Tome,  Chap.

  1      I,      1|            de Valois.~ ~ ~– Et qui est-ce donc alors ?~ ~ ~– Eh, sang-diou !
  2      I,      1|           ses gentilshommes.~ ~ ~– Est-cevéritablement la pensée
  3      I,      2|            un lacet de soie.~ ~ ~– Est-ce vous, Gillonne ? demanda
  4      I,      2|            alliance devant Dieu. N’est-ce pas votre avis ?~ ~ ~– Sans
  5      I,      2|         Qui diable est chez elle ? Est-ce le roi, est-ce le duc d’
  6      I,      2|         chez elle ? Est-ce le roi, est-ce le duc d’Anjou, est-ce le
  7      I,      2|             est-ce le duc d’Anjou, est-ce le duc d’Alençon, est-ce
  8      I,      2|           est-ce le duc d’Alençon, est-ce le duc de Guise, est-ce
  9      I,      2|            est-ce le duc de Guise, est-ce un frère, est-ce un amant,
 10      I,      2|            Guise, est-ce un frère, est-ce un amant, est-ce l’un et
 11      I,      2|            frère, est-ce un amant, est-ce l’un et l’autre ? En vérité,
 12      I,      3|         dire…~ ~ ~– De la Mole ! n’est-ce point un Lerac de La Mole,
 13      I,      3|          demanda l’assassin.~ ~ ~– Est-ce que je sais cela, moi ?
 14      I,      3|           Guise ne répondrait pas. Est-ce qu’on répond à ces choses-là ?
 15      I,      4|          Bien… c’est déjà mieux, n’est-ce pas ? dit Coconnas en se
 16      I,      4|         notre chambre, dites moi : est-ce par hasard vous avez trouvé
 17      I,      4|         vous cherchez le Louvre, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Et vous aussi,
 18      I,      4|          monde peut-être.~ ~ ~– Qu’est-ce à dire ? s’écrièrent ensemble
 19      I,      5|                  Philosophiques, n’est-ce pas ? c’est comme moi. Quand
 20      I,      5|      guérison des blessures.~ ~ ~– Est-ce que vous savez le grec,
 21      I,      6|           l’assassin de l’amiral ! Est-ce que nous n’avons pas puni
 22      I,      6|         venus demander justice ! N’est-ce pas leur droit après tout ?~ ~ ~–
 23      I,      6|         Catherine en tressaillant, est-ce que vous soupez au Louvre ?~ ~ ~–
 24      I,      6|            pouvoir courir ainsi… N’est-ce pas, ma fille ?~ ~ ~– C’
 25      I,      6|         vous a dit cela, ma mère ? est-ce Margot ?~ ~ ~– Non, mon
 26      I,      7|       dernier verre de vin :~ ~ ~– Est-ce que vous allez vous coucher
 27      I,      7|          donc, maître La Hurière ! est-ce que vous faites de la politique,
 28      I,      7|            alors, banquet royal, n’est-ce pas ? s’écria Coconnas,
 29      I,      8|         dit Coconnas à La Hurière, est-ce que je me trompe, ou n’est-ce
 30      I,      8|      est-ce que je me trompe, ou n’est-ce pas M. de Guise que je vois
 31      I,      8|            de sa voix puissante, n’est-ce donc point encore fini ?
 32      I,      8|               Le dugue François, n’est-ce pas ?~ ~ ~– La religion,
 33      I,      8|            vous est rien arrivé, n’est-ce pas, madame ?~ ~ ~– Non,
 34      I,      9|               M. le duc d’Alençon. Est-ce qu’il n’en est pas, lui ?~ ~ ~–
 35      I,      9|      aubergiste de sa voix câline, est-ce vous ?~ ~ ~– Oui, c’est
