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Tome, Chap.
1 I, 1| savez-vous point que vous êtes mon soleil pendant le jour 2 I, 2| malheur à lui !~ ~ ~– Vous êtes fou ! entrez, entrez, vous 3 I, 2| révérence.~ ~ ~– Vous n’êtes pas encore au lit, madame ? 4 I, 2| suis bien à vous et vous êtes bien à moi.~ ~ ~– Mais…, 5 I, 2| votre secours ; car vous êtes aimée, vous, de toutes les 6 I, 2| bonhomie parfaite ; oui, vous êtes aimée du roi Charles ; vous 7 I, 2| aimée du roi Charles ; vous êtes aimée, il appuya sur le 8 I, 2| du duc d’Alençon ; vous êtes aimée de la reine Catherine ; 9 I, 2| Catherine ; enfin, vous êtes aimée du duc de Guise.~ ~ ~– 10 I, 2| c’est vrai ; mais vous êtes une honnête femme.~ ~ ~– 11 I, 2| est caché ici ; que vous êtes une épouse infidèle, mais 12 I, 2| voix basse, merci ! Vous êtes une vraie fille de France. 13 I, 2| Henri est le faible et vous êtes les forts. Je joue toujours 14 I, 3| sur son beau-frère, vous êtes bien matineux, Henriot, 15 I, 3| votre coup, et qu’alors vous êtes passé dans l’armée du duc 16 I, 3| je crois qu’alors vous êtes passé une seconde fois chez 17 I, 3| situation extrême où vous êtes, de gagner la faveur de 18 I, 4| me consulte.~ ~ ~– Vous n’êtes pas décidé, monsieur ? la 19 I, 4| flegme impertinent. Si vous n’êtes qu’un, je ne puis pas vous 20 I, 4| Mordi ! comme vous êtes patient ! murmura Coconnas 21 I, 4| tranquillisez-vous, vous êtes en pays de Cocagne.~ ~ ~ ~ 22 I, 4| avec un malin sourire, vous êtes de ceux de Guise, et vous 23 I, 5| à son tour, puisque vous êtes si obligeant, voudriez-vous 24 I, 5| abordant, j’apprends que vous êtes monsieur de Mouy.~ ~ ~– 25 I, 5| devant elle.~ ~ ~– Vous y êtes, monsieur.~ ~ ~– Comment ! 26 I, 5| Oh ! madame, si vous êtes si instamment attendue, 27 I, 5| Alençon. Je sais que vous êtes attendu.~ ~ ~ ~Et elle glissa 28 I, 5| est comme moi. Quand vous êtes entré, justement, toutes 29 I, 5| C’est bien vous qui êtes le comte de La Mole ? dit-il.~ ~ ~– 30 I, 6| de Guise.~ ~ ~– Ah ! vous êtes là, monsieur ! dit le roi 31 I, 6| mort de ma vie ! que vous êtes plaisant, monsieur de Guise !~ ~ ~ ~ 32 I, 6| Eh bien, puisque vous êtes si fort, mon cousin, pourquoi 33 I, 6| dit ? indiscrète que vous êtes ! murmura-t-elle en serrant 34 I, 7| continuer le jeu, eh bien, vous êtes gentilhomme, et votre parole 35 I, 7| apporter le garçon, vous en êtes donc ?…~ ~– De quoi ?~ ~ ~– 36 I, 7| on voit bien que vous n’êtes pas fatigué comme nous des 37 I, 7| Ah ! pon, ah ! pien… Vous êtes brêt ?~ ~ ~– Oui. Que faut-il 38 I, 7| que, si je le tue, vous êtes quitte.~ ~ ~– Allons, allons ! 39 I, 8| égorger aussi. Ah ! vous êtes la reine… sauvez-moi.~ ~ ~ ~ 40 I, 8| balbutia :~ ~ ~– Oh ! que vous êtes belle ! Et, comme ébloui, 41 I, 8| ils sont douze et vous êtes seul.~ ~ ~– Non pas pour 42 I, 8| travers le lambris, et vous êtes sauvé.~ ~ ~ ~Puis jetant 43 I, 9| qu’il la lorgne. Si vous êtes introduit, vous demanderez 44 I, 10| car, sur mon âme, vous êtes en sûreté. La Mole se laissa 45 I, 10| madame, s’écria-t-il, vous êtes pour moi plus qu’une reine, 46 I, 10| plus qu’une reine, vous êtes une divinité.