Tome,  Chap.

  1      I,      1|          garde : c’est que la reine mère, qui veut mettre le nez
  2      I,      1|         est-à-dire à l’époque où sa mère vivait encore, on l’avait
  3      I,      1|            deux mois à peine que sa mère était morte, et moins que
  4      I,      1|            écartant devant la reine mère, qui s’avançait appuyée
  5      I,      1|        groupe où se tenait la reine mère ; mais si court que fut
  6      I,      1|             roi Charles et la reine mère se retirèrent dans leurs
  7      I,      2|            Médicis haïssait trop ma mère pour ne point me haïr.~ ~ ~–
  8      I,      2|           de l’empoisonnement de ma mère, je voudrais qu’il y eût
  9      I,      2|          Anjou, menacé par la reine mère, menacé par le duc de Guise,
 10      I,      3|    beau-frère Henri. Enfin la reine mère était si joyeuse et si occupée
 11      I,      3|     véritablement roi depuis que ma mère n’est plus reine, et elle
 12      I,      3|           guerre ; et pourvu que ma mère n’en soit pas, tout ira
 13      I,      5|           on m’attend chez la reine mère.~ ~ ~– Oh ! madame, si vous
 14      I,      6|            appartements de la reine mère Catherine de Médicis.~ ~ ~ ~
 15      I,      6|            empoisonneur de la reine mère.~ ~ ~ ~La veuve de Henri
 16      I,      6|       levrette favorite de la reine mère, laquelle lui avait été
 17      I,      6|            et au moment où la reine mère paraissait plongée au plus
 18      I,      6|             bien fait, dit la reine mère.~ ~ ~– Mais que résoudre ?~ ~ ~–
 19      I,      6|          Pendant le chemin la reine mère s’était arrangé un visage
 20      I,      6|         Charles IX en fixant sur sa mère son œil vitreux qui, dans
 21      I,      6|    spectacles.~ ~ ~– Mais enfin, ma mère, dit Charles IX avec une
 22      I,      6|            gens. Mort de ma vie, ma mère ! il faut pourtant une justice
 23      I,      6|                  Allons, allons, ma mère, voici que vous retombez
 24      I,      6|         fils ?~ ~ ~– D’attendre, ma mère ! d’attendre. Toute la sagesse
 25      I,      6|          que faut-il donc faire, ma mère ! dit-il, car je suis juste
 26      I,      6|           foi aux prédictions de sa mère.~ ~ ~– Mais n’avez-vous
 27      I,      6|       Charles IX suivit des yeux sa mère, mais sans la rappeler cette
 28      I,      6|             s’interrompit.~ ~ ~– Ma mère est bien un esprit royal,
 29      I,      6|             avec sa fille, la reine mère ouvrit la bouche pour parler,
 30      I,      6|             nom de l’assassin de sa mère. Il sentit que son visage
 31      I,      6|          retournant.~ ~ ~– Rien, ma mère.~ ~ ~– Vous avez parlé tout
 32      I,      6|           çà, Claude ! dit la reine mère. Claude obéit. Catherine
 33      I,      6|              et cependant ma pauvre mère, qui achetait aussi chez
 34      I,      6|             qui vous a dit cela, ma mère ? est-ce Margot ?~ ~ ~–
 35      I,      6|           sans parler, regardait sa mère les mains jointes.~ ~ ~ ~
 36      I,      6|                Phébé ! dit la reine mère avec impatience.~ ~ ~– Rappelez-la,
 37      I,      6|      laisser sortir.~ ~ ~ ~La reine mère se leva, prit la petite
 38      I,      9|            maisons.~ ~ ~– Merci, ma mère, merci ! cria le jeune homme.~ ~ ~–
 39      I,      9|            à la fenêtre en face, la mère du jeune homme, tenait à
 40      I,      9|           de son poignard, et de la mère du jeune homme, qui tentait
 41      I,      9|            c’est mon fils ! cria la mère, l’espoir de notre vieillesse !
 42      I,      9|         mourir !~ ~ ~ ~Et un cri de mère retentit si douloureux et
