Tome,  Chap.

 1      I,      1   |             pour l’épousée, pour son mari et pour celui-là même qui
 2      I,      1   | indisposition, elle avait laissé son mari, secrétaire d’État depuis
 3      I,      2   |                femme, je n’ai pas de mari.~ ~ ~ ~Le jeune prince secoua
 4      I,      2   |          vous répète, Henri, que mon mari non seulement ne m’aime
 5      I,      2   |          siège que lui indiquait son mari.~ ~ ~ ~Le Béarnais se plaça
 6      I,      2   |          nous devons donc rien comme mari et femme. Vous voyez, madame,
 7      I,      2   |              Marguerite leva sur son mari un œil brillant de reconnaissance
 8      I,      2   |             je puis ne pas aimer mon mari, mais personne n’a le droit
 9      I,      5   |             prononcer par le roi mon mari, et par mon frère le duc
10      I,      6   |         quitté depuis la mort de son mari. C’était à cette époque
11      I,      6   |          rencontrer un regard de son mari, qui ne se retourna pas
12      I,      8   |         habitait en l’absence de son mari.~ ~
13      I,     10   |              j’ai attendu.~ ~ ~– Mon mari, n’est-ce pas ? dit Marguerite.~ ~ ~–
14      I,     10   |      savez-vous ce qu’est devenu mon mari ?~ ~ ~– Sa Majesté le roi
15      I,     10   |           partager la fortune de son mari. Vous exile-t-on, monsieur,
16      I,     10   |                 Et elle tendit à son mari une main que Henri saisit,
17      I,     11   |         chose : sauver la vie de son mari, qui continuait d’être menacée.
18      I,     11   |          était donc pas seulement un mari qu’elle perdait, c’était
19      I,     11   |             qui vous attachait à mon mari ; c’est que vous abandonnez
20      I,     11   |             a des desseins sur votre mari. Pardon ! en disant votre
21      I,     11   |             Pardon ! en disant votre mari, je me trompe : c’est sur
22      I,     11   |             parce qu’il était… votre mari. Mais voilà qu’il n’est
23      I,     11   |         voilà qu’il n’est plus votre mari. Qu’avez-vous à dire à cela,
24      I,     11   |           qui n’avait jamais été son mari. Elle en était là, lorsque
25      I,     11   |              que la maîtresse de son mari avait quelque chose à lui
26      I,     12   |            de Guise n’y est pas, ton mari n’y est pas ?~ ~ ~– Oh !
27      I,     12   |            ni mon beau-frère, ni mon mari, ni personne ! Je suis libre,
28      I,     12   |                     À l’égard de ton mari seulement, j’espère !~ ~ ~–
29      I,     12   |              d’Alençon, ma mère, mon mari mêmepeuvent entrer dans
30      I,     12   |            tu n’as ni beau-frère, ni mari qui t’espionne ou qui te
31      I,     13   |            saisissant le bras de son mari. Comment donc ne voyez-vous
32      I,     14   |            tôt, j’apprends que votre mari est loin d’avoir pour vous
33      I,     14   |             Suffit-il donc pour être mari et femme que l’Église vous
34      I,     14   |             vous allez réveiller mon mari. À ces mots, Marguerite
35      I,     15   |             dernier, et appelant son mari :~ ~ ~– Allons, Sire, dit-elle,
36      I,     17   |              un moment à l’autre son mari pouvait arriver de Rome,
37      I,     18   |             voulez bien, appeler mon mariGrégoire, faites venir
38      I,     21   |            maintenant que je suis le mari de sa fille…~ ~ ~– Le mari
39      I,     21   |           mari de sa fille…~ ~ ~– Le mari de madame Marguerite ! dit
40      I,     21   |            Maintenant que je suis le mari de sa fille, nous sommes
41      I,     24   |         remontant la Seine, comme ce mari qui cherchait sa femme noyée.
42      I,     24   |            il avait déjà renversé le mari, place Saint-Germain-lAuxerrois,
43      I,     25   |         fidèles partisans du roi mon mari ; me suis-je donc trompée ?~ ~ ~–
44      I,     27   |            endroit des amours de son mari. On se rappelle qu’à tout
45      I,     28   |          reine avait manifesté à son mari une grande inquiétude de
46      I,     28   |              Oui, un courrier de mon mari.~ ~ ~– Eh bien, l’affaire
47      I,     28   |               Par un courrier de mon mari qui avait ordre de toucher
48      I,     28   |          Marguerite en regardant son mari, il faut que ce soit…~ ~ ~–
49      I,     28   |            par la proposition de son mari ; je vais envoyer chercher
50      I,     28   |            en se retournant vers son mari.~ ~ ~– Ce M. de La Mole
51      I,    Bib   |              de 164 pp.~ ~ ~ ~14. Le Mari de la veuve.~ ~Comédie en
52     II,      1   |             eût probablement payé au mari la complaisance de sa femme.~ ~ ~ ~
53     II,      2   |           Mole. Le roi croit que mon mari est un de nos convives.~ ~ ~–
54     II,      2   |            la bonne heure ! voilà un mari qui entend à demi-mot. »~ ~–
55     II,      2   |            en serrant le bras de son mari, car un singulier regard
56     II,      2   |            Il n’a rien vu ; c’est un mari parfait, et j’en souhaite
57     II,      2   |           différent ; il a emmené le mari.~ ~ ~– En vérité ?~ ~ ~–
58     II,      6   |              plus tranquille que son mari. L’expédition de la nuit
59     II,      6   |           rien en lui n’annonçait le mari blessé. Son sourire habituel
60     II,      6   |             comprit le regard de son mari et fit signe à Gillonne
61     II,      7   |             la femme soit muette, le mari est aveugle. Ah ! vous êtes
62     II,     11   |         Marguerite en fixant sur son mari ses beaux yeux étonnés ;
63     II,     12(6)|       comblerait de joie, moi et mon mari, si elle n’amenait un grand
64     II,     16   |            qui se tramait contre son mari, et elle était passée chez
65     II,     17   |            bienvenu. Au signe de son mari, la reine avait tout compris
66     II,     19   |         ainsi que nous le savons, le mari et la femme avaient fait,
67     II,     21   |           signe d’intelligence à son mari, puis elle passa si près
68     II,     24   |              Elle craignait pour son mari, elle tremblait pour son
69     II,     35   |          Vous ne comprenez pas qu’un mari qui reçoit une pareille
70     II,     35   |       circuler, atteste que c’est le mari qui s’est vengé. Seulement,
71     II,     35   |              être poignardée par son mari, à qui l’on avait remis
72     II,     35   |           avec un amant.~ ~ ~– Et le mari ? s’écria Henri.~ ~ ~– Il
73     II,     35   |          deux coups de poignard. Son mari, qui pendant deux ans avait
74     II,    Bib   |              de 164 pp.~ ~ ~ ~14. Le Mari de la veuve.~ ~Comédie en
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