Tome,  Chap.

  1      I,      1|          Oh ! monsieur, notre bon maître, n’allez pas à Paris, car
  2      I,      1|       veux dire que lorsqu’on est maître de la plus belle femme de
  3      I,      2|          singulier avertissement, maître Robin. Maintenant faites-moi
  4      I,      3|          y a quelques jours à mon maître en poésie :~ ~ ~ ~L’art
  5      I,      3|         corps ; Elle t’en rend le maître et te fait introduire Où
  6      I,      3|         pas, s’arrêtant quand son maître s’arrêtait, reprenant sa
  7      I,      3|     reprenant sa marche quand son maître se remettait en mouvement ;
  8      I,      3|           de chasse.~ ~ ~– Or là, maître assassin, dit-il au bout
  9      I,      3|           la terre. » Dites donc, maître Maurevel, continua Charles,
 10      I,      4|          que, pour une chambre de maître pleine, cela me ferait deux
 11      I,      4|          vous donne la chambre de maître, je risque fort de ne pas
 12      I,      4|          son mémoire : chambre de maître, tant ; chambre de laquais,
 13      I,      4|          qui ne pouvait passer au maître de la Belle-Étoile la façon
 14      I,      4|        devenu obséquieux. Mordi ! maître, maître… comment t’appelles-tu ?~ ~ ~–
 15      I,      4|       obséquieux. Mordi ! maître, maître… comment t’appelles-tu ?~ ~ ~–
 16      I,      4|     comment t’appelles-tu ?~ ~ ~– Maître La Hurière, répondit l’hôte
 17      I,      4|         inclinant.~ ~ ~– Eh bien, maître La Hurière, crois-tu que
 18      I,      4|        Majesté le roi de Navarre, maître La Hurière, dit-il, peut-être
 19      I,      4|      langue m’a fourché.~ ~ ~ ~Et maître La Hurière, tournant le
 20      I,      4|           gentilshommes ? demanda maître La Hurière.~ ~ ~– Ah ! dit
 21      I,      5|             Mais en rentrant chez maître La Hurière, la première
 22      I,      5|           honneur à l’omelette de maître La Hurière.~ ~
 23      I,      6|         Florentin.~ ~ ~– Eh bien, maître René, dit-il, comment vont
 24      I,      6|               Ventre-saint-gris ! maître René, dit Henri, vous avez
 25      I,      6|      recommandé à moi en mourant, maître René. Venez me voir demain
 26      I,      7|           la rose appartiennent à maître Mercandon ; quant à mon
 27      I,      7|           aux gestes redoublés de maître La Hurière. La Hurière vit
 28      I,      7|          y met ! Eh ! dites donc, maître La Hurière ! est-ce que
 29      I,      7|          cette fois la réponse de maître La Hurière fut un geste
 30      I,      7|           un instant sur mon lit. Maître La Hurière ! …~ ~– Monsieur
 31      I,      7|        vais me préparer le signe. Maître La Hurière, donnez-moi des
 32      I,      7|       avec le sire de Maurevel et maître La Hurière.~ ~ ~– Nous aussi.~ ~ ~–
 33      I,      7|          dit d’une voix stridente maître La Hurière travesti en guerre.~ ~ ~ ~
 34      I,      7|           cette troupe ont, comme maître La Hurière, vous et moi,
 35      I,      7|         monta l’escalier derrière maître La Hurière, qu’il eut bientôt
 36      I,      7|          est capable. Dites donc, maître La Hurière, s’il allait
 37      I,      7|          qui devient intéressant, maître La Hurière. Allons, allons !
 38      I,      7|        est toi, misérable ?~ ~ ~ ~Maître La Hurière ne répondit à
 39      I,      7|       Coconnas avait derrière lui maître La Hurière qui rechargeait
 40      I,      7|              Sur ces entrefaites, maître La Hurière s’approcha et
 41      I,      8|          le jeta aux pieds de son maître. Le bruit sourd de la chute,
 42      I,      9|       point avec ces braves gens, maître La Hurière ?~ ~ ~– Et où
 43      I,      9|           comme au bout du compte maître La Hurière, aubergiste de
 44      I,     10|     délicatesse et l’habileté que maître Ambroise Paré eût pu déployer
 45      I,     10|       Suis-je le roi ? suis-je le maître ?~ ~ ~– Mais, Votre Majesté…~ ~ ~–
