Tome,  Chap.

  1      I,      2|      lesquels se portaient sans l’épée ; mais au moment où il le
  2      I,      2|         de mailles et d’une bonne épée. »~ ~– Ah ! ah ! dit le
  3      I,      2|       conseil. Ma jaquette et mon épée.~ ~ ~ ~Le valet de chambre,
  4      I,      2|         ceinture, et, mettant son épée aux mains d’un page, seule
  5      I,      2|            après avoir bouclé son épée à son ceinturon, commença
  6      I,      4|          bottes de cuir noir, une épée à poignée de fer ciselé,
  7      I,      4|      hurla Coconnas en tirant son épée ; mais échauffez-vous donc,
  8      I,      4|           la peine à remettre mon épée dans le fourreau avant de
  9      I,      6|           avec votre jolie petite épée à poignée d’or, tuerez d’
 10      I,      7|         ma salade, j’affilais mon épée et je repassais mes couteaux,
 11      I,      7|          pourrez vous servir de l’épée ; car les huguenots ne sont
 12      I,      7|   retranché derrière son lit, son épée entre ses dents et ses pistolets
 13      I,      7|         corps d’autant de coups d’épée que tu m’as gagné d’écus
 14      I,      7|        lui enfonça trois fois son épée jusqu’à la garde dans la
 15      I,      8|          un homme sans chapeau, l’épée nue à la main et courant
 16      I,      8|           Et, de la pointe de son épée impatiente comme lui, il
 17      I,      8|                 Le duc releva son épée avec un geste de résolution
 18      I,      8|       essuyait tranquillement son épée.~ ~ ~– C’est donc vous qui
 19      I,      8|           releva en ramassant son épée, qui, dans sa chute, lui
 20      I,      8|        quatre, en perça un de son épée, et au milieu du feu des
 21      I,      8|        ennemi avec la lame de son épée, faute d’espace pour lui
 22      I,      8|         il l’arracha. Bientôt son épée devint trop lourde pour
 23      I,      8|         joue toute meurtrie par l’épée de La Mole, qui avait tracé
 24      I,      8|          Un instant encore et son épée perçait le cœur de La Mole,
 25      I,      8|       cacher le blessé.~ ~ ~– Une épée, un poignard ! murmura La
 26      I,      9|        moment où il ramassait son épée dans la cour de l’amiral ;
 27      I,      9|            je lui ai donné de mon épée dans le dos, que la lame
 28      I,      9|          le prierai d’aligner son épée avec la mienne.~ ~ ~– Sur
 29      I,      9|     fournir l’occasion de tirer l’épée sous les yeux de sa belle !
 30      I,      9|    étaient hors de la portée de l’épée, s’abrita derrière la galerie
 31      I,      9|          la muraille et mettant l’épée à la main, il commença non
 32      I,      9|     poignard entre ses dents. Son épée, flamboyante par le mouvement
 33      I,      9|       recevait à la pointe de son épée, demandait grâce des deux
 34      I,      9|        abaissant la pointe de son épée, il ne vit plus près de
 35      I,      9|          ces paroles il engagea l’épée avec celui des jeunes gens
 36      I,      9|           Il salua la dame de son épée et se baissa pour ramasser
 37      I,      9|       traversa la poitrine de son épée.~ ~ ~– Bien, bien, brave
 38      I,      9|          agitait en tremblant une épée de moitié moins longue que
 39      I,      9|           et croisa sur sa petite épée sa terrible et sanglante
 40      I,      9| voulait-il donc me faire avec son épée et son pistolet ?~ ~ ~–
 41      I,      9|         endroit où avait volé son épée. À peine vit-il cette arme
 42      I,      9|         Piémontais, lui brisa son épée dans la main et le coucha
 43      I,     10|     gardes qui l’accompagnaient l’épée nue quelque temps avant
 44      I,     11|          il avait eues de tirer l’épée, devenir un royaume réel,
