Tome,  Chap.

  1      I,      1|           s’ébattrait de tout son cœur.~ ~ ~ ~La cour célébrait
  2      I,      1|        peu à peu éteints dans son cœur et dans celui de Téligny,
  3      I,      1|          de Navarre, je donne mon cœur à tous les protestants du
  4      I,      1|           l’admiration au fond du cœur de son époux ; et, chose
  5      I,      1|      résistait, était née dans le cœur du Béarnais une passion
  6      I,      1|           et avait dévoré dans le cœur du jeune roi la timidité,
  7      I,      1|       dont on connaissait déjà le cœur inflammable, se rapprochait
  8      I,      1|         et sourit au roi, dont le cœur s’emplit d’une joie enivrante.~ ~ ~–
  9      I,      2|     vivait non seulement dans mon cœur, mais dans ce coffre d’argent
 10      I,      2|      frères, c’est vivre selon le cœur de Dieu.~ ~ ~– Mais enfin,
 11      I,      2|       vous les offre, de tout mon cœur. Reposez-vous donc et bonne
 12      I,      3|            dans mes bras, sur mon cœur, c’est là ta place. Viens,
 13      I,      4|       cheval tout fumant jusqu’au cœur de la ville, où, après avoir
 14      I,      5|        sais rien, dit La Mole, le cœur me bat. Je ne suis cependant
 15      I,      6|          pas senti au fond de son cœur qu’il courait danger de
 16      I,      7|          dévoué au roi ?~ ~ ~– De cœur et d’âme. Je crois même
 17      I,      8|        pour les battements de son cœur, et il l’arracha. Bientôt
 18      I,      8|     encore et son épée perçait le cœur de La Mole, et peut-être
 19      I,      8|           que lui la main sur son cœur, son cœur battait encore.
 20      I,      8|         la main sur son cœur, son cœur battait encore. Alors elle
 21      I,      9|         il s’escrimât de tout son cœur, fut pris dans ce brusque
 22      I,     10|          naturelle qui protège le cœur et les poumons.~ ~ ~– Plaie
 23      I,     10|     laissa seul, sans armes et le cœur gonflé de toutes les défiances.~ ~ ~ ~
 24      I,     11|         pur avait pénétré dans le cœur de la reine.~ ~ ~ ~Marguerite
 25      I,     11|         renfermait au fond de son cœur un sentiment joyeux.~ ~ ~ ~
 26      I,     13|           ingrat, il y a dans mon cœur un sentiment de reconnaissance
 27      I,     13|     vibrer au plus profond de son cœur ; elle n’eût pas su dire
 28      I,     13|  tremblante les battements de son cœur :~ ~ ~– Ouvre, Gillonne !
 29      I,     13|         lire jusqu’au fond de son cœur.~ ~ ~– Eh bien, madame,
 30      I,     13|           ambition donc mordit au cœur la jeune femme ou plutôt
 31      I,     14|      Sauve, que la plaie de votre cœur ne peut, malgré vos efforts,
 32      I,     14|        lui serrant la main de bon cœur, ne put s’empêcher d’éclater
 33      I,     15|         colère amassée au fond du cœur de Catherine par cette comédie,
 34      I,     15|         rayon de ses yeux dans le cœur de madame de Sauve.~ ~ ~–
 35      I,     15|        Votre Majesté lit dans mon cœur.~ ~ ~– Et ce cœur m’est
 36      I,     15|        dans mon cœur.~ ~ ~– Et ce cœur m’est tout dévoué ?~ ~ ~–
 37      I,     15|       mentait, car au fond de son cœur il détestait déjà La Mole.~ ~ ~–
 38      I,     16|        œuvre, espérait au fond du cœur que Coconnas aurait aussi
 39      I,     16|         plus profondément dans le cœur que la pointe d’une épée,
 40      I,     17|          qui remplissait tout son cœur ; mais depuis que chacun
 41      I,     18|          profondément enraciné au cœur de l’homme, que, malgré
 42      I,     18|          disait tout bas à chaque cœur que ce protecteur inconnu
 43      I,     18|          je lui pardonne de grand cœur.~ ~ ~ ~La Mole avait à peine
 44      I,     18|         convenue ?~ ~ ~– De grand cœur… Et vous, monsieur de Coconnas,
 45      I,     19|   aiguille, piqua la statuette au cœur. Chose étrange ! à l’orifice
 46      I,     19|       amour percera et brûlera le cœur de la femme que vous aimez.~ ~ ~ ~
 47      I,     19|         il dépose à vos pieds son cœur et son âme ; qu’il demande
 48      I,     20|         que ce n’était ni dans le cœur ni dans le foie, comme les
 49      I,     21|           par adopter de tout son cœur cet amour commandé par Catherine,