 46      I,     15|            il trouvera en vous un maître puissant, et vous en lui
 47      I,     15|          ce que désirait La Mole. Maître Ambroise Paré vint comme
 48      I,     15|       chairs en voie de guérison. Maître Ambroise Paré les recouvrit
 49      I,     15|          l’instar de celle de son maître lui avait faite dans une
 50      I,     15|         mesure qu’il s’en rendait maître, des mordi prononcés sur
 51      I,     16|       inviter Pierre Ronsard, son maître en poésie : il eût fait,
 52      I,     16|           reconnaissant en lui un maître en fait d’armes, rompait
 53      I,     16|  inclinant jusqu’à terre, je suis maître Caboche, bourreau de la
 54      I,     17|              XVII~ Le confrère de maître Ambroise Paré~ ~ ~ ~Le tombereau
 55      I,     17|           et l’on envoya chercher maître Ambroise Paré.~ ~ ~ ~Lorsqu’
 56      I,     17|        flamme d’une bougie.~ ~ ~ ~Maître Ambroise Paré ne répondait
 57      I,     17|          on viendra de la part de maître René le parfumeur. Je puis
 58      I,     17|           et lorsque le lendemain maître Ambroise Paré vint visiter
 59      I,     18|      seconde, à l’hôtel de défunt maître La Hurière, où chacun d’
 60      I,     18|   sortiraient que sur un exeat de maître Ambroise Paré.~ ~ ~ ~Or,
 61      I,     18|       quand toutes les drogues de maître Ambroise Paré le tuaient
 62      I,     18|         répondit l’homme, je suis maître Caboche, bourreau de la
 63      I,     18|             Vous voyez bien ! dit maître Caboche.~ ~ ~– Non pas !
 64      I,     18|        aimé votre main seule, dit maître Caboche en secouant la tête,
 65      I,     18| connaissance.~ ~ ~– Monsieur, dit maître Caboche, je ne fais pas
 66      I,     18|          voulant prendre congé de maître Caboche par une dernière
 67      I,     18|     plaisanterie :~ ~ ~– Eh bien, maître ! lui dit-il, je retiens
 68      I,     18|      avoir fait connaissance avec maître Caboche. Il est bon d’avoir
 69      I,     18|               Oh ! pour le pauvre maître La Hurière, dit Coconnas,
 70      I,     18|      Grégoire, faites venir votre maître.~ ~ ~ ~Grégoire passa de
 71      I,     18|    confectionnaient les plats que maître La Hurière, de son vivant,
 72      I,     18|         et Spiritus sancti…~ ~ ~– Maître La Hurière ! s’écrièrent
 73      I,     18|       intentions ?~ ~ ~– Et vous, maître La Hurière, vous êtes donc
 74      I,     18|       mouriez intestat…, continua maître La Hurière.~ ~ ~– Après ?~ ~ ~–
 75      I,     18|          faire un grand effet sur maître La Hurière, qui hasarda
 76      I,     19|                  XIX~ Le logis de maître René, le parfumeur de la
 77      I,     19|          depuis l’installation de maître René sur le pont Saint-Michel,
 78      I,     19|           publiquement acquis que maître René avait  de conserver
 79      I,     19|               Qui va là ? demanda maître René.~ ~ ~– Est-il bien
 80      I,     19|      instant de profond silence : maître René attendait que l’un
 81      I,     19|           encore mal guéri.~ ~ ~– Maître René, dit-il enfin, vous
 82      I,     19|           dit Coconnas stupéfait, maître René, vous êtes un habile
 83      I,     19|        écria La Mole, j’en meurs, maître René. Au même instant on
 84      I,     19|          la rue, si doucement que maître René entendit seul ce bruit,
 85      I,     19|          relevant, vit devant lui maître René ; le Florentin tenait
 86      I,     19|           que les sorcelleries de maître René avaient évoqué le fantôme
 87      I,     19|          ami le comte de la Mole, maître René évoquait votre ombre ;
 88      I,     19|          que je te dis ; et vous, maître René, veillez à ce que personne
 89      I,     19|       vous-même, je demanderais à maître René de m’abîmer dans quelque
 90      I,     21|         où s’étaient passées chez maître René les scènes que nous
 91      I,     21|           Madame, dit-elle, c’est maître René le parfumeur.~ ~ ~ ~
