Tome,  Chap.

 1      I,      1|        même de la part de cette âme pleine de ténèbres et de
 2      I,      4|        tient doit être, sur mon âme, un ingénieux compère. J’
 3      I,      4|          Oh ! monsieur, sur mon âme, je n’en ferai rien, car
 4      I,      5|          Il est bon d’exercer l’âme à la douleur et l’estomac
 5      I,      7|        roi ?~ ~ ~– De cœur et d’âme. Je crois même que vous
 6      I,      7|      lui parler ?~ ~ ~– Sur mon âme ! je n’en serais pas fâché.~ ~ ~ ~
 7      I,      9|        la mienne.~ ~ ~– Sur mon âme, c’est d’un brave gentilhomme,
 8      I,     10|        Marguerite, car, sur mon âme, vous êtes en sûreté. La
 9      I,     12|         Non ! Si ! Oh ! sur mon âme ! c’est lui-même.~ ~ ~–
10      I,     13|      blessures, et de soigner l’âme comme on soigne le corps.~ ~ ~–
11      I,     13|      lire couramment dans cette âme en restant impénétrable
12      I,     13|        la fois du corps et de l’âme.~ ~ ~– Monsieur de la Mole
13      I,     15|        toutes les forces de son âme pour faire face à l’orage
14      I,     15| nouvelle terreur au fond de son âme. Marguerite le prenait à
15      I,     19|      vie, dussé-je y perdre mon âme, répondit La Mole.~ ~ ~–
16      I,     19|        madame, d’aimer un peu l’âme de ce pauvre La Mole, âme
17      I,     19|       âme de ce pauvre La Mole, âme en peine s’il en fut jamais ;
18      I,     19|      peine s’il en fut jamais ; âme persécutée d’abord par l’
19      I,     19|         de fer dans le ventre ; âme brûlée par le feu de vos
20      I,     19|      donc pitié de cette pauvre âme, aimez un peu ce qui fut
21      I,     19|      usez du sourire. C’est une âme fort intelligente que celle
22      I,     19|    Marguerite), permettez à une âme dégagée de son enveloppe
23      I,     19|       vos pieds son cœur et son âme ; qu’il demande à vos yeux
24      I,     20|          Jamais ?~ ~ ~– Sur mon âme, je vous le jure.~ ~ ~–
25      I,     21|      vous aime, et de toute mon âme, et même c’est pour cela
26      I,     23|       de sonder du regard cette âme pleine de ténèbres, voilà
27      I,     26|          je l’aime de toute mon âme. C’est de la folie, me diras-tu,
28      I,     26|         lugubre folie, ma chère âme ! dit Marguerite ; ô fatale
29      I,     26|   donnerai du moins à ta pauvre âme la consolation que tu demandes
30      I,     26|          je suis à toi corps et âme, s’écria Marguerite en étendant
31      I,     28|         duchesse, c’est sur mon âme un être mythologique. Il
32     II,      1|      vous exposer l’état de mon âme, mon cher François. Nul
33     II,      6|   reflétait nettement sur cette âme à la surface unie comme
34     II,     12|         l’écoutait de toute son âme, ses deux yeux noirs, si
35     II,     13|         avait poussé la bonté d’âme jusqu’à aller voir deux
36     II,     14|  Charlotte ?~ ~ ~– De toute mon âme, madame.~ ~ ~– Et tu es
37     II,     14|    Orthon ? Un cœur fidèle, une âme dévouée, un enfant jeune
38     II,     15|        vous est dévoué corps et âme, Sire, et sur lequel vous
39     II,     17|   regard comme un stylet dans l’âme de François.~ ~ ~ ~Mais
40     II,     21|       tranquille.~ ~ ~– Sur mon âme, dit le roi, je crois que
41     II,     24|   traiter le mal.~ ~ ~– Sur mon âme ! reprit Charles étonné,
42     II,     24|     toutes les pensées de cette âme ténébreuse, qui se refermait
43     II,     24|         sur la vôtre, sur notre âme à tous les deux, je vous
44     II,     26|        est maître de perdre son âme.~ ~ ~– Mais non pas le corps
45     II,     28|      dit Marguerite, et sur mon âme, Hyacinthe, cette promesse,
46     II,     29|       mort allait diviniser son âme.~ ~ ~– Sommes-nous bientôt
47     II,     31|         madame, que je sens mon âme qui s’en va. Je vous dis,
48     II,     32|        devina le coup, et cette âme vigoureuse et souple rebondit
49     II,     34|  intérêt de mon corps et de mon âme.~ ~ ~– Est-ce la reine mère
50     II,     35|   Louvre, et trouvé par quelque âme charitable qui l’a déjà
51     II,     35|       pour rendre à Henri cette âme qui l’avait tant aimé, elle