Tome,  Chap.

  1      I,      1|              Anjou, frère du roi, la mort de son père assassiné à
  2      I,      1|             à l’amiral de Coligny la mort du sien assassiné à Orléans
  3      I,      1|           étaient répandus sur cette mort subite. Partout on disait
  4      I,      1|             et confirmé, qu’après la mort de cette grande reine, sur
  5      I,      1|            entièrement rassurés : la mort de la reine de Navarre passait
  6      I,      1|            que lui causait encore la mort de son père le connétable
  7      I,      1|             sous son père, qui était mort dans ses bras en lui désignant
  8      I,      1|      solennel : c’était de venger la mort de son père sur l’amiral
  9      I,      1|              dont il avait promis la mort à son père mourant.~ ~ ~ ~
 10      I,      1|       voulez-vous dire, et de quelle mort seriez-vous morte ?~ ~ ~–
 11      I,      2|       bouchette blêmie ;~ ~Et quand, mort, je te verrai,~ ~Aux ombres
 12      I,      3|             évidemment allusion à la mort de François de Guise, son
 13      I,      3|           les reins ; puis le voyant mort, car vous le tuâtes du coup,
 14      I,      3|              autre me demanderait la mort, j’avoue que je serais fort
 15      I,      5|              roi leur aura promis la mort de l’assassin de l’amiral ;
 16      I,      6|         avait point quitté depuis la mort de son mari. C’était à cette
 17      I,      6|            Mouy, à ces pauvres gens. Mort de ma vie, ma mère ! il
 18      I,      6|              il ne s’agit plus de la mort de M. François de Guise
 19      I,      6|            juste ? Il m’a demandé la mort du meurtrier de son père
 20      I,      6|              M. de Montgommery de la mort de mon père et de votre
 21      I,      6|           votre époux, quoique cette mort fût un simple accident ?~ ~ ~–
 22      I,      6|            un pour vous reprocher la mort des autres, ah ! alors,
 23      I,      6|           huguenots ! Ah ! ah ! ah ! mort de ma vie ! que vous êtes
 24      I,      6|              qu’il courait danger de mort.~ ~ ~ ~Derrière lui, la
 25      I,      7|          sommes au quatrième, il est mort.~ ~ ~– Ou il se sera sauvé
 26      I,      7|              dit Maurevel, ou il est mort, ou il est loin maintenant.
 27      I,      7|              raison, hurla Coconnas. Mort aux huguenots ! J’ai besoin
 28      I,      8|             des mains raidies par la mort.~ ~ ~– L’amiral, s’écrièrent
 29      I,      8|         nuage pareil à la nuit de la mort s’obscurcit ; sa tête alourdie
 30      I,      9|            tout à fait sûr qu’il est mort. Ce gaillard-là m’avait
 31      I,      9|           dit-il, j’espère qu’il est mort, ou sans cela je retournerais
 32      I,      9|             de la troupe, fit tomber mort le soldat qui se trouvait
 33      I,      9|              sur un genou et retomba mort.~ ~ ~– Ah ! bourreau ! hurla
 34      I,      9|                     Et toi, voici ta mort ! cria la mère de la fenêtre.~ ~ ~–
 35      I,     10|                                   X~ Mort, messe ou Bastille~ ~ ~ ~
