Tome,  Chap.

  1      I,      1|          relâche, ayant promis à Dieu d’être son ange exterminateur
  2      I,      1|  appartient malheureusement qu’à Dieu, l’observateur privilégié
  3      I,      1|         en fais pas un reproche, Dieu m’en garde ! elle est assez
  4      I,      1|         de Sauve.~ ~ ~– Oh ! par Dieu ! baronne, il n’est point
  5      I,      2|         hui juré alliance devant Dieu. N’est-ce pas votre avis ?~ ~ ~–
  6      I,      2|       est vivre selon le cœur de Dieu.~ ~ ~– Mais enfin, reprit
  7      I,      3|    Français en France, je crois, Dieu me pardonne ! que moi, mon
  8      I,      3|          parlerons des choses de Dieu, seule compensation qu’il
  9      I,      3|         place, ce qui n’est pas, Dieu merci ! …~ ~– Eh bien, Sire !
 10      I,      3|           Sire. Maintenant priez Dieu pour moi.~ ~ ~– Eh ! mille
 11      I,      4|          ce rire commencé par un Dieu vous garde ! des plus gracieux,
 12      I,      5|            Oui, madame. Oh ! mon Dieu ! aurais-je le bonheur que
 13      I,      5|        La Mole s’approcha.~ ~ ~– Dieu me pardonne ! murmura-t-il
 14      I,      6|        est sous la protection du Dieu qui lui donna la force,
 15      I,      6|      mais moi, pauvre femme, que Dieu abandonne sans doute à cause
 16      I,      7|          tarder à en avoir une ! Dieu merci ! on n’est point taillé
 17      I,      7|         contre nous ?~ ~ ~– Oh ! Dieu merci, non ; cela m’est
 18      I,      7|     votre garde ?~ ~ ~– Eh ! mon Dieu, oui, monsieur le comte ;
 19      I,      7|       dépend le sort du royaume. Dieu a voulu que votre bouche
 20      I,      7|          Autrefois on laissait à Dieu le soin de distinguer les
 21      I,      7|        il s’agit de la gloire de Dieu et du roi, mieux vaut les
 22      I,      8|       tour, mon gentilhomme, et, Dieu merci ! c’est aujourdhui
 23      I,      8|         de femme.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! mon Dieu ! murmura La
 24      I,      8|              Oh ! mon Dieu ! mon Dieu ! murmura La Mole, ils viennent…
 25      I,      8|         les yeux.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! murmura-t-il, où suis-je ?~ ~ ~–
