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Alphabétique [« »] féliciter 2 fellens 4 féminine 1 femme 217 femmes 82 fendant 1 fendit 4 | Fréquence [« »] 219 demanda 219 dont 217 avoir 217 femme 217 jeune 214 aussi 211 avez | Alexandre Dumas La Reine Margot Concordances femme |
Tome, Chap.
1 I, 1| malheureux Semblançay et femme de Simon de Fizes, baron 2 I, 1| qui s’étaient succédé ; femme dans toute l’acception du 3 I, 1| le baron de Sauve sans sa femme, Catherine de Médicis s’ 4 I, 1| appel, auxquels la jeune femme s’était empressée d’obéir. 5 I, 1| continuer sa marche vers sa femme, par un mouvement d’hésitation 6 I, 1| maître de la plus belle femme de France, la seule chose 7 I, 1| paraître aigre la voix de la femme qui nous aime et qui nous 8 I, 1| roi en dévorant la jeune femme d’un regard embrasé d’amour.~ ~ ~– 9 I, 2| Monseigneur, répondit une voix de femme d’un accent plus bas encore.~ ~ ~– 10 I, 2| je n’ai pas de trône ; femme, je n’ai pas de mari.~ ~ ~ ~ 11 I, 2| allez voir si je suis une femme de parole, et si l’on peut 12 I, 2| Votre Majesté, dit la jeune femme en retombant plutôt qu’elle 13 I, 2| donc rien comme mari et femme. Vous voyez, madame, que 14 I, 2| remarquer le trouble de la jeune femme ; je vais…~ ~ ~– Monsieur, 15 I, 2| mais vous êtes une honnête femme.~ ~ ~– Que voulez-vous dire, 16 I, 2| Henri baisa la main de sa femme en la pressant doucement ; 17 I, 2| chambre à coucher de ma femme pour aller chez elle, car, 18 I, 2| princesse de Porcian, votre femme ?~ ~ ~– Allons, allons, 19 I, 3| donnant sur une chambre où une femme agenouillée devant un prie-Dieu 20 I, 3| que ceux d’un fantôme, la femme agenouillée, n’ayant rien 21 I, 3| regardant.~ ~ ~ ~C’était une femme de trente-quatre à trente-cinq 22 I, 3| que la bible, car cette femme était de la religion réformée, 23 I, 3| Madelon ! dit le roi.~ ~ ~ ~La femme agenouillée releva la tête 24 I, 3| tendresse maternelle que la femme conçoit pour l’enfant qu’ 25 I, 3| fais-le entrer. La bonne femme sortit par le même passage 26 I, 5| flambeaux et éclairant une femme d’une taille imposante, 27 I, 5| qui demeura immobile. La femme s’arrêta, de son côté, comme 28 I, 6| était à cette époque une femme de cinquante-deux à cinquante-trois 29 I, 6| confiance ; mais moi, pauvre femme, que Dieu abandonne sans 30 I, 6| en s’inclinant devant sa femme.~ ~ ~– Non, monsieur ; aussi 31 I, 6| Madame, dit à sa femme Henri, qui, sans entendre, 32 I, 6| Et passant devant sa femme éperdue, il alla appuyer 33 I, 7| veux pas qu’on égorge ma femme et mes enfants pendant que 34 I, 8| poussés par une voix de femme se firent entendre ; des 35 I, 8| là ?murmura une voix de femme.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! mon 36 I, 8| lit de chêne sculpté, une femme à moitié nue, appuyée sur 37 I, 8| sur l’épaule de la jeune femme, et ses doigts crispés se 38 I, 8| Je ne sais, dit la jeune femme. Un de ces misérables a 39 I, 8| moi ! cria une voix de femme. Moi, la duchesse de Nevers.