Oui, Sire.~ ~ ~– Attends donc, et
148      I,     31|             arquebuse ? voyons.~ ~ ~– Sire, dit Henri, à quoi bon une
149      I,     31|            Nevers. Ne le manquez pas, Sire ! Un bon coup à ce parpaillot !~ ~ ~–
150      I,     31|              sous lui.~ ~ ~– La main, Sire, rendez la main, dit Henri.
151      I,     31|               comme un cadavre.~ ~ ~– Sire, dit Henri, qui toujours
152      I,     31|             sanglier atteint au cœur, Sire, ce n’est rien, j’ai écarté
153      I,    Bib|             Paul~ ~(La main droite du Sire de Giac).~ ~Paris, Dumont,
154     II,      2|           êtes-vous ?~ ~ ~– Me voici, Sire, dit la voix du roi de Navarre.~ ~ ~–
155     II,      2|               ce soir.~ ~ ~– Comment, Sire ! dit Henri, Votre Majesté
156     II,      2|            êtes bien le maître.~ ~ ~– Sire, dit Henri, je vais prendre
157     II,      2|               là est bon.~ ~ ~– Mais, Sire…, essaya le Béarnais.~ ~ ~–
158     II,      2|              étrange.~ ~ ~– Me voilà, Sire, dit Henri. Mais Charles
159     II,      2|            bas Marguerite.~ ~ ~– Non, Sire, répondit Henri, M. de La
160     II,      2|            huguenot ?~ ~ ~– Converti, Sire, dit Henri, et je réponds
161     II,      2|           femme ?~ ~ ~– Comment cela, Sire ?~ ~ ~– Oui, ce M. de Coconnas
162     II,      2|            dit.~ ~ ~– Raillerie pure, Sire ; M. de Coconnas fait les
163     II,      2|            Pas plus l’un que l’autre, Sire, dit Henri, et je vous réponds
164     II,      3|         Orthon qui l’attendait.~ ~ ~– Sire de Mouy, lui dit le montagnard,
165     II,      4|             Pourquoi dites-vous cela, Sire ? demanda le roi de Navarre.~ ~ ~–
166     II,      4|                    Mais qui vous dit, Sire, que ce soit madame de Condé
167     II,      4|           voix-là, maintenant ?~ ~ ~– Sire, dit Henri, si votre frère
168     II,      4|             le compagnon ?~ ~ ~– Non, Sire.~ ~ ~– Il est pourtant de
169     II,      4|               tête par respect.~ ~ ~– Sire, dit le duc de Guise, je
170     II,      4|         gentilshommes, lequel ?~ ~ ~– Sire, répondit le duc, Votre
171     II,      4|              Louvre.~ ~ ~– Pardonnez, Sire, dit le duc d’Anjou ; je
172     II,      4|              Élisabeth.~ ~ ~– Pardon, Sire ! C’était sa sœur que j’
173     II,      4|               mon cousin ?~ ~ ~– Oui, Sire.~ ~ ~– Vous reconnaîtriez
174     II,      4|  reconnaîtriez l’endroit ?~ ~ ~– Oui, Sire.~ ~ ~– Eh bien, allons-y ;
175     II,      4|               Henri, vous voyez bien, Sire, que rien ne prouve que
176     II,      4|             et au duc de Guise.~ ~ ~– Sire, nous allons chez Nantouillet,
177     II,      4|              Nous vous rendons grâce, Sire, dit vivement le duc d’Anjou.~ ~ ~–
178     II,      5|               souriant à Henri.~ ~ ~– Sire, je ne comprends pas, dit
179     II,      5|          entre dans le paradis.~ ~ ~– Sire, dit Henri, je suis heureux
180     II,      5|               l’entrée de votre Éden, Sire ?~ ~ ~– Tu vas voir, répondit
181     II,      5|              enfant Jésus.~ ~ ~– Oh ! Sire, dit le roi de Navarre,
182     II,      5|         appelle Charles. La reine dit Sire.~ ~ ~– Oh ! s’écria la jeune
183     II,      5|            compensation à tout.~ ~ ~– Sire, c’est le roi de Navarre ?
184     II,      5|               vois-tu…~ ~ ~– Eh bien, Sire ?~ ~ ~– Eh bien, sans cette
185     II,      5|               fait pour le remercier, Sire ?~ ~ ~– Je lui ai rendu
186     II,      5|       peut-être dans l’avenir5.~ ~ ~– Sire, dit Marie, n’en déplaise
187     II,      5|             de rêves !~ ~ ~– Eh bien, Sire, fit Marie en étendant la