 92      I,     21|             Non pas ! dit Henri ; maître René ne fait rien sans avoir
 93      I,     21|     garderai bien, dit Henri, car maître René sait tout, et maître
 94      I,     21|         maître René sait tout, et maître René sait que je suis ici.~ ~ ~–
 95      I,     21|                  Mais, en vérité, maître René, je ne vous reconnais
 96      I,     23|        est bien le seigneur et le maître de ma vie et de mon cœur.~ ~ ~ ~
 97      I,     24|        Arbre-Sec et d’entrer chez maître La Hurière, car La Mole
 98      I,     24|  Saint-Michel, nous soupions chez maître La Hurière.~ ~ ~– D’abord,
 99      I,     24|    naturel parfait, qu’est-ce que maître La Hurière ?~ ~ ~– Maître
100      I,     24|         maître La Hurière ?~ ~ ~– Maître La Hurière, madame, dit
101      I,     24|           première fois chez lui, maître La Hurière est le maître
102      I,     24|          maître La Hurière est le maître de l’hôtellerie de la Belle
103      I,     24|            Vous soupiez donc chez maître La Hurière, avec votre ami
104      I,     26|           Va-t’en retrouver notre maître et ne te compromets pas.~ ~ ~ ~
105      I,     28|           il a introduit chez son maître un homme couvert de boue
106      I,     29|          impatient encore que son maître, retenu par Catherine, qui
107      I,     29|          convenu entre lui et son maître, qui continua de suivre
108      I,     31|    paraissait aussi ardent que le maître, ses pieds ne touchaient
109      I,     31|         le danger que courait son maître, tendit ses muscles et était
110      I,    Bib|          308 et 304 pp.~ ~ ~ ~40. Maître Adam le Calabrais.~ ~Paris,
111      I,    Bib|           vol. in-8.~ ~ ~ ~42. Le Maître d'armes.~ ~Paris, Dumont,
112     II,      1|       pour Henri. Il changeait de maître, voilà tout ; et au lieu
113     II,      2|        cela, et vous êtes bien le maître.~ ~ ~– Sire, dit Henri,
114     II,      3|           pensant que c’était son maître qui rentrait, alla au-devant
115     II,      3|     répondit Maurevel, où est ton maître ?~ ~ ~– Mon maître ?~ ~ ~–
116     II,      3|        est ton maître ?~ ~ ~– Mon maître ?~ ~ ~– Oui, le roi de Navarre ?~ ~ ~–
117     II,      3|      doute nous allons trouver le maître. Et elle franchit la seconde
118     II,      8|       mode, était allé dîner chez maître La Hurière, et, de retour
119     II,      8|          oublie pas de demander à maître La Hurière de ce petit vin
120     II,     10|          on lui avait répondu que maître Ambroise Paré était près
121     II,     10|     médecin, pour un savant, pour maître Ambroise Paré lui-même,
122     II,     12|        beau vieillard, lorsque le maître des cérémonies, s’approchant
123     II,     13|           que M. d’Alençon est un maître fort maussade et fort quinteux ;
124     II,     13|       point réfugié près de notre maître ? Le duc, qui t’avait défendu,
125     II,     13|           de la cour.~ ~ ~– Notre maître ! dit La Mole à voix basse,
126     II,     13|        sortant d’ici ?~ ~ ~– Chez maître La Hurière. Tu sais, dans
127     II,     13|              Ce fut effectivement maître La Hurière qui, le lendemain
128     II,     13|           respectueuse missive de maître Annibal de Coconnas.~ ~
129     II,     14|        quelque complot contre son maître, il entendit frapper trois
130     II,     14|      devait lui-même donner à son maître dans le cas de danger, quand
131     II,     14|          cas de danger, quand son maître était chez madame de Sauve
132     II,     14|       homme, lequel prévenait son maître, qui alors se défiait, et
133     II,     14|      jeune pour être parfaitement maître de lui-même.~ ~ ~– Madame,
134     II,     14|         qu’un moyen de sauver son maître, c’était d’avaler le billet.
135     II,     14|         Va porter ce billet à ton maître, et annonce-lui qu’à partir
136     II,     14|      seulement tu oublies que ton maître t’attend.~ ~ ~– Ah ! c’est
137     II,     15|        vint heurter à la porte de maître La Hurière. La Mole était
