Tome,  Chap.

  1      I,      1|          promesses.~ ~ ~– Eh bien, dit-elle, que désirez-vous de Dariole ?~ ~ ~–
  2      I,      2|         arrêta.~ ~ ~– Eh bien, lui dit-elle, êtes-vous content, duc ?~ ~ ~–
  3      I,      2|       pâlissante :~ ~ ~– Monsieur, dit-elle, celle que je cherche n’
  4      I,      2|         main.~ ~ ~– C’est convenu, dit-elle.~ ~ ~– Alliance politique,
  5      I,      3|              c’est toi, mon fils ! dit-elle.~ ~ ~– Oui, nourrice, viens
  6      I,      3|          Que me veux-tu, Charlot ? dit-elle.~ ~ ~– Viens ici et réponds
  7      I,      3|        moins pure.~ ~ ~– Me voilà, dit-elle, parle.~ ~ ~– L’homme que
  8      I,      5|             Parlez vite, monsieur, dit-elle, car on m’attend chez la
  9      I,      5|           Remettez-vous, monsieur, dit-elle. J’attendrai et l’on m’attendra.~ ~ ~–
 10      I,      5|           pas monsieur de La Mole, dit-elle.~ ~ ~– Oui, madame. Oh !
 11      I,      5|              Maintenant, monsieur, dit-elle, descendez dans la galerie
 12      I,      6|          Venez, monsieur le comte, dit-elle à Tavannes, qui caressait
 13      I,      6|       reparut.~ ~ ~– Tout va bien, dit-elle au duc, insistez, il cédera.~ ~ ~ ~
 14      I,      6|                  Allez, messieurs, dit-elle, allez… Les hommes sont
 15      I,      6|         tête blonde.~ ~ ~– Madame, dit-elle, c’est René le parfumeur,
 16      I,      6|          retourna.~ ~ ~– Ma fille, dit-elle à Marguerite, vous pouvez-vous
 17      I,      6|       retirer chez vous. Mon fils, dit-elle, vous pouvez aller vous
 18      I,      6|     Marguerite.~ ~ ~– Ma sœur, lui dit-elle tout bas et avec volubilité,
 19      I,      6|        cadette :~ ~ ~– Çà, Margot, dit-elle, n’avez-vous pas entendu
 20      I,      8|   convenait à un frère.~ ~ ~– Non, dit-elle, je ne le crois pas, ou,
 21      I,      8|          Oh ! mon Dieu, mon Dieu ! dit-elle, ayez pitié de lui ! En
 22      I,      8|          dans ses bras.~ ~ ~– Ah ! dit-elle, il ne vous est rien arrivé,
 23      I,     10|            à genoux.~ ~ ~– Madame, dit-elle, pardonnez-moi, je reconnais
 24      I,     10|            pardonnez-moi, madame ! dit-elle, et je rentrerai chez moi
 25      I,     10|        trouver la reine Catherine, dit-elle ; rentrez chez vous. Le
 26      I,     11|        empêcherez pas cette mort ? dit-elle ; vous ne sauverez pas votre
 27      I,     11|           extrêmement.~ ~ ~– Sire, dit-elle à voix basse, en venant
 28      I,     11|         cherche… Je ne vois plus…, dit-elle.~ ~ ~– Que cherchez-vous ?
 29      I,     11|               Emmène-moi vite, lui dit-elle. J’ai des choses de la plus
 30      I,     11|           monter dans ma litière ? dit-elle.~ ~ ~– Volontiers. Seulement
 31      I,     12|          alertes :~ ~ ~– Mica, lui dit-elle en italien, comment va M.
 32      I,     12|          absente.~ ~ ~– Justement, dit-elle, il est à table et a le
 33      I,     13|           Oh, oui ! je comprends ! dit-elle, pardon, monsieur ! Il y
 34      I,     13|            rougit.~ ~ ~– Gillonne, dit-elle, voici la nuit venue, je
 35      I,     13|              Et le roi de Navarre, dit-elle avec intention, vous ne
 36      I,     13|      révélation subite.~ ~ ~– Ah ! dit-elle, vous avez entendu de ce
 37      I,     13|            voir le roi de Navarre, dit-elle, c’est arrêté, c’est décidé
 38      I,     13|      Monsieur de la Mole est fier, dit-elle, et j’hésite à lui faire
 39      I,     13|                  Ouvre, Gillonne ! dit-elle. Gillonne sortit de la chambre,
 40      I,     13|            arriver à ce résultat ? dit-elle.~ ~ ~– Mais à peu près,
 41      I,     13|       petite porte.~ ~ ~– Écoutez, dit-elle.~ ~ ~– La reine mère sort
