Tome,  Chap.

 1      I,      1|       voulait pas surcharger sa pensée ; l’autre injurieux pour
 2      I,      1|      Est-ce là véritablement la pensée qui vous préoccupe, ma mie ?~ ~ ~–
 3      I,      2|       car peut-être aussi cette pensée s’était-elle présentée à
 4      I,      4|      sans doute par la dernière pensée qui lui était venue.~ ~ ~–
 5      I,      6|   plongée au plus profond d’une pensée qui faisait éclore sur ses
 6      I,      6|     mais chaque fois une sombre pensée refoula au fond de sa poitrine
 7      I,      7|         il m’était venu dans la pensée de jouer d’abord notre argent,
 8      I,     10|         front, éclairée par une pensée subite ; elle est là ! …
 9      I,     10|       personne n’en eut même la pensée. On entendait les plafonds,
10      I,     10|   continuant à suivre sa pauvre pensée plutôt qu’il ne répondait
11      I,     11|       aller jusqu’au bout de sa pensée.~ ~ ~– Sans doute, votre
12      I,     11|       en vain à lire dans votre pensée.~ ~ ~– Ma sœur, vous êtes
13      I,     11|        cette cavalcade. Mais la pensée que cette sortie lui fournirait
14      I,     13|        me dites pas toute votre pensée, Sire ! dit Marguerite.~ ~ ~–
15      I,     14|        Henri. Elle unit dans sa pensée active l’image de ce front
16      I,     15|     comme si elle eût deviné la pensée de son époux, se retourna
17      I,     15|        portion importante de sa pensée.~ ~ ~– Puis, ajouta-t-elle,
18      I,     15|              Puis complétant sa pensée :~ ~ ~– Allons, allons,
19      I,     15|       que le travail muet de sa pensée :~ ~ ~– Est-il arrivé des
20      I,     15|        dévorait incessamment sa pensée. Il avait bien eu de ses
21      I,     17|     Cependant une seule et même pensée tourmentait les deux jeunes
22      I,     18|         un jour d’expansion, la pensée qui les préoccupait seule
23      I,     19|       diverses qui empêchent la pensée de suivre son droit chemin.
24      I,     20|    Catherine à la lumière d’une pensée qui semblait éclore au fond
25      I,     20|        au fond de son esprit la pensée qui y avait germé et qui
26      I,     20| répondant toujours à sa secrète pensée, et il n’y a rien d’étonnant
27      I,     21|        reprit-il poursuivant sa pensée, si je l’avais deviné ce
28      I,     21|    Henri se leva, et mû par une pensée qui, comme toutes celles
29      I,     22|         dans cette impénétrable pensée ; mais voyant que c’était
30      I,     25|       était à cent lieues de sa pensée. Quant à Henri, il entra
31      I,     26|       lui aurez conté une vague pensée de votre cœur ; et lui,
32      I,     26|       dit Marguerite ; ô fatale pensée, mon doux amour !~ ~ ~–
33      I,     27|      disait à personne, dans sa pensée des projets qu’il craignait
34      I,     27|         son esprit une nouvelle pensée qui se trouva sans doute
35      I,     31|        dit Henri poursuivant sa pensée tout en ayant l’air de changer
36     II,      1|     est-ce pas ? J’achève votre pensée. François regarda Henri
37     II,      2|         chez sa mère ; mais une pensée le retint.~ ~ ~– Mordieu !
38     II,      3|        fonctionnaient seuls. Sa pensée errante sur d’autres objets
39     II,      5|    comme moi ? quelle gracieuse pensée peut sortir de cet assemblage
40     II,      7|         Le mot était dans votre pensée, Charles.~ ~ ~– Ce qui est
41     II,      7|              Ce qui est dans ma pensée n’appartient qu’à moi, madame,
42     II,     11|    double avantage de rendre sa pensée et d’exprimer la haute opinion
43     II,     11|   Justement, et vous achevez ma pensée.~ ~ ~– Eh bien ! mais, s’
44     II,     13|       qui vous ferait palper ma pensée… L’amitié, voyez-vous, c’
45     II,     13|         sans cesse présent à ma pensée.~ ~ ~– Vous me le préférez,
46     II,     17|       vous avez dû lire dans sa pensée ! Suivez votre inspiration.~ ~ ~–
47     II,     18|        voir avec les yeux de la pensée, le duc essaya de fixer
48     II,     18|       spectacle était sa propre pensée.~ ~ ~ ~Tout à coup d’Alençon
49     II,     18|        consomption.~ ~ ~ ~Cette pensée le rassura un peu. Dix minutes
50     II,     18|         de son frère ; mais une pensée infernale le cloua à sa
51     II,     26|         La Mole, qui suivait sa pensée souriante sans accompagner
52     II,     28|         Mole, qui comprenait sa pensée ; ô ma reine, n’oubliez
53     II,     30|         Charles, répondant à sa pensée ; oui, le sacrifice est
54     II,     33|         il s’arrêta : une douce pensée parut éclairer son visage,