Tome,  Chap.

  1      I,      1|           malheureux Semblançay et femme de Simon de Fizes, baron
  2      I,      1|            qui s’étaient succédé ; femme dans toute l’acception du
  3      I,      1|          le baron de Sauve sans sa femme, Catherine de Médicis s’
  4      I,      1|           appel, auxquels la jeune femme s’était empressée d’obéir.
  5      I,      1|        continuer sa marche vers sa femme, par un mouvement d’hésitation
  6      I,      1|            maître de la plus belle femme de France, la seule chose
  7      I,      1|       paraître aigre la voix de la femme qui nous aime et qui nous
  8      I,      1|           roi en dévorant la jeune femme d’un regard embrasé d’amour.~ ~ ~–
  9      I,      2|  Monseigneur, répondit une voix de femme d’un accent plus bas encore.~ ~ ~–
 10      I,      2|             je n’ai pas de trône ; femme, je n’ai pas de mari.~ ~ ~ ~
 11      I,      2|          allez voir si je suis une femme de parole, et si l’on peut
 12      I,      2|        Votre Majesté, dit la jeune femme en retombant plutôt qu’elle
 13      I,      2|            donc rien comme mari et femme. Vous voyez, madame, que
 14      I,      2|   remarquer le trouble de la jeune femme ; je vais…~ ~ ~– Monsieur,
 15      I,      2|         mais vous êtes une honnête femme.~ ~ ~– Que voulez-vous dire,
 16      I,      2|          Henri baisa la main de sa femme en la pressant doucement ;
 17      I,      2|            chambre à coucher de ma femme pour aller chez elle, car,
 18      I,      2|        princesse de Porcian, votre femme ?~ ~ ~– Allons, allons,
 19      I,      3|     donnant sur une chambre où une femme agenouillée devant un prie-Dieu
 20      I,      3|          que ceux d’un fantôme, la femme agenouillée, n’ayant rien
 21      I,      3|       regardant.~ ~ ~ ~C’était une femme de trente-quatre à trente-cinq
 22      I,      3|            que la bible, car cette femme était de la religion réformée,
 23      I,      3|     Madelon ! dit le roi.~ ~ ~ ~La femme agenouillée releva la tête
 24      I,      3|        tendresse maternelle que la femme conçoit pour l’enfant qu’
 25      I,      3|           fais-le entrer. La bonne femme sortit par le même passage
 26      I,      5|         flambeaux et éclairant une femme d’une taille imposante,
 27      I,      5|           qui demeura immobile. La femme s’arrêta, de son côté, comme
 28      I,      6|           était à cette époque une femme de cinquante-deux à cinquante-trois
 29      I,      6|       confiance ; mais moi, pauvre femme, que Dieu abandonne sans
 30      I,      6|           en s’inclinant devant sa femme.~ ~ ~– Non, monsieur ; aussi
 31      I,      6|                   Madame, dit à sa femme Henri, qui, sans entendre,
 32      I,      6|               Et passant devant sa femme éperdue, il alla appuyer
 33      I,      7|           veux pas qu’on égorge ma femme et mes enfants pendant que
 34      I,      8|            poussés par une voix de femme se firent entendre ; des
 35      I,      8|            là ?murmura une voix de femme.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! mon
 36      I,      8|          lit de chêne sculpté, une femme à moitié nue, appuyée sur
 37      I,      8|           sur l’épaule de la jeune femme, et ses doigts crispés se
 38      I,      8|           Je ne sais, dit la jeune femme. Un de ces misérables a
 39      I,      8|             moi ! cria une voix de femme. Moi, la duchesse de Nevers.~ ~ ~–
 40      I,      9|            connaissance ; il a une femme et six enfants. Ces hérétiques
 41      I,      9|          bras de Marguerite, jolie femme, mordi ! Cependant, j’avoue
 42      I,      9|         sortirent quelques cris de femme effrayée, quelques supplications
 43      I,      9|            place, lorsque la jeune femme, à laquelle on ne pensait
 44      I,      9|             remonte, cria la jeune femme ; je vois reluire des épées,
 45      I,      9|            d’un ennemi, ce fut une femme qu’il aperçut ; au lieu
 46      I,      9|           pieds.~ ~ ~– Tiens ! une femme ! dit-il.~ ~ ~ ~Il salua
 47      I,      9|            de rage, et une vieille femme, qui à sa croix et à son
 48      I,      9|          le jeune homme.~ ~ ~– Va, femme, va ! dit le vieux Mercandon,
 49      I,      9|            au secours. Une vieille femme, à la fenêtre en face, la