 26      I,      8|          dernier.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, mon Dieu ! dit-elle, ayez
 27      I,      8|               Oh ! mon Dieu, mon Dieu ! dit-elle, ayez pitié de
 28      I,      9|        vont-ils ?~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! rue Montorgueil ; il y
 29      I,      9|         Maurevel.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, oui !~ ~ ~– Je lui ai envoyé
 30      I,     10|         les sentir ; ah ! plût à Dieu qu’il y fût !~ ~ ~– Et pourquoi
 31      I,     10|   pourquoi cela ?~ ~ ~– Eh ! mon Dieu ! madame, parce qu’on égorge
 32      I,     10|       libre à Marguerite, et que Dieu conduise Votre Majesté.~ ~ ~ ~
 33      I,     10|         subite ; elle est là ! … Dieu des chrétiens, aide-moi !~ ~ ~ ~
 34      I,     11|         de ce miracle, faisaient Dieu leur complice, allaient
 35      I,     12|          honneur.~ ~ ~– Ah ! mon Dieu ! s’écria Marguerite en
 36      I,     12|         triple nom de ton triple dieu : Éros-Cupido-Amor. Et les
 37      I,     13|       main, et j’ai fait vœu, si Dieu me conservait la vie, d’
 38      I,     13|          la religion de ma mère. Dieu a fait plus que de me conserver
 39      I,     14|       religion de ma mère, à qui Dieu avait permis de sortir de
 40      I,     14|     pendant cette horrible nuit. Dieu m’a conduit ici, Sire. Je
 41      I,     14|     rapportons-nous-en au triple dieu de cette folle Henriette.~ ~ ~ ~
 42      I,     15|            XV~ Ce que femme veut Dieu le veut~ ~ ~ ~Marguerite
 43      I,     15|        Catherine.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, oui ! Vous avez eu comme
 44      I,     16|  Marguerite, il va nous écraser. Dieu me pardonne ! Mais faites
 45      I,     16|          retourna furieux.~ ~ ~– Dieu ! dit Marguerite en se penchant
 46      I,     18|          chôme fort. N’importe ! Dieu vous bénisse, mon gentilhomme.~ ~ ~–
 47      I,     21|    madame de Sauve, je crois que Dieu lui-même ne sait pas ce
 48      I,     21|          que vous en disiez. Mon Dieu ! que de choses, que de
 49      I,     22|       leurs dispositions, René ? Dieu, que je sache, ne m’a point
 50      I,     22|        nature et les épreuves de Dieu.~ ~ ~ ~René se contraignit
 51      I,     22|        est-à-dire de représenter Dieu sur la terre, je ferais
 52      I,     22|        la terre, je ferais comme Dieu, je pardonnerais.~ ~ ~–
 53      I,     23|          armes en disant :~ ~ ~– Dieu garde Sa Majesté le roi
 54      I,     23|         l’écuyer.~ ~ ~– Eh ! mon Dieu non, vous ne le saurez pas,
 55      I,     23|         toujours reconnaissant à Dieu quand il nous sauve la vie,
 56      I,     23|          faire en pareil cas, et Dieu m’a visiblement épargné
 57      I,     23|          vivre, et non parce que Dieu vous avait conservé la vie.~ ~ ~–
 58      I,     25|        vos épaules, et je crois, Dieu me pardonne, que je vois
 59      I,     25|          ce n’est cependant pas, Dieu m’en est témoin, le respect
 60      I,     25|       mon secret.~ ~ ~– Eh ! mon Dieu, reprit Henri avec une certaine
 61      I,     25|       cela même la protection de Dieu est visible. Reste engagé,
 62      I,     25|          de Mouy, je le jure sur Dieu.~ ~ ~– Un mot, Sire : comment
 63      I,     26|                Ma seule prière à Dieu est qu’il ne m’éloigne jamais
 64      I,     26|         mais vous doutez encore, Dieu me pardonne !~ ~ ~– Oh !
 65      I,     26|       vous tuerait !~ ~ ~– Grand Dieu ! s’écria La Mole en se
 66      I,     26|   jurez-moi devant l’image de ce Dieu qui m’a sauvé la vie ici
 67      I,     26|          Marguerite, si, ce qu’à Dieu ne plaise ! tes sombres
 68      I,     27|                XXVII~ La main de Dieu~ ~ ~ ~Henri avait dit à
 69      I,     27|    Catherine.~ ~ ~– Non, madame, Dieu merci ! et Sa Majesté semble
 70      I,     27|          à croire que la main de Dieu est étendue sur cet homme. »~ ~ ~
 71      I,     29|          le roi de Navarre agit, Dieu me pardonne ! comme s’il
 72      I,     29|          escrime.~ ~ ~– Eh ! mon Dieu, ma mère, fit Charles IX
 73      I,     29|      écoutez-moi donc, au nom de Dieu ! et ne jetez pas ainsi
 74      I,     29|        Marguerite, à la garde de Dieu !~ ~ ~ ~Le piqueur qui dirigeait
 75      I,     31|  forestiers, mais par la main de Dieu, qui jetait la graine au
 76      I,     31|       dit le duc.~ ~ ~– Eh ! mon Dieu ! s’écria Henri avec une
 77      I,    Bib|          4 vol. in-8.~ ~ ~ ~108. Dieu dispose.~ ~Paris, A. Cadot,
 78     II,      1|         catastrophe.~ ~ ~– Grand Dieu ! s’écria d’Alençon ne pouvant
 79     II,      1|         notre frère Charles, que Dieu conserve ! vienne à mourir,
 80     II,      2|         le même ton.~ ~ ~– Grand Dieu ! s’écria Marguerite en
 81     II,      3|                             III~ Dieu dispose~ ~ ~ ~Comme l’avait
 82     II,      3|       prières et des messes dont Dieu et elle savaient seuls le
 83     II,      3|       Navarre partout.~ ~ ~– Mon Dieu ! mon Dieu ! dit madame
 84     II,      3|    partout.~ ~ ~– Mon Dieu ! mon Dieu ! dit madame de Sauve en
 85     II,      3|          se passe-t-il donc, mon Dieu ? demanda le duc.~ ~ ~–
 86     II,      3|          fois encore. La main de Dieu est étendue sur cet homme.
 87     II,      5|         a pas une Marie Touchet. Dieu fait une compensation à