 43      I,      9|         fils, mon Olivier, hurla la mère, abjureabjure !~ ~ ~–
 44      I,      9|             voici ta mort ! cria la mère de la fenêtre.~ ~ ~– Prenez
 45      I,     10|             le roi et chez la reine mère.~ ~ ~– Madame de Sauve !
 46      I,     10|            ordre exprès de la reine mère…~ ~ ~– Relevez-vous, dit
 47      I,     10|           fait de lui, car la reine mère a juré sa mort.~ ~ ~– Sa
 48      I,     10|          Navarre.~ ~ ~– Et la reine mère, où est-elle ?~ ~ ~– La
 49      I,     10|           est-elle ?~ ~ ~– La reine mère m’a envoyée chercher M.
 50      I,     10|           pénétrer jusqu’à la reine mère, madame ?~ ~ ~– Alors, je
 51      I,     10|             antichambre de la reine mère. Mais cette antichambre
 52      I,     10|              vous sortez de chez ma mèresavez-vous ce qu’est devenu
 53      I,     10|            Catherine, empoisonné sa mère.~ ~ ~– Non ! non ! s’écria
 54      I,     10|             sortie de chez la reine mère, à laquelle, comme un bon
 55      I,     10|             Charles IX, de la reine mère et du duc de Guise, l’horrible
 56      I,     10|             hasard, à l’oubli de ma mère, peut-être ; mais sitôt
 57      I,     11|            porte : le roi, la reine mère et le duc d’Alençon. Elle
 58      I,     11|          roi Charles IX ou la reine mère elle-même. On n’eût point
 59      I,     11|         dire de la part de la reine mère.~ ~ ~– Moi ! vous vous trompez,
 60      I,     11|          que je voulais dire. Notre mère a deviné tout. Je m’alliais
 61      I,     11|                    Le roi, la reine mère, Tavannes et les principaux
 62      I,     11|             et de celle de la reine mère, attendait Leurs Majestés
 63      I,     11|             ma fille ! dit la reine mère dans son patois italien,
 64      I,     11|          put trouver.~ ~ ~– Oui, ma mère, répondit-elle, le serpent
 65      I,     11|            Henriette ? dit la reine mère à la belle duchesse.~ ~ ~ ~
 66      I,     11|           la route, on vit la reine mère parler sans relâche à l’
 67      I,     12|           âge de dame Catherine, ta mère, nous en ferons, de la politique.
 68      I,     12|           roi, le duc d’Alençon, ma mère, mon mari mêmepeuvent
 69      I,     13|          avait fait passer la reine mère. Cette clef était celle
 70      I,     13|          était évident que la reine mère avait besoin, pour un dessein
 71      I,     13|          poursuivi, j’ai pensé à ma mère, qui était catholique ;
 72      I,     13|         embrasser la religion de ma mère. Dieu a fait plus que de
 73      I,     13|         entre les mains de la reine mère, entre les mains de madame
 74      I,     13|            dit-elle.~ ~ ~– La reine mère sort de chez elle, murmura
 75      I,     13|        cette dague : c’est la reine mère, c’est vrai ; mais c’est
 76      I,     13|          vrai ; mais c’est la reine mère toute seule.~ ~ ~– Cependant…~ ~ ~–
 77      I,     13|          dupe, baiser la main de sa mère.~ ~
 78      I,     14|             de noces~ ~ ~ ~La reine mère promena son regard autour
 79      I,     14|         cérémonieuse révérence à sa mère.~ ~ ~– J’apprends de ce
 80      I,     14|       enfant, c’est à la main d’une mère qu’il appartient de la guérir.
 81      I,     14|             doigt, en souriant à sa mère, le profil fier, les cheveux
 82      I,     14|              Marguerite permit à sa mère de contempler un instant
 83      I,     14|           personne, la colère de ma mère est terrible.~ ~ ~ ~Henri
 84      I,     14|         elle venait d’adresser à sa mère ; on vous entend du cabinet,
 85      I,     14|   gouverneur de Provence, que votre mère était catholique et que