 36      I,     10|             Oh ! madame, est-il donc mort ?~ ~ ~– Silence ! Gillonne,
 37      I,     10|              la reine mère a juré sa mort.~ ~ ~– Sa mort ! Ah ! dit
 38      I,     10|             a juré sa mort.~ ~ ~– Sa mort ! Ah ! dit Marguerite, vous
 39      I,     10|             d’annoncer à la reine la mort de l’amiral et retournait
 40      I,     10|            au milieu d’un silence de mort, annonça à Henri que le
 41      I,     10|              il devint livide.~ ~ ~– Mort, messe ou Bastille ! s’écria-t-il
 42      I,     10|            été négative, Henri était mort.~ ~ ~ ~Aussi, comme après
 43      I,     11|        terrible conseil de vie et de mort qui se tenait en ce moment.~ ~ ~ ~
 44      I,     11|           sanglantes de la nuit ; la mort lente et terrible de l’amiral ;
 45      I,     11|            terrible de l’amiral ; la mort instantanée de Téligny,
 46      I,     11|               le roi de Navarre sera mort.~ ~ ~ ~Marguerite poussa
 47      I,     11|          vous n’empêcherez pas cette mort ? dit-elle ; vous ne sauverez
 48      I,     11|          meilleur parti possible. La mort du roi de Navarre était
 49      I,     11|       catastrophe. Le roi de Navarre mort, on s’emparait de son royaume.
 50      I,     11|             le roi ! vive la messe ! mort aux huguenots ! Ces cris
 51      I,     12|            encore entre la vie et la mort.~ ~ ~– Il est donc malade ?~ ~ ~–
 52      I,     13|              faites-moi sortir, oui, mort ou vif, madame ! Ayez pitié
 53      I,     13|              faites pas mourir d’une mort que les bourreaux les plus
 54      I,     13|              hier, jour fixé pour ma mort.~ ~ ~– Eh bien, monsieur ?
 55      I,     13|             mourir avec éclat, d’une mort qu’enregistre l’histoire,
 56      I,     14|            ici pour vous annoncer la mort de l’amiral et de Téligny,
 57      I,     15|              il faut donc qu’il soit mort !~ ~ ~ ~Ce qui donnait à
 58      I,     15|            ma mère, bonne nouvelle ! Mort de tous les diables, savez-vous
 59      I,     15|         depuis que je sais qu’il est mort, le cher homme. Il fait
 60      I,     16|            XVI~ Le corps d’un ennemi mort sent toujours bon~ ~ ~ ~
 61      I,     16|            qu’il conserva jusqu’à sa mort, le signalaient aux spectateurs,
 62      I,     16|            moi… le corps d’un ennemi mort sent toujours bon.~ ~ ~–
 63      I,     17|              Pour lui, La Mole était mort, bien mort, et même plutôt
 64      I,     17|             La Mole était mort, bien mort, et même plutôt deux fois
 65      I,     18|         Coconnas ne craignait pas la mort, mais Coconnas n’en était
 66      I,     18|              car sans vous je serais mort à cette heure.~ ~ ~– Je
 67      I,     18|           dit Coconnas, celui-là est mort et bien mort. J’ai vu la
 68      I,     18|            celui-là est mort et bien mort. J’ai vu la flamme de l’
 69      I,     18|                 Vous n’êtes donc pas mort ? fit Coconnas.~ ~ ~– Mais
 70      I,     18|         voyez-vous… vous m’aviez cru mort, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Certainement.~ ~ ~–