 42      I,     13|    obscurité :~ ~ ~– Silence ! lui dit-elle en s’approchant si près
 43      I,     14|         Asseyons-nous, Marguerite, dit-elle, et causons.~ ~ ~– Madame,
 44      I,     14|        aperçue.~ ~ ~– Cette plaie, dit-elle en redoublant d’affectueuse
 45      I,     14|            Marguerite :~ ~ ~– Lui, dit-elle, votre époux ? Suffit-il
 46      I,     14|           Marguerite :~ ~ ~– Rien, dit-elle. Et elle sortit à grands
 47      I,     14|           jeune femme.~ ~ ~– Sire, dit-elle en se reculant tout doucement,
 48      I,     14|           mauvais pas.~ ~ ~– Sire, dit-elle, nous oublions que le pauvre
 49      I,     14|       cette faiblesse.~ ~ ~– Sire, dit-elle, il convient à Votre Majesté
 50      I,     14|      approcha.~ ~ ~– Gillonne, lui dit-elle tout bas, il faut que demain,
 51      I,     15|          cependant tu savais bien, dit-elle avec son méchant sourire,
 52      I,     15|       évanouie.~ ~ ~– Dariole, lui dit-elle alors, traîne un fauteuil
 53      I,     15|         mari :~ ~ ~– Allons, Sire, dit-elle, ce n’est pas le tout que
 54      I,     15|          son côté.~ ~ ~– Monsieur, dit-elle avec un charmant sourire,
 55      I,     15| amour-propre.~ ~ ~– Mon frère, lui dit-elle, ce jeune gentilhomme, j’
 56      I,     15|           sourcil.~ ~ ~– Mon fils, dit-elle, défiez-vous surtout des
 57      I,     15|                Monsieur d’Arguzon, dit-elle, partons pour le Louvre
 58      I,     20|      sanglantes.~ ~ ~– Il régnera, dit-elle, avec un soupir de désespoir,
 59      I,     20|           son cerveau.~ ~ ~– René, dit-elle en étendant la main vers
 60      I,     20|               Qu’est-ce que cela ? dit-elle. « De la manière d’élever
 61      I,     20|           à demi-voix.~ ~ ~– Bien, dit-elle en refermant le livre, voilà
 62      I,     20|         pour elle quelque philtre, dit-elle.~ ~ ~– Pour qui ? demanda
 63      I,     20|          et pour mes lèvres, René, dit-elle ; voici l’hiver, et tu sais
 64      I,     20|         est belle, cette créature, dit-elle, répondant toujours à sa
 65      I,     20|             Lorsqu’une femme aime, dit-elle, est-ce qu’elle est jamais
 66      I,     20|        plus séduisant.~ ~ ~– René, dit-elle, donne-moi de la pâte pour
 67      I,     21|            dossier :~ ~ ~– Allons, dit-elle, ma bonne petite Charlotte,
 68      I,     21|     Dariole reparut.~ ~ ~– Madame, dit-elle, c’est maître René le parfumeur.~ ~ ~ ~
 69      I,     24|             Oh ! contez-moi cela ! dit-elle.~ ~ ~– Rien de plus simple,
 70      I,     24|           ad lecticam meam stant ? dit-elle à La Mole.~ ~ ~– Duo pueri
 71      I,     24|                  Optime, barbari ! dit-elle. Dic, Moles, quem inveneris
 72      I,     25|                 Monsieur de Mouy ! dit-elle en reculant d’un pas.~ ~ ~–
 73      I,     25|                  Monsieur de Mouy, dit-elle, vous pouvez être sûr de
 74      I,     25|               Cependant, monsieur, dit-elle, si j’osais vous demander
 75      I,     25|              Entrez ici, monsieur, dit-elle ; vous y êtes aussi bien
 76      I,     25|            il est donc trop tard ? dit-elle.~ ~ ~– Au contraire, murmura
 77      I,     25|   regardant Marguerite.~ ~ ~– Oui, dit-elle sans s’émouvoir ; car enfin,
 78      I,     26|         que nous sommes seuls, lui dit-elle, causons sérieusement, mon
 79      I,     26|    brûlante :~ ~ ~– Vous m’aimez ? dit-elle.~ ~ ~– Oh ! madame ! plus
 80      I,     26|           baisers.~ ~ ~– Eh bien ? dit-elle.~ ~ ~– Eh bien, oui ! répondit
 81      I,     27|          de Sauve.~ ~ ~– Henri, se dit-elle, va achever auprès d’elle
 82      I,     29|            passer.~ ~ ~– Mon fils, dit-elle, nous avons la preuve que
 83      I,     30|          mort ou vif.~ ~ ~– Tenez, dit-elle, trouvez-vous l’ordre suffisamment