 86      I,     14|           semblé voir l’ombre de ma mère me guidant vers le Louvre
 87      I,     14|           adopter la religion de ma mère, à qui Dieu avait permis
 88      I,     15|         rentrer chez elle, la reine mère monta directement chez sa
 89      I,     15|         craignait celle de la reine mère. Au lit, à moitié vêtue,
 90      I,     15|           hasard ? demanda la reine mère.~ ~ ~– Moi ? dit madame
 91      I,     15|             fait croire à madame ma mère ce qui n’est pas, il convient
 92      I,     15|             à l’endroit de la reine mère, et cela avec d’autant plus
 93      I,     15|            favori, il entra chez sa mère le visage tout joyeux, suivi
 94      I,     15|      courtisans habituels.~ ~ ~– Ma mère, dit-il en embrassant la
 95      I,     15|            en deviner la cause ; ma mère, bonne nouvelle ! Mort de
 96      I,     15|            l’idée, n’est-ce pas, ma mère, que les chiens en avaient
 97      I,     15|                   Eh bien, ma bonne mère ! reprit Charles IX, j’ai
 98      I,     15|          porté ; si vous voulez, ma mère, nous monterons à cheval
 99      I,     15|            avez, ma foi, raison, ma mère ! à demain la chose, cela
100      I,     15|         monde sera libre. Adieu, ma mère ! je vais sonner du cor.~ ~ ~–
101      I,     15|          sortit de la chambre de sa mère, entra dans son cabinet
102      I,     16|       peut-être, était ce fils sans mère, ce roi sans royaume, ce
103      I,     16|         derrière le roi et la reine mère, de sorte que ses gentilshommes,
104      I,     17|        moins que lui doive la reine mère. C’est dit, on viendra de
105      I,     19|            le parfumeur de la reine mère~ ~ ~ ~À l’époque où se passe
106      I,     19|    parfumeur de Sa Majesté la reine mère.~ ~ ~ ~La porte de cette
107      I,     19|                   Pas même la reine mère ? murmura René à son oreille.~ ~ ~ ~
108      I,     20|           soustractions de la reine mère pour avoir la maladresse
109      I,     21|             vous parlez de la reine mère.~ ~ ~– Oh ! dit Henri avec
110      I,     21|          défier d’elle, cette bonne mère, quand nous étions mal ensemble ;
111      I,     21|             c’est celle d’une belle mère.~ ~ ~ ~Ce n’était point
112      I,     21|          matin demain chez la reine mère.~ ~ ~– Vous me chassez donc
113      I,     23|      conseil entre le roi, la reine mère et mon frère le duc d’Anjou.~ ~ ~–
114      I,     23|             suis gendre de ma bonne mère Catherine. de Mouy, en prenant
115      I,     23|               Catherine est bien ma mère ; le roi Charles IX enfin
116      I,     23|             le flatteur de la reine mère et l’ami de Maurevel…~ ~ ~–
117      I,     23|              moi que la haine de ma mère et de mes frères, plus encore
118      I,     23|             avec vous, prouvée à ma mère ou à mes frères, me coûterait
119      I,     25|         Anjou, Charles IX, la reine mère ; vous ne connaissez pas
120      I,     27|            la santé.~ ~ ~ ~La reine mère fut étourdie à ce coup.
121      I,     27|    montagnes, et qui me vient de ma mère, a guéri cette indisposition.~ ~ ~–
122      I,     27|             Dariole.~ ~ ~ ~La reine mère se jeta derrière les rideaux
123      I,     28|    Peut-être était-il pour la reine mère ?~ ~ ~– Non pas ; j’en suis
124      I,     29|                   Eh ! mon Dieu, ma mère, fit Charles IX impatienté,
125      I,     29|           choses que vous dit votre mère. Les ambassadeurs vont arriver ;
126      I,     29|       Charles IX cessa d’écouter sa mère pour écouter l’heure.~ ~ ~–
127      I,     29|          neuf heures. En vérité, ma mère, vous me faites perdre bien
128      I,     29|                  Allons, allons, ma mère ! dit Charles pâle d’impatience,