188     II,      5|               renvoyé nos serviteurs. Sire, continua Marie en s’adressant
189     II,      5|               Henriot.~ ~ ~– Comment, Sire ?~ ~ ~– N’entends-tu pas ?~ ~ ~–
190     II,      5|             et de vos viandes ?~ ~ ~– Sire, dit Henri en souriant et
191     II,      5|           mais dans son esprit.~ ~ ~– Sire, dit Henri, je suis fâché
192     II,      5|                l’anagramme de ce nom, Sire, dit Henri, est trop facile,
193     II,      5|                demanda Charles.~ ~ ~– Sire, je n’ose répéter, moi.~ ~ ~–
194     II,      5|               ose répéter, moi.~ ~ ~– Sire, dit Henri, dans le nom
195     II,      5|              m’en doutais.~ ~ ~– Eh ! Sire, dit Henri, je ne me trompe
196     II,      6|        cabinet des Armes.~ ~ ~– Mais, Sire, disait Henri, maintenant
197     II,      6|          mieux.~ ~ ~– Je vous laisse, Sire, dit Henri.~ ~ ~– Oui, oui,
198     II,      6|       plaisanterie était bonne.~ ~ ~– Sire, dit Catherine, Votre majesté
199     II,      6|              diable m’emporte !~ ~ ~– Sire, vous avez par votre faute
200     II,      6|                       Dieu soit loué, Sire, vous voilà sain et sauf.
201     II,      7|          Charles l’interrogeât.~ ~ ~– Sire, dit-il. Votre Majesté a
202     II,      7|            soir. Dites-moi mon crime, Sire.~ ~ ~ ~Charles regarda sa
203     II,      7|                     Contre moi.~ ~ ~– Sire, si j’eusse conspiré contre
204     II,      7|        voulez-vous que je sache cela, Sire ? Je ne dis pas oui, je
205     II,      7|               vers Charles IX :~ ~ ~– Sire, continua Henri, je ne quitte
206     II,      8|           aime de plus en plus.~ ~ ~– Sire, dit Henri, Votre Majesté
207     II,      8|              douter, je serais myope, Sire ?~ ~ ~– Pis que cela, Henriot,
208     II,      8|               voulu le croire !~ ~ ~– Sire, dit Henri, comment croire
209     II,      8|                     Comment supposer, Sire, qu’une fille de France
210     II,      8|                      Je n’ai rien vu, Sire. Votre Majesté doit se rappeler
211     II,      8|               es mon ami.~ ~ ~– Mais, Sire…~ ~ ~– Et je ne veux pas
212     II,      8|             de La Mole.~ ~ ~– Voyons, Sire, dit Henri, est-ce véritablement
213     II,      8|            nous l’étranglerons.~ ~ ~– Sire, dit Henri, votre bonté
214     II,      8|         miséricorde, au moins !~ ~ ~– Sire, dit Henri, en y réfléchissant…~ ~ ~–
215     II,      8|               je maintiens innocente, Sire, n’est pas déshonorée pour
216     II,      8|              Je m’en rapporte à vous, Sire, dit Henri.~ ~ ~– Seulement
217     II,      8|               voulez dire : La voilà, Sire !~ ~ ~ ~Charles recula d’
218     II,      9|               dernier mot à échanger, Sire. Nous avons oublié ce mot,
219     II,      9|             autant que je fais.~ ~ ~– Sire, dit Catherine s’animant
220     II,      9|              qu’on lui obéisse.~ ~ ~– Sire, vous avez mal interprété
221     II,     11|              la porte :~ ~ ~– Entrez, Sire, dit-elle.~ ~ ~ ~Si doucement,
222     II,     11|        nouvelles, madame ?~ ~ ~– Moi, Sire ! dit Marguerite étonnée ;
223     II,     11|          billet ?~ ~ ~– Certainement, Sire, répondit Marguerite en
224     II,     11|              dire une chose pareille, Sire ? Un homme que le roi a
225     II,     11|            habituelle.~ ~ ~– Si fait, Sire, dit Marguerite.~ ~ ~– Alors,
226     II,     11|         Pourquoi moi et non pas vous, Sire ? dit Marguerite.~ ~ ~–
227     II,     11|      disons-nous ?~ ~ ~– Nous disons, Sire, répondit celui-ci, que
228     II,     11|          Votre opinion est la sienne, Sire, et si demain, pendant la