 45      I,     12|     balcon et je vois d’abord une épée dont le feu semblait éclairer
 46      I,     16|        après vous avoir passé mon épée au travers du corps.~ ~ ~ ~
 47      I,     16|            dégainons. Et il mit l’épée à la main.~ ~ ~ ~Je crois
 48      I,     16|           à terre, avait tiré son épée et était tombé en garde.~ ~ ~–
 49      I,     16|          cœur que la pointe d’une épée, et sur un cercle trompé
 50      I,     16|        retomber le pommeau de son épée au milieu du front de Coconnas,
 51      I,     17|    maltraité des deux : le coup d’épée l’avait frappé au-dessous
 52      I,     17|     ajusté son manteau, ceint son épée, coiffé sa tête d’un feutre
 53      I,     17|          redonner un autre coup d’épée si c’était votre bon plaisir ;
 54      I,     17|         de Pylade de cinq coups d’épée et d’un coup de pistolet
 55      I,     19|           mordi ! ou je passe mon épée au travers du corps de René,
 56      I,     19|         pour la seconde fois, mon épée, qui est une lame véritable,
 57      I,     19|         pour la seconde fois, mon épée au travers du corps ; car
 58      I,     23|         ainsi la poignée de votre épée. Pour la troisième fois,
 59      I,     23|    chercher à me tailler avec mon épée un royaume dans cette France
 60      I,     23|           avec moi, vous avez une épée et un nom. François d’Alençon,
 61      I,     24|            car j’avais oublié mon épée.~ ~ ~– Oh ! je comprends,
 62      I,     24|          retournez chercher votre épée.~ ~ ~ ~La Mole regarda Marguerite
 63      I,     24|       volontiers, attendu que mon épée est une excellente lame,
 64      I,     24|   charmant, je voudrais avoir mon épée, que j’ai laissée dans cette
 65      I,     24|           le concierge.~ ~ ~– Mon épée…, reprit La Mole.~ ~ ~–
 66      I,     24|             que j’ai laissée… Mon épée, que j’ai laissée…~ ~ ~–
 67      I,     24|         La Mole, si j’avais cette épée que je réclame, je la passerais
 68      I,     24|            ne lui rendait pas son épée, et ne lui apprenait pas
 69      I,     24|          idée d’acheter une autre épée et d’éventrer le misérable
 70      I,     24|           perle fut cette fameuse épée qu’il avait laissée rue
 71      I,     24|       pouvait retrouver comme mon épée !~ ~ ~ ~Deux ou trois heures
 72      I,     25|    assurait préalablement que son épée ne tenait pas au fourreau.~ ~ ~ ~
 73      I,     26|         vous tuerait de sa propre épée s’il savait que vous êtes
 74      I,     30|       gens appelés à la cour, une épée de campagne longue, large
 75      I,    Bib|   Salteador.~ ~Roman de cape et d'épée.~ ~Paris, A. Cadot, 1854,
 76     II,      1|      mettre au ceinturon de votre épée. Puis tout bas :~ ~ ~– Si,
 77     II,      3|          main à la poignée de son épée et n’osant sortir sans le
 78     II,      3|         de soie, avait agrafé son épée, passé dans le ceinturon
 79     II,      3|          de la chambre, plaça son épée nue le long de sa cuisse,
 80     II,      3|           alors que six hommes, l’épée à la main et le poignard
 81     II,      3|    marchait le premier. Outre son épée nue et son poignard fort
 82     II,      3|          frappa du pommeau de son épée le serviteur sur la tête.
 83     II,      3|        pistolets à la main et son épée sur les genoux. Maurevel
 84     II,      3|           d’un revers de sa large épée, fendit le crâne du deuxième
 85     II,      3|          vers Maurevel, engagea l’épée avec lui.~ ~ ~ ~Le combat
 86     II,      3|       restait encore, outre cette épée qui frappait de si terribles
 87     II,      3|   protection plus puissante que l’épée humaine.~ ~ ~ ~Le capitaine
 88     II,      4|          bruit de coups de plat d’épée qui n’atteignaient que le
 89     II,      4|        Guise marcha le premier, l’épée à la main.~ ~ ~ ~Henri ferma