129      I,     29|            est manquée. Mordieu, ma mère ! vous ne songez vraiment
130      I,     29|        signant d’un trait. Adieu ma mère. Et il s’élança hors du
131     II,      1|         Anjou, qui, n’ayant avec sa mère Catherine qu’un cœur et
132     II,      1|             la vie, et que la reine mère a pour moi remplacé ma mère.
133     II,      1|         mère a pour moi remplacé ma mère. J’ai donc refusé toutes
134     II,      1|            son fils.~ ~ ~ ~La reine mère alors tira de son aumônière
135     II,      1|        François serra la main de sa mère, et dit :~ ~ ~– Me permettez-vous
136     II,      1|              dit François, ma bonne mère m’apporte ce bijou, et en
137     II,      2|             arraché le matin par sa mère, il avait tout compris.~ ~ ~–
138     II,      2|          pas pour descendre chez sa mère ; mais une pensée le retint.~ ~ ~–
139     II,      3|          lui avait prédits la reine mère. Enfin Catherine s’était
140     II,      3|               Eh bien, dit la reine mère, j’ai demandé la maîtresse
141     II,      3|  rentrera-t-elle ? demanda la reine mère.~ ~ ~– La séance se prolongera
142     II,      3|         exécuta l’ordre de la reine mère, et madame de Sauve continua
143     II,      3|          pour le compte de la reine mère. Et, revenant vers le théâtre
144     II,      3|            l’ordre que lui donna sa mère, le jeune homme rentra chez
145     II,      4|            que je te donne : car ma mère Catherine t’aime si fort
146     II,      5|             à manger, tandis que la mère, inquiète et soigneuse,
147     II,      5|          fasse connaissance avec ma mère.~ ~ ~– La reine Catherine
148     II,      6|           une rude querelle avec ma mère.~ ~ ~ ~En achevant ces mots,
149     II,      6|          que venait lui adresser sa mère.~ ~ ~– Eh bien, madame,
150     II,      6|             se querellent avec leur mère, témoin mon frère François
151     II,      6|            un plan avorté, vous, ma mère ? Vous en ferez vingt autres,
152     II,      6|           tort.~ ~ ~– Et lequel, ma mère ?~ ~ ~– Demandez à Henri
153     II,      6|             et vous avez raison, ma mère, je veux le connaître.~ ~ ~–
154     II,      6|                   Mais par vous, ma mère ? Cet homme n’a pas fui
155     II,      6|           est passé que notre bonne mère avait donné l’ordre à M.
156     II,      6|          comme l’est celui de notre mère ? Je les respecte, mais
157     II,      7|           La cordelière de la reine mère~ ~ ~ ~Charles était entré
158     II,      7| conversation de dix minutes avec sa mère, on eût dit que celle-ci
159     II,      7|              vous pouvez rester, ma mère.~ ~ ~ ~Catherine s’assit.
160     II,      7|            précises. Prévenu par sa mère de demeurer chez lui, il
161     II,      7|          rouge.~ ~ ~ ~Charles et sa mère échangèrent un regard.~ ~ ~–
162     II,      7|                  Charles regarda sa mère assez embarrassé de la réponse
163     II,      7|           frère Charles, à ma bonne mère Catherine. Depuis mon mariage
164     II,      7|               Eh ! mort-diable ! ma mère, savez-vous qu’il a raison !~ ~ ~–
165     II,      7|            dis pas bravo aussi ? Ma mère, vous avez tort de mépriser
166     II,      7|            bien, vous avez tort, ma mère. Henriot est mon ami, et,
167     II,      7|            roi de France ?~ ~ ~– Ma mère, n’importe le motif pour
168     II,      7|             Charles IX donnait à sa mère. Elle se retira en essayant
169     II,      7|            et avec qui il était, ma mère, répondit Marguerite, quoiqu170     II,      7|             dans la manière dont sa mère prononçait ces paroles un