~ ~ ~– Ne vous 47 I, 10| dites-moi pourquoi vous êtes venue.~ ~ ~– Je suis venue, 48 I, 10| front en même temps, vous êtes content de vous voir près 49 I, 11| récit seulement que vous êtes venu me rendre visite, n’ 50 I, 11| pour époux ?~ ~ ~– Vous êtes injuste, dit vivement le 51 I, 11| parlons franc. Vous en êtes convenu vingt fois, vous 52 I, 11| à dire à cela, vous qui êtes non seulement la plus belle 53 I, 11| de Lorraine ! …~ ~– Vous êtes dans un mauvais jour, Marguerite, 54 I, 11| pensée.~ ~ ~– Ma sœur, vous êtes d’aussi bonne maison que 55 I, 11| moment de silence, vous n’êtes donc pas jaloux de M. le 56 I, 11| duc de Guise comme vous l’êtes du roi de Navarre ?~ ~ ~– 57 I, 11| Catherine en souriant, vous êtes jalouse, je crois !~ ~ ~– 58 I, 12| pauvre reine ! vous n’êtes pas libre, vous ! aussi 59 I, 13| pouvez pas marcher ; vous êtes pâle et sans force, on voit 60 I, 13| continua Marguerite, si vous êtes seul à Paris, sans amis, 61 I, 13| Oh ! madame, vous êtes sans pitié ; vous ne voulez 62 I, 13| consenti.~ ~ ~– Mais vous êtes décidé, cependant.~ ~ ~– 63 I, 13| ne puis le nier, et vous êtes descendue sur le lieu de 64 I, 15| Oui, ma sœur.~ ~ ~– Vous êtes donc pressé ?~ ~ ~– Très 65 I, 16| en éclatant de rire, vous êtes converti, monsieur ! oh ! 66 I, 16| à ce clou…~ ~ ~– Vous n’êtes pas assez grand pour cela, 67 I, 18| La Hurière.~ ~ ~– Vous n’êtes donc pas mort ? fit Coconnas.~ ~ ~– 68 I, 18| Coconnas.~ ~ ~– Mais vous êtes donc vivants ? demanda l’ 69 I, 18| maître La Hurière, vous êtes donc guéri de vos goûts 70 I, 18| avouez que, puisque vous vous êtes trompés, je pouvais bien 71 I, 18| suis sûr.~ ~ ~– Si vous en êtes sûr, monsieur de la Mole, 72 I, 18| mes gentilshommes, vous êtes des cœurs de princes, et 73 I, 19| René, dit-il enfin, vous êtes un habile homme, dites-moi 74 I, 19| véritablement amoureux.~ ~ ~– Vous l’êtes, dit René.~ ~ ~– Comment 75 I, 19| stupéfait, maître René, vous êtes un habile homme. À ton tour, 76 I, 19| monsieur, dit Marguerite, vous êtes homme d’esprit. Je vous 77 I, 21| sourit.~ ~ ~– Et vous n’y êtes pas rentré depuis ?~ ~ ~– 78 I, 21| font que, tout roi que vous êtes, il me prend parfois de 79 I, 21| murmura-t-il ; et vous vous en êtes servie ?~ ~ ~– Non, pas 80 I, 21| allais l’essayer quand vous êtes entré.~ ~ ~ ~La figure de 81 I, 21| ouvrant la boîte d’opiat, vous êtes un homme charmant ; cette 82 I, 21| reconnais plus, dit Henri ; vous êtes d’une galanterie à laisser 83 I, 22| n’oubliez pas que vous êtes déjà engagé avec Dariole, 84 I, 22| René, dit la baronne, vous êtes funèbre ce soir.~ ~ ~ ~Henri 85 I, 23| motif bien puissant que vous êtes venu ainsi vous jeter dans 86 I, 23| ne sais pas de qui vous êtes le chevalier, je saurai 87 I, 23| saurai au moins de qui vous êtes l’écuyer.~ ~ ~– Eh ! mon 88 I, 23| François ! c’est vous qui êtes indiscret.