 84     II,      1|         annoncer.~ ~ ~– Ensemble ! dit-elle en souriant ; deux bons
 85     II,      1|          agrafe vient de Florence, dit-elle, je vous la donne pour mettre
 86     II,      3|      lecture.~ ~ ~– Ah ! à propos, dit-elle, qu’on renvoie les gardes
 87     II,      3|           évanoui.~ ~ ~– Ah ! ah ! dit-elle, voici toujours le laquais ;
 88     II,      3|          désespéré.~ ~ ~– Eh bien, dit-elle à demi-voix, où est-il ?
 89     II,      3|        fascinait.~ ~ ~– Vous ici ? dit-elle.~ ~ ~– Oui, madame. Que
 90     II,      7|         attendait.~ ~ ~– Ah ! ah ! dit-elle, c’est vous, ma fille ;
 91     II,      7|         sur sa ceinture.~ ~ ~– Et… dit-elle après un moment de silence,
 92     II,      8|                  Vous avez raison, dit-elle, c’est possible. Et elle
 93     II,      8|      forces.~ ~ ~– Oui, mon frère, dit-elle, M. de La Mole ; il est
 94     II,      8|                   Ouvre, Gillonne, dit-elle, ouvre. Gillonne obéit.
 95     II,      8|            à la main.~ ~ ~– Fuyez, dit-elle, fuyez sans perdre une seconde.
 96     II,      9|   profondément.~ ~ ~– Oui, certes, dit-elle, cela serait mieux si cela
 97     II,      9|               Ah ! pauvre enfant ! dit-elle, ton frère veut te tuer.
 98     II,     10|      vivement.~ ~ ~– Un M et un O, dit-elleSerait-ce décidément ce
 99     II,     10|            a fait merveille, René, dit-elle, et madame de Sauve a les
100     II,     11|        porte :~ ~ ~– Entrez, Sire, dit-elle.~ ~ ~ ~Si doucement, si
101     II,     12|            monsieur de Nancey, lui dit-elle, mais sans affectation ;
102     II,     13|     première.~ ~ ~– Fi ! monsieur, dit-elle, que c’est mal appris de
103     II,     14|         Encore ici, petit garçon ? dit-elle. Eh bien ! mais qu’attends-tu
104     II,     14|       avait prise.~ ~ ~– Non, non, dit-elle, idée de sbire ; mauvaise
105     II,     14|           ai fait appeler, enfant, dit-elle, parce que ton visage me
106     II,     14|          obscurité.~ ~ ~– Arrête ! dit-elle. Orthon sentit un frisson
107     II,     14|              Veux-tu me le donner, dit-elle, et tu auras mille écus
108     II,     14|                  Allons ! enfant ! dit-elle en riant. Bien, tu es fidèle.
109     II,     17|       étrange sourire.~ ~ ~– Bon ! dit-elle, est-ce qu’il y a des frères
110     II,     18|           la main.~ ~ ~– Le voici, dit-elle.~ ~ ~ ~D’Alençon regarda
111     II,     19|        Alençon l’aura déjà enlevé, dit-elle, c’est prudent. Et elle
112     II,     22|         a-t-il donc, mon Charlot ? dit-elle.~ ~ ~– Nourrice, il y a
113     II,     28|           même métal.~ ~ ~– Tiens, dit-elle, voici une relique sainte
114     II,     30|                    Votre Majesté ! dit-elle.~ ~ ~– Allons, ma sœur,
115     II,     30|           Non, non, je n’irai pas, dit-elle.~ ~ ~ ~Charles lui prit
116     II,     30|           Mon frère a bien raison, dit-elle, et c’est une bien misérable
117     II,     30|     Gillonne revint.~ ~ ~– Madame, dit-elle, un homme est là qui vous
118     II,     30|           étais cependant si bien, dit-elle ; j’étais presque morte.~ ~ ~ ~
119     II,     30|       velours.~ ~ ~– Viens, viens, dit-elle, nous allons les revoir
120     II,     30|              je ne pourrai jamais, dit-elle.~ ~ ~– Quand on aime bien,
121     II,     32|         satisfaction.~ ~ ~– Alors, dit-elle vivement, vous renoncez
122     II,     32|          Cette cour a deux portes, dit-elle ; à celle-ci, que vous voyez
123     II,     34|                  Non, non, jamais, dit-elle ; jamais ma race ne pliera
124     II,     35|               Oh ! je savais bien, dit-elle, que je ne pouvais pas mourir
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