 36      I,      9|         Mouy ? cria le vieillard ; est-ce à vous qu’on en veut ?~ ~ ~–
 37      I,      9|                Et son créancier, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, son créancier,
 38      I,     10|           chirurgien catholique, n’est-ce pas ? demanda la reine avec
 39      I,     10|           en être l’objet.~ ~ ~– N’est-ce pas qu’il est beau ? dit
 40      I,     10|         attendu.~ ~ ~– Mon mari, n’est-ce pas ? dit Marguerite.~ ~ ~–
 41      I,     10|           vous voir près de moi, n’est-ce pas, Henriot ?~ ~ ~– Mais
 42      I,     10|         voix derrière les princes, est-ce fait ?~ ~ ~ ~C’était Catherine
 43      I,     11|           venu me rendre visite, n’est-ce pas, mon frère ? demanda
 44      I,     11|     mélancolie parfaitement joué ; est-ce pour me rappeler que personne
 45      I,     11|           de Navarre.~ ~ ~– Et qui est-ce donc, alors ?~ ~ ~– C’est
 46      I,     12|           tu viens, tu commandes ! Est-ce donc tout ? Et ta liberté
 47      I,     12|  confidente dans le tête-à-tête. N’est-ce pas cela, madame, n’est-ce
 48      I,     12|         est-ce pas cela, madame, n’est-ce pas cela, Marguerite ?~ ~ ~–
 49      I,     12|     plusieurs.~ ~ ~– En un seul, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, dit la
 50      I,     12|       garder ton petit huguenot, n’est-ce pas, tant qu’il sera malade,
 51      I,     12|           C’est un terrible nom, n’est-ce pas, dit Henriette. Eh bien,
 52      I,     12|            tu l’as vu à l’œuvre, n’est-ce pas qu’il était beau ?~ ~ ~–
 53      I,     13|      taisez-vous donc, enfant ! Qu’est-ce donc que ce rebelle qui
 54      I,     13|         sans quelque inquiétude, n’est-ce pas, monsieur ? ajouta Marguerite.~ ~ ~–
 55      I,     13|            autres choses la vie, n’est-ce pas ? Henri ne put réprimer
 56      I,     13|                  Et votre femme, n’est-ce pas, Sire ?~ ~ ~– Ma foi,
 57      I,     13|           ma lettre autre chose, n’est-ce pas, qu’un rendez-vous ?
 58      I,     14|       expliquez.~ ~ ~– Eh bien, qu’est-ce que ce vœu ? demanda le
 59      I,     15|             tu te crois adroite, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Non, madame,
 60      I,     15|        choisi, demanda Henri, ou n’est-ce qu’une attention de votre
 61      I,     15|         être désagréable.~ ~ ~– Qu’est-ce donc ? demanda François
 62      I,     15|           serait mieux que tout, n’est-ce pas, madame ?~ ~ ~– Allons,
 63      I,     15|        avez eu comme moi l’idée, n’est-ce pas, ma mère, que les chiens
 64      I,     15|          renouvelé le sacrifice, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, madame,
 65      I,     15|          besoin de les préparer, n’est-ce pas, madame ? car Votre
 66      I,     16|                   C’est curieux, n’est-ce pas, monsieur de la Mole,
 67      I,     16|            oreille de Marguerite ; est-ce que tu le trouves laid ?~ ~ ~–
 68      I,     18|           vous m’aviez cru mort, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Certainement.~ ~ ~–