~ ~ ~– Et qu’a-t-elle 89 I, 23| Dites-moi seulement que vous êtes un catholique forcé et je 90 I, 23| consommé, on me dit que vous êtes libre au fond du cœur, on 91 I, 23| Eh bien, de Mouy, vous n’êtes donc pas content du roi 92 I, 23| n’ignore point que vous êtes, avec le roi de Navarre 93 I, 23| Est-ce là ce que vous êtes venu proposer au Béarnais ?~ ~ ~– 94 I, 23| fois, je vous dis que vous êtes avec un ami ; répondez donc 95 I, 23| je dirais que vous n’y êtes pour rien. Sans quoi, Monseigneur, 96 I, 23| me coûterait la vie. Vous êtes donc sauvegardé par mon 97 I, 24| ligne seulement :~ ~ ~« Vous êtes attendu rue Saint-Antoine, 98 I, 24| au Louvre, puisque vous y êtes retourné ? demanda la reine.~ ~ ~– 99 I, 25| monsieur, dit-elle ; vous y êtes aussi bien caché et surtout 100 I, 25| maison même, car vous y êtes sur la foi de ma parole.~ ~ ~ ~ 101 I, 25| mon chapeau.~ ~ ~– Vous êtes fou, monsieur, dit Marguerite, 102 I, 25| amoureux ; un homme ! … Vous êtes modeste, monsieur de la 103 I, 25| Ventre-saint-gris ! vous êtes des enfants ou des fous !~ ~ ~– 104 I, 25| Pauvre conspirateur que vous êtes ! si j’avais dit un mot, 105 I, 25| que je l’ai reçue. Vous n’êtes point catholique, n’est-ce 106 I, 25| et qu’on sache que vous êtes double, n’est-ce pas, de 107 I, 26| Marguerite ; ainsi vous êtes jaloux, mon beau gentilhomme ?~ ~ ~– 108 I, 26| épée s’il savait que vous êtes là, ce soir, à mes genoux, 109 I, 26| dis : Restez là comme vous êtes, La Mole ; car je vous aime, 110 I, 26| pénétrer jusqu’à lui ? Vous êtes à lui, dites-vous ! N’étiez-vous 111 I, 27| plusieurs personnes :~ ~ ~– Vous êtes donc bien jalouse, Marguerite ?~ ~ ~ ~ 112 I, 27| rappelle bien, vous vous êtes plaint en ma présence d’ 113 I, 28| toute princesse que vous êtes… Et, en disant ces mots, 114 I, 30| Que faites-vous quand vous êtes chargé d’un ordre du roi, 115 I, 31| sortir d’une boîte, et vous êtes tellement parfumé que si 116 I, 31| bête et mes chiens, vous êtes capable de leur faire perdre 117 II, 1| continua Henri.~ ~ ~– Vous vous êtes repenti, mon frère ? interrompit 118 II, 1| sans doute de ce que vous êtes persécuté comme moi ; et 119 II, 1| est vacant. Alors, si vous êtes content de moi, François, 120 II, 2| permission pour cela, et vous êtes bien le maître.~ ~ ~– Sire, 121 II, 2| Coconnas.~ ~ ~– Oh ! vous êtes trop curieux, dit la duchesse. 122 II, 3| arrêta.~ ~ ~– Vous vous êtes bien assuré que les sentinelles 123 II, 3| vous dire.~ ~ ~– Et vous êtes prêt ?~ ~ ~– Je le suis.~ ~ ~– 124 II, 4| lui dit-il.~ ~ ~– Vous êtes huit, dit le plus grand 125 II, 5| écria la jeune femme, vous n’êtes pas seul, mon roi.~ ~ ~– 126 II, 6| Béarnais.~ ~ ~– Ah ! vous êtes ici, madame ! dit Charles 127 II, 6| un plan… Est-ce que vous êtes embarrassée pour un plan 128 II, 6| Henri, je sais combien vous êtes attachée à vos amis, et 129 II, 6| monsieur.~ ~ ~– Vous en êtes sûre ?~ ~ ~– J’en réponds.~ ~ ~– 130 II, 7| mari est aveugle. Ah ! vous êtes bien adroits, mes enfants, 131 II, 7| vous apprendre, car vous êtes braves tous deux ; mais 132 II, 7| braves tous deux ; mais vous êtes princes, vous ne pouvez 133 II, 8| Catherine sait que vous êtes mon amant.