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Tome, Chap.
1 I, 1| flamboyants et à gronder de sa voix menaçante : cet observateur 2 I, 1| les huguenots, c’était la voix de leur orgueil.~ ~ ~ ~Ces 3 I, 1| jamais peut paraître aigre la voix de la femme qui nous aime 4 I, 1| Charlotte en baissant la voix et les yeux. Je ne comprends 5 I, 2| Gillonne ? demanda le duc à voix basse.~ ~ ~– Oui, Monseigneur, 6 I, 2| Monseigneur, répondit une voix de femme d’un accent plus 7 I, 2| reine ? demanda-t-elle à voix basse.~ ~ ~– Oui, répondit 8 I, 2| milieu de l’obscurité une voix qui fit tressaillir le duc, 9 I, 2| Henri, dit Marguerite d’une voix brève et en saisissant la 10 I, 2| cas, madame, dit-il d’une voix parfaitement calme, causons 11 I, 2| mieux. Puis, haussant la voix :~ ~ ~– Eh bien, continua-t-il, 12 I, 2| Marguerite, dit vivement Henri à voix basse, merci ! Vous êtes 13 I, 2| mélancolie ; puis, lorsque la voix de l’écolier se fut perdue 14 I, 3| soudain de ton grand roi la voix,~ ~Mais, pour ton souvenir, 15 I, 3| tête en souriant, à cette voix familière ; puis, se levant :~ ~ ~– 16 I, 5| demanda-t-elle au jeune homme d’une voix qui bruit à ses oreilles 17 I, 6| il m’a répondu avec cette voix que vous lui connaissez 18 I, 6| Catherine avec un tremblement de voix si bien joué qu’il fit tressaillir 19 I, 6| laissant percer dans sa voix un premier accent de doute, 20 I, 6| Ah ! Puis il ajouta d’une voix à peine intelligible :~ ~ ~– 21 I, 7| mes couteaux, dit d’une voix stridente maître La Hurière 22 I, 8| holà ! cria le duc de sa voix puissante, n’est-ce donc 23 I, 8| écrièrent ensemble vingt voix qui ensemble se turent aussitôt.~ ~ ~– 24 I, 8| dit au sacrilège d’une voix sépulcrale :~ ~ ~– Henri 25 I, 8| religion, reprit Henri d’une voix sourde. Et maintenant, continua-t-il 26 I, 8| semblaient poussés par une voix de femme se firent entendre ; 27 I, 8| Qui est là ?murmura une voix de femme.~ ~ ~– Oh ! mon 28 I, 8| Qui vous ? reprit la voix. La Mole se rappela le mot 29 I, 8| Mourir par une si belle voix, mourir par une si belle 30 I, 8| madame ! murmura-t-il d’une voix mourante, sauvez-moi !~ ~ ~ ~ 31 I, 8| est moi, moi ! cria une voix de femme. Moi, la duchesse 32 I, 9| allez pas sans moi, dit une voix qui fit tressaillir Maurevel ; 33 I, 9| dit l’aubergiste de sa voix câline, est-ce vous ?~ ~ ~– 34 I, 9| reprit en grondant la voix du jeune homme, voyons un 35 I, 9| écrièrent-ils tout d’une voix. Coconnas se trouvait au 36 I, 9| accompagnaient, et qui à sa voix s’élancèrent contre la muraille.~ ~ ~– 37 I, 9| poitrine ! à moi, à moi ! Et sa voix commença de se perdre dans 38 I, 10| Marguerite de ce ton de voix qui indique l’importance 39 I, 10| continua la reine avec une voix et un sourire d’une douceur 40 I, 10| étonnée, mais aussi d’une voix plus impérative. Charlotte 41 I, 10| calviniste que chantait une voix tremblante dans la pièce 42 I, 10| harmonie des trompettes et la voix sourde et vibrante des tambours… 43 I, 10| bien, dit tout à coup une voix derrière les princes, est-ce 44 I, 10| pas ! s’écria une autre voix haletante et passionnée 45 I, 11| dit le duc d’Alençon d’une voix sourde ; et si j’ai eu à 46 I, 11| Sire, dit-elle à voix basse, en venant s’agenouiller 47 I, 12| Télamon ; j’entends une voix, une voix de stentor. Je 48 I, 12| j’entends une voix, une voix de stentor. Je m’enthousiasme, 49 I, 12| Cyrus, j’ai retrouvé la voix, j’ai crié : À l’aide, au 50 I, 13| derniers mots, au trouble de sa voix, à l’embarras de sa contenance, 51 I, 13| avait cependant prononcés à voix si basse qu’elle espérait 52 I, 13| s’écria Marguerite d’une voix sourde, et saisissant le 53 I, 13| de chez elle, murmura une voix saccadée par la terreur 54 I, 13| de Henri, elle lui dit à voix basse quelques mots que 55 I, 14| Catherine en haussant la voix, venez, venez avec moi, 56 I, 15| sans que l’accent de sa voix indiquât aucune altération ; 57 I, 15| répondit Charlotte d’une voix qu’elle tentait inutilement 58 I, 15| métallique accent de la voix de Catherine.