229     II,     11|               vous inquiétez de rien, Sire. À droite ou à gauche de
230     II,     11|            demi-mot.~ ~ ~– Il y sera, Sire.~ ~ ~– Eh bien, monsieur
231     II,     11|             reine.~ ~ ~– Mais par où, Sire ?~ ~ ~– Si vous ne pouvez
232     II,     15|               chambre.~ ~ ~– Eh bien, Sire, dit de Mouy quand Grégoire
233     II,     15|             merveille.~ ~ ~– Eh bien, Sire, que dit M. d’Alençon ?~ ~ ~–
234     II,     15|            Mouy ?~ ~ ~– Au contraire, Sire, tout est gagné. Vous savez
235     II,     15|            hommes vous suffiront-ils, Sire, et vous croirez-vous en
236     II,     15|                mon Dieu ! je le sais, Sire, et j’espère qu’avant qu’
237     II,     15|             réussira.~ ~ ~– Eh bien ! Sire, quels sont les jours où
238     II,     15|                Avez-vous de l’argent, Sire ? Henri fit la grimace que
239     II,     15|             affaires ?~ ~ ~– Écoutez, Sire, Orthon m’a dit (c’est un
240     II,     15|              serez roi un jour, vous, Sire, et si vous avez quelque
241     II,     15|              est dévoué corps et âme, Sire, et sur lequel vous pouvez
242     II,     15|               et agité.~ ~ ~– Alerte, Sire, s’écria-t-il ; alerte !
243     II,     15|              les occuper, moi. Allez, Sire, allez.~ ~ ~– Mais que feras-tu ?~ ~ ~–
244     II,     15|                Ne vous inquiétez pas, Sire ; allez toujours. Et de
245     II,     15|            seul à table.~ ~ ~– Venez, Sire, venez, s’écria La Mole
246     II,     15|           avoir trahis ?~ ~ ~– Venez, Sire, venez ; ils montent, ils
247     II,     15|      cliquetis d’épée.~ ~ ~– Alerte ! Sire ! alerte ! dit La Mole.
248     II,     15|          fenêtre d’un cabinet :~ ~ ~– Sire, dit-il, Votre Majesté craint-elle
249     II,     15|               grenier inhabité.~ ~ ~– Sire, dit La Mole, vous voici
250     II,     15|               ai fait le même chemin, Sire, par une nuit bien autrement
251     II,     15|               de rampe :~ ~ ~– Venez, Sire, dit-il.~ ~ ~ ~Au milieu
252     II,     15|             et dévoué !~ ~ ~– Ma foi, Sire, dit La Mole, Votre Majesté
253     II,     15|            est-il devenu ?~ ~ ~– Oh ! Sire, je ne suis point inquiet
254     II,     15|           vous jure qu’il se sauvera, Sire. Quand on prendra Coconnas,
255     II,     15|            Mole, rien de plus facile, Sire ; enveloppons-nous de nos
256     II,     15|            lui.~ ~ ~– Eh bien ! mais, Sire, dit La Mole, rentrez au
257     II,     16|             qu’à partir de ce moment, Sire, votre unique, votre véritable
258     II,     16|          puissance royale.~ ~ ~– Non, Sire ; on vient seulement d’en
259     II,     16|           donc, monsieur ?~ ~ ~– Eh ! Sire, dit de Mouy avec une tranquillité
260     II,     16|         monsieur de Mouy ?~ ~ ~– Oui, Sire ; Votre Majesté désire-t-elle
261     II,     16|               l’avoue.~ ~ ~– Eh bien, Sire, il s’appelait de Mouy de
262     II,     16|               du roi ?~ ~ ~– D’abord, Sire, j’ignorais qu’il y eût
263     II,     16|          Votre Majesté sait le reste, Sire ; j’ai frappé sur lui comme
264     II,     16|             le veux.~ ~ ~– J’obéirai, Sire, dit de Mouy en s’inclinant.~ ~ ~ ~
265     II,     16|              eût été introduit.~ ~ ~– Sire, dit de Mouy, j’étais venu
266     II,     16|             peu.~ ~ ~– Les huguenots, Sire, reconnaissent mieux que
267     II,     16|        Alençon le savait ?~ ~ ~– Oui, Sire.~ ~ ~– Et il acceptait cette
268     II,     16|             bienvenu au Louvre.~ ~ ~– Sire, vous seriez instruit depuis
269     II,     16|             chose…~ ~ ~– De laquelle, Sire ?~ ~ ~– C’est que vous êtes
