Tome,  Chap.

  1      I,      1   |      commencer à s’inquiéter tout de bon, et ce n’était pas sans
  2      I,      1   |                 Oh ! monsieur, notre bon maître, n’allez pas à Paris,
  3      I,      1   |              qu’il réfléchissait, un bon sourire retroussa le coin
  4      I,      2   |               je lui ai parlé.~ ~ ~– Bon ; alors je suivrai le conseil.
  5      I,      2   |         mariage est, je le pense, un bon mariage. Je suis bien à
  6      I,      2   |              de mal à personne, j’ai bon nombre d’ennemis. Dans quel
  7      I,      2   |            Marguerite confuse.~ ~ ~– Bon, bon, nous parlerons de
  8      I,      2   |       Marguerite confuse.~ ~ ~– Bon, bon, nous parlerons de tout
  9      I,      3   |            plus attentivement.~ ~ ~– Bon ! bon ! répondit le roi
 10      I,      3   |           attentivement.~ ~ ~– Bon ! bon ! répondit le roi avec son
 11      I,      3   |           Vieilleville n’aime que le bon vin, et il serait capable
 12      I,      3   |            sa nourrice :~ ~ ~– C’est bon, nourrice, fais-le entrer.
 13      I,      3   |              au sieur de Mouy, votre bon père, un jour vous l’escortiez
 14      I,      3   |              vous ! seulement il est bon que vous sachiez que le
 15      I,      4   |             À quoi puis-je vous être bon, mes gentilshommes ?~ ~ ~–
 16      I,      5   |          vertu. Cela, dit-il, a fort bon air. Aussi, je suis cuirassé
 17      I,      5   |            dit quelque part : Il est bon d’exercer l’âme à la douleur
 18      I,      5   |             à la Belle-Étoile.~ ~ ~– Bon ! c’est à la porte du Louvre.
 19      I,      5   |            non, dit Coconnas ; c’est bon quand on est au Louvre,
 20      I,      6   |            Guise le conseil de tenir bon, était rentrée dans son
 21      I,      6   |               Allez-y ; ce sera d’un bon exemple, et demain vous
 22      I,      7   |             tournure raffinée. C’est bon pour les braves gentilshommes
 23      I,      7   |          hommes, monsieur, êtes-vous bon catholique ?~ ~ ~– Mais
 24      I,      7   |           ces chiens de huguenots ?… Bon ! bien ! à merveille ! Il
 25      I,      7   |        monsir de Maurefel. C’être un bon gatholique.~ ~ ~– Vous l’
 26      I,      7   |              trois cents. Que chaque bon catholique fasse, cette
 27      I,      9   |            qui semble dormir d’un si bon sommeil…~ ~ ~– Justement !
 28      I,      9   |            Ah ! il demeure là, c’est bon ; nous allons avoir affaire
 29      I,      9   |            au dessus du genou.~ ~ ~– Bon ! dit Coconnas ; l’une me
 30      I,     10   |              ne croyez pas cela, mon bon René !~ ~ ~– Oh ! peu m’
 31      I,     10   |           mère, à laquelle, comme un bon génie, avait voulu s’opposer
 32      I,     12   |              amour ; tout bien, tout bon, tout franc ; une alliance
 33      I,     12   |        serais-tu mariée pour tout de bon ?~ ~ ~– À qui ? dit Marguerite
 34      I,     12   |             je m’abstiendrais.~ ~ ~– Bon ! s’écria Henriette, tu
 35      I,     12   |             l’appétit revient, c’est bon signe.~ ~ ~– Ah ! c’est
 36      I,     13   |             ne suis pas encore assez bon catholique pour être des
 37      I,     14   |            en lui serrant la main de bon cœur, ne put s’empêcher
 38      I,     15   |             rejoindre Sa Majesté, si bon vous semble, car le secret
 39      I,     15   |         peuple, mon cher peuple, mon bon peuple a eu une idée : il
 40      I,     16   |            ennemi mort sent toujours bon~ ~ ~ ~Nulle troupe, si riche
 41      I,     16   |      Henriette. En vérité, mais il a bon air aujourd’hui. Depuis
 42      I,     16   |               Voyez donc comme c’est bon d’être prince du sang :
 43      I,     16   |            va se trouver mal ! …~ ~– Bon ! dit la reine avec un sourire
 44      I,     16   |            ennemi mort sent toujours bon.~ ~ ~– Ma foi, Sire, dit
 45      I,     16   |             mais, ils y vont tout de bon et s’égorgeront si nous