 50      I,      9|     combattait sous les yeux d’une femme dont la beauté lui avait
 51      I,      9|          amour, dit à demi-voix la femme de l’hôtel de Guise, et
 52      I,      9|           père se tournant vers la femme de l’hôtel de Guise, intercédez
 53      I,      9|     offrait.~ ~ ~ ~Mercandon et sa femme virent la lame terrible
 54      I,      9|           crièrent Mercandon et sa femme.~ ~ ~– À genoux, alors !
 55      I,     10|            tant il est vrai qu’une femme ne pardonne jamais à une
 56      I,     10|        pardonne jamais à une autre femme de lui enlever même un homme
 57      I,     10|            qui m’avez séparé de ma femme, pour qu’elle n’eût pas
 58      I,     10|        devoir. Or, le devoir d’une femme est de partager la fortune
 59      I,     11|          convaincu que Henri et sa femme étaient restés étrangers
 60      I,     11|          soignées que des mains de femme, il renfermait au fond de
 61      I,     11|            seulement la plus belle femme de France, mais encore la
 62      I,     11|           Marguerite, et la pauvre femme est l’instrument dont on
 63      I,     12|            lui a jetée une vieille femme ; alors, comme Cyrus, j’
 64      I,     13|            Majesté est la première femme qui m’y ait adressé la parole.~ ~ ~–
 65      I,     13|         est de mourir trahi par sa femme, et je suis venu.~ ~ ~–
 66      I,     13|         alliée… et…~ ~ ~– Et votre femme, n’est-ce pas, Sire ?~ ~ ~–
 67      I,     13|                 Ma foi, oui… et ma femme.~ ~ ~– Alors ?~ ~ ~– Alors,
 68      I,     13|            mordit au cœur la jeune femme ou plutôt la jeune reine,
 69      I,     13|          amour-propre : chez toute femme, même médiocre, lorsqu’elle
 70      I,     13|             Et si le souffle d’une femme écartait cet orage, et faisait
 71      I,     13|     Niez-vous l’existence de cette femme, monsieur ?~ ~ ~– Non, seulement
 72      I,     13|            et je répète le mot. La femme n’est réellement puissante
 73      I,     13|          est vulnérable. Or, cette femme, si je ne m’abuse, je ne
 74      I,     14|        Alors elle sourit comme une femme qui a réussi dans ses projets,
 75      I,     14|          non seulement à une jolie femme, mais encore à une fille
 76      I,     14|        mépris pour cet amour de la femme qu’on a bien voulu lui accorder,
 77      I,     14|         offense à tout instant une femme de votre beauté, de votre
 78      I,     14|   Suffit-il donc pour être mari et femme que l’Église vous ait bénis ?
 79      I,     14|          honneur de vous nommer sa femme, c’est à une autre qu’il
 80      I,     14|          cette naïveté de la jeune femme ; puis, comme si ses regards
 81      I,     14| insensiblement au bras de la jeune femme.~ ~ ~– Sire, dit-elle en
 82      I,     14|           à cette heure une pauvre femme, à laquelle vous devez la
 83      I,     14|          la porte. Henri suivit sa femme. La porte s’ouvrit, et Henri
 84      I,     14|             avec sa délicatesse de femme, le tira de ce mauvais pas.~ ~ ~–
 85      I,     15|                         XV~ Ce que femme veut Dieu le veut~ ~ ~ ~
 86      I,     15|      portière se leva, et la jeune femme, frissonnante, vit paraître
 87      I,     15|       point venir, reprit la jeune femme frissonnante à cette seule
 88      I,     15|          malgré la compagnie de sa femme de chambre, qui restait
 89      I,     15|        avait passé la nuit chez sa femme.~ ~ ~ ~François entra si
 90      I,     15|          en plus entre Henri et sa femme. Henri avait obtenu de ne
 91      I,     15|      chemin de l’appartement de sa femme, entrait par la grande porte,
 92      I,     15|           du nécessaire, la pauvre femme ! Tu mourras redoutée, et
 93      I,     16|         Coconnas. Un œil exercé de femme l’avait en vain cherché
 94      I,     16|          Marigny.~ ~ ~ ~Mais cette femme n’était pas seule à chercher
 95      I,     17|         voir s’approcher de lui la femme qui remplissait tout son
 96      I,     17|        cela se comprenait : l’une, femme du roi de Navarre, l’autre,
 97      I,     18|        protecteur inconnu était la femme qu’il aimait.~ ~ ~ ~Aussi
 98      I,     19|           et brûlera le cœur de la femme que vous aimez.~ ~ ~ ~Coconnas,