 69      I,     19|      ressemblance de l’objet aimé. Est-ce un moyen ?~ ~ ~– Infaillible.~ ~ ~–
 70      I,     19|  enchâssées dans du corail :~ ~ ~– Est-ce vrai ?~ ~ ~– Mordi ! s’écria
 71      I,     20|                  Eh bien, eh bien, est-ce cela ? Je le vois, c’est-à-dire
 72      I,     20|       Catherine l’ouvrit.~ ~ ~– Qu’est-ce que cela ? dit-elle. « De
 73      I,     20|          une femme aime, dit-elle, est-ce qu’elle est jamais dévouée
 74      I,     21|         aider à trouver le mien, n’est-ce point la reine Catherine
 75      I,     21|          pas dans la politique. Qu’est-ce que ce petit pinceau si
 76      I,     21|         promesse qu’aujourdhui, n’est-ce pas ? dit Charlotte.~ ~ ~–
 77      I,     22|         besoin de dix écus d’or, n’est-ce pas, René ? car une pareille
 78      I,     23|           vers le cheval.~ ~ ~– Qu’est-ce que ce joli petit animal ?
 79      I,     23|          causiez tout à l’heure, n’est-ce pas, mon frère ?~ ~ ~– L’
 80      I,     23|         dit Henri.~ ~ ~– Oui, mais est-ce des lèvres ? est-ce du cœur ?~ ~ ~–
 81      I,     23|           mais est-ce des lèvres ? est-ce du cœur ?~ ~ ~– On est toujours
 82      I,     23|             suis-je bien informé ? Est-ce là ce que vous êtes venu
 83      I,     23|            nom de M. de La Mole, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~Le duc d’Alençon
