Tome,  Chap.

  1      I,      1|        Bourbon, qui avait amené son fils Henri aux royales fiançailles
  2      I,      1|        reine, sur la demande de son fils, deux médecins, desquels
  3      I,      1|            la mènerai épouser votre fils en plein prêche.~ ~ ~ ~Ces
  4      I,      1|   Rochefoucault, le prince de Condé fils, Téligny, enfin tous les
  5      I,      3|            Béarnais.~ ~ ~– Oui, mon fils, et particulièrement de
  6      I,      3|                 Ah ! c’est toi, mon fils ! dit-elle.~ ~ ~– Oui, nourrice,
  7      I,      3|            vous accueillit comme un fils, vous logea, vous habilla,
  8      I,      3|         liait au jeune de Mouy, son fils ?~ ~ ~ ~Maurevel, toujours
  9      I,      5|             tué le père de Mouy, le fils fera d’une pierre deux coups.~ ~ ~–
 10      I,      6|           Et que vous a répondu mon fils ? demanda Catherine.~ ~ ~–
 11      I,      6|       portions pareilles.~ ~ ~– Mon fils ! dit Catherine avec un
 12      I,      6|           vivement.~ ~ ~– J’ai, mon fils, répondit Catherine, que
 13      I,      6|               soyez tranquille, mon fils, dit Catherine, la justice
 14      I,      6|             croyez ?~ ~ ~– Eh ! mon fils, reprit Catherine, s’abandonnant
 15      I,      6|    simplement de la substitution du fils d’Antoine de Bourbon au
 16      I,      6|             d’Antoine de Bourbon au fils de Henri II ?~ ~ ~– Allons,
 17      I,      6|            est donc votre avis, mon fils ?~ ~ ~– D’attendre, ma mère !
 18      I,      6|            lui.~ ~ ~– Vous ici, mon fils ! dit Catherine en tressaillant,
 19      I,      6|     peut-être voir M. l’amiral, mon fils ? dit Catherine.~ ~ ~– Oui,
 20      I,      6|  pouvez-vous retirer chez vous. Mon fils, dit-elle, vous pouvez aller
 21      I,      6|             Margot ?~ ~ ~– Non, mon fils, dit Catherine, c’est madame
 22      I,      8|          arquebuse.~ ~ ~– Mordi, un fils de France ! grommela Coconnas
 23      I,      8|          Assassinerez-vous ainsi un fils de France ? voyons ! Puis,
 24      I,      9|          sera avec quelqu’un de ses fils ou de ses neveux.~ ~ ~ ~
 25      I,      9|             Mercandon, suivi de son fils et de ses deux neveux, fondit
 26      I,      9|    huguenots.~ ~ ~ ~En ce moment le fils du vieux Mercandon tira
 27      I,      9|           plus que Mercandon et son fils : Mercandon, vieillard de
 28      I,      9|            à soixante-dix ans ; son fils, enfant de seize à dix-huit
 29      I,      9|            enfant !~ ~ ~– C’est mon fils ! c’est mon fils ! cria
 30      I,      9|            est mon fils ! c’est mon fils ! cria la mère, l’espoir
 31      I,      9|           dessus de la tête de leur fils.~ ~ ~– Mon fils, mon Olivier,
 32      I,      9|             de leur fils.~ ~ ~– Mon fils, mon Olivier, hurla la mère,
 33      I,      9|            fit Coconnas, et que ton fils récite mot à mot la prière
 34      I,     10|            tour de l’oreille de son fils, oui… mais s’il ne l’était
 35      I,     11|      catholiques.~ ~ ~– Et c’est le fils de Henri II qui reconnaît
 36      I,     14|             faisant appeler par son fils.~ ~ ~ ~Marguerite baissa
 37      I,     15|             de n’être que troisième fils de France.~ ~ ~ ~Elle mit
 38      I,     15|         serait bien volontiers, mon fils, dit Catherine, si je n’
 39      I,     15|        fronça le sourcil.~ ~ ~– Mon fils, dit-elle, défiez-vous surtout
 40      I,     15|        comme elle l’avait dit à son fils. Un instant après qu’il
 41      I,     15|        Nostradamus, qui dit que mes fils régneront tous trois ?…
 42      I,     16|      curiosité, peut-être, était ce fils sans mère, ce roi sans royaume,
 43      I,     16|            eu des deux neveux et du fils de Mercandon.~ ~ ~– Oh !
 44      I,     20|          surface de la terre. Trois fils, cependant, trois fils ! …
 45      I,     20|        Trois fils, cependant, trois fils ! … murmura-t-elle tristement.~ ~ ~ ~
 46      I,     20|           qui succédera à nos trois fils, celui qu’on appellera un
 47      I,     20|             et qui cependant est le fils de Jeanne d’Albret.~ ~ ~ ~
 48      I,     22|        comte de Clermont, cinquième fils de saint Louis, Votre Majesté
 49      I,     22|            prince de Porcian, ou le fils du prince de Condé, et qu’
 50      I,     23|          frère du roi Charles et le fils de la reine Catherine.~ ~ ~–
 51      I,     23|             de Mouy, moi, troisième fils de Henri II, moi, fils de
 52      I,     23|    troisième fils de Henri II, moi, fils de France, suis-je assez
 53      I,     23|            nom. François d’Alençon, fils de France, sauvegarde tous