 88     II,      6|     ajouta-t-il tout bas, le Bon Dieu punit les enfants qui se
 89     II,      6|       saisissant la main :~ ~ ~– Dieu soit loué, Sire, vous voilà
 90     II,      6|      pour vous ; mais sans doute Dieu a exaucé ma prière.~ ~ ~–
 91     II,      6|       Marguerite.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, oui. Voilà tout ce que
 92     II,      6|       nous a mis.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, mon Dieu ! pauvre jeune
 93     II,      6|               Oh ! mon Dieu, mon Dieu ! pauvre jeune homme ! s’
 94     II,      8|        te les ouvrir, moi.~ ~ ~– Dieu dit : Que la lumière soit,
 95     II,      8|   Majesté est le représentant de Dieu en ce monde ; elle peut
 96     II,      8|        faire sur la terre ce que Dieu fait au ciel : j’écoute.~ ~ ~–
 97     II,      9|         du monde.~ ~ ~– Eh ! mon Dieu ! mon cher enfant, s’écria
 98     II,     10|          destin par une lutte de dieu à dieu, l’avenir est bien
 99     II,     10|          par une lutte de dieu à dieu, l’avenir est bien certainement
100     II,     13|          Louvre ?~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, oui, dans l’intention de
101     II,     14|   doutes-tu ?~ ~ ~– Oh ! madame, Dieu m’en garde ! répondit Orthon.
102     II,     15|         le croit.~ ~ ~– Eh ! mon Dieu ! je le sais, Sire, et j’
103     II,     15|         en vous ?~ ~ ~– Non pas, Dieu m’en garde ! mais il croit
104     II,     15|        le Louvre.~ ~ ~– Ah ! mon Dieu, fit La Mole, rien de plus
105     II,     16|          que c’est la volonté de Dieu ! Monsieur de Mouy, vous
106     II,     16|         une affaire entre moi et Dieu : et dites-leur que, puisqu’
107     II,     16|        une pauvre reine pour qui Dieu ne veut plus rien faire !~ ~
108     II,     17|       jamais…~ ~ ~– Ne jurez pas Dieu.~ ~ ~– Mais, Sire, vous
109     II,     17|        Il faut si peu de chose à Dieu pour faire beaucoup !~ ~ ~ ~
110     II,     17|                Et… ?~ ~– Laissez Dieu, la Providence ou le hasard
111     II,     17|    rapportait point d’habitude à Dieu, à la Providence ou au hasard
112     II,     18|        il pensa qu’il y avait un Dieu au ciel qui n’était peut-être
113     II,     21|         avec fermeté, on dirait, Dieu me pardonne, que je subis
114     II,     21| impertinente que j’ai conservée, Dieu merci, et que par bonheur
115     II,     21|      louer de Votre Majesté ; et Dieu qui lit dans les cœurs,
116     II,     24|       Catherine se dérida.~ ~ ~– Dieu soit loué ! s’écria-t-elle,
117     II,     24|         comme si elle eût cru en Dieu.~ ~ ~– Oui, Dieu soit loué !
118     II,     24|          cru en Dieu.~ ~ ~– Oui, Dieu soit loué ! reprit ironiquement
119     II,     24|        plus, certainementGrand Dieu ! serait-ce… ?~ ~– Qui ?~ ~ ~–
120     II,     24|         fauteuil.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! mon Dieu ! murmura-t-elle,
121     II,     24|              Oh ! mon Dieu ! mon Dieu ! murmura-t-elle, c’est
122     II,     25|         pour toi.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! dit Marguerite souriant
123     II,     27|         s’écria :~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! Ce n’était pas sans cause
124     II,     28|         le rendre fou.~ ~ ~– Mon Dieu ! qu’y a-t-il donc, La Mole ?
125     II,     28|         j’ai fait le dédaigneux. Dieu me punit de mon orgueil,
126     II,     28|          de mon orgueil, merci à Dieu !~ ~ ~ ~La Mole joignit
127     II,     28|         prendre une seconde fois Dieu à témoin de son serment.~ ~ ~ ~
128     II,     28|        pour ton héroïsme. Devant Dieu je t’aimerai toujours avant
129     II,     29|       avez-vous rien à confier à Dieu ?~ ~ ~– Ma foi, non, mon
130     II,     30|        comme lui.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, mon Dieu ! s’écria Marguerite.~ ~ ~–
131     II,     30|               Oh ! mon Dieu, mon Dieu ! s’écria Marguerite.~ ~ ~–
132     II,     32|       intentions.~ ~ ~– Eh ! mon Dieu ! dit innocemment Henri,
133     II,     32|     Madame, dit-il avec fermeté, Dieu tient la vie des hommes
134     II,     33|      larmes, je vous jure devant Dieu que mes jours et mes nuits
135     II,     33|        elle doit être vengée par Dieu seul. N’en parlons plus
136     II,     34|          grande lumière, je vois Dieu notre maître ; je vois mon
137     II,     34|      pardonne… il m’appelle… Mon Dieu ! mon Dieu ! recevez-moi
138     II,     34|          appelle… Mon Dieu ! mon Dieu ! recevez-moi dans votre
139     II,     34|      dans votre miséricorde… Mon Dieu ! oubliez que j’étais roi,
140     II,     34|    sceptre et sans couronne… Mon Dieu ! oubliez les crimes du
141     II,     34|      souffrances de l’homme… Mon dieu ! me voilà.~ ~ ~ ~Et Charles,
142     II,     34|      contraire, il est temps, et Dieu t’eût conduit par la main
143     II,     35|          régnant par la grâce de Dieu et de sa mère Catherine,
144     II,     35|          ce soir.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! dit Charlotte, vous m’
145     II,     35|               Pas encore ; mais, Dieu merci, elle n’en vaut guère
146     II,    Bib|          4 vol. in-8.~ ~ ~ ~108. Dieu dispose.~ ~Paris, A. Cadot,
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