~ ~ ~– 40 I, 9| connaissance ; il a une femme et six enfants. Ces hérétiques 41 I, 9| bras de Marguerite, jolie femme, mordi ! Cependant, j’avoue 42 I, 9| sortirent quelques cris de femme effrayée, quelques supplications 43 I, 9| place, lorsque la jeune femme, à laquelle on ne pensait 44 I, 9| remonte, cria la jeune femme ; je vois reluire des épées, 45 I, 9| d’un ennemi, ce fut une femme qu’il aperçut ; au lieu 46 I, 9| pieds.~ ~ ~– Tiens ! une femme ! dit-il.~ ~ ~ ~Il salua 47 I, 9| de rage, et une vieille femme, qui à sa croix et à son 48 I, 9| le jeune homme.~ ~ ~– Va, femme, va ! dit le vieux Mercandon, 49 I, 9| au secours. Une vieille femme, à la fenêtre en face, la 50 I, 9| combattait sous les yeux d’une femme dont la beauté lui avait 51 I, 9| amour, dit à demi-voix la femme de l’hôtel de Guise, et 52 I, 9| père se tournant vers la femme de l’hôtel de Guise, intercédez 53 I, 9| offrait.~ ~ ~ ~Mercandon et sa femme virent la lame terrible 54 I, 9| crièrent Mercandon et sa femme.~ ~ ~– À genoux, alors ! 55 I, 10| tant il est vrai qu’une femme ne pardonne jamais à une 56 I, 10| pardonne jamais à une autre femme de lui enlever même un homme 57 I, 10| qui m’avez séparé de ma femme, pour qu’elle n’eût pas 58 I, 10| devoir. Or, le devoir d’une femme est de partager la fortune 59 I, 11| convaincu que Henri et sa femme étaient restés étrangers 60 I, 11| soignées que des mains de femme, il renfermait au fond de 61 I, 11| seulement la plus belle femme de France, mais encore la 62 I, 11| Marguerite, et la pauvre femme est l’instrument dont on 63 I, 12| lui a jetée une vieille femme ; alors, comme Cyrus, j’ 64 I, 13| Majesté est la première femme qui m’y ait adressé la parole.~ ~ ~– 65 I, 13| est de mourir trahi par sa femme, et je suis venu.~ ~ ~– 66 I, 13| alliée… et…~ ~ ~– Et votre femme, n’est-ce pas, Sire ?~ ~ ~– 67 I, 13| Ma foi, oui… et ma femme.~ ~ ~– Alors ?~ ~ ~– Alors, 68 I, 13| mordit au cœur la jeune femme ou plutôt la jeune reine, 69 I, 13| amour-propre : chez toute femme, même médiocre, lorsqu’elle 70 I, 13| Et si le souffle d’une femme écartait cet orage, et faisait 71 I, 13| Niez-vous l’existence de cette femme, monsieur ?~ ~ ~– Non, seulement 72 I, 13| et je répète le mot. La femme n’est réellement puissante 73 I, 13| est vulnérable. Or, cette femme, si je ne m’abuse, je ne 74 I, 14| Alors elle sourit comme une femme qui a réussi dans ses projets, 75 I, 14| non seulement à une jolie femme, mais encore à une fille 76 I, 14| mépris pour cet amour de la femme qu’on a bien voulu lui accorder, 77 I, 14| offense à tout instant une femme de votre beauté, de votre 78 I, 14| Suffit-il donc pour être mari et femme que l’Église vous ait bénis ? 79 I, 14| honneur de vous nommer sa femme, c’est à une autre qu’il 80 I, 14| cette naïveté de la jeune femme ; puis, comme si ses regards 81 I, 14| insensiblement au bras de la jeune femme.~ ~ ~– Sire, dit-elle en 82 I, 14| à cette heure une pauvre femme, à laquelle vous devez la 83 I, 14| la porte. Henri suivit sa femme. La porte s’ouvrit, et Henri 84 I, 14| avec sa délicatesse de femme, le tira de ce mauvais pas.