270     II,     16|        violemment ?~ ~ ~– Contre qui, Sire ?~ ~ ~– Mais contre Henri,
271     II,     16|         François ou contre moi.~ ~ ~– Sire, nous avions la renonciation
272     II,     16| volontairement…~ ~ ~– Volontairement, Sire.~ ~ ~– Il paraît que c’est
273     II,     16|             Mouy, il est libre.~ ~ ~– Sire, dit de Mouy en faisant
274     II,     16|              de Maurevel ?~ ~ ~– Oui, Sire.~ ~ ~– Je ne sais où il
275     II,     16|             de grand cœur.~ ~ ~– Ah ! Sire, s’écria de Mouy, voilà
276     II,     17|              fait demander, me voici, Sire, dit-il. Que désire de moi
277     II,     17|               je vous la donne.~ ~ ~– Sire, dit François, j’en jure
278     II,     17|                  Je ne désirais rien, Sire.~ ~ ~– Si fait, si fait,
279     II,     17|            pareil moment.~ ~ ~– Mais, Sire, reprit-il tout en palpitant
280     II,     17|           pour vous, mon frère.~ ~ ~– Sire, je vous jure que jamais…~ ~ ~–
281     II,     17|           jurez pas Dieu.~ ~ ~– Mais, Sire, vous m’exilez donc ?~ ~ ~–
282     II,     17|              prendra, lui.~ ~ ~– Oh ! Sire, vous vous trompez, ce titre,
283     II,     17|               et surtout par le cœurSire, je vous en supplie, gardez-moi
284     II,     17|               Mais voyez donc un peu, Sire, si vous trouverez jamais
285     II,     17|               savez-vous !~ ~ ~– Oh ! Sire, pardonnez à l’émotion,
286     II,     17|    connaissent pas la distance.~ ~ ~– Sire…~ ~ ~– Acceptez, ou plutôt
287     II,     17|               ces quelques lignes : « Sire, le moment est venu de mettre
288     II,     17|        étaient fatigués.~ ~ ~» Adieu, Sire ; soyez prêt, nous le serons. »~ ~–
289     II,     17|             démentirai.~ ~ ~– Allons, Sire, devenez un héros ; ce n’
290     II,     18|           avant ni en arrière :~ ~ ~– Sire, demanda d’Alençon, comment
291     II,     18|        tourner la page rebelle.~ ~ ~– Sire, balbutia d’Alençon dont
292     II,     18|               une angoisse terrible ; Sire, je venais pour vous dire…~ ~ ~–
293     II,     19|      accusation matinale ?~ ~ ~– Non, Sire. Une certitude, un complot
294     II,     19|              voyons le complot.~ ~ ~– Sire, dit François, tandis que
295     II,     19|        brusque rien. Faites en sorte, Sire, que le véritable coupable,
296     II,     19|               Parlez, François.~ ~ ~– Sire, dit d’Alençon, je ferais
297     II,     20|               avons pas même aperçus, Sire.~ ~ ~– Mais les voilà, dit
298     II,     21|            est emporté sur un faisan, Sire, au moment où nous étions
299     II,     21|          dirigé son vol vers le parc, Sire ; de sorte que, lorsque
300     II,     21|               est pas moi.~ ~ ~– Non, Sire, répondit Henri, mais c’
301     II,     21|              tout cela étrange.~ ~ ~– Sire, dit le roi de Navarre avec
302     II,     21|               je suis roi comme vous, Sire, dit fièrement Henri, car
303     II,     21|              croyait pouvoir compter, Sire, voici deux gentilshommes
304     II,     21|           arrêtés ? dit le roi.~ ~ ~– Sire, nous devisions de faits
305     II,     21|               à fuir !~ ~ ~– Non pas, Sire, dit Coconnas, et Votre
306     II,     21|             le roi.~ ~ ~– C’est vrai, Sire, répondit le lieutenant ;
307     II,     21|         signifiait : Vous voyez bien, Sire !~ ~ ~– Mais ces chevaux
308     II,     21|              des dents. Heureusement, Sire, je vous ai prévenu que
309     II,     21|             la donne à Votre Majesté, Sire.~ ~ ~– Retournez à Paris
310     II,     21|            demanda le roi.~ ~ ~– Non, Sire, dit M. de Nancey ; ou il