 84      I,     23|          demande qui va là !~ ~ ~– Est-ce vous, monsieur de la Mole ?~ ~ ~–
 85      I,     24|          longs. C’est grotesque, n’est-ce pas, madame ? mais enfin
 86      I,     24|        avec un naturel parfait, qu’est-ce que maître La Hurière ?~ ~ ~–
 87      I,     24|                  Ah ! ah ! fit-il, est-ce qu’il y aurait quelque magie
 88      I,     24|        as-tu donc à courir ainsi ? Est-ce que tu te sauves, par hasard ?~ ~ ~ ~
 89      I,     24|          drôle. Dis donc, La Mole, est-ce qu’il y aurait des revenants
 90      I,     25|            entrer à toute heure, n’est-ce pas, chez M. d’Alençon,
 91      I,     25|  Marguerite sourit.~ ~ ~– Au moins est-ce toujours M. de La Mole ?
 92      I,     25|         ouvrir.~ ~ ~– Oh ! oh ! qu’est-ce donc que cela ? dit sévèrement
 93      I,     25|          dit sévèrement la reine ; est-ce vrai ce qu’on me dit là,
 94      I,     25|               Non, c’est la foi, n’est-ce pas ? dit la reine.~ ~ ~–
 95      I,     25|           êtes point catholique, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~Henri haussa
 96      I,     25|            que vous êtes double, n’est-ce pas, de Mouy ? n’est-ce
 97      I,     25|            est-ce pas, de Mouy ? n’est-ce pas madame ?~ ~ ~ ~Henri
 98      I,     26|         Mouy conspire avec vous, n’est-ce pas ? Mais le duc d’Alençon,
 99      I,     26|         Que vous a-t-il confié ? N’est-ce pas lui qui vous a trahi
100      I,     27|           apprendrez la recette, n’est-ce pas, Henri ? dit Catherine
101      I,     27|          une minute. On m’a jouée. Est-ce René ? René ! c’est impossible.
102      I,     28|            l’esprit par le cœur, n’est-ce pas ? et d’avoir après le
103      I,     28|            À ce soir, rue Tizon, n’est-ce pas ? et à demain la chasse ;
104      I,     28|           votre frère d’Alençon, n’est-ce pas ? dit Henri.~ ~ ~– Oui ;
105      I,     29|         voulez me le faire tuer, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oh ! non.~ ~ ~–
106      I,     30|    commission ne soit violente ? N’est-ce pas de ces commissions-là
107      I,     30|       Votre Majesté le commande, n’est-ce pas mon devoir ?~ ~ ~– Oui,
108      I,     30|       arrive. Vous me comprenez, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, madame ;
109      I,     30|        cabinet des Armes du roi, n’est-ce pas ? eh bien, on va vous
110      I,     31|          mauvais pour la chasse, n’est-ce pas, monsieur ? demanda
111      I,     31|                 Hein ! dit le roi. Est-ce vrai, cela ?~ ~ ~– C’est
112     II,      1|          en fût toujours aperçu, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Sans doute,
113     II,      1|       pourrez me perdre !~ ~ ~– Qu’est-ce donc ? dit François, qui
114     II,      1|            nommé roi de Pologne, n’est-ce pas ? J’achève votre pensée.
115     II,      3|            immédiatement.~ ~ ~– Qu’est-ce cela, dit Catherine, et
116     II,      3|          entendu, moi… D’ailleurs, est-ce donc une chose bien extraordinaire
117     II,      4|         dit le roi, arrêtez.~ ~ ~– Est-ce à nous qu’on parle ? demanda
118     II,      4|            éclat de rire.~ ~ ~– Qu’est-ce donc ?… demanda le duc de
119     II,      5|        votre frère de m’excuser, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Et de quoi ?~ ~ ~–
120     II,      5|        rois et les servit.~ ~ ~– N’est-ce pas, Henriot, que c’est
121     II,      6|        attendez pour me gronder, n’est-ce pas ? j’ai fait manquer
122     II,      6|   découverte.~ ~ ~– Bah ! un planEst-ce que vous êtes embarrassée
123     II,      7|       suspects me compromettent, n’est-ce pas, madame ?~ ~ ~– Oui,
124     II,      7|           Mais enfin, dit Charles, est-ce M. de La Mole qui était
125     II,      7|       ensemble et qu’il me touche, est-ce que je ne dis pas bravo
126     II,      7|           arrêter M. de La Mole, n’est-ce pas ?~ ~ ~– C’est probable.~ ~ ~–
127     II,      8|                   Bah ! dit Henri, est-ce que, sans m’en douter, je
128     II,      8|           Voyons, Sire, dit Henri, est-ce véritablement une chose
129     II,      8|            lui dise où l’on sera ! est-ce qu’on le sait ? D’ailleurs,
130     II,      8|        voulu dire où vous étiez, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Dire où j’étais !
131     II,      9|         mains de son fils, voyons, est-ce là la véritable raison ?~ ~ ~ ~
132     II,      9|          France qui vous flatte, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Assurément.~ ~ ~–