 99      I,     19|           ombre n’ose parler à une femme. C’est pour cela qu’il s’
100      I,     19|          bond fut près de la jeune femme, tandis que La Mole, rappelé
101      I,     20|          figure que celle de cette femme pâle comme un cadavre, éclairée
102      I,     20|            revenu tout entier à sa femme.~ ~ ~– Comédie, René, comédie.
103      I,     20|          épaules.~ ~ ~– Lorsqu’une femme aime, dit-elle, est-ce qu’
104      I,     21|          clous dorés, des armes de femme ; car, à cette époque de
105      I,     21|     rappelle, avait passée chez sa femme.~ ~ ~ ~Henri, de son côté,
106      I,     21|           doute, répondit la jeune femme. Moi je n’ai rien à vous
107      I,     21|           ne demandez jamais à une femme pourquoi elle vous aime ;
108      I,     21|        madame Marguerite est votre femme.~ ~ ~ ~Henri sourit.~ ~ ~–
109      I,     21|        venait de dire la charmante femme dont le front s’éclaircissait
110      I,     22|   tellement sensible, que la jeune femme se détourna pour cacher
111      I,     23|       chère Marguerite est bien ma femme ; Catherine est bien ma
112      I,     24|           ce mari qui cherchait sa femme noyée. En arrivant sur le
113      I,     24|  conséquent nuit fermée.~ ~ ~ ~Une femme enveloppée dans un long
114      I,     24|       petite maison, guidé par une femme qui le conduisait au coin
115      I,     24|       remettait sur ses jambes une femme dont il avait déjà renversé
116      I,     24|        Marguerite. Tout à coup une femme sortit de cet appartement
117      I,     26|         vaut mieux qu’un baiser de femme. Quand je risquerai ma vie,
118      I,     27|       toujours est-il que la jeune femme était seule.~ ~ ~ ~Catherine
119      I,     27|            respiration de la jeune femme était si légère, qu’un instant
120      I,     27|         couverture, la belle jeune femme dormait presque rieuse encore ;
121      I,     29|     sournois ; sans compter que sa femme, qui le seconde je ne sais
122      I,     29|         Henri était venu saluer sa femme, qui, tout en répondant
123      I,     29|        sanglier.~ ~ ~ ~Il salua sa femme, revint à son rang, et appelant
124      I,     29|   rapprocher encore une fois de sa femme.~ ~ ~– Eh bien, lui demanda-t-il,
125      I,    Bib|           vol. in-8.~ ~ ~ ~102. La Femme au collier de velours.~ ~
126     II,      1|         mari la complaisance de sa femme.~ ~ ~ ~Or, dans tout ce
127     II,      1|            comme moi ; et puis, ma femme aussi vous aime d’une affection
128     II,      2|             Henri était près de sa femme ; la duchesse de Nevers
129     II,      2|       Alençon fassent la cour à ta femme ?~ ~ ~– Comment cela, Sire ?~ ~ ~–
130     II,      2|       réponds des sentiments de ma femme.~ ~ ~– Bon ! Henriot, bon !
131     II,      2|            souhaite un pareil à ma femme. Cependant je crains bien
132     II,      3|               Madame, dit la jeune femme pâlissante, n’avez-vous
133     II,      4|           Henriot. Tu es sûr de ta femme, ajouta Charles avec un
134     II,      4|         moi j’ai confiance dans ma femme.~ ~ ~– Non pas, non pas,
135     II,      4|          que rien ne prouve que ma femme et la belle-sœur de M. de
136     II,      4|          poisson dans l’eau, et la femme… non, je me trompe, l’homme
137     II,      5|            il eût vus. C’était une femme de dix-huit à dix-neuf ans
138     II,      5|          joue en fleur de la jeune femme, il posa un baiser aussi
139     II,      5|              Et cependant la jeune femme se réveilla.~ ~ ~– Charles !
140     II,      5|              Oh ! s’écria la jeune femme, vous n’êtes pas seul, mon
141     II,      5|           retournant vers la jeune femme :~ ~ ~– Il fait surtout
142     II,      5|        passa la feuille à la jeune femme.~ ~ ~– En vérité, s’écria-t-elle,
143     II,      5|        chambre à coucher. La jeune femme dormait dans son lit ; l’
144     II,      6|     écouter la prière d’une pauvre femme et de ne pas aller plus
145     II,      6|                Mais si c’était une femme cependant, nous ne pouvons
146     II,      6|      pouvons pas exiger…~ ~ ~– Une femme ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Une femme
147     II,      6|       femme ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Une femme qui a tué deux de vos gardes