171     II,      7|            Catherine.~ ~ ~– Non, ma mère, dit Marguerite d’une voix
172     II,      7|           tranquillisez-vous, votre mère veille sur votre honneur.~ ~ ~ ~
173     II,      7|             sourcil, c’est vous, ma mère ?~ ~ ~– Pourquoi n’avez-vous
174     II,      7|             que lui voulez-vous, ma mère, puisqu’il n’était pas chez
175     II,      7|       Charles, vous avez raison, ma mère, et j’y vais rêver.~ ~ ~–
176     II,      7|         avez adopté l’avis de notre mère ?~ ~ ~– De point en point,
177     II,      8|    intervalle du départ de la reine mère, à l’arrivée du capitaine
178     II,      8|          tout à l’heure encore à ma mère, tu as de l’esprit comme
179     II,      8|             encore de chez la reine mère. En vérité elle ne sait
180     II,      8|             vous a demandé la reine mère ?~ ~ ~– La reine mère à
181     II,      8|         reine mère ?~ ~ ~– La reine mère à moi ! avait-elle donc
182     II,      8|               Et à qui ?~ ~ ~– À ma mère.~ ~ ~– Et la reine Catherine…~ ~ ~–
183     II,      8|    appartements du roi, de la reine mère, et à ce petit escalier
184     II,      8|             avoir laissé chez notre mère.~ ~ ~– Ainsi, sans lumière ?~ ~ ~–
185     II,      9|            encore revu librement sa mère Catherine, dont, comme chacun
186     II,      9|           qui, s’il n’aimait pas sa mère, était sûr du moins d’être
187     II,      9|            car il y avait, outre la mère, de la femme dans Catherine,
188     II,      9|        Anjou avait à expliquer à sa mère ; et le lecteur, qui, comme
189     II,      9|    longtemps attendu, entra chez sa mère, Catherine, si froide, si
190     II,      9|            embrasser sans témoin ma mère, consolez l’homme le plus
191     II,      9|             que vous ne sachiez, ma mère. Je suis amoureux, je suis
192     II,      9|            Catherine.~ ~ ~– Eh ! ma mère… ces ambassadeurs, ce départ…~ ~ ~–
193     II,      9|                Il ne presse pas, ma mère, mais mon frère le pressera.
194     II,      9|                  Oh ! n’importe, ma mère, reprit Henri avec angoisse,
195     II,      9|        polies, près de la meilleure mère, aimé d’une des plus charmantes
196     II,      9|            qu’il contient ! Non, ma mère, je ne veux point partir,
197     II,      9|            comme s’il n’osait, à sa mère elle-même, avouer ce qui
198     II,      9|           plus politique !~ ~ ~– Ma mère, ce n’est pas ma faute si
199     II,      9|            règne.~ ~ ~– Eh bien, ma mère, faites que je reste. Mon
200     II,      9|                 Oh ! jugez donc, ma mère, s’écria Henri, quel désespoir
201     II,      9|       lettrée, près de la meilleure mère du monde, dont les conseils
202     II,      9|           encore avec moi ! Ah ! ma mère ! j’eusse été un grand roi !~ ~ ~–
203     II,      9|       petites répugnances.~ ~ ~– Ma mère, l’intérêt de la France
204     II,      9|         sacré.~ ~ ~– Mais enfin, ma mère, ne pourrait-on, à ces Polonais,
205     II,      9|           tentez, parlez au roi, ma mère ; rejetez tout sur mon amour
206     II,      9|             vois.~ ~ ~– Si fait, ma mère, si fait, mais en attendant
207     II,      9|          compte ?~ ~ ~– Si fait, ma mère ; mais j’ai été au souper
208     II,      9|           est réelle.~ ~ ~– Oh ! ma mère, ma mère, quel bonheur si
209     II,      9|                    Oh ! ma mère, ma mère, quel bonheur si je restais,
210     II,      9|           vous ferez tuer.~ ~ ~– Ma mère, on ne meurt pas des coups…
211     II,      9|                   Elle a échoué, ma mère ; le galant était prévenu,
212     II,      9|             à lui !~ ~ ~– Ainsi, ma mère ?… dit le duc d’Anjou.~ ~ ~–
213     II,      9|             surpris entre lui et sa mère un regard d’intelligence,
214     II,      9|           allait rencontrer chez sa mère quelque opposition à sa
215     II,      9|             rasseyant ; causons-en, mère. Eh bien ! à quand vous
216     II,      9|         Charles ; pourquoi cela, ma mère ?~ ~ ~– Parce que, ajouta
217     II,      9|                    Au contraire, ma mère, dit Charles, ils se sont