133     II,      9|       aimerais-je ? Ah ! ah ! ah ! est-ce que vous voulez rire ?… (
134     II,      9|            d’une fébrile rougeur.) Est-ce qu’il m’aime, lui ? Est-ce
135     II,      9|         Est-ce qu’il m’aime, lui ? Est-ce que vous m’aimez, vous ?
136     II,      9|           que vous m’aimez, vous ? Est-ce que, excepté mes chiens,
137     II,      9|            Touchet et ma nourrice, est-ce qu’il y a quelqu’un qui
138     II,      9|      diables ! s’écria Charles, qu’est-ce que me fait ce qui arrivera
139     II,      9|          crains le plus de perdre. Est-ce un crime à une mère de désirer
140     II,     10|           ciel gloire et richesse. Est-ce cela, madame ?~ ~ ~– Peut-être,
141     II,     11|      quelque cul de basse-fosse, n’est-ce pas ? Tant mieux, cela le
142     II,     11|       regarder comme les vôtres, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Certainement,
143     II,     11|       elles.~ ~ ~– C’est-à-dire, n’est-ce pas, que, voyant le roi
144     II,     11|           les yeux dessus.~ ~ ~– N’est-ce point l’écriture de M. de
145     II,     11|           il vienne ! dites-vous ; est-ce que c’est possible ?… Les
146     II,     13|         retard.~ ~ ~– Sans doute ; est-ce à moi d’arriver la première ?~ ~ ~–
147     II,     13|           parole : le voici.~ ~ ~– Est-ce donc aux seules prières
148     II,     15|         arriver à la minute.~ ~ ~– Est-ce votre convive ? demanda
149     II,     15|        attendant tout est perdu, n’est-ce pas, de Mouy ?~ ~ ~– Au
150     II,     15|           es content de La Mole, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Ah ! charmant
151     II,     16|           cour du Louvre.~ ~ ~– Qu’est-ce que ce bruit ? demanda Charles
152     II,     17|         mon frère, madame.~ ~ ~– N’est-ce pas ?~ ~ ~– Et je suis presque
153     II,     17|     sourire.~ ~ ~– Bon ! dit-elle, est-ce qu’il y a des frères entre
154     II,     18|         certaine terreur.~ ~ ~– Qu’est-ce que ce livre, madame ? demanda
155     II,     18|          Va-t-il appeler ? dit-il. Est-ce un poison d’un effet soudain ?
156     II,     20|                   Eh ! mordi ! qui est-ce donc qui dit que tu me forces ?
157     II,     20|   écrièrent-ils ensemble.~ ~ ~– Qu’est-ce que cela signifie ? dit
158     II,     20| fouillaient dans le bois.~ ~ ~– Qu’est-ce que je t’ai dit ? murmura
159     II,     21|          Le voici ; un beau coq, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~Et Henri, de
160     II,     21|           roi de l’avoir donnée. N’est-ce pas, messieurs ?~ ~ ~– Oui !
161     II,     21|           sien par la bride.~ ~ ~– Est-ce vrai, messieurs ? dit le
162     II,     21|             Eh bien, dit Coconnas, est-ce que nous sommes des valets
163     II,     21|    prisonniers ? Je n’y vois plus. Est-ce donc déjà la nuit ! oh !
164     II,     21|       devez désirer que je vive, n’est-ce pas ?~ ~ ~– J’aurais été
165     II,     21|          aime véritablement.~ ~ ~– Est-ce bien votre opinion, Sire ?~ ~ ~–
166     II,     22|            êtes habile chimiste, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Sire…~ ~ ~–
167     II,     22|          chien a été empoisonné, n’est-ce pas ?~ ~ ~– J’en ai peur,
168     II,     23|    trébucha.~ ~ ~– Eh ! dit-il, qu’est-ce donc que cela ?~ ~ ~ ~Et
169     II,     23|              dit Henri, fort bien. Est-ce que nous n’arriverons pas
170     II,     23|           prisonnier.~ ~ ~– Et qui est-ce donc ?~ ~ ~– Que Monseigneur
171     II,     24|          bien, demanda Charles, qu’est-ce que cette petite statue ?~ ~ ~–
172     II,     24|                   M. de La Mole, n’est-ce pas ? dit Charles.~ ~ ~–
173     II,     26|         que nous nous sauverons, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Chut ! dit le
174     II,     26|                  Oh ! oh ! dit-il, est-ce déjà l’heure du départ et
175     II,     26|       demanda-t-il à demi-voix, qu’est-ce que c’est que cet appareil
176     II,     26|            montre.~ ~ ~– La voici. Est-ce celle que vous connaissez ?~ ~ ~–
177     II,     26|          La Mole ?~ ~ ~– Ah ! ça ! est-ce que je m’en suis jamais
178     II,     27|            que je vais entendre, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, monsieur.~ ~ ~–
179     II,     27|       attendre que le patient ! Qu’est-ce que cela signifie ?~ ~ ~–
180     II,     29|        tiens à me faire plaisir, n’est-ce pas ? tu me l’as dit, du
181     II,     29|               Et d’un seul coup, n’est-ce pas ? dit à voix basse le
182     II,     30|           vrai ; mais mon sourireest-ce que mon sourire ne ferait
183     II,     31|           doit y avoir un livre, n’est-ce pas ? ajouta Charles avec
184     II,     34|         corps et de mon âme.~ ~ ~– Est-ce la reine mère aussi qui
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