 71      I,     18|             sur moi à la vie et à la mort.~ ~ ~– En ce cas, dit Coconnas,
 72      I,     19|             au plafond, les têtes de mort aux yeux vides et aux dents
 73      I,     19|           sur votre vie, vrai sur ma mort !~ ~ ~– Alors ; venez donc !
 74      I,     20|           Catherine, trois signes de mort. Puis elle ouvrit le corps.~ ~ ~–
 75      I,     20|            toujours à gauche, triple mort suivie d’une déchéance.
 76      I,     20|              éteindra notre race. La mort soufflera dessus et elle
 77      I,     20|              aussi, espère-t-elle la mort de ses frères, peut-être
 78      I,     22|            pardonner au meurtrier la mort de son frère.~ ~ ~– Malheureusement,
 79      I,     23|            du matador :~ ~ ~– Par la mort ! s’écria-t-il, voilà un
 80      I,     23|              et assurer ainsi par la mort de nous deux l’extinction
 81      I,     26|          votre amour, si bien que la mort, jalouse sans doute, vous
 82      I,     26|         seras près de moi, vivant ou mort, tant que je vivrai moi-même ;
 83      I,     26|              me voilà rassuré sur ma mort ; mais aussi je puis vivre,
 84      I,     26|           vous m’avez rassuré sur ma mort, d’un mot maintenant rassurez-moi
 85      I,     27|           elle ce soir l’œuvre d’une mort qu’un hasard malheureux
 86      I,     27|      Catherine, mon chien Brutus est mort enflé en une minute. On
 87      I,     29|          pour écouter l’heure.~ ~ ~– Mort de ma vie ! sept heures !
 88      I,     29|                À bas, Risquetout ! … mort de ma vie ! à bas donc,
 89      I,     30|       arrêter, j’écrive de ma main : mort ou vif ?~ ~ ~– J’avoue,
 90      I,     30|              et de l’autre écrivit : mort ou vif.~ ~ ~– Tenez, dit-elle,
 91      I,    Bib|                     1. Élégie sur la mort du général Foy. Paris, Sétier,
 92     II,      1|              une tête, avait juré sa mort et ne manquerait pas de
 93     II,      1|         espérance du parti depuis la mort de l’amiral ; vous, un huguenot
 94     II,      2|     obscurité complète et silence de mort.~ ~ ~– Gagne au pied, dit
 95     II,      3|             ordre doit être punie de mort.~ ~ ~– Allons, allons, il
 96     II,      3|                il était complètement mort.~ ~ ~ ~Trois pas plus loin
 97     II,      3|           tête pâle comme celle d’un mort, perdant son sang par une
 98     II,      3|            chambre, et un silence de mort planait sur toute cette
 99     II,      6|             votre petit projet. Eh ! mort d’un diable ! je ne pouvais
100     II,      6|           dit Henri, il se taira, sa mort dût-elle être le prix de
101     II,      7|             qu’il me l’a sauvée, et, mort de tous les diables ! je
102     II,      7|             venger en princes.~ ~ ~– Mort de tous les diables ! dit
103     II,      8|            vu évanoui et l’avait cru mort.~ ~ ~ ~Et comme il était
104     II,      8|          avez bien raison ; je fusse mort en chantant pour épargner
105     II,      9|            ventremahon ! ce sera une mort superbe !~ ~ ~ ~Catherine
106     II,      9|           entendez-vous ?~ ~ ~– Eh ! mort de tous les diables ! s’
107     II,      9|          pape ! au lieu de rire à ma mort, comme feraient mes frères,
108     II,     10|            Hier elle l’a sauvé de la mort au risque de son honneur
109     II,     10|              l’époque probable de sa mort ?~ ~ ~– Oui, à quelques
110     II,     10|          enfin, autour de son lit de mort s’apprêtent de grands combats ?
111     II,     10| poursuivaient jusque sur leur lit de mort.~ ~ ~ ~Enfin il se releva
112     II,     10|             peine, et cet homme sera mort, et une femme pleurera seule
113     II,     11|         assure que La Mole n’est pas mort et que Sa Majesté doit savoir
114     II,     12|             résiste, emparez vous-en mort ou vif. Allez ! allez !~ ~ ~ ~
115     II,     16|       Catherine devint pâle comme la mort, et dévora de Mouy d’un
116     II,     18|               le roi regardera cette mort comme une punition du ciel.~ ~ ~–
117     II,     18|             est convenu. Mais, Henri mort, Margot revient à la cour,
118     II,     18|              François. Mon frère est mort ! Alors il pensa qu’il y
119     II,     19|             appris la nouvelle de la mort de mon frère, la dynastie
120     II,     21|            II quelque temps avant sa mort.~ ~ ~ ~Aussi la défense
121     II,     21|           des êtres créés de fuir la mort. Pourquoi donc l’intelligence
122     II,     21|           aura moins hâte de me voir mort.~ ~ ~– Henriot, dit Charles,
123     II,     22|             vomissements ! … Je suis mort !~ ~ ~ ~Charles demeura
124     II,     22|             dites-moi de quoi il est mort.~ ~ ~ ~Pendant que René,
125     II,     22|           devait être sa sentence de mort ou son gage de salut.~ ~ ~ ~
126     II,     22|  continua-t-il, ce pauvre Actéon est mort. Il faudra, demain matin,
127     II,     24|           qui et à quoi attribuer sa mort.~ ~ ~ ~Aussi, lorsque Catherine