 46      I,     16   |       égorgeront si nous n’y mettons bon ordre. Assez de plaisanteries.
 47      I,     16   |            que Coconnas aurait aussi bon marché de La Mole qu’il
 48      I,     17   |              d’épée si c’était votre bon plaisir ; enfin on verra.
 49      I,     17   |            se souvenir de moi.~ ~ ~– Bon ! bon ! dit La Mole en souriant
 50      I,     17   |         souvenir de moi.~ ~ ~– Bon ! bon ! dit La Mole en souriant
 51      I,     18   |          avec maître Caboche. Il est bon d’avoir des amis partout.~ ~ ~–
 52      I,     21   |           trompée elle-même, c’était bon autrefois de me défier d’
 53      I,     21   |            service m’appelle de très bon matin demain chez la reine
 54      I,     23   |             de France, suis-je assez bon gentilhomme pour commander
 55      I,     24   |       bien-être qui suit toujours un bon repas.~ ~ ~ ~Cela dura une
 56      I,     24   |            la reine chez elle.~ ~ ~– Bon ! bon ! dit Coconnas, c’
 57      I,     24   |         reine chez elle.~ ~ ~– Bon ! bon ! dit Coconnas, c’est cela.
 58      I,     24(1)|           Deux pages et un écuyer. – Bon ! ce sont des barbares !
 59      I,     25   |              faites peu d’honneur au bon sens du roi de Navarre,
 60      I,     28   |          affreuse de l’aimer tout de bon.~ ~ ~– Vraiment ?~ ~ ~–
 61      I,     29   |               Catherine jugea que le bon moment était venu, et qu’
 62      I,     29   |              Henri de Navarre. »~ ~– Bon, c’est fait ! dit-il en
 63      I,     30   |           crains de n’être pas assez bon gentilhomme.~ ~ ~– Ma confiance
 64      I,     31   |              Sire, dit Henri, à quoi bon une arquebuse ? Je sais
 65      I,     31   |            le manquez pas, Sire ! Un bon coup à ce parpaillot !~ ~ ~–
 66      I,     31   |                   Charles était trop bon chasseur pour ne pas avoir
 67     II,      1   | bouleversement il n’arrivait rien de bon pour Henri. Il changeait
 68     II,      1   |               oui, je comprends, mon bon frère, vous m’en voulez
 69     II,      1   |          nulle capacité ; je suis un bon gentilhomme de campagne,
 70     II,      1   |             soir du bruit chez votre bon frère Henri, ne bougez pas.
 71     II,      1   |            viendra de vous et de mon bon frère sera bienvenu, madame.
 72     II,      2   |               celui que tu as là est bon.~ ~ ~– Mais, Sire…, essaya
 73     II,      2   |          grand tireur ! dit Charles. Bon ! Puis en fronçant le sourcil :~ ~ ~–
 74     II,      2   |              air du Louvre n’est pas bon pour toi ce soir, que diable !
 75     II,      2   |            que cet air qui n’est pas bon pour moi ne soit pas plus
 76     II,      2   |        sentiments de ma femme.~ ~ ~– Bon ! Henriot, bon ! dit le
 77     II,      2   |          femme.~ ~ ~– Bon ! Henriot, bon ! dit le roi ; j’aime mieux
 78     II,      2   |            un certain cabinet…~ ~ ~– Bon, dit Coconnas, j’y suis.
 79     II,      3   |          humeur. Après avoir fait de bon appétit une collation avec
 80     II,      4   |       vivement le duc d’Anjou.~ ~ ~– Bon ; il a peur que je ne le
 81     II,      5   |          dit-il ; c’est la main d’un bon frère et d’un loyal ami.
 82     II,      5   |       sommeil, dit le roi ; c’est si bon de dormir quand on ne fait
 83     II,      5   |            Charles, qui, grâce à son bon sommeil d’enfant que lui
 84     II,      5   |              pas, Henriot, que c’est bon, dit Charles, d’avoir un
 85     II,      6   |        quereller avec vous ; je suis bon fils. Et puis, ajouta-t-il
 86     II,      6   |             ajouta-t-il tout bas, le Bon Dieu punit les enfants qui
 87     II,      6   |         Henri, un manteau cerise est bon pour un dameret et non pour
 88     II,      7   |            me suis-je pas conduit en bon époux ? qu’on le demande
 89     II,      7   |            demande à Marguerite ; en bon catholique ? qu’on le demande
 90     II,      7   |        demande à mon confesseur ; en bon parent ? qu’on le demande
 91     II,      8   |          Vers les onze heures.~ ~ ~– Bon ; descends ce soir à minuit,