 50      I,     21|       abord de m’aimer, que votre cœur vous l’a dit ensuite, et
 51      I,     21|       entendez que celle de votre cœur. Maintenant, moi aussi,
 52      I,     21|           sonder les abîmes de ce cœur sans fond, prenait la consistance
 53      I,     21|      moyen de régner seule sur le cœur de Votre Majesté.~ ~ ~–
 54      I,     22|           un violent battement de cœur, ne le suis-je point déjà ?~ ~ ~–
 55      I,     22|     filiale qui lui étreignait le cœur en vague méditation :~ ~ ~–
 56      I,     23|     est-ce des lèvres ? est-ce du cœur ?~ ~ ~– On est toujours
 57      I,     23|       Sire, dit le jeune homme le cœur oppressé de cette résistance
 58      I,     23|        vous êtes libre au fond du cœur, on me dit que la haine
 59      I,     23|        maître de ma vie et de mon cœur.~ ~ ~ ~de Mouy frissonna,
 60      I,     23|         tend sa main et donne son cœur à ceux qui nous ont égorgés,
 61      I,     23|          qui, cependant, porte un cœur aussi noble que mes aînés ;
 62      I,     23|            et la réponse est d’un cœur honnête et d’un esprit prudent.
 63      I,     24|          morceau de ma plume, mon cœur a tressailli de joie, et
 64      I,     25|         es, tu te seras engagé de cœur, et une parole t’aura suffi.~ ~ ~–
 65      I,     26|         une vague pensée de votre cœur ; et lui, selon l’habitude
 66      I,     26|           l’inconnu, effleurer le cœur ; on prétend que vous avez
 67      I,     26|         autres vous avez percé le cœur, et vous gardez ce cœur ;
 68      I,     26|           cœur, et vous gardez ce cœur ; de moi, vous faites plus,
 69      I,     27|         Henri renfermait dans son cœur des secrets qu’il ne disait
 70      I,     27|           l’estomac, enveloppe le cœur comme d’un cercle de feu
 71      I,     27|          calme et même morne, son cœur battait violemment au moindre
 72      I,     28|           reposer l’esprit par le cœur, n’est-ce pas ? et d’avoir
 73      I,     29|    rougeur à ses joues pâles, son cœur se gonfla, Charles fut jeune
 74      I,     31| maintenait le sanglier atteint au cœur, Sire, ce n’est rien, j’
 75      I,     31|           qui eût fait battre son cœur depuis vingt-quatre ans.~ ~ ~–
 76     II,      1|           sa mère Catherine qu’un cœur et qu’une tête, avait juré
 77     II,      1|       Alençon posa la main sur le cœur de son frère.~ ~ ~– Il y
 78     II,      1|         de trouver une tête et un cœur. Seulement prenons garde
 79     II,      3|        mouvement, tomba frappé au cœur. Au même instant Maurevel
 80     II,      4|     Charles ; je veux en avoir le cœur net ; mais faisons nos affaires
 81     II,      5|            je ne dis pas dans son cœur, mais dans son esprit.~ ~ ~–
 82     II,      6|            quoique au fond de son cœur une voix lui dît que le
 83     II,      7| comprimant de sa main crispée son cœur mordu par le soupçon.~ ~ ~–
 84     II,      7|           mille poignards dans le cœur de d’Alençon. Cela contrariera
 85     II,      8|          de l’Effroi. La Mole, le cœur serré d’une douleur pressentimentale,
 86     II,      9|         de trouver encore dans ce cœur desséché.~ ~ ~ ~Puis elle
 87     II,      9|           qui se passait dans son cœur.~ ~ ~– N’en est-il pas une
 88     II,      9|           vous me découvrez votre cœur, il faut que je vous ouvre
 89     II,     10|          de cire.~ ~ ~– Piquée au cœur ?~ ~ ~– Piquée au cœur.~ ~ ~–
 90     II,     10|         au cœur ?~ ~ ~– Piquée au cœur.~ ~ ~– Et cette figure existe
 91     II,     10|          signe de l’écrevisse, le cœur ardent et d’une fierté sans
 92     II,     11|         de vous citer, et dont le cœur, je vous le jure, ne l’emportait
 93     II,     11| Marguerite avait d’abord brisé le cœur de La Mole ; et c’était
 94     II,     11|           sur ses lèvres, sur son cœur ; c’était alors une toux
 95     II,     13|        sans lequel l’esprit et le cœur de Coconnas allaient s’évaporant
 96     II,     13|          les désirs de son propre cœur, donna rendez-vous pour
 97     II,     13|          serré son ami contre son cœur, qui avait tourné vingt