~ ~ ~ ~Cependant, 59 I, 15| ajouta-t-elle en baissant la voix de manière que le duc d’ 60 I, 16| gentilshommes catholiques tout d’une voix, tandis que les huguenots 61 I, 17| toujours menaçant, puis une voix répétait à son oreille : 62 I, 19| dire nos noms ? demanda une voix.~ ~ ~– C’est indispensable, 63 I, 19| de Coconnas, dit la même voix qui avait déjà parlé.~ ~ ~– 64 I, 19| de la Mole, dit une autre voix qui, pour la première fois, 65 I, 19| gentilhomme, dit René de sa voix grave et en posant sa main 66 I, 19| balbutia La Mole dont la voix se rassura peu à peu, je 67 I, 19| perçut quelques éclats de voix qui parurent le fixer.~ ~ ~– 68 I, 19| Artaxerce, il s’écria d’une voix à laquelle le sifflement 69 I, 19| appeler d’un signe ; à votre voix vibrante et harmonieuse 70 I, 21| et que, quand ces deux voix vous parlent, vous n’entendez 71 I, 22| dans ses traits ni dans sa voix.~ ~ ~– Sire, Votre Majesté 72 I, 23| surtout à l’accent de la voix qui venait de l’émettre, 73 I, 23| Sire, répondit une voix que Henri reconnut pour 74 I, 23| monsieur de Mouy ! dit une voix qui se glissait par l’ouverture 75 I, 23| Pardieu, répondit une voix du dehors, je trouve la 76 I, 24| approchant de lui, et que des voix brutales lui ordonnèrent 77 I, 24| Monsieur de la Mole ! dit une voix pleine de douceur qui sortait 78 I, 24| j’ai pourtant une bonne voix. Comment se fait-il donc 79 I, 24| bonnes jambes que bonne voix, et je vais le rejoindre.~ ~ ~ ~ 80 I, 24| après quelques paroles à voix basse, il vit le manteau 81 I, 25| Voyons, dit le roi à voix basse et comme si, malgré 82 I, 28| Marguerite en baissant la voix, que ce billet lui servira 83 I, 31| course des chasseurs, les voix des chiens s’étaient éteintes 84 II, 2| dans les ténèbres, avec une voix qui commençait à prendre 85 II, 2| Me voici, Sire, dit la voix du roi de Navarre.~ ~ ~– 86 II, 2| Eh bien, dit une voix dans les ténèbres, où en 87 II, 3| formel ; mais ses yeux et sa voix fonctionnaient seuls. Sa 88 II, 3| émotion et l’étiquette que sa voix cessa d’être intelligible ; 89 II, 3| Alarme ! alarme ! alarme ! Sa voix expira, il était évanoui. 90 II, 3| dit Maurevel. À cette voix, un cri rauque qui ressemblait 91 II, 3| scélérat, dit de Mouy d’une voix sourde, tu viens pour me 92 II, 4| qu’on parle ? demanda une voix qui fit tressaillir Charles 93 II, 4| Ou plutôt on a reconnu la voix de mon frère et l’on détale, 94 II, 5| Charles avec étonnement. Sa voix, son visage avaient pris 95 II, 6| au fond de son cœur une voix lui dît que le véritable 96 II, 6| veux ! La nourrice, à cette voix plus respectée et surtout 97 II, 6| femme, et une charmante voix dont le timbre lui était 98 II, 6| Si fait, dit le duc d’une voix sourde ; aussi je voudrais 99 II, 7| mère, dit Marguerite d’une voix mal assurée.~ ~ ~– Voyons, 100 II, 8| comme un chuchotement de voix basses auxquelles le soin 101 II, 10| redressa, et tout à coup, d’une voix étouffée par l’accès dont 102 II, 10| au hasard, et lut, d’une voix dont, malgré toute sa force, 103 II, 10| du brasier et lui parla à voix basse. Pendant ce temps 104 II, 10| déguisant le timbre de sa voix, merci ; prends cette bourse.~ ~ ~– 105 II, 11| Coconnas parlait d’un ton de voix si bref, ses yeux flamboyaient 106 II, 11| de son côté, comme si une voix secrète lui eût appris le 107 II, 11| amant le souvenir de la voix aimée. C’était quelquefois 108 II, 11| lettre, qu’elle entendit la voix de Henri de Navarre qui, 109 II, 12| distance, et échangeant à voix basse quelques mots rapides 110 II, 12| la même langue, et d’une voix dont il cherchait en vain 111 II, 13| répondu, dit soudain une voix étrangère. Et une tapisserie 112 II, 13| Notre maître ! dit La Mole à voix basse, le duc d’Alençon ?