148     II,      6|           Aussitôt il reconnut une femme, et une charmante voix dont
149     II,      6|       recueilli.~ ~ ~ ~Et la jeune femme descendit rapidement, croisant
150     II,      7|          entendent : pourvu que la femme soit muette, le mari est
151     II,      7|           quand Henri saura que sa femme le trahit… Ainsi, ajouta-t-il
152     II,      8|       Guise a dit hier soir que ta femme venait de passer, escortée
153     II,      8|            Quand il t’a dit que ta femme était allée rue Cloche-Percée,
154     II,      8|         est vanté en calomniant ma femme, rien n’est plus simple,
155     II,      8|           c’est un assassinat ; ma femme n’est plus calomniée, elle
156     II,      8|      va-t-il ordinairement chez ta femme ?~ ~ ~– Mais vers les neuf
157     II,      8|            pour nous brouiller, ma femme et moi ; un si joli ménage !~ ~ ~ ~
158     II,      8|            à une fille de France ? femme et princesse du sang, je
159     II,      9|        avait, outre la mère, de la femme dans Catherine, soit enfin
160     II,      9|            avant tout le monde une femme s’était élancée, écartant
161     II,      9|         Charles ! s’écria la bonne femme en parcourant tous les visages
162     II,     10|          du droit qu’a toute jolie femme d’être capricieuse, ne m’
163     II,     10|           qui semblait celle d’une femme, était inclinée sur la première.~ ~ ~ ~
164     II,     10|            homme sera mort, et une femme pleurera seule sur lui.
165     II,     10|         bout de la lame, une autre femme encore, qui tient comme
166     II,     11|       Henri en se tournant vers sa femme, demain, pour mon compte,
167     II,     13|       irrésistible qui porte toute femme à être coquette malgré elle
168     II,     13|           avec l’amant d’une autre femme, surtout quand cette femme
169     II,     13|         femme, surtout quand cette femme est son amie, elle n’avait
170     II,     13|            une princesse, mais une femme ! ~ ~– Oh ! attendre, dit
171     II,     13|         que je me batte ? pour une femme ?~ ~ ~– Merci !~ ~ ~– Je
172     II,     17|          fois roi, on trouvera une femme digne d’un fils de France.
173     II,     17|            madame de Sauve et à sa femme, mais ni l’une ni l’autre
174     II,     17|            galamment la main de sa femme.~ ~ ~ ~Et avec les mêmes
175     II,     19|           le savons, le mari et la femme avaient fait, sous le rapport
176     II,     20|       comme une ombre blanche, une femme qui, se tournant de leur
177     II,     22|      bougie et passa chez la bonne femme. La bonne femme n’était
178     II,     22|           la bonne femme. La bonne femme n’était pas chez elle. Une
179     II,     24|          laisser aller ainsi cette femme qui, en quelques heures,
180     II,     24|            la représentation d’une femme et non d’un homme.~ ~ ~–
181     II,     24|            se faire aimer de cette femme et non un maléfice pour
182     II,     24|        elle veut dire le nom de la femme que M. de La Mole aimait.~ ~ ~–