 54      I,     23|           et si difficile envers un fils de roi et un frère de roi
 55      I,     23|          besoin que cette main d’un fils de France touche la mienne
 56      I,     25|            moindre soupçon. Mais un fils de France, c’est autre chose ;
 57      I,     27|       capitaine des gardes, que mon fils Henri est plus pâle ce matin
 58      I,     27|           voir si bien portant, mon fils, que j’avais entendu dire
 59      I,     28|            mais que ton frère, tout fils de France qu’il est, prenne
 60      I,     29|           laisser passer.~ ~ ~– Mon fils, dit-elle, nous avons la
 61      I,     29|     contrarier.~ ~ ~– Eh ! mon cher fils, je ne dis pas ce matin.
 62      I,     30|           ébranlés. Puis, quand mon fils reviendra de la chasse,
 63      I,    Bib|          sous le titre suivant : Le Fils du Forçat~ ~ ~ ~176. Docteur
 64     II,      1|           la quitter protégé par un fils de France.~ ~ ~ ~Henri,
 65     II,      1|             Mouy de Saint-Phale, le fils du brave de Mouy assassiné
 66     II,      1|            place, à vous, François, fils de France, héritier probable
 67     II,      1|      persécuté, un pauvre troisième fils de roi, esclave de deux
 68     II,      1|     Catherine libre de parler à son fils.~ ~ ~ ~La reine mère alors
 69     II,      1|           furent calmés :~ ~ ~– Mon fils, dit Catherine, je me sens
 70     II,      6|             qui veillait.~ ~ ~– Mon fils ? dit la reine.~ ~ ~– Madame,
 71     II,      6|             faut que je parle à mon fils.~ ~ ~– Madame, je n’ouvrirai
 72     II,      6|             ouvrait la porte de son fils, et sous sa rapide pression
 73     II,      6|             sourcil.~ ~ ~– Oui, mon fils, dit Catherine. J’ai à vous
 74     II,      6|             avec vous ; je suis bon fils. Et puis, ajouta-t-il tout
 75     II,      6|         attendez-moi chez vous, mon fils, et je vais voir si mes
 76     II,      7|            la joyeuse humeur de son fils.~ ~ ~– M. de La Mole, disait
 77     II,      7|     Appelez-les si vous voulez, mon fils, vous ne saurez rien. Henri
 78     II,      7|         respirer les coupables, mon fils, si vous laissez croire
 79     II,      7|            avait à faire.~ ~ ~– Mon fils, dit Catherine, vous recevez
 80     II,      7|           vous le faites.~ ~ ~– Mon fils, dit Catherine en serrant
 81     II,      7|             des appartements de son fils, qu’elle trouva en conférence
 82     II,      7|              vous aviez raison, mon fils, dit Catherine à Charles ;
 83     II,      7|           parler chacun de ses deux fils. Vous avez raison, car une
 84     II,      7|         porter plaignant.~ ~ ~– Mon fils, dit Catherine en posant
 85     II,      8|             et Guise : un roi, deux fils de France et un prince souverain
 86     II,      9|            chacun sait, il était le fils bien-aimé.~ ~ ~ ~C’était
 87     II,      9|            devoir bien doux pour ce fils qui, s’il n’aimait pas sa
 88     II,      9|             préférait réellement ce fils, soit pour sa bravoure,
 89     II,      9|             depuis le départ de son fils bien-aimé embrassé avec
 90     II,      9|             Expliquez-moi cela, mon fils, dit Catherine.~ ~ ~– Eh !
 91     II,      9|            veux pas partir. Moi, un fils de France, élevé dans le
 92     II,      9|      pressant les deux mains de son fils, voyons, est-ce là la véritable
 93     II,      9|          horoscope peut mentir, mon fils. Moi-même, j’en suis à espérer
 94     II,      9|         élection ?~ ~ ~– Folie, mon fils, folie… ce qu’une diète
 95     II,      9|     faudrait pas, ce me semble, mon fils, que les Polonais nous vissent
 96     II,      9|           que je ne le croyais, mon fils.~ ~ ~– Honneur pour honneur,
 97     II,      9|        Assurément.~ ~ ~– Et voir un fils de France sur le trône de
 98     II,      9|            vous voulez éloigner mon fils ?~ ~ ~– Votre fils… et que
 99     II,      9|     éloigner mon fils ?~ ~ ~– Votre fils… et que suis-je donc moi ?
100     II,      9|           que suis-je donc moi ? un fils de louve comme Romulus !
101     II,      9|            allumé par places. Votre fils ! vous avez raison, le roi
102     II,      9|           de France n’est pas votre fils lui, le roi de France n’
103     II,      9|           paroles : j’ai appelé mon fils celui qui allait me quitter.
104     II,      9|            aller joindre son second fils, qui attendait avec anxiété
105     II,     10|            Catherine passa chez son fils. À minuit elle avait fait
106     II,     10|      médecin n’avait pas saigné son fils comme il lui avait fait