138     II,     15|       pieds engourdis.~ ~ ~– Eh ! maître La Hurière, dit La Mole
139     II,     15|         ne loue pas de chambre de maître sans chambre de laquais,
140     II,     15|            Où vous voudrez.~ ~ ~– Maître, fit La Mole en appelant
141     II,     15|      portion de son dîner, appela maître La Hurière pour qu’il les
142     II,     16|  intelligente sur le genou de son maître, il attendit.~ ~ ~ ~Au bout
143     II,     16|           sa mère avec cet œil de maître qui signifie que l’assassinat
144     II,     17|       répondit François.~ ~ ~ ~Si maître qu’il fût de lui-même, Henri
145     II,     21|    empêché.~ ~ ~– Faites prévenir maître Ambroise Paré, dit Charles
146     II,     21|           qui que ce fût, excepté maître Paré, d’entrer chez le roi,
147     II,     21|   coussins, et, réfléchissant que maître Ambroise Paré pourrait n’
148     II,     21|                J’ai fait prévenir maître Ambroise Paré, Henriot.~ ~ ~–
149     II,     22|         cas, il sentirait que son maître est revenu de la chasse,
150     II,     22|       cabinet une barrette de son maître, et il avait voulu mourir
151     II,     22|       porte de son cabinet.~ ~ ~– Maître René ! cria-t-il, maître
152     II,     22|          Maître René ! cria-t-il, maître René le Florentin ! qu’on
153     II,     22|       plus tôt de retour. Quant à maître Ambroise Paré, s’il vient,
154     II,     22|        lit tout seul.~ ~ ~– Et si maître Ambroise Paré vient ?~ ~ ~–
155     II,     24|       cause de la maladie du roi. Maître Ambroise Paré et Mazille,
156     II,     26|         qu’il avait commis.~ ~ ~– Maître René, dit le juge, reconnaissez-vous
157     II,     26|     dit-il.~ ~ ~– Pardon, pardon, maître René, dit Coconnas, vous
158     II,     26|        dire cet homme, chacun est maître de perdre son âme.~ ~ ~–
159     II,     26|             Ne vous éloignez pas, maître, vous aurez de la besogne
160     II,     27|          les préparatifs. Allons, maître, ajustez les bottines à
161     II,     27|         la grimace.~ ~ ~ ~C’était maître Caboche, le bourreau de
162     II,     27|  opération préliminaire terminée, maître Caboche introduisit l’extrémité
163     II,     27|       est-il entré jusqu’au bout, maître ?~ ~ ~ ~Caboche se baissa
164     II,     27|    monsieur, et j’obéissais à mon maître.~ ~ ~ ~Le greffier se mit
165     II,     27|     litière près du chevalet, dit maître Caboche.~ ~ ~ ~Les deux
166     II,     27|         Les deux valets obéirent. Maître Caboche prit Coconnas dans
167     II,     29|       conduisait le cheval.~ ~ ~– Maître, lui dit-il, rends-nous
168     II,     30|         vous reconnais, vous êtes maître Caboche.~ ~ ~– Bourreau
169     II,     30|       Demain, madame, demain, dit maître Caboche, il sera peut-être
170     II,     30|           à peu près, précédée de maître Caboche et de son valet
171     II,     30|      tournant, et, guidées par le maître hideux du logis, elles se
172     II,     30|              Vous avez bien fait, maître, vous avez bien fait, dit
173     II,     30|      répandre aujourdhui !~ ~ ~– Maître, dit Marguerite avec une
174     II,     30|          regardant autour d’elle, maître, maître, nous faudrait-il
175     II,     30|  regardant autour d’elle, maître, maître, nous faudrait-il encore
176     II,     31|          Presque au même instant, maître Ambroise Paré entra par
177     II,     33|             mais un roi n’est pas maître des événements, et outre
178     II,     34|       Prenez garde, je suis votre maître. Catherine comprit ce regard.~ ~ ~–
179     II,     34|       lumière, je vois Dieu notre maître ; je vois mon Seigneur Jésus,
180     II,     35|          Il venait de reconnaître maître La Hurière.~ ~ ~ ~Comme
181     II,    Bib|          308 et 304 pp.~ ~ ~ ~40. Maître Adam le Calabrais.~ ~Paris,
182     II,    Bib|           vol. in-8.~ ~ ~ ~42. Le Maître d'armes.~ ~Paris, Dumont,
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