~ ~ ~– 113 II, 13| Coconnas le lut à haute voix à La Mole qui haussa les 114 II, 14| Nancey, holà !~ ~ ~ ~La voix vibrante de la reine mère 115 II, 17| demanda d’Alençon d’une voix tremblante.~ ~ ~– Eh bien, 116 II, 17| immobile et muet. Puis d’une voix empreinte de haineuse fermeté :~ ~ ~– 117 II, 19| Puis haussant la voix :~ ~ ~– Qu’on appelle le 118 II, 19| et lui donna ses ordres à voix basse.~ ~ ~ ~Pendant ce 119 II, 19| et avec une intonation de voix presque menaçante.~ ~ ~ ~ 120 II, 19| étaient ses conférences à voix basse avec Marguerite. Henri 121 II, 19| bottes, qui, maintenant de la voix une demi-douzaine de chiens 122 II, 19| haw ! crièrent toutes les voix pour encourager l’oiseau.~ ~ ~ ~ 123 II, 20| cria La Mole. Mais la voix du jeune homme se perdit 124 II, 20| le pied à l’étrier, une voix impérieuse se fit entendre.~ ~ ~– 125 II, 20| Halte-là ! rendez-vous, dit la voix. En même temps une figure 126 II, 21| le roi avec une dureté de voix qui émut Marguerite.~ ~ ~– 127 II, 21| Oui ! oui ! crièrent vingt voix ; vive le duc d’Alençon ! 128 II, 21| de courte durée. Aucune voix ne répondit.~ ~ ~– M. de 129 II, 21| roi tressaillit à cette voix, et fit le mouvement machinal 130 II, 22| Comment, dit Charles d’une voix rauque, vous ne connaissez 131 II, 22| Sire ? demanda René d’une voix épouvantée.~ ~ ~– Rien, 132 II, 23| croyait avoir reconnu la voix, fit quelques pas et reconnut 133 II, 23| porte que l’on entendit une voix joyeuse qui s’écriait :~ ~ ~– 134 II, 24| Marguerite en baissant la voix, je vous ai déjà dit qu’ 135 II, 24| bien… (Marguerite baissa la voix comme épouvantée elle même 136 II, 26| dit La Mole avec cette voix frémissante qui passe comme 137 II, 26| hallebardiers, monsieur, dit une voix grasseyante qui fit connaître 138 II, 26| hallebardiers, répéta la même voix grasseyante sur le même 139 II, 26| aperçut l’homme noir dont la voix lui avait été si désagréable. 140 II, 26| monsieur, répondit René d’une voix qui trahissait son émotion.~ ~ ~– 141 II, 26| répéta René, mais d’une voix si faible qu’à peine le 142 II, 27| expression de la douleur dans la voix humaine, mais encore il 143 II, 27| crut reconnaître dans cette voix celle de La Mole.~ ~ ~ ~ 144 II, 27| de La Mole.~ ~ ~ ~À cette voix, le Piémontais oublia qu’ 145 II, 27| monsieur, lui dit la même voix grasseyante qui lui avait 146 II, 27| par lettre, tantôt de vive voix, avait particulièrement 147 II, 27| Marc-Annibal Coconnas, dit une voix qui fit relever la tête 148 II, 27| genoux sur la dalle.~ ~ ~ ~La voix continua :~ ~ ~« Arrêt rendu 149 II, 27| dit le juge de sa même voix calme.~ ~ ~– Rien, pas un 150 II, 28| Coconnas, alanguissant sa voix, portez-moi près de mon 151 II, 29| gonfla sa poitrine, et à voix basse :~ ~ ~– Adieu, murmura-t-il ; 152 II, 29| coup, n’est-ce pas ? dit à voix basse le Piémontais.~ ~ ~– 153 II, 29| cris, et dans toutes ces voix de femmes il sembla à Coconnas 154 II, 30| intonation dont on eût cru cette voix incapable :~ ~ ~– Margot ! 155 II, 31| de larmes et criant d’une voix désespérée :~ ~ ~– Secours 156 II, 31| poursuivant sa mère de la voix ; mon frère Henri à qui 157 II, 33| beau-frère avec une douceur de voix que Henri n’avait jamais 158 II, 33| l’État, continua-t-il à voix basse et en s’inclinant 159 II, 33| prononça ces paroles à voix basse, et cependant Henri 160 II, 34| avaient suivi, prononcés d’une voix moins distincte, s’étaient 161 II, 34| pâlie parut derrière, et une voix vibra au milieu du silence 162 II, 34| Vivez, dit cette voix.~ ~ ~– René ! s’écria Henri.~ ~ ~– 163 II, 34| couché et toujours sans voix et sans mouvement le corps 164 II, 34| Nourrice ! cria le roi d’une voix plus forte, nourrice ! La 165 II, 34| pour aller au-devant de la voix qui l’appelait, Charles, 166 II, 34| Henri III !~ ~ ~ ~Toutes les voix répétèrent ce cri, excepté