107     II,     10|           Eh bien, annoncez à votre fils bien-aimé, à votre Henri
108     II,     10|            d’avance que c’était son fils qui l’attendait là, elle-même
109     II,     10|               Catherine regarda son fils, et, toute mère qu’elle
110     II,     10|         Anjou. Catherine emmena son fils loin de la lueur du brasier
111     II,     10|             donnant à dessein à son fils un titre qui devait dérouter
112     II,     10|             font en huit jours, mon fils.~ ~ ~– Oui ; mais sait-on
113     II,     12|         était semblable à Antée, ce fils de la Terre, qui perdait
114     II,     12|      obstacles.~ ~ ~ ~En voyant son fils bien-aimé pâle sous sa couronne,
115     II,     12|             dans l’exil !~ ~ ~– Mon fils, lui dit Catherine, oubliez-vous
116     II,     12|               Soyez tranquille, mon fils, dit Catherine ; jusqu’au
117     II,     14|        résolution, elle entoura son fils avec la patience et le talent
118     II,     16| Allez-vous-en en Pologne avec votre fils Henri, si vous voulez régner ;
119     II,     16|          jouer ce jeu-là.~ ~ ~– Mon fils, dit Catherine, c’est la
120     II,     16|             Mouy, d’apprendre à mon fils quel est l’homme qui se
121     II,     16|          sortis de la bouche de son fils, et qui ressemblaient à
122     II,     17|       trouvera une femme digne d’un fils de France. Qui sait ! qui
123     II,     17|             aimez fort Henriot, mon fils, à ce qu’il paraît ?~ ~ ~–
124     II,     17|   magnifiques de la chrétienté, mon fils.~ ~ ~– Ah ! ma mère, dit
125     II,     17|          bonne mère doit dire à son fils, ce à quoi vous avez plus
126     II,     17|             que sous ce rapport son fils François en sût autant et
127     II,     18|             vous l’ai déjà dit, mon fils, c’est un travail sur l’
128     II,     18|       Alençon.~ ~ ~– Justement, mon fils, vous comprenez.~ ~ ~– Oh !
129     II,     24|      sensations, car la mère et son fils se fuyaient plutôt qu’ils
130     II,     24|             au chevet du lit de son fils, sans remarquer le regard
131     II,     24|                   Eh bien, mon cher fils, dit Catherine, comment
132     II,     24|          vous font-ils prendre, mon fils ?~ ~ ~– Oh ! madame, qui
133     II,     24|            lit et allongea vers son fils une main froide comme son
134     II,     24|          lui dit-il.~ ~ ~– Oui, mon fils, répondit Catherine, j’ai
135     II,     24|                   Eh bien, moi, mon fils, voulez-vous que je vous
136     II,     24|                   Eh bien, moi, mon fils, dit Catherine, comme il
137     II,     24|                    Écoutez-moi, mon fils, dit Catherine. Avez-vous
138     II,     24|           Expliquez-vous.~ ~ ~– Mon fils, demanda la Florentine,
139     II,     24|            de complices, et que les fils mystérieux de cette conspiration
140     II,     24|                  Cherchez bien, mon fils, dit Catherine, rappelez-vous
141     II,     24|             plissée.~ ~ ~– Oui, mon fils : vous en doutez peut-être,
142     II,     24|                   Par la magie, mon fils.~ ~ ~– Expliquez-vous, madame,
143     II,     24|      Catherine serra la main de son fils sans comprendre le tressaillement
144     II,     27|           si compromettants pour un fils de France.~ ~ ~– Eh bien,
145     II,     29|         main au bourreau.~ ~ ~– Mon fils, dit le prêtre à Coconnas,
146     II,     31|           dans l’appartement de son fils.~ ~ ~ ~Charles était renversé
147     II,     31|             paix.~ ~ ~– Mourir, mon fils, dit Catherine, pour une
148     II,     31|        Médicis veut causer avec son fils bien-aimé Charles IX.~ ~ ~ ~
149     II,     31|         Catherine, par ordre de mon fils, quand M. de Nancey viendra,
150     II,     31|             terrible volonté de son fils, tant la haine qu’elle portait
151     II,     31|            répudiez notre sang ; un fils de France doit seul s’agenouiller
152     II,     31|             Catherine regardant son fils d’un œil dilaté par l’étonnement.~ ~ ~–
153     II,     34|            à sa mère, si j’avais un fils, vous seriez régente, ou,
154     II,     34|      François ; mais je n’ai pas de fils, et après moi le trône appartient
155     II,     34|            à choisir entre vos deux fils, ce qui serait pénible pour
156     II,     34|     poussière et d’écume.~ ~ ~– Mon fils ! s’écria Catherine en étendant
157     II,     35|         régente depuis que son cher fils Henri était roi, y faisait
158     II,    Bib|          sous le titre suivant : Le Fils du Forçat~ ~ ~ ~176. Docteur
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