218     II,      9|                     Ma foi, oui, ma mère ; ne serait-ce point le
219     II,      9|             en dévouement.~ ~ ~– Ma mère, dit Charles, à son départ
220     II,      9|                   Pardonnez-moi, ma mère, car j’ai prévu l’événement,
221     II,      9|      semaines ! s’écria Charles. Ma mère, les tailleurs, les brodeuses
222     II,      9|                Non pas, non pas, ma mère, corbœuf ! demeurons-en
223     II,      9|              on lui a empoisonné sa mère, pauvre garçon ! des gens
224     II,      9|            roi de France n’a pas de mère, le roi de France n’a que
225     II,      9|       perdre. Est-ce un crime à une mère de désirer que son enfant
226     II,      9|           bien, soit tranquille, ta mère te défendra.~ ~ ~– Ah !
227     II,      9|            le petit poignard que sa mère portait à sa ceinture, se
228     II,     10|           deux fois.~ ~ ~ ~La reine mère, qui avait quelque connaissance
229     II,     10|          fut frappé de la vue de sa mère. Alors rappelant, comme
230     II,     10|             à cinq heures, la reine mère et le duc d’Anjou se rendaient
231     II,     10|             déguisait sa taille. Sa mère vint ensuite ; et si elle
232     II,     10|         regarda son fils, et, toute mère qu’elle était, sembla lui
233     II,     10|            partirent.~ ~ ~– Oh ! ma mère, vous voyez, dit Henri,
234     II,     10|             ne puis-je attendre, ma mère ! …~ ~– Qui sait ? dit Catherine ;
235     II,     11|            tanche ou comme la reine mère.~ ~ ~« Bon prince, excellent
236     II,     12|           les yeux, au moment où sa mère sortait du cabinet, n’avait
237     II,     12|         voyant les yeux de la reine mère fixés avec un si grand acharnement
238     II,     12|   contraction du visage de la reine mère que celui-ci lui annonçait
239     II,     12|           sentait perdu. Loin de sa mère, enlevé par ces barbares
240     II,     12|       suivre le roi, ce fut chez sa mère qu’il se retira.~ ~ ~ ~Il
241     II,     12|           alla à lui.~ ~ ~– Oh ! ma mère, s’écria le roi de Pologne,
242     II,     12|             pas longtemps.~ ~ ~– Ma mère, je vous en conjure, dit
243     II,     13|     Catherine était redevenue bonne mère : douce à Charles et à d’
244     II,     14|            bien des questions de sa mère, qu’après avoir répondu
245     II,     14|             côté fit un pas vers sa mère. Quant à Henri, il feignit
246     II,     14|       rapide et perçant de la reine mère s’était tout d’abord porté
247     II,     14|      arrivée inattendue de la reine mère, se demandait si cette arrivée
248     II,     14|           voix vibrante de la reine mère traversa le salon et pénétra
249     II,     14|         part de Sa Majesté la reine mère, reprit M. de Nancey en
250     II,     14|          Orthon la suivit. La reine mère descendit un étage, puis
251     II,     14|  appartements du roi et de la reine mère. C’était, comme la galerie
252     II,     15|           était sorti avec la reine mère ; mais, comme il trouva
253     II,     15|        Dariole m’a dit que la reine mère l’a fait longuement causer.~ ~ ~–
254     II,     15|        adroit ; et quoique la reine mère sache son métier, il lui
255     II,     15|            les doux yeux à la reine mère, faites les doux yeux à
256     II,     15|            de la forêt, si la reine mère veut vous avoir, il faudra
257     II,     16|        épanouissait le visage de sa mère, Charles questionna Catherine,
258     II,     16|             Charles en regardant sa mère avec cet œil de maître qui
259     II,     16|           est pas. Mort-diable ! ma mère, je suis grand garçon cependant,
260     II,     16|             terreur.~ ~ ~ ~La reine mère, à propos de la Saint-Barthélemy,
261     II,     16|                Soyez tranquille, ma mère, dit celui-ci, je ne perds
262     II,     16|            surtout en mémoire de sa mère, la courageuse Jeanne d’
263     II,     16|              Alors, reprit la reine mère, si tout était arrêté entre
264     II,     16|           Louvre.~ ~ ~– Eh bien, ma mère, dit Charles, je ne vois