 98     II,     13|         vous le dirai de meilleur cœur, et puissé-je avoir là une
 99     II,     14|  oublieuses. Ce n’est point notre cœur qui l’est, c’est notre esprit,
100     II,     14|         monter comme une marée du cœur au front de la reine, pensa
101     II,     14|        ils s’assurent si c’est un cœur dévoué. Je sais à quoi m’
102     II,     14|           était-ce qu’Orthon ? Un cœur fidèle, une âme dévouée,
103     II,     15|    occasion qu’il trouvera.~ ~ ~– Cœur lâche ! esprit perfide !
104     II,     15|        quoi je quitterai Paris le cœur moins gros.~ ~ ~– Fais tes
105     II,     15|        Pauvre garçon, dit Henri ; cœur brave et dévoué !~ ~ ~–
106     II,     16|        donné tort, et je tenais à cœur de prouver à Votre Majesté
107     II,     16|           y autorise, et de grand cœur.~ ~ ~– Ah ! Sire, s’écria
108     II,     17|         coup le sang appelé à son cœur, qu’il faillit briser, reflua
109     II,     17|         le sang et surtout par le cœurSire, je vous en supplie,
110     II,     17|           enfonce l’acier dans le cœur, comme Henri a fait pour
111     II,     17|      haineuse qui lui dévorait le cœur se répandre bouillante au-dehors ;
112     II,     17|        qui se succédaient dans le cœur du jeune homme. Et toutes
113     II,     17|          de sa famille, que si le cœur du duc eût été un livre
114     II,     17|         et partit la rage dans le cœur.~ ~ ~ ~Il brûlait de trouver
115     II,     17|         elle avait porté en plein cœur.~ ~ ~– Lui ? dit-il. Henriot
116     II,     17|         doute me tirer un aveu du cœur ; mais je n’ai rien dit.~ ~ ~–
117     II,     18|            Comme il y entrait, le cœur tout palpitant, il entendit
118     II,     19|    ordinairement, lui refluait au cœur.~ ~ ~ ~Il éprouvait des
119     II,     20|         penser qu’elle vient, mon cœur bat.~ ~ ~– Eh bien, c’est
120     II,     20|          Coconnas en bâillant, le cœur ne me bat pas du tout, à
121     II,     20|      semblait être passée dans le cœur de La Mole, tandis qu’au
122     II,     21|         pâlit, Charles sentit son cœur se dilater ; car instinctivement
123     II,     21|       permet-elle de lui parler à cœur ouvert ?~ ~ ~– Parlez, monsieur.~ ~ ~–
124     II,     22|           et pénétrer jusqu’à son cœur.~ ~ ~– Oui, dit-il, ce chien
125     II,     24|         sinistres au fond de leur cœur, ce serait vouloir peindre
126     II,     24|           il ne convient ni à mon cœur ni au bien de l’État que
127     II,     24|           déjà désigné du fond du cœur… ayant tout disposé pour
128     II,     24|          brûlante qui ronge votre cœur et vos entrailles ?~ ~ ~–
129     II,     24|     répondit Charles.~ ~ ~– Et au cœur ?~ ~ ~– Une aiguille.~ ~ ~–
130     II,     24|     aiguille d’acier qui perce le cœur, et voyez quelle lettre
131     II,     24|      comme le poignard en veut au cœur ; oui, mais derrière le
132     II,     24|       mère ; c’est du fond de mon cœur. Le visage de Catherine
133     II,     24|        cette figure est percée au cœur par une aiguille, et que
134     II,     24|         aiguille qui lui perce le cœur ?~ ~ ~– C’était un charme
135     II,     24|          ils ont donné un coup au cœur, et ce, contre le roi8.~ ~ ~»
136     II,     25|       déception lui était venu au cœur ; il espérait que ce billet
137     II,     25|           angoisses, brisaient le cœur d’une femme à demi renversée
138     II,     26|         nos chevaux rapides et le cœur doucement oppressé ? Oh !
139     II,     26|           la statue avait dans le cœur, avec la lettre M écrite
140     II,     27|          on a de la mémoire et un cœur, tout bourreau qu’on est,
141     II,     30|          eût d’avance préparé son cœur, celui qu’il vit était plus
142     II,     31|        bientôt s’effacer de votre cœur. Nourrice ! cria Catherine,
143     II,     32|       indicible s’épandit dans le cœur oppressé de Henri ; mais
144     II,     33|            s’écria Henri, dont le cœur bondissait sourdement de
145     II,     33|     noblesse de sa mère, celle du cœur. Peut-être vaudrait-il mieux
146     II,     34|        qui serait pénible pour le cœur d’une mère. Voilà pourquoi
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