311     II,     21|          froid, je suis ébloui.~ ~ ~– Sire, c’est la colère sans doute,
312     II,     21|              Alors il s’avança.~ ~ ~– Sire, dit-il, vous m’avez fait
313     II,     21|              d’étendre la main.~ ~ ~– Sire, dit Henri en laissant ses
314     II,     21|           cette promesse. Interrogez, Sire.~ ~ ~ ~Le roi versa de l’
315     II,     21|               moi, Henri ?~ ~ ~– Non, Sire, au contraire ; je n’ai
316     II,     21|            Ceux qui me détestent ici, Sire, c’est M. d’Alençon et la
317     II,     21|               que je me défie d’elle, Sire. Et bien m’en a pris de
318     II,     21|              que le malheur des rois, Sire, n’est pas toujours d’être
319     II,     21|            que vous m’aimez toujours, Sire.~ ~ ~– Soit !~ ~ ~– Si vous
320     II,     21|               malheur.~ ~ ~– Eh bien, Sire, deux fois Votre Majesté
321     II,     21|             elle, de René. Oui, vous, Sire, vous m’avez sauvé du fer.~ ~ ~ ~
322     II,     21|            miracles m’ont donc sauvé, Sire. Un miracle de repentir
323     II,     21|             de l’opiat ?~ ~ ~– Dame ! Sire, demandez à René ; on empoisonne
324     II,     21|             instinct ?~ ~ ~– Eh bien, Sire, demanda Henri, Votre Majesté
325     II,     21|            auraient été faites.~ ~ ~– Sire, tous les soirs, je m’étonne
326     II,     21|               Libre de quitter Paris, Sire ? demanda Henri.~ ~ ~– Non
327     II,     21|              qui m’aime.~ ~ ~– Alors, Sire, si Votre Majesté me garde
328     II,     21|                  Une haine apparente, Sire. Cette haine me sauvera :
329     II,     21|               me mettre au lit.~ ~ ~– Sire, dit Henri, Votre Majesté
330     II,     21|            Est-ce bien votre opinion, Sire ?~ ~ ~– Foi de gentilhomme !~ ~ ~–
331     II,     22|        chimiste, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Sire…~ ~ ~– Et vous savez tout
332     II,     22|        distillait chaque plaie.~ ~ ~– Sire, dit-il en tremblant, voilà
333     II,     22|             pas ?~ ~ ~– J’en ai peur, Sire.~ ~ ~– Et avec quel genre
334     II,     22|              dit Charles.~ ~ ~– Vous, Sire !~ ~ ~– Oui, moi. Et, s’
335     II,     22|              tremblante.~ ~ ~– Voyez, Sire, dit René, voyez, voici
336     II,     22|               empoisonné ?~ ~ ~– Oui, Sire.~ ~ ~– Avec un poison minéral ?~ ~ ~–
337     II,     22|           cela, murmura le roi.~ ~ ~– Sire, je cherche en vain le but
338     II,     22|               j’en déchire une autre, Sire ?~ ~ ~– Faites.~ ~ ~ ~René
339     II,     22|                     Sans cela ?~ ~ ~– Sire, c’est un poison terrible,
340     II,     22|      connaissez ce livre ?~ ~ ~– Moi, Sire ! dit René en pâlissant.~ ~ ~–
341     II,     22|           vous vous êtes trahi.~ ~ ~– Sire, je vous jure…~ ~ ~– René,
342     II,     22|               Et si je dis la vérité, Sire, qui me garantira que je
343     II,     22|           chaise.~ ~ ~– Qu’avez-vous, Sire ? demanda René d’une voix
344     II,     22|         attaque, défendez-vous.~ ~ ~– Sire, puis-je quitter la France
345     II,     22|                Oh ! soyez tranquille, Sire. Et, trop heureux d’en être
346     II,     23|               du premier étage.~ ~ ~– Sire, répondit M. de Nancey,
347     II,     23|              vous suivre ?~ ~ ~– Oui, Sire.~ ~ ~– En ce cas, je vous
348     II,     23|                   C’est la gouttière, Sire.~ ~ ~– Il pleut donc, ici ?~ ~ ~–
349     II,     23|          pleut donc, ici ?~ ~ ~– Oui, Sire, du sang.~ ~ ~– Ah ! ah !
350     II,     23|               faites-vous ici ?~ ~ ~– Sire, je viens de recevoir ma
351     II,     23|              point mal.~ ~ ~– Pardon, Sire, reprit Beaulieu, mais avant