265     II,     17|            Charles en congédiant sa mère.~ ~ ~ ~M. de Nancey, disposé
266     II,     17|             l’entretien et la reine mère le recherchait.~ ~ ~ ~Le
267     II,     17|           Anjou, ce n’était pas une mère qu’il cherchait dans Catherine,
268     II,     17|             cher François.~ ~ ~– Ma mère, songez que nous sommes
269     II,     17|          roi ni l’un ni l’autre, ma mère, quand nous nous sommes
270     II,     17|              et de quel royaume, ma mère ?~ ~ ~– D’un des plus magnifiques
271     II,     17|             mon fils.~ ~ ~– Ah ! ma mère, dit d’Alençon en pâlissant,
272     II,     17|                     Ce qu’une bonne mère doit dire à son fils, ce
273     II,     17|        François la retint.~ ~ ~– Ma mère, dit-il, encore un mot,
274     II,     17|             roi ! … vous croyez, ma mère ?~ ~ ~– Ne vous êtes-vous
275     II,     17|         Henriot ?~ ~ ~– Si fait, ma mère, si fait.~ ~ ~– Et qu’il
276     II,     17|             Alençon ?~ ~ ~– Oui, ma mère.~ ~ ~– Voulez-vous m’obéir
277     II,     17|       François connaissait assez sa mère pour savoir qu’elle ne s’
278     II,     17|             machination de la reine mère, et que c’était à la suite
279     II,     17|      présence du roi et de la reine mère elle-même ; il demanda Orthon
280     II,     18|             se rendit chez la reine mère, selon l’invitation qu’il
281     II,     18|         avait reçue.~ ~ ~ ~La reine mère n’était point dans sa chambre
282     II,     18|             même temps que la reine mère l’odeur pénétrante d’un
283     II,     18|        depuis hier ?~ ~ ~– Rien, ma mère.~ ~ ~– Avez-vous vu Henri ?~ ~ ~–
284     II,     18|           ne vous comprends pas, ma mère.~ ~ ~– Écoutez bien ce que
285     II,     18|                Vous avez raison, ma mère, dit François avec admiration,
286     II,     18|         livre que lui présentait sa mère avec une certaine terreur.~ ~ ~–
287     II,     18|            compromettants.~ ~ ~– Ma mère ne s’était pas trompée,
288     II,     18|              sans doute, puisque ma mère a dit qu’il devait mourir
289     II,     19|          vous en avertis, toi et ta mère, cette fois c’est la dernière.~ ~ ~ ~
290     II,     19|             disparaîtront ; puis ma mère et moi nous serons accusés
291     II,     21|            M. d’Alençon et la reine mère.~ ~ ~– M. d’Alençon, je
292     II,     21|       reprit Charles, mais la reine mère vous comble d’attentions.~ ~ ~–
293     II,     22|      Majesté exagère.~ ~ ~– Non, ma mère me l’a dit. D’ailleurs,
294     II,     22|             est Sa Majesté la reine mère qui l’a pris chez moi.~ ~ ~–
295     II,     22|            chez moi.~ ~ ~– La reine mère ! s’écria Charles.~ ~ ~–
296     II,     22|            donné par moi à la reine mère Catherine de Médicis. »~ ~ ~
297     II,     22|           René, du côté de la reine mère ?~ ~ ~– Oh ! de ce côté,
298     II,     24|            leurs sensations, car la mère et son fils se fuyaient
299     II,     24|      trouvez-vous ?~ ~ ~– Mieux, ma mère, mieux.~ ~ ~– Et que disent
300     II,     24|         sont de grands docteurs, ma mère, dit Charles en éclatant
301     II,     24|            Comment donc ? dites, ma mère.~ ~ ~– Eh bien, je soupçonne
302     II,     24|             ne comprenant pas où sa mère en voulait venir.~ ~ ~–
303     II,     24|            que vous avez raison, ma mère.~ ~ ~– Eh bien, moi, mon
304     II,     24|           frissonna. Il crut que sa mère, trouvant qu’il vivait trop
305     II,     24|            coude et en regardant sa mère.~ ~ ~– Il est dans le mal
306     II,     24|        physionomie impassible de sa mère.~ ~ ~– Non, par des moyens
307     II,     24|          donc essayé de me tuer, ma mère ?~ ~ ~ ~L’œil chatoyant
308     II,     24|                    Ah ça ! mais, ma mère, on dirait que vous parlez
309     II,     24|            le savez, vous, ma bonne mère ; mais moi, tout au contraire
310     II,     24|            le dites ?~ ~ ~– Non, ma mère ; c’est du fond de mon cœur.
311     II,     24|           est terrible d’accuser sa mère ; mais je me suis doutée