~ ~ ~– 85 I, 15| XV~ Ce que femme veut Dieu le veut~ ~ ~ ~ 86 I, 15| portière se leva, et la jeune femme, frissonnante, vit paraître 87 I, 15| point venir, reprit la jeune femme frissonnante à cette seule 88 I, 15| malgré la compagnie de sa femme de chambre, qui restait 89 I, 15| avait passé la nuit chez sa femme.~ ~ ~ ~François entra si 90 I, 15| en plus entre Henri et sa femme. Henri avait obtenu de ne 91 I, 15| chemin de l’appartement de sa femme, entrait par la grande porte, 92 I, 15| du nécessaire, la pauvre femme ! Tu mourras redoutée, et 93 I, 16| Coconnas. Un œil exercé de femme l’avait en vain cherché 94 I, 16| Marigny.~ ~ ~ ~Mais cette femme n’était pas seule à chercher 95 I, 17| voir s’approcher de lui la femme qui remplissait tout son 96 I, 17| cela se comprenait : l’une, femme du roi de Navarre, l’autre, 97 I, 18| protecteur inconnu était la femme qu’il aimait.~ ~ ~ ~Aussi 98 I, 19| et brûlera le cœur de la femme que vous aimez.~ ~ ~ ~Coconnas, 99 I, 19| ombre n’ose parler à une femme. C’est pour cela qu’il s’ 100 I, 19| bond fut près de la jeune femme, tandis que La Mole, rappelé 101 I, 20| figure que celle de cette femme pâle comme un cadavre, éclairée 102 I, 20| revenu tout entier à sa femme.~ ~ ~– Comédie, René, comédie. 103 I, 20| épaules.~ ~ ~– Lorsqu’une femme aime, dit-elle, est-ce qu’ 104 I, 21| clous dorés, des armes de femme ; car, à cette époque de 105 I, 21| rappelle, avait passée chez sa femme.~ ~ ~ ~Henri, de son côté, 106 I, 21| doute, répondit la jeune femme. Moi je n’ai rien à vous 107 I, 21| ne demandez jamais à une femme pourquoi elle vous aime ; 108 I, 21| madame Marguerite est votre femme.~ ~ ~ ~Henri sourit.~ ~ ~– 109 I, 21| venait de dire la charmante femme dont le front s’éclaircissait 110 I, 22| tellement sensible, que la jeune femme se détourna pour cacher 111 I, 23| chère Marguerite est bien ma femme ; Catherine est bien ma 112 I, 24| ce mari qui cherchait sa femme noyée. En arrivant sur le 113 I, 24| conséquent nuit fermée.~ ~ ~ ~Une femme enveloppée dans un long 114 I, 24| petite maison, guidé par une femme qui le conduisait au coin 115 I, 24| remettait sur ses jambes une femme dont il avait déjà renversé 116 I, 24| Marguerite. Tout à coup une femme sortit de cet appartement 117 I, 26| vaut mieux qu’un baiser de femme. Quand je risquerai ma vie, 118 I, 27| toujours est-il que la jeune femme était seule.~ ~ ~ ~Catherine 119 I, 27| respiration de la jeune femme était si légère, qu’un instant 120 I, 27| couverture, la belle jeune femme dormait presque rieuse encore ; 121 I, 29| sournois ; sans compter que sa femme, qui le seconde je ne sais 122 I, 29| Henri était venu saluer sa femme, qui, tout en répondant 123 I, 29| sanglier.~ ~ ~ ~Il salua sa femme, revint à son rang, et appelant 124 I, 29| rapprocher encore une fois de sa femme.~ ~ ~– Eh bien, lui demanda-t-il, 125 I, Bib| vol. in-8.~ ~ ~ ~102. La Femme au collier de velours.~ ~ 126 II, 1| mari la complaisance de sa femme.~ ~ ~ ~Or, dans tout ce 127 II, 1| comme moi ; et puis, ma femme aussi vous aime d’une affection 128 II, 2| Henri était près de sa femme ; la duchesse de Nevers 129 II, 2| Alençon fassent la cour à ta femme ?~ ~ ~– Comment cela, Sire ?~ ~ ~– 130 II, 2| réponds des sentiments de ma femme.~ ~ ~– Bon ! Henriot, bon ! 