183     II,     24|        Mole aimait.~ ~ ~– Et cette femme se nomme ?~ ~ ~– Cette femme
184     II,     24|       femme se nomme ?~ ~ ~– Cette femme se nomme Marguerite, mon
185     II,     24|             Margot.~ ~ ~ ~La jeune femme regarda son frère et frissonna
186     II,     24|   raconterait, par exemple, qu’une femme à laquelle il n’ose rien
187     II,     25|           qu’elle représentait une femme. On lui demanda si le charme
188     II,     25|            se faire aimer de cette femme.~ ~ ~ ~Ces questions furent
189     II,     25|            brisaient le cœur d’une femme à demi renversée sur des
190     II,     25|          souffre ! s’écriait cette femme ; oh ! c’est impossible !~ ~ ~ ~
191     II,     25|          en voyant passer certaine femme blonde, aux yeux verts,
192     II,     25|        bien, et ignorant que cette femme était une duchesse, ce richard,
193     II,     25|          résume et le siècle et la femme, tiens ! j’aime Annibal,
194     II,     26|            statue d’homme, mais de femme.~ ~ ~– Eh bien, messieurs,
195     II,     26|           vous dites que c’est une femme ?~ ~ ~– Sans doute, je le
196     II,     26|           statue est une statue de femme ?~ ~ ~– Oui, certainement,
197     II,     26|           de dire quelle est cette femme ?~ ~ ~– Une femme de mon
198     II,     26|            cette femme ?~ ~ ~– Une femme de mon pays, dit La Mole,
199     II,     26|           une figure d’homme ou de femme ?~ ~ ~– D’homme, répondit
200     II,     30|         Henriette de Nevers, cette femme intrépide, gisait, sans
201     II,     30|         dit-il, ma sœur ! La jeune femme tressaillit et se redressa :~ ~ ~–
202     II,     30|     entendu, et dit :~ ~ ~– Pauvre femme ! Puis il sortit silencieusement.
203     II,     30|            n’est pas fille de roi, femme de roi, sœur de roi. Elle
204     II,     30|         doute pour le bourreau, sa femme et son aide principal.~ ~ ~ ~
205     II,     30|           de ses yeux.~ ~ ~ ~Cette femme si dédaigneuse, si intrépide,
206     II,     30|            dans le bonheur ; cette femme qui poussait le scepticisme
207     II,     30|          jusqu’à la cruauté, cette femme n’avait jamais pensé à la
208     II,     31|          nourrice !~ ~ ~ ~La bonne femme, qui veillait au-dehors,
209     II,     31|          signe qui retint la bonne femme prête à obéir.~ ~ ~– J’ai
210     II,     32|        déboucher de l’escalier une femme dont la respiration haletante
211     II,     34|         forte, nourrice ! La bonne femme accourut.~ ~ ~– Eh bien,
212     II,     35|            à pied avec la reine sa femme et toute la cour.~ ~ ~ ~
213     II,     35|         comme vous, quelque pauvre femme folle de lui ?~ ~ ~– Non,
214     II,     35|    monsieur. C’est une belle jeune femme qui vient d’être poignardée
215     II,     35|            pour le prévenir que sa femme était avec un amant.~ ~ ~–
216     II,     35|           Il s’est sauvé.~ ~ ~– La femme ?~ ~ ~– Elle est là.~ ~ ~–
217     II,    Bib|           vol. in-8.~ ~ ~ ~102. La Femme au collier de velours.~ ~
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