 92     II,      8   |           ces jours-ci.~ ~ ~– Il est bon ?~ ~ ~– Demandes-en, je
 93     II,      9   |            là tous les services d’un bon ami.~ ~ ~– Oui, pour faire
 94     II,      9   |                    Absolument.~ ~ ~– Bon, tant mieux. J’essaierai
 95     II,      9   |              d’Anjou, un batailleur, bon ! toujours l’épée au poing,
 96     II,      9   |         Henriot ; oui, je l’aime, ce bon Henriot : il a l’air franc,
 97     II,     11   |           comme la reine mère.~ ~ ~« Bon prince, excellent prince,
 98     II,     11   |         point par la fenêtre ; c’est bon dans les occasions extrêmes.
 99     II,     12   |         bourgeois naïvement béantes, bon nombre d’hommes enveloppés
100     II,     12   |         répondit le capitaine.~ ~ ~– Bon, ne le perdez pas de vue.~ ~ ~–
101     II,     13   |           ressemble à La Mole.~ ~ ~– Bon ! encore La Mole.~ ~ ~–
102     II,     13   |     permission.~ ~ ~– Brutal !~ ~ ~– Bon ! dit Coconnas, nous allons
103     II,     13   |          pourpoint ? du sang !~ ~ ~– Bon ! en voilà encore un qui
104     II,     13   |            Ce n’était pas lui.~ ~ ~– Bon ! c’était bien fait.~ ~ ~–
105     II,     13   |          point douter.~ ~ ~– Ah ! le bon, l’excellent roi ! Mais
106     II,     13   |           bien de son service ! Ah ! bon, qu’il compte là-dessus !
107     II,     14   |       vigoureux et bien armé, aurait bon marché de lui, blessé comme
108     II,     14   |            quelle chose puis-je être bon à Votre Majesté ?~ ~ ~ ~
109     II,     14   |             te récompense ; tu es un bon porteur de billet doux,
110     II,     15   |        souper avec moi. Avez-vous du bon vin d’Arbois ?~ ~ ~– J’en
111     II,     15   |          boit pas de meilleur.~ ~ ~– Bon ! je le paie à part. Ah !
112     II,     15   |             qu’ils s’arrangent comme bon leur semblera. Et comme
113     II,     15   |          revenir prendre ici avec un bon poitrinal ; il me contera
114     II,     15   |                 Ah ! vous comprenez, bon… Vous serez roi un jour,
115     II,     15   |            faut qu’il médite quelque bon tour, car, vous le savez,
116     II,     17   |             Je désire vous dire, mon bon frère, que, pour récompenser
117     II,     17   |             Votre Majesté oublie son bon ami Henri.~ ~ ~– Henri !
118     II,     17   |    reposez-vous sur moi comme sur un bon frère. Et maintenant que
119     II,     17   |            un étrange sourire.~ ~ ~– Bon ! dit-elle, est-ce qu’il
120     II,     18   |            Mais le porter chez votre bon ami Henriot, qui vous l’
121     II,     18   |              dans un fauteuil.~ ~ ~– Bon ! se dit-il, voici ce qui
122     II,     19   |                    Que le moment est bon, dit Marguerite, et que
123     II,     20   |        véritable conspirateur.~ ~ ~– Bon ! dit le second gentilhomme
124     II,     20   |       certainement reconnu Coconnas, bon ! voilà le mot lâché, je
125     II,     21   |          veut dire qu’il ne fait pas bon ici pour tous. Toutes les
126     II,     22   |           ces demandes.~ ~ ~– À quoi bon le chercher ? Vous n’avez
127     II,     22   |        heureux d’en être quitte à si bon marché, le Florentin s’inclina
128     II,     25   |              des inquisiteurs.~ ~ ~– Bon Annibal ! Mais après ?~ ~ ~–
129     II,     26   |              occasion de faire un si bon emploi de leur argent. Maintenant,
130     II,     26   |            nous gagnons les bois. Un bon baiser donné à chacun de
131     II,     26   |          statue magique ?~ ~ ~– Ah ! bon ! nous revenons à l’histoire
132     II,     27   |              cour vous attend.~ ~ ~– Bon, dit Coconnas lâchant son
133     II,     28   |            tête :~ ~ ~– Quant à toi, bon La Mole, dit-il, tu me fais
134     II,     32   |          vous refusez la régence, un bon cheval et la liberté vous
135     II,     33   |             la suite. Je te lègue un bon parlement, une armée éprouvée.
136     II,     35   |             m’effrayez, Sire ; si un bon souvenir donné par vous