~ ~ ~– Oh ! madame, 134 II, 8| prendre ; mais à présent vous êtes sauvé.~ ~ ~– Et par vous ! 135 II, 8| de soie.~ ~ ~– Ah ! vous êtes sauvé, s’écria Marguerite.~ ~ ~– 136 II, 9| Je crois que vous n’en êtes pas fourni outre mesure.~ ~ ~– 137 II, 9| murmura Catherine, vous êtes plus pressé encore que je 138 II, 12| signes, voulait dire : Vous êtes découvert, sauvez-vous à 139 II, 13| chercher, vous.~ ~ ~– Vous êtes assommant, mon cher ; mais 140 II, 13| tombant.~ ~ ~– Vous vous êtes battu ?~ ~ ~– Je le crois 141 II, 13| Monsieur, lui ai-je dit, vous êtes un fat de vous permettre 142 II, 13| on voit bien que vous n’êtes qu’un truand. Sur ce, il 143 II, 13| Monsieur de Coconnas, vous êtes un fat.~ ~ ~– Là !~ ~ ~– 144 II, 13| Monsieur de Coconnas, vous êtes un impertinent.~ ~ ~– Là ! 145 II, 13| Monsieur de Coconnas, vous êtes un drôle.~ ~ ~– Madame, 146 II, 13| moments perdus ceux où vous êtes près de moi, alors ?~ ~ ~– 147 II, 13| faire confesser que vous êtes la reine des belles.~ ~ ~– 148 II, 14| Votre Majesté ?~ ~ ~– Vous êtes dans l’antichambre ?~ ~ ~– 149 II, 15| demain ?~ ~ ~– Oh ! oh ! vous êtes bien généreux, mon gentilhomme ! 150 II, 15| Ah ! ah ! dit-il, vous êtes exact, mon jeune ami. Pour 151 II, 15| Rambouillet ; ajoutez que vous êtes prêt, et quand vous verrez 152 II, 16| Sire ?~ ~ ~– C’est que vous êtes à mon service, et que vous 153 II, 16| Monsieur de Mouy, vous êtes libre de retourner vers 154 II, 17| Navarre, puisque vous vous êtes entendu avec Henriot et 155 II, 17| possible, dit le roi, car vous êtes fort discret, mon frère ; 156 II, 17| François ? Peste ! vous êtes difficile… Qu’espériez-vous 157 II, 17| est dangereux ; mais vous êtes brave, François, et ce danger 158 II, 17| telle émotion, que vous, qui êtes l’adresse en personne, que 159 II, 17| Seulement, aveugle que vous êtes si vous ne le voyez pas, 160 II, 18| mourra, madame ! vous en êtes certaine ?~ ~ ~– Le médecin 161 II, 19| janvier ? dit Charles, vous êtes fou ! Non, j’ai des vertiges, 162 II, 19| ah ! dit Charles, vous êtes monté en coureur de daim, 163 II, 22| tout tremblant.~ ~ ~– Vous êtes habile chimiste, n’est-ce 164 II, 22| arsenic, dit-il.~ ~ ~– Vous en êtes sûr ?~ ~ ~– Comme si je 165 II, 22| en l’apercevant vous vous êtes trahi.~ ~ ~– Sire, je vous 166 II, 24| ont-ils fait depuis que vous êtes malade ?~ ~ ~– Rien, c’est 167 II, 24| contraire de vous, qui vous en êtes occupée toute votre vie, 168 II, 24| Alors, si vous en êtes sûr, mon frère, dit Marguerite 169 II, 26| insolence.~ ~ ~– Si vous êtes en effet son serviteur, 170 II, 27| Monsieur, dit Caboche, vous êtes le seul gentilhomme qui 171 II, 30| sur le seuil.~ ~ ~– Vous êtes… ? dit la reine.~ ~ ~– Celui 172 II, 30| je vous reconnais, vous êtes maître Caboche.~ ~ ~– Bourreau 173 II, 31| dissimulation habituelle, si vous êtes, comme vous le dites, si 174 II, 31| titre de mère.~ ~ ~– Vous n’êtes pas plus ma mère, madame, 175 II, 32| acceptez la régence, vous êtes mort.~ ~ ~« Le roi vit », 176 II, 35| nommé ; on sait que vous êtes à Paris, les archers vous