131 II, 2| souhaite un pareil à ma femme. Cependant je crains bien 132 II, 3| Madame, dit la jeune femme pâlissante, n’avez-vous 133 II, 4| Henriot. Tu es sûr de ta femme, ajouta Charles avec un 134 II, 4| moi j’ai confiance dans ma femme.~ ~ ~– Non pas, non pas, 135 II, 4| que rien ne prouve que ma femme et la belle-sœur de M. de 136 II, 4| poisson dans l’eau, et la femme… non, je me trompe, l’homme 137 II, 5| il eût vus. C’était une femme de dix-huit à dix-neuf ans 138 II, 5| joue en fleur de la jeune femme, il posa un baiser aussi 139 II, 5| Et cependant la jeune femme se réveilla.~ ~ ~– Charles ! 140 II, 5| Oh ! s’écria la jeune femme, vous n’êtes pas seul, mon 141 II, 5| retournant vers la jeune femme :~ ~ ~– Il fait surtout 142 II, 5| passa la feuille à la jeune femme.~ ~ ~– En vérité, s’écria-t-elle, 143 II, 5| chambre à coucher. La jeune femme dormait dans son lit ; l’ 144 II, 6| écouter la prière d’une pauvre femme et de ne pas aller plus 145 II, 6| Mais si c’était une femme cependant, nous ne pouvons 146 II, 6| pouvons pas exiger…~ ~ ~– Une femme ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Une femme 147 II, 6| femme ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Une femme qui a tué deux de vos gardes 148 II, 6| Aussitôt il reconnut une femme, et une charmante voix dont 149 II, 6| recueilli.~ ~ ~ ~Et la jeune femme descendit rapidement, croisant 150 II, 7| entendent : pourvu que la femme soit muette, le mari est 151 II, 7| quand Henri saura que sa femme le trahit… Ainsi, ajouta-t-il 152 II, 8| Guise a dit hier soir que ta femme venait de passer, escortée 153 II, 8| Quand il t’a dit que ta femme était allée rue Cloche-Percée, 154 II, 8| est vanté en calomniant ma femme, rien n’est plus simple, 155 II, 8| c’est un assassinat ; ma femme n’est plus calomniée, elle 156 II, 8| va-t-il ordinairement chez ta femme ?~ ~ ~– Mais vers les neuf 157 II, 8| pour nous brouiller, ma femme et moi ; un si joli ménage !~ ~ ~ ~ 158 II, 8| à une fille de France ? femme et princesse du sang, je 159 II, 9| avait, outre la mère, de la femme dans Catherine, soit enfin 160 II, 9| avant tout le monde une femme s’était élancée, écartant 161 II, 9| Charles ! s’écria la bonne femme en parcourant tous les visages 162 II, 10| du droit qu’a toute jolie femme d’être capricieuse, ne m’ 163 II, 10| qui semblait celle d’une femme, était inclinée sur la première.~ ~ ~ ~ 164 II, 10| homme sera mort, et une femme pleurera seule sur lui. 165 II, 10| bout de la lame, une autre femme encore, qui tient comme 166 II, 11| Henri en se tournant vers sa femme, demain, pour mon compte, 167 II, 13| irrésistible qui porte toute femme à être coquette malgré elle 168 II, 13| avec l’amant d’une autre femme, surtout quand cette femme 169 II, 13| femme, surtout quand cette femme est son amie, elle n’avait 170 II, 13| une princesse, mais une femme ! ~ ~– Oh ! attendre, dit 171 II, 13| que je me batte ? pour une femme ?~ ~ ~– Merci !~ ~ ~– Je 172 II, 17| fois roi, on trouvera une femme digne d’un fils de France. 173 II, 17| madame de Sauve et à sa femme, mais ni l’une ni l’autre 174 II, 17| galamment la main de sa femme.