312     II,     24|             ce qu’a dit notre bonne mère, pauvre Margot ?~ ~ ~– Oh !
313     II,     24|              comme l’a dit la reine mère.~ ~ ~– Que veut-elle donc
314     II,     24|        allait dire.) ou bien… notre mère ?~ ~ ~ ~Charles se tut.
315     II,     25|                  Il a raison. Et ma mère ?~ ~ ~– Je te l’ai dit,
316     II,     28|     doucement, doucement, comme une mère ferait pour son enfant,
317     II,     28|             depuis mon enfance ; ma mère me la passa au cou quand
318     II,     29|      déchirant, offert par la reine mère à tout le peuple de Paris.~ ~ ~ ~
319     II,     30|          amis, moi ! et de plus, ma mère ! Toi, tu as toujours pu
320     II,     30|                  Parce que la reine mère m’a fait retenir pour ses
321     II,     31|              au bruit des pas de sa mère, et comme s’il les eût reconnus,
322     II,     31|              dit-il en regardant sa mère, je voudrais bien mourir
323     II,     31|        droit de reine, mon droit de mère ?~ ~ ~– Madame, dit Charles,
324     II,     31|        Charles IX.~ ~ ~– À titre de mère.~ ~ ~– Vous n’êtes pas plus
325     II,     31|             Vous n’êtes pas plus ma mère, madame, que le duc d’Alençon
326     II,     31|           le jour n’est-elle pas la mère de celui qui l’a reçu ?~ ~ ~–
327     II,     31|            moment, madame, où cette mère dénaturée ôte ce qu’elle
328     II,     31|      Charles, qui ne perdait pas sa mère de vue, qu’y a-t-il donc
329     II,     31|             voulut parler.~ ~ ~ ~La mère avait un remords ; la reine
330     II,     31|         cria Charles poursuivant sa mère de la voix ; mon frère Henri
331     II,     32|             grave pour que la reine mère vienne ainsi me chercher
332     II,     32|             vous cherchez, ma bonne mère ? dit-il.~ ~ ~– Oui, monsieur,
333     II,     32|             ne devinez-vous pas, ma mère ?~ ~ ~– Non ; mais je suppose,
334     II,     33|             événements, et outre ma mère Catherine, outre mon frère
335     II,     33|             mon règne que ta pauvre mère est morte. Mais tu as 
336     II,     33|              Henri, dit Charles, ma mère veut la régence en attendant
337     II,     33|             mon frère, que la reine mère ne lui aura pas écrit à
338     II,     33|            il ait la noblesse de sa mère, celle du cœur. Peut-être
339     II,     33|             et le doux visage de la mère.~ ~ ~– Sire, ne pouvez-vous
340     II,     33|           donjon où je l’ai mis. Ma mère voudra te tuer, exile-la.
341     II,     33|            à tes seuls ennemis : ma mère et le duc d’Alençon.~ ~ ~ ~
342     II,     33|             elle :~ ~ ~– Appelle ma mère, bonne nourrice, et dis
343     II,     34|                 Madame, dit-il à sa mère, si j’avais un fils, vous
344     II,     34|          pénible pour le cœur d’une mère. Voilà pourquoi je ne choisis
345     II,     34|         restera un Valois.~ ~ ~– Ma mère, ma mère, s’écria Charles
346     II,     34|           Valois.~ ~ ~– Ma mère, ma mère, s’écria Charles IX en se
347     II,     34|            veux, Nancey, arrêtez ma mère, arrêtez mon frère, arrêtez…~ ~ ~ ~
348     II,     34|              placé ici par la reine mère pour vous perdre, j’aime
349     II,     34|          âme.~ ~ ~– Est-ce la reine mère aussi qui t’a ordonné de
350     II,     34|          pardonner la mort de votre mère.~ ~ ~– Je vous l’ai déjà
351     II,     34|     Château-Thierry ; mais la reine mère, dans sa prévoyance, en
352     II,     34|             cela ? s’écria la reine mère en s’approchant d’une fenêtre.~ ~ ~–
353     II,     34|           Il fuit, s’écria la reine mère, donc il est vaincu.~ ~ ~–
354     II,     34|           tandis que François et sa mère étaient encore à la fenêtre,
355     II,     34|            par la fenêtre.~ ~ ~– Ma mère ! répondit le jeune homme
356     II,     34|          demanda Henri d’Anjou à sa mère.~ ~ ~– Non, au contraire,
357     II,     35|           la grâce de Dieu et de sa mère Catherine, était allé à
358     II,     35|             tranquille, et la reine mère, véritablement régente depuis
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