352     II,     23|          gémit ?~ ~ ~– M. de La Mole, Sire.~ ~ ~– Ma foi, dit Henri,
353     II,     24|             se reculant encore.~ ~ ~– Sire, dit la reine, je vous ai
354     II,     24|          Majesté ; mais heureusement, Sire, votre frère veillait sur
355     II,     24|              aiguille.~ ~ ~– Eh bien, Sire, vous reconnaissez-vous ?~ ~ ~–
356     II,     24|           sans doute ?~ ~ ~– Non pas, Sire.~ ~ ~– Non pas ! … alors
357     II,     24|             tout prêt à y lire.~ ~ ~– Sire, continua Catherine, cette
358     II,     24|               est la formule magique, Sire. L’inventeur écrit ainsi
359     II,     24|                  Vous permettez donc, Sire, que l’instruction commence ?~ ~ ~–
360     II,     24|         violente émotion :~ ~ ~– Oh ! Sire, Sire ! s’écria Marguerite
361     II,     24|            émotion :~ ~ ~– Oh ! Sire, Sire ! s’écria Marguerite en
362     II,     24|               dit Charles.~ ~ ~– Oh ! Sire, j’en suis sûre.~ ~ ~– Eh
363     II,     24|                  Il vous l’a demandé, Sire ?…~ ~– Oui, il a de singulières
364     II,     24|               y a une autre personne, Sire, à laquelle j’ai tort de
365     II,     24|            est cette personne ?~ ~ ~– Sire, épargnez-moi… j’oserais
366     II,     24|               voulu le tuer une fois, Sire, et il n’a échappé que par
367     II,     24|               en a commis deux…~ ~ ~– Sire, il n’est pas coupable du
368     II,     30|             les morts.~ ~ ~– Eh bien, Sire, dit Marguerite frissonnante,
369     II,     30|                      Ah ! qu’importe, Sire, dit Marguerite, pourvu
370     II,     31|             sais ce que je dis.~ ~ ~– Sire, dit la reine, votre imagination
371     II,     31|              Faites-le appeler.~ ~ ~– Sire, dit la reine, je vois avec
372     II,     31|          après la flagellation.~ ~ ~– Sire, s’écria Catherine en le
373     II,     33|               la raison d’État.~ ~ ~– Sire, balbutia Henri, je ne me
374     II,     33|               me le tueront ! …~ ~– Ô Sire, s’écria Henri, dont les
375     II,     33|              visage de la mère.~ ~ ~– Sire, ne pouvez-vous les faire
376     II,     33|                     La régence à moi, Sire ! dit-il en pâlissant de
377     II,     33|               non du sang.~ ~ ~– Oh ! Sire, que dites-vous ?~ ~ ~–
378     II,     33|               inquiétude.~ ~ ~– Moi ! Sire, répliqua Henri ; non, je
379     II,     34|               écria Henri.~ ~ ~– Oui, Sire.~ ~ ~– Ta prédiction était
380     II,     34|           Henri.~ ~ ~– Vous le serez, Sire, mais l’heure n’est pas
381     II,     34|           tête du roi.~ ~ ~– Eh bien, Sire, dit précipitamment le Florentin,
382     II,     35|           précipitamment et trouva le sire de Maurevel.~ ~ ~– Il est
383     II,     35|           Charlotte, vous m’effrayez, Sire ; si un bon souvenir donné
384     II,     35|                Trois, c’est bien peu, Sire.~ ~ ~– C’est assez quand
385     II,     35|             que l’amour.~ ~ ~– Merci, Sire.~ ~ ~– Oh ! dit Henri, je
386     II,     35|      séparation éternelle.~ ~ ~– Ah ! Sire, dit madame de Sauve, il
387     II,     35|              de nous.~ ~ ~– Attendez, Sire ; et mon épée, croyez-vous
388     II,     35|         manque à la fois !~ ~ ~– Oui, Sire, lui dit tout bas un homme
389     II,     35|               écria Henri.~ ~ ~– Oui, Sire, René qui veille sur vous :
390     II,     35|             fugitif !~ ~ ~– Regardez, Sire, dit le Florentin en montrant
391     II,    Bib|             Paul~ ~(La main droite du Sire de Giac).~ ~Paris, Dumont,
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