~ ~ ~ ~Et avec les mêmes 175 II, 19| le savons, le mari et la femme avaient fait, sous le rapport 176 II, 20| comme une ombre blanche, une femme qui, se tournant de leur 177 II, 22| bougie et passa chez la bonne femme. La bonne femme n’était 178 II, 22| la bonne femme. La bonne femme n’était pas chez elle. Une 179 II, 24| laisser aller ainsi cette femme qui, en quelques heures, 180 II, 24| la représentation d’une femme et non d’un homme.~ ~ ~– 181 II, 24| se faire aimer de cette femme et non un maléfice pour 182 II, 24| elle veut dire le nom de la femme que M. de La Mole aimait.~ ~ ~– 183 II, 24| Mole aimait.~ ~ ~– Et cette femme se nomme ?~ ~ ~– Cette femme 184 II, 24| femme se nomme ?~ ~ ~– Cette femme se nomme Marguerite, mon 185 II, 24| Margot.~ ~ ~ ~La jeune femme regarda son frère et frissonna 186 II, 24| raconterait, par exemple, qu’une femme à laquelle il n’ose rien 187 II, 25| qu’elle représentait une femme. On lui demanda si le charme 188 II, 25| se faire aimer de cette femme.~ ~ ~ ~Ces questions furent 189 II, 25| brisaient le cœur d’une femme à demi renversée sur des 190 II, 25| souffre ! s’écriait cette femme ; oh ! c’est impossible !~ ~ ~ ~ 191 II, 25| en voyant passer certaine femme blonde, aux yeux verts, 192 II, 25| bien, et ignorant que cette femme était une duchesse, ce richard, 193 II, 25| résume et le siècle et la femme, tiens ! j’aime Annibal, 194 II, 26| statue d’homme, mais de femme.~ ~ ~– Eh bien, messieurs, 195 II, 26| vous dites que c’est une femme ?~ ~ ~– Sans doute, je le 196 II, 26| statue est une statue de femme ?~ ~ ~– Oui, certainement, 197 II, 26| de dire quelle est cette femme ?~ ~ ~– Une femme de mon 198 II, 26| cette femme ?~ ~ ~– Une femme de mon pays, dit La Mole, 199 II, 26| une figure d’homme ou de femme ?~ ~ ~– D’homme, répondit 200 II, 30| Henriette de Nevers, cette femme intrépide, gisait, sans 201 II, 30| dit-il, ma sœur ! La jeune femme tressaillit et se redressa :~ ~ ~– 202 II, 30| entendu, et dit :~ ~ ~– Pauvre femme ! Puis il sortit silencieusement. 203 II, 30| n’est pas fille de roi, femme de roi, sœur de roi. Elle 204 II, 30| doute pour le bourreau, sa femme et son aide principal.~ ~ ~ ~ 205 II, 30| de ses yeux.~ ~ ~ ~Cette femme si dédaigneuse, si intrépide, 206 II, 30| dans le bonheur ; cette femme qui poussait le scepticisme 207 II, 30| jusqu’à la cruauté, cette femme n’avait jamais pensé à la 208 II, 31| nourrice !~ ~ ~ ~La bonne femme, qui veillait au-dehors, 209 II, 31| signe qui retint la bonne femme prête à obéir.~ ~ ~– J’ai 210 II, 32| déboucher de l’escalier une femme dont la respiration haletante 211 II, 34| forte, nourrice ! La bonne femme accourut.~ ~ ~– Eh bien, 212 II, 35| à pied avec la reine sa femme et toute la cour.~ ~ ~ ~ 213 II, 35| comme vous, quelque pauvre femme folle de lui ?~ ~ ~– Non, 214 II, 35| monsieur. C’est une belle jeune femme qui vient d’être poignardée 215 II, 35| pour le prévenir que sa femme était avec un amant.~ ~ ~– 216 II, 35| Il s’est sauvé.~ ~ ~– La femme ?~ ~ ~– Elle est là.~ ~ ~– 217 II, Bib| vol. in-8.~ ~ ~ ~102. La Femme au collier de velours.~ ~