 90     II,      6|        lit déchiquetées à coups d’épée, un miroir de Venise était
 91     II,      6|         Maurevel a reçu un coup d’épée dans la gorge ; et je m’
 92     II,      7|           ne pouvez croiser votre épée contre celle d’un hobereau :
 93     II,      8|     frappé d’un coup de pommeau d’épée qui l’avait étourdi. Quant
 94     II,      8|         que celle que renvoyait l’épée nue qu’ils tenaient à la
 95     II,      8|           calme et résolu, mais l’épée à la main.~ ~ ~– Fuyez,
 96     II,      8|          d’Anjou et de Guise leur épée dans le fourreau, attendu
 97     II,      9|      batailleur, bon ! toujours l’épée au poing, toujours marchant
 98     II,     10|     peut-il parler ?~ ~ ~– Non, l’épée a traversé le larynx.~ ~ ~–
 99     II,     11|        collier d’émeraudes, d’une épée à poignée d’or et d’une
100     II,     13|        truand. Sur ce, il a mis l’épée à la main et moi aussi.
101     II,     14|           et soutenait une longue épée qu’il semblait ne pouvoir
102     II,     15|          j’aime mieux des coups d’épée que ces amourettes-là. Je
103     II,     15|         une espèce de cliquetis d’épée.~ ~ ~– Alerte ! Sire ! alerte !
104     II,     15|          Mouy. Il avait rendu son épée et descendait tranquillement.~ ~ ~–
105     II,     16|           chambre, et a remis son épée à la première sommation.~ ~ ~–
106     II,     17|           ceignez votre meilleure épée ; montez le plus fin cheval
107     II,     18|         pendait toute prête cette épée que M. de Mouy avait conseillé
108     II,     18|         aura cherché des yeux son épée, puis sa bourse, puis son
109     II,     20|            à leur côté une longue épée, et auprès d’eux chacun
110     II,     20|        dit Coconnas en tirant son épée et en l’élevant en l’air,
111     II,     21|        Aussitôt La Mole remit son épée au capitaine qui était le
112     II,     21|      quelque part, soit un coup d’épée dans le corps, soit un pot
113     II,     25|          donné trois coups tant d’épée que de poignard à La Mole,
114     II,     26|         air, lorsqu’on a sa bonne épée nue au flanc, lorsqu’on
115     II,     26|             L’aiguille simulait l’épée ou le poignard, la lettre
116     II,     29|         dit Caboche apprêtant son épée derrière La Mole agenouillé.~ ~ ~–
117     II,     30|          un coin était une grande épée, à poignée longue. C’était
118     II,     30|         poignée longue. C’était l’épée flamboyante de la justice.~ ~ ~ ~
119     II,     32|      cavalier et le vit tirer son épée hors du fourreau, passer
120     II,     34|     saisit au chevet de Charles l’épée désormais inutile du roi
121     II,     35|         le huguenot en levant son épée. Je te cherchais ; tu viens
122     II,     35|        Maurevel un si rude coup d’épée que, quoique ce coup atteignît
123     II,     35|         élança sur leurs traces l’épée à la main.~ ~ ~ ~Un cri
124     II,     35|         riposta aussitôt.~ ~ ~ ~L’épée s’enfonça de nouveau dans
125     II,     35|         présenta la pointe de son épée à de Mouy.~ ~ ~– Amis !
126     II,     35|           saisissant d’une main l’épée tranchante de Maurevel,
127     II,     35|          en arrière, laissant son épée dans le corps de Maurevel,
128     II,     35|           temps Henri passait son épée au travers du corps du soldat,
129     II,     35|           Attendez, Sire ; et mon épée, croyez-vous que je veuille
130     II,     35|          main à la garde de cette épée, qui effectivement était
131     II,     35|          tombé à son tour, et son épée ne perça plus qu’un cadavre.~ ~ ~ ~
132     II,    Bib|   Salteador.~ ~Roman de cape et d'épée.~ ~Paris, A. Cadot, 1854,
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