128     II,     24|          Charles.~ ~ ~– C’est-à-dire mort ; c’est la formule magique,
129     II,     24|         cabale et en magie.~ ~ ~– La mort de l’inventeur rompt le
130     II,     24|              Elle ne veut pas dire : MORT, comme l’a dit la reine
131     II,     24|        contient dans ses feuilles la mort de vingt personnes encore,
132     II,     24|            coupable. Souffre donc la mort de ton amant ; c’est peu
133     II,     24|           France. Je souffre bien la mort pour que le secret meure
134     II,     25|              et La Mole n’en est pas mort ; il y a donc tout lieu
135     II,     25|              et fait semblant d’être mort ; nous apparaissons, nous
136     II,     26|         chapelle que les condamnés à mort ou les torturés.~ ~ ~– Oh !
137     II,     26|           après toute condamnation à mort, c’est l’usage de permettre
138     II,     26|              nous serons condamnés à mort ?~ ~ ~– Sans doute… mais
139     II,     26|          touchera.~ ~ ~– Condamnés à mort ! murmura La Mole, mais
140     II,     26|      poignard, la lettre M veut dire MORT.~ ~ ~ ~Coconnas fit un mouvement
141     II,     27|            défie des condamnations à mort ; car incontestablement
142     II,     27|           occupe de nous condamner à mort à cette heure. Je me défie
143     II,     27|          surtout des condamnations à mort qui se prononcent dans le
144     II,     27|              Catherine voulait votre mort ; j’ai deviné qu’on vous
145     II,     28|            des douleurs pires que la mort.~ ~ ~ ~Et en effet, avec
146     II,     28|            le joyeux spectacle de la mort de deux innocents.~ ~ ~ ~
147     II,     28|           Mole, tu peux faire que la mort me sera douce, et viendra
148     II,     29|            lâche qui est cause de la mort de l’autre. L’autre, au
149     II,     29|         figure de Coconnas, comme la mort allait diviniser son âme.~ ~ ~–
150     II,     30|            sœur, comme celui qui est mort aujourdhui.~ ~ ~– Mon frère ! …
151     II,     30|            doit aimer jusque dans la mort.~ ~ ~ ~C’était un spectacle
152     II,     30|            effrayante symétrie de la mort. Leurs têtes, inclinées
153     II,     30|              cercle de rouge vif. La mort n’avait pas désuni leurs
154     II,     30|              avait jamais pensé à la mort.~ ~ ~ ~Marguerite lui en
155     II,     31|            donner le jour même de la mort des deux jeunes gens, était,
156     II,     31|            dis, madame, que c’est la mort qui arrive, mort de tous
157     II,     31|              est la mort qui arrive, mort de tous les diables ! Je
158     II,     31|           que, je vous le répète, la mort est en route, reprit Charles
159     II,     31|           agenouiller près du lit de mort d’un roi de France. Quant
160     II,     32|          donnera, c’est-à-dire votre mort ou votre vie.~ ~ ~– Mais
161     II,     32|            la régence ? « Le roi est mort, pensa Henri, et c’est elle
162     II,     32|       acceptez la régence, vous êtes mort.~ ~ ~« Le roi vit », pensa
163     II,     32|      terrible jeu de la vie et de la mort.~ ~ ~– Pourquoi pas ? dit
164     II,     33|          dans les antichambres. À la mort des rois, quels qu’ils aient
165     II,     33|            du jour où je touche à la mort : la raison d’État.~ ~ ~–
166     II,     33|               répondit Charles ; moi mort, tu seras fort et puissant,
167     II,     33|       dites-vous ?~ ~ ~– Rien. Si ma mort doit être vengée, Henriot,
168     II,     33|            militaires.~ ~ ~– Je suis mort, murmura Henri.~ ~ ~– Tu
169     II,     34|                    XXXIV~ Le roi est mort : vive le roi !~ ~ ~ ~Catherine
170     II,     34|              au milieu du silence de mort qui régnait dans la chambre
171     II,     34|           mourant de me pardonner la mort de votre mère.~ ~ ~– Je
172     II,     34|                     Le roi n’est pas mort encore. René regarda fixement
173     II,     34|             la fixité terrible de la mort, il faut qu’il se soit passé
174     II,     34|                Le roi Charles IX est mort ! le roi Charles IX est
175     II,     34|                le roi Charles IX est mort ! le roi Charles IX est
176     II,     34|                le roi Charles IX est mort ! cria-t-il trois fois.
177     II,     35|             s’était écoulé depuis la mort du roi Charles IX et l’avènement
178     II,     35|             la vie : l’absence et la mort.~ ~ ~ ~Paris était fort
179     II,     35|             ennemi dont il a juré la mort. Il n’y a que la haine,
180     II,     35|            homme, je crois que tu es mort.~ ~ ~ ~Et il lâcha le coup.
181     II,     35|   accompagnaient le crurent frappé à mort et s’enfuirent épouvantés
182     II,     35|   singulièrement attristée depuis la mort de La Mole et de Coconnas,
183     II,     35|              yeux déjà voilés par la mort ; elle jeta un cri qui fit
184     II,    Bib|                     1. Élégie sur la mort du général Foy. Paris, Sétier,
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